Titre de l'histoire érotique : J'ai ouvert la vraie Ouran school
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : J'ai ouvert la vraie Ouran school
Il fait nuit, je suis dans mon lit. Une main se glisse sous les draps et cherche son chemin. Elle reconnait le contact de ma peau. J'entr'ouvre mes paupières et je reconnais le visage du garçon à genoux devant mon lit. Je fais semblant de dormir. La main s'aventure plus loin et rencontre des poils. Elle n'est pas loin de là où elle voulait aller. D'un coup, je sens des doigts s'enrouler autour de ma queue. La main s'est emparée de l'objet de sa quête. Le garçon soulève les draps et y fourre sa tête. Il lèche la bite qu'il tient dans sa main. La langue fait le tour de l'entaille qui fait sépare le gland de la tige. Je bande. La pointe de la langue du garçon titille la fente qui troue le gland. Je sursaute. Les lèvres du garçon se referment sur le gland et glissent lentement vers mon pubis. Quand elles touchent les poils, les lèvres s'écartent, et la langue du garçon passent sous mes couilles. Il glisse un doigt entre mes fesses, cherche mon petit trou et s'y introduit. Un sursaut fait s'enfoncer ma pine, au fond de sa bouche.
Soudain, le garçon se relève et écarte les draps. Il monte sur le lit, glisse ses jambes de chaque côté de moi, se met à genoux, écarte ses fesses avec ses mains, et s'asseoit sur ma queue. Celle-ci s'enfonce dans son cul, aidée de la salive qu'il y a déposée. Il s'agite de plus en plus vite, et son anus monte et descend le long de ma bite. Il m'arrache une giclée de sperme et souffle :
- Je reviendrai tous les soirs. Ton cul est accueillant...J'ai des copains qui m'ont vu faire. Ils ont vu ton cul, et ils demandent s'il peuvent venir t'enculer ?
- Tu peux leur dire que j'ai aussi une bouche !
Il a souri et s'est retiré. Le deuxième soir, un copain vint glisser sa bite dans ma bouche. Le gars avait les yeux exorbités. Il croyait avoir la queue la plus grande qu'on ait jamais vue, et pourtant, je venais de la gober toute entière. Il était sur que dans mon cul, je n'aurais pas la place. Erreur, ses couilles sont aplaties sur mon cul.
Il était tellement décu, qu'il mûrit une vengeance. La nuit suivante, ils sont venus à deux. Son acolyte était deux fois plus grand que lui, et sa bite bien plus grosse encore. Peine perdue, les deux bites s'enfoncèrent dans mon cul, sans aucun problème.
Ils étaient vraiment furieux. La nuit suivante, ils se sont présentés et m'ont emmené dans la salle de douche. Un par un, parfois plusieurs ensemble, ils se sont engouffrés dans mes orifices et m'ont baisé toute la nuit.
La mode est aux mangas. Mes amants d'une nuit semblent obnubilés par la série "Ouran high school host club". Là, les garçons se travestissent et simulent des pratiques homosexuelles, à la demande des filles.
Mes garçons m'ont demandé de faire des strip-teases. Je dois me déshabiller lentement, afin d'exciter leurs camarades, et enfin de subir leurs assauts. Les regarder se masturber quand je dévoile mon cul, me met dans des états !
J'ai établi un rituel. Comme ils sont nombreux, ils n'ont droit qu'à un seul passage. Je suis à quatre pattes, Le premier s'avance, debout devant moi. Je le suce, et il jouit dans ma bouche. J'enduis la pine de son propre sperme, son propriétaire passe derrière moi, me fourre le tout dans le cul, pendant que je suce le suivant. Charitables, quand ils ont fini, ils me lavent et me recouchent, pour la nuit suivante.
Le bruit est arrivé aux oreilles des propriétaires de l'établissement. Quand ils ont compris de quoi il s'agissait, je fus consigné tous les week-ends, à la disposition du personnel.
