Titre de l'histoire érotique : L autoroute du plaisir . - histoire érotique

Bonjour à tous , un petit retour sur mon site préfère après quelques mois d’absence . Et oui… j avais décidé d’être sage ! Non…plus sérieusement rien de ce que j ai pus vivre ces derniers mois n’avait de place ici. En même temps c est vrai qu’ une certaine sagesse à prit part dans ma vie .

J étais loin d imaginer ce qui allait m arriver en cette splendide journée de mai . Pour remettre les choses dans leur contexte , il faut avouer tout ! que je vous dise qu effectivement j étais disposé à prendre du bon temps . Mon mari en déplacement, je remplaçais au pied levé un collègue qui avait du s absenter alors qu’il avait un rendez vous sur Reims avec un potentiel partenaire .
Je décollage donc de la maison de bonne heure plutôt ravis de cette escapade au beau milieu d’une semaine agitée au bureau . J ai toujours adorer les rendez vous extérieur plutôt que de passer mon temps dans les dossiers au bureau . Cela me permet de gérer ma journée sans personne derrière moi mais aussi j avoue de profiter de petits plaisirs perso sur la route voir même en rdv … là , sur le coup c était différent, je prenais un dossier en cours et pas dans un exercice que je maîtrisais puis ce que mon domaine de prédilection reste les ventes, locations et donc visites de biens …. Bien loin d un entretien avec une entreprise de bâtiment.

Malgré cela j étais bien décidé à profiter de cette journée et c est sur mon trente et un que je prenais la route . Toute pimpante dans mon petit tailleur noir j avais enfilé une jolie paire de bas noir à large jarretière de dentelle histoire de m amuser un peu sur la route . L amusement n a pas manqué tout au long de la route . Bien des poids lourds n’ont pas manqués la jolies vue que j offrais . Je dirais même m’être excité au file des kilomètres remontant ma jupe plus que de raison …. Un bon trois heures de route en comptant les quelques poses pour me dégourdir les jambes , là aussi sous l œil de braves gens attirés pas la justesse de ma jupe. Il a fallut que je reprenne mes esprit en arrivant à mon rdv … Très vite replongé dans mon métier , je me montrais comme toujours professionnelle et assurait la tâche qui, au départ n’était pas la mienne …

Un rendez vous qui c est quelques peu prolongé assaillis de questions par mes interlocuteurs . Bref , j ai eu le sentiment du devoir accomplis en sortant de cette boîte. Il devait être 16h 30 et le soleil donnait très fort …. Je prenais un verre tranquillement à une terrasse toute proche avant de reprendre la route . La aussi bon nombre de types me mataient avec insistance . Radieuse je croisais et de croisais les jambes me jetant les cheveux en arrière comme incrédule à leurs regards . Je prenais mon pied oserais-je dire . Loin de mes bases, incognito , lunettes de soleil sur le nez j épais chacun de ces braves hommes me dévorant des yeux . Je me prenais au jeu , la femme d affaire d un genre bourgeoise , la tête haute ignorant les nombreux mâles lui tournant autour ! En bas noir et talons hauts sous un soleil éblouissant , je me sentais toute moite et dégrafais les premiers boutons de mon chemisier laissant même apparaître un brin de dentelle de mon soutien gorge . J’aurais pus traîner la des heures à me régaler des coups d’œil plus ou moins insistant … hélas je devais reprendre la route .
J empruntait l autoroute en sens inverse vers 17h 30 ventilation au maximum et il fallut quelques kilomètres pour enfin ressentir un peu de fraîcheur dans l habitacle . Je replongeais agréablement dans mes travers , remontant légèrement ma jupe à l approche des camions que j allais doubler. Plaisir encore plus intense qu’ a l aller dut à l excitation sans doute , qui ne me quittait pas depuis des heures . Plus je doublais, plus ma jupe remontait . A 120 km/h le pied gauche contre le bas de caisse j y voyais mon petit string en baissant les yeux . Quel bonheur ces coups de klaxons ! Quel excitation même. .. je vous avoue même qu entre les camions, il m arrivait de plonger la main sur mon intimité .je pressais ma vulve tout en me mordant les lèvres de plaisir .

