Yves (1)
Récit érotique écrit par Laurencec [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Yves (1)
Yves Mon époux en déplacement toute la semaine, j’étais toute heureuse de le retrouver ce samedi matin. J'avais quelque peu abusé dans la semaine et reprenais là, ma vie de couple. Nous étions invité chez des amis, un jeune couple qui fêtait ses deux ans de vie commune. Pour l'occasion, je me faisais toute belle sortant même les dessous chic au cas où Monsieur aurait des idées coquines ! dix jours loin l’un de l’autre pouvaient ranimer la flamme, du moins je l’espérais sans doute. C’est donc dans une petite robe bien seyante mettant mes formes en valeur et des dessous de soie que je me suis parée pour cette fête.
Quelle surprise en arrivant chez nos amis. Nous étions une quarantaine, deux grands chapiteaux étaient installés dans la pelouse, pas l’idéal pour mes talons mais je ne savais pas. Visiblement et heureusement je n’étais pas la seule à être surprise, deux filles portaient également des talons. La seconde surprise fut de taille puisqu'en saluant les invités nous aperçûmes Yves le grand ami de mon mari avec qui, je dois le dire, j’ai eu une aventure il y a près de dix ans déjà ! Mon mari évidement était très heureux de retrouver son vieux copain ! Moi, un peu moins. Pour la petite histoire, je n’appréciais pas trop ce type et pourtant à une époque j’avais cédé à ses avances, dragueur devant l’éternel, il se vantait tellement de ses prouesses sexuelles que malgré un physique peu séduisant, j’avais voulu tester par moi-même ses soit-disant qualités d’étalon ! Forcée d’admettre à l’époque que le vice dans le regard qu’il portait n’était pas usurpé ! J’avais passé de très bon moments avec lui je dois bien l’avouer. Vicieux à souhait il savait s'y prendre pour donner du plaisir. J’avais coupé court à l'époque, estimant que nous prenions trop de risques vis-à-vis de nos conjoints. Les petits coups vite fait au risque d’être surprise cela peut être très excitant mais, à y réfléchir, le jeu en vaut-il la chandelle? Heureusement, là, il était accompagné de son épouse et de son gamin ce qui devait le canaliser quelque peu.
Une fois les salutations faites, les deux compères tout heureux de se retrouver ont prit l’apéritif ensemble. Comme souvent un attroupement de mecs au bar pendant que les filles elles sirotent une coupe de champagne bavardant de choses et d’autres.
Tout se passait à merveille, l’ambiance était chaleureuse mais mon mari s’est dit fatigué par son déplacement et à préféré rentrer plus tôt. Tous étaient compréhensifs, dix jours à l’étranger, rentré le matin même. Dans le même temps les copines insistaient pour que je reste, disant que quelqu’un me ramènerait plus tard. J’étais sur le point de décliner l’invitation lorsque mon mari m’a incitée à rester et profiter de la soirée.
Voilà comment j’ai poursuivi ma soirée laissant mon mari rentrer seul. La route ne gênait pas, nous étions à dix minutes à peine de la maison et mon époux n’avait heureusement pas exagéré sur l’alcool, je le voyais à son comportement et cela me rassurait. La soirée a poursuivi son cours et évidemment je voyais d’un mauvais œil mon retour persuadée que Yves allait se proposer pour me ramener à la maison. Seules présences jouant en ma faveur, sa femme et son fils qui pour le coup pourraient me sauver la mise .
Hélas, un manipulateur reste un manipulateur et ce, en toutes circonstances ! Lorsque j’ai émis l’envie de rentrer, Yves s’est de suite proposé pour me raccompagner ! Quand à la présence de sa famille, il balayait cela en un coup de vent disant à son épouse de prendre son temps, qu'il me déposait et revenait de suite. La pauvre n’a pas eu de droit de réponse puisqu’il a saisi sa veste et m'a rejointe à l’entrée du chapiteau. Une terrible angoisse m’est montée à la gorge, je ne pouvais que saluer les gens de la main un joli sourire aux lèvres. Partagée entre l’envie de lui céder et celle d’être intransigeante dans mon refus, je savais pour connaître l’énergumène, qu'il tenterait quelque chose ! Yves avait été blessé lors de notre rupture, en témoignaient les nombreuses relances durant les mois qui ont suivi.
