Titre de l'histoire érotique : En ballade avec ma bru
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : En ballade avec ma bru
Après l’avoir posée chez ses parents, je me paye les 3 jours de boulot et réunions et arrive le jeudi soir tard pour récupérer Nathalie chez eux. Comme il est tard, on me propose gentiment de dormir là. Ma foi. Petit coup de fil chez moi et c’est ok.
Au cours de la soirée, je me souviens de cette journée ou nous avons fait connaissance de la « belle-famille ». Lui, quelconque (non, sérieux, quelconque…) et Elle, assez mignonne pour avoir donné naissance à la belle salope que je saute allègrement…mais timide… et réservée… la journée commencée au barbecue avait fini en boite entre « beaux-parents », les jeunes nous ayant faussé compagnie.
Et je me souviens de ce slow, arrivant en fin de soirée. Je dansais avec Lydie, et j’avais pas mal bu (on avait tous bu…). Lumière presqu’absente, j’avais osé lui faire sentir mon envie et la raideur de mon sexe. Au fur et à mesure, je la serrai plus fort et mes propos étaient de plus en plus hardis, elle n’osait me repousser, j’avais bien vu que je ne lui déplaisais pas mais elle résistait à l’envie que je sentais poindre en elle. Un jeu pour moi, que je n’imaginais pas gagner… Ma bouche qui s’approche de la sienne dans un moment ou nous étions un peu plus cachés encore et sa bouche qui s’ouvre, scellant ma victoire… A peine une esquisse de ma part contre cette bouche abandonnée et je redeviens le joli-papa parfait… Un mot pour justifier le retour aux « normes »… Et le mari soulagé de me voir lui rendre son épouse modèle.
Et là… je suis sous leur toit… Alors je fantasme…
Je parviens à échanger quelques mots en aparté avec ma petite garce adorée :
-tu ne peux pas t’absenter une heure avec ton père ? aller voir les grand-parents par exemple ?
- ah ah !!! tu veux essayer avec maman ? mais maman est une sainte ! mon pauvre ! tu veux prendre un bide ? ok ! je te donne l’occasion ! mais tu me promets de tout me dire !!!
-promis, juré !!!
Nathalie embobine son papounet et après le repas, les voila partis pour un bon moment…
A moi de jouer…
Je rejoins Lydie dans la cuisine, elle fait la vaisselle contre l’évier…Je suis contre elle, la bloquant contre le meuble, et lui murmurant que le temps fut long avant de la retrouver enfin…
-Mais arrête, nous somme mariés…
-J’ai bien vu ton envie ce soir là
-mais nos enfants vont…
- se marier ? et alors ? Et puis nous regretterons toute notre vie sinon. Et ça c’est idiot…
Tout en susurrant des mots doux, mes petits baisers dans son cou se font tendre, ma queue (celle là, jamais discrète !!) lui prouve l’étendue de mon désir…Il faut dire que la frèle étoffe ne cache pas grand-chose des formes parfaites de Lydie. Elle n’a pas un gramme de graisse, elle a une allure de jeune fille et je suis sur qu’en ballade avec sa pourtant superbe fille, les hommes doivent regarder les deux culs en se retournant !!!
Son silence me laisse augurer d’une fin heureuse, mes mains sont sur ses seins, caressent et jaugent leur forme, sa tête rejetée en arrière, ma bouche peut profiter de son cou, mes mains sont passées sous la robe, ses têtons sont sous mes doigts, sa chair est chaude, souple, Lydie est parfaite. Mes mains glissent en bas de sa robe, la remontent jusqu’à la taille, je suis à genoux, derrière elle, elle n’a pas bougé, mes mains caressent l’intérieur de ses cuisses, elle retient la robe et je peux descendre le string à ses pieds. Puis écarte fermement les deux gambettes… Et ma langue plonger vers ce trésor dévoilé.