Par crainte des différentes maladies et autres désagréments, la direction de l'établissement a tenu à prendre en charge tous mes frais.
Dans le cadre des échanges internationaux, je fais partie des négociations. Aux quatre coins de la planète, on sait que je suis un cul et une bouche à prendre. Au Japon, même les filles se sont équipées pour pouvoir m'enculer. Leurs godes sont, outre le plastique, en verre, et même en bois. A force de glisser entre mes fesses, ceux-ci sont polis comme des objets d'art. Ils ont même inventé la French touch. Pendant que les filles m'enculent, je suce les garçons.
Soudain, le garçon se relève et écarte les draps. Il monte sur le lit, glisse ses jambes de chaque côté de moi, se met à genoux, écarte ses fesses avec ses mains, et s'asseoit sur ma queue. Celle-ci s'enfonce dans son cul, aidée de la salive qu'il y a déposée. Il s'agite de plus en plus vite, et son anus monte et descend le long de ma bite. Il m'arrache une giclée de sperme et souffle :
- Je reviendrai tous les soirs. Ton cul est accueillant...J'ai des copains qui m'ont vu faire. Ils ont vu ton cul, et ils demandent s'il peuvent venir t'enculer ?
- Tu peux leur dire que j'ai aussi une bouche !
Il a souri et s'est retiré. Le deuxième soir, un copain vint glisser sa bite dans ma bouche. Le gars avait les yeux exorbités. Il croyait avoir la queue la plus grande qu'on ait jamais vue, et pourtant, je venais de la gober toute entière. Il était sur que dans mon cul, je n'aurais pas la place. Erreur, ses couilles sont aplaties sur mon cul.
Il était tellement décu, qu'il mûrit une vengeance. La nuit suivante, ils sont venus à deux. Son acolyte était deux fois plus grand que lui, et sa bite bien plus grosse encore. Peine perdue, les deux bites s'enfoncèrent dans mon cul, sans aucun problème.
Ils étaient vraiment furieux. La nuit suivante, ils se sont présentés et m'ont emmené dans la salle de douche. Un par un, parfois plusieurs ensemble, ils se sont engouffrés dans mes orifices et m'ont baisé toute la nuit.
La mode est aux mangas. Mes amants d'une nuit semblent obnubilés par la série "Ouran high school host club". Là, les garçons se travestissent et simulent des pratiques homosexuelles, à la demande des filles.
Mes garçons m'ont demandé de faire des strip-teases. Je dois me déshabiller lentement, afin d'exciter leurs camarades, et enfin de subir leurs assauts. Les regarder se masturber quand je dévoile mon cul, me met dans des états !
J'ai établi un rituel. Comme ils sont nombreux, ils n'ont droit qu'à un seul passage. Je suis à quatre pattes, Le premier s'avance, debout devant moi. Je le suce, et il jouit dans ma bouche. J'enduis la pine de son propre sperme, son propriétaire passe derrière moi, me fourre le tout dans le cul, pendant que je suce le suivant. Charitables, quand ils ont fini, ils me lavent et me recouchent, pour la nuit suivante.
Le bruit est arrivé aux oreilles des propriétaires de l'établissement. Quand ils ont compris de quoi il s'agissait, je fus consigné tous les week-ends, à la disposition du personnel.
Par crainte des différentes maladies et autres désagréments, la direction de l'établissement a tenu à prendre en charge tous mes frais.
Dans le cadre des échanges internationaux, je fais partie des négociations. Aux quatre coins de la planète, on sait que je suis un cul et une bouche à prendre. Au Japon, même les filles se sont équipées pour pouvoir m'enculer. Leurs godes sont, outre le plastique, en verre, et même en bois. A force de glisser entre mes fesses, ceux-ci sont polis comme des objets d'art. Ils ont même inventé la French touch. Pendant que les filles m'enculent, je suce les garçons.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime beaucoup cette histoire : très bandante !