A peine avions nous démarré que mes doutes devenaient réalités ! À peine avait il passé la troisième vitesse que sa main s'égarait sur ma jambe, que dis je, s’égarait, elle plongeait entre mes jambes ! Je les serrais du plus fort que je le pouvais tentant même de retirer la main intrusive mais rien n’y fit ! Il grognait que je lui avais tellement manqué, que j’étais encore plus bandante que par le passé, il me suppliait de me laisser faire. J'avais beau lui répondre qu'il ne fallait pas, il était comme fou et sa main malgré mes retenues gagnait du terrain. Après quelques minutes d échanges pour le moins virulents, j ai cessé de repousser sa main et même laissé faire. J’oserais dire que limite, il me faisait peur. Inutile de me ruiner les doigts sur ses énormes paluches puis de vous à moi, il connaissait mon entre cuisses! À peine la pression lâchée sur cette main qu'il prenait davantage confiance et en quelques secondes il glissait un doigt dans l' échancrure de mon string et me massait la vulve ! J’avoue, je suis une faible femme ! J'ai fermé les yeux et écarté les cuisses le laissant agir à sa guise. Ses propos ne faisaient que m’enflammer. Mes jolis dessous de salope que j’avais mis pour lui selon lui ! Mon petit air de sainte nitouche qui l’excitait à mourir. J’en passe et des meilleures ! J’avais inconsciemment ouvert les cuisses et ma main posée sur la sienne je le laissais me fouiller le minou, levant même les fesses pour lui permettre de me doigter .
Tant bien que mal et en roulant au pas, il s’est dégrafé le pantalon extirpant sa queue toute droite et terriblement tendue me disant de regarder dans quel état je le mettais. Je perdais pied regardant cette bite gonflée qui m’avais donné tant de plaisir par le passé ! Lorsqu’il s’est penché vers moi, je me demandais ce qu’il voulait attraper ? Il m’a alors saisit la nuque violemment et m’a attirée vers lui et plus précisément sur sa queue en me disant, en m’ordonnant de le sucer ! Quelque peu choquée par cette violence mais atrocement excitée, je n’avais d’autre choix que de m’exécuter. Je me mettais à laper cette queue tendue avant qu'il ne me l’enfourne dans la bouche avec autorité en me serrant la nuque. Une fois de plus et malgré moi. Tout cela, au fond, m’excitait à mourir! Je me mettais à lui sucer la queue avec gourmandise, pire, j’y prenais plaisir et levais les fesses de mon siège pour lui permettre de glisser la main dans le bas de mes reins. Je lui suçais la queue tandis que ses doigts me parcouraient la raie. Durant quelques instants, je ne me souciais plus de la route mais lui pompais le dard tendu qui m'emplissait la bouche .
C’est lorsque la voiture à stoppé que je me suis redressée. Yves avait emprunté un petit chemin de traverse, le temps de chercher et reconnaître l’endroit qui en fait était à quelques centaines de mètres de la maison qu’Yves était sorti de la voiture et ouvrait ma porte m'invitant à descendre .
Aucune fioriture, je retrouvais bien là mon pervers de quelques années en arrière ! Je me suis vite retrouvée les fesses sur le capot et les jambes en l’air ! Il répétait sans cesse que je le faisais bander et guidant sa queue entre mes lèvres il m'a possédé d’un grand coup de rein se ruant en moi comme un sauvage ! Je n’ai pu contenir mes cris sous cette puissance qui dans les premiers instants me déchirait le ventre ! Maintenue les jambes en l’air, écartées, j’ai saisi le rebord du capot sous le pare brise et me suis laissée empaler de la plus belle des manières. Yves s’est littéralement déchaîné sur moi, extirpant mes seins de mon décolleté et me maintenant les jambes par les chevilles bien écartées. Ses coups de queue me faisaient monter et descendre sur la tôle chaude et mes gémissements, mes cris ne le freinaient en rien ! Je dirais même que cela le rendait encore plus sauvage, il grognait que j’étais une belle salope, que mon cul lui avait bien manqué et qu'il allait me remplir comme au bon vieux temps ! Doucement le déchirement du début laissait place au plaisir et bientôt je lâchais le capot pour me laisser coulisser sur sa queue au rythme de ses coups de reins. Pire puisque du bout des doigts je m’écartais les fesses pour mieux apprécier ses ruées en moi .