Lydie pousse un cri rauque et fait saillir sa croupe, je peux me régaler de sa cyprine, la femme modèle ondule, fléchit de temps à autre les genoux, s’ouvrant ainsi d’avantage à mes caresses osées. J’ai le plaisir de voir une femme se lacher de plus en plus pour finir en apothéose dans un cri de bonheur…
Je me relève, la saisis dans mes bras, elle me regarde, tendre et confiante…abandonnée. Je l’emmène dans sa chambre, je veux la prendre dans le lit conjugal ! Ma bouche est à nouveau en elle, ses jambes s’ouvrent tout grand, appelant ma langue à la faire jouir encore et encore… Et je ne lui compte pas mon énergie, elle est transportée dans un torrent de plaisir…
La queue que je finis par lui présenter est avalée avec voracité, elle veut me rendre le bonheur que je lui ai donné, me suce, me pompe, me lèche… je sens sourdre les prémices d’un plaisir que je veux réserver à sa chatte…
-doucement ma belle, je veux te prendre maintenant…là.. !
-oui, viens, prends moi, sur ce lit ou je ne jouis jamais, je me rappellerai toujours de ce moment…
Je l‘enfile d’un coup, je la prends sauvagement, elle me serre contre elle, m’agrippe de ses jambes enlacées…Mes coups de boutoir la transperce longuement, elle jouit encore et toujours, et je viens dans un fracas de clapotis lui donner ma liqueur en jets brulants.
Je voudrais la posséder encore, prendre son petit derrière aussi, mais ce soir, ce serait folie… on s’embrasse passionnément, on refait le lit en aérant… on se douche … et chacun va se coucher sagement.
Je ne bouge pas un œil au retour de papa et sa fillette…
Le lendemain matin, des au-revoir très amicaux, et j’embarque Nathalie …
A sa question je ne réponds que par le petit morceau de tissu imprégné de si charmantes effluves que j’ai emmené avec moi… le string de sa mère encore plein de notre amour est là, entre ses mains…
-salaud ! tu as osé baiser ma mère ? et moi ? tu as pensé à moi ?!!! je te hais !!!
-dis voir, c’est bien toi qui a emmené ton père ?
-oh ça va !!
J’ai droit à quelques dizaines de minutes de silence renfrogné… et puis
-c’était mieux qu’avec moi ?
-ma chérie !! bien sur que non ! je vais te montrer, on s’arrête ?
Au cours de la soirée, je me souviens de cette journée ou nous avons fait connaissance de la « belle-famille ». Lui, quelconque (non, sérieux, quelconque…) et Elle, assez mignonne pour avoir donné naissance à la belle salope que je saute allègrement…mais timide… et réservée… la journée commencée au barbecue avait fini en boite entre « beaux-parents », les jeunes nous ayant faussé compagnie.
Et je me souviens de ce slow, arrivant en fin de soirée. Je dansais avec Lydie, et j’avais pas mal bu (on avait tous bu…). Lumière presqu’absente, j’avais osé lui faire sentir mon envie et la raideur de mon sexe. Au fur et à mesure, je la serrai plus fort et mes propos étaient de plus en plus hardis, elle n’osait me repousser, j’avais bien vu que je ne lui déplaisais pas mais elle résistait à l’envie que je sentais poindre en elle. Un jeu pour moi, que je n’imaginais pas gagner… Ma bouche qui s’approche de la sienne dans un moment ou nous étions un peu plus cachés encore et sa bouche qui s’ouvre, scellant ma victoire… A peine une esquisse de ma part contre cette bouche abandonnée et je redeviens le joli-papa parfait… Un mot pour justifier le retour aux « normes »… Et le mari soulagé de me voir lui rendre son épouse modèle.
Et là… je suis sous leur toit… Alors je fantasme…
Je parviens à échanger quelques mots en aparté avec ma petite garce adorée :
-tu ne peux pas t’absenter une heure avec ton père ? aller voir les grand-parents par exemple ?
- ah ah !!! tu veux essayer avec maman ? mais maman est une sainte ! mon pauvre ! tu veux prendre un bide ? ok ! je te donne l’occasion ! mais tu me promets de tout me dire !!!
-promis, juré !!!
