Yves 4

- Par l'auteur HDS Laurencec -
Récit érotique écrit par Laurencec [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Yves 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Yves 4
Yves 4.

Mi-septembre, les derniers jours de beau temps certainement. C'est certainement ce qui m'a poussée à accepter la proposition d’Yves ! Dans le même temps, j’avais mon après-midi libre suite à un rendez-vous annulé le matin-même. J’ai eu son appel, il approchait midi, la météo était radieuse et Yves me proposait de passer l’après-midi ensemble ! Il ne pouvait mieux tomber, j’étais justement en train de réfléchir à ce que j’allais faire de ces quelques heures libres, hésitant entre rester à la maison et aller me balader sous ce soleil radieux.
Ravie d’apprendre que j’étais libre, il me proposait de le rejoindre sur le parking d’un petit bois que nous connaissions pour y avoir déjà fait quelques galipettes il y a bien longtemps. Au vu du temps, il prévoyait une couverture afin de profiter du soleil et me demandais si je pouvais mettre un truc léger sympa pour son plaisir.

J'ai déjeuné léger, mes pensées bien plus tournées vers l’après-midi à venir que par le contenu de mon assiette. Une petite douche, histoire d’être fraîche, et je fouillais ma garde-robe en quête d'une tenue légère pour plaire à mon amant, mais aussi pour me faire plaisir ! Je sentais cette douce pression monter en moi, le désir de sentir ses mains sur mon corps… Compliqué d'expliquer les tonnes de pensées qui défilaient dans ma tête ! Consciente d'avoir tout ce que je désirais avec mon mari, un homme doux, attentionné et toujours à la moindre écoute de mes envies, et pourtant je m’excitais comme rarement à l’idée de rejoindre mon amant qui, à l’opposé, n'avait que très peu de douceur et se souciait peu de mes envies ! Le seul point positif étant qu’il me faisait jouir comme rarement ! Il me prenait, me baisait, me dominait et me souillait, se servant de moi comme d’un jouet ! Étrangement, j’ adorais être sa chose !!! Il suffisait qu’il claque des doigts pour que je cherche à le rejoindre, pour ne pas dire lui obéir ! La preuve… j’étais devant ma garde-robe à me mordre la lèvre, cherchant quelle tenue porter pour lui faire plaisir !

J’ai opté pour une robe hyper légère et en portefeuille… le genre de robe qui s'ouvre et se perd en quelques secondes. Prise au jeu, je l’enfilai et me regardai dans le grand miroir de la chambre à coucher… léger, disait il !
J’ouvris mon casier à dessous et, tout compte fait… après réflexion, quoi de plus léger qu’une robe ? Pourquoi m’embêter avec des dessous ?
C’est terrible comme quelques détails peuvent vous conditionner… Sortir de la chambre et enfiler mes hauts talons avant de jeter un œil à la fenêtre… sentir le tissu glisser sur mes fesses me rappelant ma nudité… ma gorge s'est nouée, mon cœur s’est accéléré, témoin de l’excitation qui faisait irruption en moi ! Je passai par la salle de bains finir ma préparation par une touche de rouge à lèvres étant déjà maquillée du matin. Je détachai mes cheveux et recroisai un peu plus correctement les pans de ma robe. Je ne portais jamais cette robe nue dessous et ma poitrine libre avait tendance à élargir le décolleté ! Ceci dit, une telle ouverture sur mes seins allait forcément beaucoup plaire à Yves !

Quinze minutes de route pour rejoindre mon amant, c’était plus qu’il n’ en fallait pour que mon excitation atteigne des sommets ! OK, j’allais rejoindre mon amant et c’était naturel. Mais, dans la voiture, cette robe qui s’ouvrait… les pans de tissu qui s'écartaient, laissait apparaître mon mont de Vénus tout fraîchement débroussaillé… Comme si cela ne suffisait pas, je ne faisais rien pour corriger, voire même j’accentuais l’écartement de mes jambes. Je suis arrivée sur notre fameux parking pour le moins en chaleur.