C’est dans ces conditions la que j ai doublé ce fourgon blanc . Le coup de klaxon m a fait tourner la tête et vue la hauteur moins importante , j ai croisé le regard du type au volant … tout sourire dehors il me montrait le pouce comme pour me féliciter ! Je souriais à mon tour hochant la tête en guise de remerciement . Le petit camion c est alors engagé derrière moi me collant aux fesses si je peu utiliser cette formule rire …. Je me suis alors repositionné sur la file de droite le laissant me doubler attentive au chauffeur … grand signe tout en ralentissant à ma hauteur avant de se rabattre devant moi . Je ne savais comment interpréter cette réaction mais après quelques kilomètres à m épier dans son rétroviseur , le type à enclenché ses feux de détresse … un appel à le doubler à nouveau ! Notre petit jeux à duré des kilomètres … quelques sourires au passage et je l’avoue , la jupe bien remontée lorsque je le Re doublais …. L homme me faisait de grands signes preuve du plaisir que je lui donnais .
Quasiment 100 kilomètres à jouer ainsi alternant entre poids lourds et ce type qui faisait toujours en sorte que le le double . La situation m excitais je dois bien l avouer . Par deux fois le mec a mis le clignotant à droite à l approche d airs de repos … certes j étais excité mais tous de même ! De là à me retrouver seule avec un homme qui de plus , me paraissait relativement chaud ….

Forcé d’admettre que L’excitation ne faisait que croître je m interrogeais , hésitais au fond … mon cœur battait la chamade je me mordais le coin de la lèvre essayant de mesurer les risques . Les idées embrouillées je le doublais une dernière fois lui faisant cette fois un petit signe de la main . Il devait être 21h30 , le soleil se couchait doucement . Les grandes lumières d’un air de repos me signifiaient que celui-ci était vivant . Un éclair, un instant cela m a rassuré et j’ai serré ma droite clignotant allumé tout en jetant l’œil dans le rétroviseur m assurant que mon compère suivait … l air de Souchez , les lumières lointaines était celle d’un restaurant grill et d une station essence … j étais quelques peu paniqué mais l excitation de l’instant aidant je me garais sur le parking éclairé à proximité du restaurant . Un air de repos sans commerce m aurait trop fait peur , je respirais à plein poumons chassant au mieux l engouasse qui m habitait tout en m ajustant le rouge au lèvres dans le rétro . L’adrénaline était à son comble , le type stationné derrière moi est descendu et c est approche de ma vitre . J ai entrouvert le carreau et lui ai adressé un large sourire cachant toute ma peur , ma tension. ..
L homme devait avoir la soixantaine , plutôt bel homme poivre et sel en jeans et chemisette de taille moyenne . À sa façon de me dire bonjour ma Petite dame avec un grand sourire aux lèvres, j ai de suite compris que ce type était sur de lui , cela me sautait aux yeux ! A la vue de mon paquet de cigarettes sur le siège passager , il me proposait de fumer une clope tranquille pour faire connaissance . Malgré mes sourires , il avait, je pense , compris mes craintes et cherchait à me rassurer … je baissais complètement ma vitre quelques peu rassuré par cette entame et il enchaînait me disant que mes jambes étaient encore plus jolies à l arrêt et qu’il était bien moins dangereux de les admirer ici …. Gêné une fois de plus , j ai baissé les yeux affichant un sourire timide . Le type c est alors présenté : « Pierre , dit Pierrot , négociant en vin de Reims » je répondais à cela : enchanté Laurence , je suis dans l’immobilier de Lens … »
Un instant de silence , le type scrutait l’horizon à la recherche de je ne sais quoi et tout en regardant devant il me proposait gentiment d avancer au bout de l air me montrant au bout à droite un coin plus calme . Nous pourrions fumer une cigarette et je vous ferais déguster mon campagne , j ai tous ce qu’il faut dans mon camion. … comment pouvais je refuser une telle invitation ? Bon j admet avoir un instant hésité mais le type m avait l air correct et l idée d’une petite pose sympa me tentait bien ! Excité comme je l étais après tout … j ai redémarré la voiture en lui disant que j avançais la bas ….

Stationné tout au fond de l air , je profitais qu il arrivait se garer pour sortir de la voiture . Je faisais le tour et ouvrais la porte côté passager pour prendre une cigarette …. Le type , enfin , Pierre, bricolait à l arrière de son fourgon . Il arrivait vers moi deux coupes à la mains et me tendait celle-ci ! Je riais étonné et en plus , la coupe était hyper fraîche. .. il m expliquait qu il avait un compartiment réfrigéré dans son véhicule pour ses clients ou futur clients . Je me délectais donc de ce frai breuvage après avoir reposé la cigarette sur mon sac à main , lui-même sur le siège passager . Producteur , négociant il venait dans le nord pour vendre son jus de raisin . Les termes exactes , je suis bien incapable de les répéter car je ne suivais ces propos que d’une vague oreille plutôt intriguée par la situation qui a tous moment pouvait déraper .