Nathalie embobine son papounet et après le repas, les voila partis pour un bon moment…
A moi de jouer…
Je rejoins Lydie dans la cuisine, elle fait la vaisselle contre l’évier…Je suis contre elle, la bloquant contre le meuble, et lui murmurant que le temps fut long avant de la retrouver enfin…
-Mais arrête, nous somme mariés…
-J’ai bien vu ton envie ce soir là
-mais nos enfants vont…
- se marier ? et alors ? Et puis nous regretterons toute notre vie sinon. Et ça c’est idiot…
Tout en susurrant des mots doux, mes petits baisers dans son cou se font tendre, ma queue (celle là, jamais discrète !!) lui prouve l’étendue de mon désir…Il faut dire que la frèle étoffe ne cache pas grand-chose des formes parfaites de Lydie. Elle n’a pas un gramme de graisse, elle a une allure de jeune fille et je suis sur qu’en ballade avec sa pourtant superbe fille, les hommes doivent regarder les deux culs en se retournant !!!
Son silence me laisse augurer d’une fin heureuse, mes mains sont sur ses seins, caressent et jaugent leur forme, sa tête rejetée en arrière, ma bouche peut profiter de son cou, mes mains sont passées sous la robe, ses têtons sont sous mes doigts, sa chair est chaude, souple, Lydie est parfaite. Mes mains glissent en bas de sa robe, la remontent jusqu’à la taille, je suis à genoux, derrière elle, elle n’a pas bougé, mes mains caressent l’intérieur de ses cuisses, elle retient la robe et je peux descendre le string à ses pieds. Puis écarte fermement les deux gambettes… Et ma langue plonger vers ce trésor dévoilé.
Lydie pousse un cri rauque et fait saillir sa croupe, je peux me régaler de sa cyprine, la femme modèle ondule, fléchit de temps à autre les genoux, s’ouvrant ainsi d’avantage à mes caresses osées. J’ai le plaisir de voir une femme se lacher de plus en plus pour finir en apothéose dans un cri de bonheur…
Je me relève, la saisis dans mes bras, elle me regarde, tendre et confiante…abandonnée. Je l’emmène dans sa chambre, je veux la prendre dans le lit conjugal ! Ma bouche est à nouveau en elle, ses jambes s’ouvrent tout grand, appelant ma langue à la faire jouir encore et encore… Et je ne lui compte pas mon énergie, elle est transportée dans un torrent de plaisir…
La queue que je finis par lui présenter est avalée avec voracité, elle veut me rendre le bonheur que je lui ai donné, me suce, me pompe, me lèche… je sens sourdre les prémices d’un plaisir que je veux réserver à sa chatte…
-doucement ma belle, je veux te prendre maintenant…là.. !
-oui, viens, prends moi, sur ce lit ou je ne jouis jamais, je me rappellerai toujours de ce moment…
Je l‘enfile d’un coup, je la prends sauvagement, elle me serre contre elle, m’agrippe de ses jambes enlacées…Mes coups de boutoir la transperce longuement, elle jouit encore et toujours, et je viens dans un fracas de clapotis lui donner ma liqueur en jets brulants.
Je voudrais la posséder encore, prendre son petit derrière aussi, mais ce soir, ce serait folie… on s’embrasse passionnément, on refait le lit en aérant… on se douche … et chacun va se coucher sagement.
Je ne bouge pas un œil au retour de papa et sa fillette…
Le lendemain matin, des au-revoir très amicaux, et j’embarque Nathalie …
A sa question je ne réponds que par le petit morceau de tissu imprégné de si charmantes effluves que j’ai emmené avec moi… le string de sa mère encore plein de notre amour est là, entre ses mains…
-salaud ! tu as osé baiser ma mère ? et moi ? tu as pensé à moi ?!!! je te hais !!!
-dis voir, c’est bien toi qui a emmené ton père ?
-oh ça va !!
J’ai droit à quelques dizaines de minutes de silence renfrogné… et puis
-c’était mieux qu’avec moi ?
-ma chérie !! bien sur que non ! je vais te montrer, on s’arrête ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un sacré fantasme, ça, baiser la mère et la fille ! Très excitant !