Yves était là, stationné… Je me suis serrée contre les buissons, histoire de ne pas trop exposer mon véhicule et suis descendue ! Ouh la la ! Cette boule de chaleur me brûlant les ovaires ! J’avançai vers Yves, sentant mes seins durcis par l’excitation remuer librement et écarter ma robe.
Yves me regardait et je ne faisais rien pour fermer les pans de ma robe correctement ! L’image lui a bien plu ! D’autant qu’il avait la vitre, côté passager, ouverte et que je m’y suis penchée, lui demandant si nous restions là ! Le «Oh putain… que tu es belle !» en disait long. Il a saisi la couverture sur le siège arrière et il est sorti. Nous nous sommes vite engouffrés sous les arbres dans un petit sentier de terre, heureusement bien dur et praticable.
Nous avons marché quasiment cinq minutes dans la fraîcheur de la nature, à l’abri du soleil. C’est vrai que je sentais bien cette fraîcheur humide, nue sous cette robe. Yves plaisantait comme à son habitude et, dès que le chemin fut assez large, il en profita pour venir me caresser les fesses au passage… il s’est même exclamé un moment, se rendant compte que je ne portais pas de dessous.
– Allez, montre-moi, ma belle !
Je remontai alors ma robe sur mes fesses tout en marchant pour lui montrer ma nudité… Yves connaissait le coin. Au bout de ce chemin, nous sommes arrivés à la lisière d’un champ… en plein soleil et vierge de plantation. C’est là qu’il a décidé d’installer sa couverture… L’endroit était charmant, c’est vrai. D'un côté, le bois et sa fraîcheur, de l’autre des champs à perte de vue, bien ensoleillés,… au milieu, nous deux, les corps en fusion…

Le «viens là, ma chérie» donnait le départ d’un moment que je ne suis pas prête d’oublier ! Debout au milieu de la couverture qu'il venait d’étendre, Yves me tendait la main. Je le rejoignis, me laissant attirer dans ses bras. Les mains sur mes hanches, un long baiser plein de tendresse, je fondis à nouveau. Ma robe aura tenu quelques minutes, pour ne pas dire quelques secondes… Le temps de défaire le nœud sur mon ventre, et celle-ci glissait sur mes épaules pour rejoindre le sol. J’étais nue, à me faire embrasser et tripoter par mon amant. Arrivée, pour le moins excitée, il ne m’en fallait pas d’avantage… Je répondais à ses caresses en palpant sa queue au travers de son pantalon. Le raccourci était vite fait…
– «Tu en veux aujourd’hui, ma salope ? »

Sans répondre, je dégrafai son ceinturon et ouvris son jeans. Oui, j’en voulais… oui, j’avais très envie qu'il me baise, me prenne, me saute ! Il se penchait, la main dans le bas de mon dos, me poussait le torse en arrière et me léchait les seins, me mordillait les tétons qui, irrémédiablement, durcissaient, pointaient. J’ondulais entre ses bras, exposée au soleil, nue comme un ver… Je voulais perpétuer l’image que je lui donnais depuis notre dernière rencontre, celle de cette femme qui a évolué, changé et qui profite des plaisirs qui sont les siens, sans tabou…

Je n’ai pas eu besoin de me forcer, j’étais déjà sur un nuage et, plongeant la main dans son caleçon, sentant cette queue brûlante au contact de mes doigts, je n’ai pas résisté ! J’ai baissé à mi-cuisses son jeans et me suis agenouillée, affichant un large sourire ! Évidement, il avait compris et me tendait la queue ! Du bout des doigts, je la maintins droite, face à moi, sans jamais quitter son regard… Instant magique de le voir cligner des paupières, doucement… comme au ralenti, sous l’effet de mes premiers petits coups de langue. Il devait s’impatienter car il poussait ses hanches comme pour pénétrer ma bouche, mais je me faisais désirer,… je lapais à plusieurs reprises avant de céder à ses envies et de le prendre en bouche. Branler une queue du bout des doigts tout en la suçant avec envie… quel plaisir je prenais ! Ses doigts, mêlés dans mes longs cheveux blonds, me poussaient à y mettre plus d'ardeur… Pour peu, je l’aurais laissé se vider dans ma bouche tellement j’étais bien.
Heureusement, il n’en fut rien ! Trop désireux de me faire du bien, Yves m'a allongée sur la couverture et s’ est mis, à son tour, à m’embrasser, me lécher, me mordiller. Un long jeu de langues en guise de mise en appétit, puis il s’attaqua à mes lobes d'oreille, mon cou. Ses baisers se sont attardés sur mes épaules avant de descendre sur mes seins dont il a pris soin de longues minutes… Les tétons irrités, je me cambrais en creusant les reins, j’offrais mon 90 B à ces doux baisers. Sur le dos, sa main glissée sous mes reins me titillait la naissance de ma raie… J’adore cette caresse ! J’ondulais, relevais les hanches du sol tout en lui caressant la nuque, laissant échapper des oui de bonheur.