J étais pourtant loin de m attendre à ce qui allait ce produire . J avais bus une petite moitié de coupe , cherchant à me détendre, je posais la coupe sur le toit de la voiture pour enfin me rassasier de nicotine … l endroit était relativement calme en bout de parking comme cela . Nous nous tenions à droite de mon véhicule , les pieds dans la pelouse lorsque je me suis penché pour reprendre ma cigarette sur mon siège. Évidement , je n étais pas dupe et savais qu en me penchant de la sorte , j offrait une jolie vue à mon compère ! Je n ai pas trainé me redressant tout en souriant …. Il riait me disant que la cigarette était mauvais pour ma santé . Je lui répondais que j avais besoin de me calmer … tout en disant ces mots , je cherchais à allumer le briquet . Compliqué face à ce petit courant d’air … Je me tournais donc sans me soucier de lui et me battais encore avec ce maudits briquet !
Je pouvais m attendre à bien des choses avec mon voyeur mais là je fus scotché ! Le gros plan de drague que je voyais venir à des kilomètres prenait d’un coup une tout autre forme . Penché sur mon briquet je crue senti une main sur mes fesses , mais pire que cela puis ce que d un rapide coup d œil je voyais le type à genoux derrière moi . Le temps que je réalise , je sentais déjà la chaleur de sa bouche monter sur mes cuisses …. Oups , impossible pour moi de me défendre, de le repousser … sa langue explorait déjà la raie de mes fesses , en a peine quelques secondes , le type avait glissé les mains sous ma jupe , remonté la jupe et écarté mon string pour ainsi se frayer un chemin entre mes cuisses . Si toute fois j ai eu un mouvement de recul , il fut bien court car immédiatement je me suis détecté de cette langue furieuse qui mangeait sans vergogne , les fesses ! Voilà un monsieur que je ne connaissais pas dix minutes plus tôt en train de littéralement me fouiller la chatte . Appuyé sur le montant de ma porte , je me prêtais tout aussi rapidement à ses caresses en me cambrant , sortant les fesses et même écartant les jambes pour lui faciliter la tâche ! Je l entendais grogner qu il y avait mieux qu’une clope pour se détendre alors que je regardais les véhicules sortir de l air de repos deux voies au dessus de la notre !
Dieu que ce type était habile ! Sa langue , ses doigts qui me fouillaient tout aussi habilement , je m en mordait le dessus de la main en fermant les yeux tellement le plaisir se faisait présent. J en étais à me tortiller les fesses sur son nez en gémissant de plaisir sans jamais quitter la route des yeux quelques peu gêné par la situation même si la nuit tombait doucement et que les autos avaient allumées les phares , je me sentais comme sur une scène de spectacle .

Pierre d un coup c est redressé et m à laissé là filant à son véhicule. Je mis quelques instants avant de réaliser et tirer ma jupe vers le bas . Il est vite revenu vers moi , une couverture à la main et m à proposé de nous isoler derrière les buissons et arbres à quelques mètres de nos voitures . Je n’étais plus en état de repousser les avances de cet inconnu qui me butinait l abricot avec une telle facilité qu’il me paraissait complètement impossible de passer à côté d une telle occasion . Puis , même si mon cerveau tentait par courts instants de me raisonner , il ne commandait plus rien mais obéissait à mon corps fiévreux qui mis en appétit , demandait l absolution !