Je peux dire en avoir pris ! Jamais Yves ne s’est soucié de mon bien être ! Écartelée, il m'a possédée, il m'a fourrée, il m'a baisé avec rage ! Son bas ventre claquait sur mes fesses me faisant remonter sur le capot rugissant de plaisir, en quelques minutes notre plaisir a explosé ! Yves s’est crispé, ses coups de reins ont ralenti voire même quasiment cessé. Il sortait la queue de mon antre puis y retournait au plus profond en un coup surpuissant ! Des spasmes me faisaient bondir. Yeux clos je me délectais de cette jouissance lente et puissante, je priais le ciel qu'il poursuive ainsi. Le ho oui ! ma chérie je viens en toi m’a comblée de bonheur, nos deux corps bondissant ensemble dans un élan de jouissance, nous ne faisions plus qu’un ! Une vague de sperme m’envahissait le vagin tandis que mon ventre sursautait transpercé par de petits mais violents spasmes que je ne contrôlais pas le moins du monde.
Enfin Yves lâchait prise ! Mes jambes lourdes tombaient sur la calandre et mes fesses glissaient jusqu’à poser pieds au sol. Je me suis redressée après quelques secondes, la tête dans les nuages, les jambes flasques qui peinaient à me porter. De la paume de la main j’essuyais une trace de mouille sur le bord du capot tandis qu’Yves remontait son pantalon disant qu’il ne fallait pas traîner. Deux petites minutes plus tard je rentrais à la maison quittant Yves sans trop parler, pressé de rejoindre au plus vite les siens j’imaginais.
Monsieur dormait à poing fermé, je passais par la salle de bain me démaquiller et m’éponger le minou dégoulinant de nos plaisirs communs, à l’image dans mon grand miroir, heureusement que mon époux dormait ! Complètement ébouriffée et le maquillage en vrac, je ressemblais au mieux à une fille qui rentrait d un moment très sexe. N’est ce pas une simple vérité !
Quelle surprise en arrivant chez nos amis. Nous étions une quarantaine, deux grands chapiteaux étaient installés dans la pelouse, pas l’idéal pour mes talons mais je ne savais pas. Visiblement et heureusement je n’étais pas la seule à être surprise, deux filles portaient également des talons. La seconde surprise fut de taille puisqu'en saluant les invités nous aperçûmes Yves le grand ami de mon mari avec qui, je dois le dire, j’ai eu une aventure il y a près de dix ans déjà ! Mon mari évidement était très heureux de retrouver son vieux copain ! Moi, un peu moins. Pour la petite histoire, je n’appréciais pas trop ce type et pourtant à une époque j’avais cédé à ses avances, dragueur devant l’éternel, il se vantait tellement de ses prouesses sexuelles que malgré un physique peu séduisant, j’avais voulu tester par moi-même ses soit-disant qualités d’étalon ! Forcée d’admettre à l’époque que le vice dans le regard qu’il portait n’était pas usurpé ! J’avais passé de très bon moments avec lui je dois bien l’avouer. Vicieux à souhait il savait s'y prendre pour donner du plaisir. J’avais coupé court à l'époque, estimant que nous prenions trop de risques vis-à-vis de nos conjoints. Les petits coups vite fait au risque d’être surprise cela peut être très excitant mais, à y réfléchir, le jeu en vaut-il la chandelle? Heureusement, là, il était accompagné de son épouse et de son gamin ce qui devait le canaliser quelque peu.
Une fois les salutations faites, les deux compères tout heureux de se retrouver ont prit l’apéritif ensemble. Comme souvent un attroupement de mecs au bar pendant que les filles elles sirotent une coupe de champagne bavardant de choses et d’autres.