Une vague de plaisir m'a envahie lorsque la chaleur de ses baisers est descendue le long de mon torse, quelques petites lèches adroitement données, une main qui se perd entre mes cuisses, des baisers qui se multiplient en descendant sur mon ventre, quelques petits suçons dans l’aine tendant à me faire ouvrir les cuisses, et ses doigts, qui se jouent de mon humidité intime,… glissant entre mes lèvres et me titillant le bouton d’amour… Oups… rien que d’y repenser je serre les cuisses.
Je me suis ouverte comme une huître ! Yves, agenouillé dans le V de mes jambes, me donnait de grands frissons ; ses doigts, sa langue… Je me mettais à rugir de plaisir et mon corps ne répondait plus qu’à ce doux sentiment de plaisir. Le visage sur ma fente, à me laper à grands coups de langue, je rugissais de plaisir, lui attrapant les cheveux afin de l’appuyer encore davantage sur ma chatte qui devait, j’en suis sûre, baver de plaisir !

Les minutes passaient, Yves me bouffait le minou tout en me fourrant de ses longs doigts sans jamais se soucier de mes râles, de mes cris. Je me cambrais sur les talons m'offrant, chatte ouverte, parfois je passais mes avant-bras sous mes mollets, cela lui permettait de me laper le petit trou. Telle une furie, je me tortillais tout en grognant de plaisir… il m'a un moment escaladée pour venir à cheval sur ma poitrine, tout en tenant sa queue bien droite ! Comblée de bonheur, je me mettais alors à lécher et sucer cette queue tendue qui m’était offerte ! La tenant à plat, je lui levais les testicules, les aspirais tandis que sa main ne cessait de me pincer le téton… Comme un cavalier sur sa jument, il se ruait la queue en avant… me pilonnant la bouche comme s’il s’agissait de mes fesses.

Il est enfin redescendu entre mes jambes, que je tenais toujours bien ouvertes et, cette fois, enfin, je l’ai senti me pénétrer avec force ! Mes rugissements ont redoublé, jambes sur ses épaules, il se plantait en moi violemment pour un plaisir pour le moins partagé ! Je ne songeais plus à rien, ma seule envie était qu'il me baise, qu'il me fasse crier et jouir… J’en réclamais, lui disant… encore… plus fort… oui… Le peu d'instant où je reprenais conscience, je pensais à ma situation… nue sur cette couverture, en pleine nature, en train de me faire monter comme rarement par mon amant qui, pour le moins, était en très grande forme ! L’instant suivant, l’envie de le sentir encore plus présent en moi me faisait le réclamer… C’est ainsi, dans un instant de lucidité, que je me suis reculée lui grognant que j’avais envie qu’il me prenne en levrette. Je me retournai à genoux et me positionnai tendant la croupe, lui offrant mes fesses… Deux ou trois fessées, quelques grondements affirmant que j’étais sa Salope, et Yves me fourrait comme la dernière des garces, bien écartée, les fesses offertes. Quel moment intense de le sentir se ruer en moi, me chevaucher avec force. Son bas-ventre, qui venait claquer sur mes fesses, m’arrachait à chaque butée un cri de plaisir et, plus il s’activait sur mes fesses, plus je criais ! Je me sentais partir, l'orgasme montait ! J’avais le corps en fusion lorsqu'il a freiné son ardeur ! J’ai râlé, réclamant qu'il continue. Mais Yves me maintenait par les hanches, en position et, doucement, coulissait en moi.
– Regarde, me disait-il… regarde…
Tête baissée, je ruminais tout en remuant les fesses, envieuse qu’il reprenne le rythme, mais il insistait et, me saisissant les cheveux, il m'obligeait à lever la tête…
– Regarde derrière le buisson !
Ainsi maintenue par les cheveux, j’étais dans l'obligation de me cambrer et de regarder devant moi. Oh surprise ! Un mec, posté derrière le buisson, à une vingtaine de mètres de nous, nous épiait ! Yves me maintenait et il m’administra un grand coup de reins qui me fit bondir !
– Regarde, Salope… il bande pour toi !
La tête droite, je voyais ce type, pantalon baissé, en train de se masturber en nous matant… Yves m’envoyait de grands coups de reins espacés de quatre ou cinq secondes me disant de regarder ce type que je faisais bander ! J’étais, certes, troublée, mais l'excitation ne chutait pas…. Chacune des pénétrations violentes d’Yves me faisait bondir en avant et crier sous la puissance de celle-ci… Bouche entrouverte, je sentais mes seins accompagner le mouvement sous le regard de ce type qui ne bougeait pas…