J ai suivis pierre entre les deux gros arbres et l’ai regardé tirer la couverture au sol . Le vas y , installé toi raisonné encore dans ma tête. Pierre m a laissé m assoir au beau milieu de la couverture et debout , à ouvert son jeans et sortie la queue de son caleçon. Jolie queue du reste toute lisse et de beau diamètre. Jambes écartées il c est approche de moi en grognant la queue à la main … « allé ma belle suce moi la bite ! Tu m a chauffé depuis des kilomètres »
Inutile de répondre, ni même de refuser car il me saisissait les cheveux de sa main gauche et il m a littéralement force la bouche ! Les mots ce sont mis à pleuvoir . « tu suce divinement bien petite allumeuse. » j en passe et des meilleurs . Par moment il me gifflait de sa queue tout en me disant que j étais bonne suceuse … ses mots , ses gestes . Je m appliquais à cette fellation improbable et j y trouvais plaisir … c était juste histoire de le mettre en forme car à peine quelques minutes plus tard il me demandait d ouvrir mon chemisier , de lui montrer mes seins …. Il frottait sa queue sur mes tétons les frappait avant de me faire mettre à quatre pattes !!! Oups , string enlevé, jupe sur les hanches … ses doigts reprirent leur besogne et très vite je me laissais aller à des gémissements dont je n’avais que trop peu l habitude . Sa langue son nez , j avais l impression que tout entrait en moi ! Je gesticulais, grognais et ne me reconnaissais plus … lorsqu’ il a grogne que j en voulais j ai râlé ouiii le voyant prendre place derrière moi … j allais enfin en prendre pour mon excitation ! Ha j en ai pris ! Débout , a cheval sur moi , Pierre m’a baise durant de longues minutes alternant force douceur , vitesse et me traitant de bien des mots . J’étais prise et criais mon plaisir, j en oubliais tous le reste et ne me souciait plus de rien ….si ce n était me cambré ronronnant me prêter à cette queue qui.me transperçait.
L audace de ce type m avait surprise et sans la moindre gêne il m en filait son pouce dans l’anus grognant qu il voulait mon cul . L excitation était telle que je n ai pas sourcillé lorsque sa tige m a forcé le petit trou . Je pense pouvoir dire que jamais je n avais été prise de la sorte ! Du moins mon petit cul qui pour le coup se faisait littéralement défoncer …. Gémissante je subissait ses assauts au plus profond de mon ventre . Je l ai sentis se crisper sur mes hanches , durcir en moi de plus belle et me défoncer de plus belle … sa jouissance était si forte si intense … je me suis effondré haletante, Gémissante de bonheur ….
S’en est suivis de longues minutes à reprendre nos esprits , notre respiration … allongé l un contre l autre rompus de nos efforts … j haletais allongé sur le dos regardant les étoiles , les fesses en feu ….nous avons papoté un long moment , la nuit était douce et nous étions bien dans notre petit coin seuls au monde … lorsque j’ai avancé le fait de reprendre la route , Pierre à posé la main sur l intérieur de ma fesse puis est remonté doucement jusqu’à glisser un doigt sous mon string . Ce doigt qui s agitait sur mes lèvres englués de nos plaisirs ….cette douceur et le fait de sentir son doigt glisser ainsi avec aisance à déclenché en moi une soudaine excitation… je me suis mise à nouveau à ronronner stimulant les muscles de mes fesses pour accompagner se doigt qui me fouillait le bord du minou . Sam à très vite comprit que la situation était à son avantage . J’ouvrais les jambes accompagnant sa caresse du bout des doigts ….
Lorsqu’il m’a demandé si j en voulais encore , je me suis entendu lui répondre « oui , vient, prend moi … » il c est alors installé entre mes jambes grandes ouvertes . Le creux de mes genoux sur ses avants bras … il c est frayé un chemin entre mes cuisses écartant de nouveau mon string détrempé … il c est rué en moi sauvagement grognant qu’il allait me baiser , m en donné , une belle salope comme moi en méritait …. Je perdais pied et grondais des oui baise moi à plusieurs reprises !!! Dix minutes de folies à me faire chevauchée sauvagement , chemisier grand ouvert , mes seins bondissaient au rythme de ses coups de reins ! Son ventre claquait sur mes fesses et je poussais des cris de plus en plus fort ne me souciant plus d alerter le voisinage … j étais une poupée entre ses mains mon corps bondissait à chacune de ses intrusions. … je l’ai bien sentis durcir les coups , me lever les jambes il allait jouir une seconde fois en moi … Brusquement il c est retiré me saisissant la nuque ! A peine redressé , Sam se tendait la queue en avant me disant de le sucer tout en me forçant la nuque pour que je prenne sa queue en bouche . J’ai à peine eu le temps de la prendre en main , j ouvrais la bouche lorsqu’une longue gicler de sperme m’a jaillit au visage , puis une seconde dans ma bouche cette fois …. En bonne salope je lui nettoyais la tige en la léchant sous ses soupirs haletants ….
J en avais partout , le ventre maculé de sperme , le cou …. Je retombait ainsi allongé pour reprendre mes esprits ! Dix minutes plus tard nous nous sommes redressés ! Sam m’a aidé à me relever . Je n ai pas pris la peine de remettre mon soutien gorge , juste de remonter un peu mes bas et tirer sur ma jupe . J ai Re boutonné mon chemisier en avançant vers les voitures. Les cheveux en bataille je planais. … nous sommes salués , Sam me remerciant de se super moment avant de monter dans sa voiture et disparaître dans la nuit . J ai alors fais le tour de la mienne pour monter remarquant deux poids lourds garés de l autre coté de la route et les chauffeurs devant ceux-ci à discuter …. Les types me regardaient sans bouger … quel frison à cette heure avancée complètement défaite ….. j ai démarré le moteur de mon auto tout en me disant que j’étais une belle salope ! Pour terminer en beauté , je suis ressortie de la voiture retroussant ma jupe et me débarrassant de mon string avant de reprendre le volant direction la maison …. J ai roulé souillé 20 minutes pour rejoindre mon domicile. Je sentais le sperme s’échapper de mon entre, le tissus de mon chemisier me collait par endroit sur la poitrine encore toute dure . J’avais peine à me concentrer sur la route troublé par mes actes et des images pleins la tête !
Quelle salope je fais !