Tout se passait à merveille, l’ambiance était chaleureuse mais mon mari s’est dit fatigué par son déplacement et à préféré rentrer plus tôt. Tous étaient compréhensifs, dix jours à l’étranger, rentré le matin même. Dans le même temps les copines insistaient pour que je reste, disant que quelqu’un me ramènerait plus tard. J’étais sur le point de décliner l’invitation lorsque mon mari m’a incitée à rester et profiter de la soirée.
Voilà comment j’ai poursuivi ma soirée laissant mon mari rentrer seul. La route ne gênait pas, nous étions à dix minutes à peine de la maison et mon époux n’avait heureusement pas exagéré sur l’alcool, je le voyais à son comportement et cela me rassurait. La soirée a poursuivi son cours et évidemment je voyais d’un mauvais œil mon retour persuadée que Yves allait se proposer pour me ramener à la maison. Seules présences jouant en ma faveur, sa femme et son fils qui pour le coup pourraient me sauver la mise .
Hélas, un manipulateur reste un manipulateur et ce, en toutes circonstances ! Lorsque j’ai émis l’envie de rentrer, Yves s’est de suite proposé pour me raccompagner ! Quand à la présence de sa famille, il balayait cela en un coup de vent disant à son épouse de prendre son temps, qu'il me déposait et revenait de suite. La pauvre n’a pas eu de droit de réponse puisqu’il a saisi sa veste et m'a rejointe à l’entrée du chapiteau. Une terrible angoisse m’est montée à la gorge, je ne pouvais que saluer les gens de la main un joli sourire aux lèvres. Partagée entre l’envie de lui céder et celle d’être intransigeante dans mon refus, je savais pour connaître l’énergumène, qu'il tenterait quelque chose ! Yves avait été blessé lors de notre rupture, en témoignaient les nombreuses relances durant les mois qui ont suivi.
A peine avions nous démarré que mes doutes devenaient réalités ! À peine avait il passé la troisième vitesse que sa main s'égarait sur ma jambe, que dis je, s’égarait, elle plongeait entre mes jambes ! Je les serrais du plus fort que je le pouvais tentant même de retirer la main intrusive mais rien n’y fit ! Il grognait que je lui avais tellement manqué, que j’étais encore plus bandante que par le passé, il me suppliait de me laisser faire. J'avais beau lui répondre qu'il ne fallait pas, il était comme fou et sa main malgré mes retenues gagnait du terrain. Après quelques minutes d échanges pour le moins virulents, j ai cessé de repousser sa main et même laissé faire. J’oserais dire que limite, il me faisait peur. Inutile de me ruiner les doigts sur ses énormes paluches puis de vous à moi, il connaissait mon entre cuisses! À peine la pression lâchée sur cette main qu'il prenait davantage confiance et en quelques secondes il glissait un doigt dans l' échancrure de mon string et me massait la vulve ! J’avoue, je suis une faible femme ! J'ai fermé les yeux et écarté les cuisses le laissant agir à sa guise. Ses propos ne faisaient que m’enflammer. Mes jolis dessous de salope que j’avais mis pour lui selon lui ! Mon petit air de sainte nitouche qui l’excitait à mourir. J’en passe et des meilleures ! J’avais inconsciemment ouvert les cuisses et ma main posée sur la sienne je le laissais me fouiller le minou, levant même les fesses pour lui permettre de me doigter .
Tant bien que mal et en roulant au pas, il s’est dégrafé le pantalon extirpant sa queue toute droite et terriblement tendue me disant de regarder dans quel état je le mettais. Je perdais pied regardant cette bite gonflée qui m’avais donné tant de plaisir par le passé ! Lorsqu’il s’est penché vers moi, je me demandais ce qu’il voulait attraper ? Il m’a alors saisit la nuque violemment et m’a attirée vers lui et plus précisément sur sa queue en me disant, en m’ordonnant de le sucer ! Quelque peu choquée par cette violence mais atrocement excitée, je n’avais d’autre choix que de m’exécuter. Je me mettais à laper cette queue tendue avant qu'il ne me l’enfourne dans la bouche avec autorité en me serrant la nuque. Une fois de plus et malgré moi. Tout cela, au fond, m’excitait à mourir! Je me mettais à lui sucer la queue avec gourmandise, pire, j’y prenais plaisir et levais les fesses de mon siège pour lui permettre de glisser la main dans le bas de mes reins. Je lui suçais la queue tandis que ses doigts me parcouraient la raie. Durant quelques instants, je ne me souciais plus de la route mais lui pompais le dard tendu qui m'emplissait la bouche .
C’est lorsque la voiture à stoppé que je me suis redressée. Yves avait emprunté un petit chemin de traverse, le temps de chercher et reconnaître l’endroit qui en fait était à quelques centaines de mètres de la maison qu’Yves était sorti de la voiture et ouvrait ma porte m'invitant à descendre .
Aucune fioriture, je retrouvais bien là mon pervers de quelques années en arrière ! Je me suis vite retrouvée les fesses sur le capot et les jambes en l’air ! Il répétait sans cesse que je le faisais bander et guidant sa queue entre mes lèvres il m'a possédé d’un grand coup de rein se ruant en moi comme un sauvage ! Je n’ai pu contenir mes cris sous cette puissance qui dans les premiers instants me déchirait le ventre ! Maintenue les jambes en l’air, écartées, j’ai saisi le rebord du capot sous le pare brise et me suis laissée empaler de la plus belle des manières. Yves s’est littéralement déchaîné sur moi, extirpant mes seins de mon décolleté et me maintenant les jambes par les chevilles bien écartées. Ses coups de queue me faisaient monter et descendre sur la tôle chaude et mes gémissements, mes cris ne le freinaient en rien ! Je dirais même que cela le rendait encore plus sauvage, il grognait que j’étais une belle salope, que mon cul lui avait bien manqué et qu'il allait me remplir comme au bon vieux temps ! Doucement le déchirement du début laissait place au plaisir et bientôt je lâchais le capot pour me laisser coulisser sur sa queue au rythme de ses coups de reins. Pire puisque du bout des doigts je m’écartais les fesses pour mieux apprécier ses ruées en moi .
Je peux dire en avoir pris ! Jamais Yves ne s’est soucié de mon bien être ! Écartelée, il m'a possédée, il m'a fourrée, il m'a baisé avec rage ! Son bas ventre claquait sur mes fesses me faisant remonter sur le capot rugissant de plaisir, en quelques minutes notre plaisir a explosé ! Yves s’est crispé, ses coups de reins ont ralenti voire même quasiment cessé. Il sortait la queue de mon antre puis y retournait au plus profond en un coup surpuissant ! Des spasmes me faisaient bondir. Yeux clos je me délectais de cette jouissance lente et puissante, je priais le ciel qu'il poursuive ainsi. Le ho oui ! ma chérie je viens en toi m’a comblée de bonheur, nos deux corps bondissant ensemble dans un élan de jouissance, nous ne faisions plus qu’un ! Une vague de sperme m’envahissait le vagin tandis que mon ventre sursautait transpercé par de petits mais violents spasmes que je ne contrôlais pas le moins du monde.
Enfin Yves lâchait prise ! Mes jambes lourdes tombaient sur la calandre et mes fesses glissaient jusqu’à poser pieds au sol. Je me suis redressée après quelques secondes, la tête dans les nuages, les jambes flasques qui peinaient à me porter. De la paume de la main j’essuyais une trace de mouille sur le bord du capot tandis qu’Yves remontait son pantalon disant qu’il ne fallait pas traîner. Deux petites minutes plus tard je rentrais à la maison quittant Yves sans trop parler, pressé de rejoindre au plus vite les siens j’imaginais.
Monsieur dormait à poing fermé, je passais par la salle de bain me démaquiller et m’éponger le minou dégoulinant de nos plaisirs communs, à l’image dans mon grand miroir, heureusement que mon époux dormait ! Complètement ébouriffée et le maquillage en vrac, je ressemblais au mieux à une fille qui rentrait d un moment très sexe. N’est ce pas une simple vérité !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très agréable lecture et très excitant à lire. J’aime ta façon de raconter ton plaisir. Tu aimes le sexe c’est génial il faut juste savoir te prendre. Moi je ne saurais pas. Je respecte trop les femmes pour me permettre de forcer une personne. Mais j’ai apprécier la lecture. Merci.