C’est alors qu’Yves m'a demandé si j avais envie de sucer, en bonne petite pute, une queue … Confuse, je ne répondis pas, me contentant de gémir à ses assauts. Yves s’est alors mis à parler fort en disant au type d'approcher… Viens lui fourrer ta queue dans la bouche à ma Salope… Un instant, j’ai grogné un petit non… Mais Yves m'a assailli d un nouveau coup de queue encore plus violent, me disant de fermer ma bouche.
Je vois encore ce mec approcher, le pantalon à mi-cuisses et la queue en main… Je n’en revenais pas mais, pour autant, je n’étais pas en mesure de refuser… Yves accélérait doucement, mais sûrement, le rythme et, sous ses ordres, le type d’une vingtaine d’années s'agenouilla devant moi !

– Allez… suce-le, ce pauvre garçon !
Quelques coups de reins ont fait tomber les dernières barrières et je pris la queue de ce jeune type inconnu en bouche !
Les Salopes se sont succédé, Yves s’est déchaîné sur mes fesses, il m’était impossible de crier la bouche pleine et bien maintenue par ce jeune mâle… Jamais je ne me suis sentie aussi Salope… Le jeune mec avait une jolie queue bien raide et, en quelques secondes, j’éprouvai un réel plaisir à la sucer… En levrette, nue, Yves me soignait les fesses avec ardeur et me propulsait sur cette queue de jeune mec en quête d’expérience. La gêne s'est vite dissipée et, de nouveau, je ronronnai de plaisir, je me cambrai de plus belle offrant mes fesses à mon amant qui, agrippé à mes hanches, me labourait les entrailles, et je suçai cette jeune queue avec délice tandis qu'il en profitait pour me malaxer un sein… Je repartis sur mon nuage grognant de bonheur… Simultanément, j’ai senti Yves se tendre et redoubler de violence et cette jeune queue tressaillir entre mes lèvres…

Je voulais hurler mon plaisir. Bouche ouverte, la queue allait et venait à l’intérieur au rythme opposé à celui qui me perforait les fesses… Quelle jouissance, quel bonheur, je jouissais de toute part et mon corps bondissait traversé par des spasmes violents… Yves me forçait les reins et criait qu’il allait me remplir alors que mon jeune homme, sans un mot, se déversait dans ma bouche. Je bavais le foutre de ce type et sentais Yves se déverser en moi J’étais aux anges… Lorsque Yves m’a lâchée, je me suis écroulée en avant sur la couverture. Amorphe, telle une poupée de chiffon, j étais encore traversée par de petits spasmes incontrôlés et sentais mon corps faire de petits bons… mes tempes bourdonnaient… J’ai bien entendu le jeune mec me dire merci madame et remercier Yves… Lorsque j’ai relevé la tête, quelques secondes plus tard, il s’éloignait dans le bois.

Il m’a encore fallu quelques minutes avant d atterrir et reprendre ma robe sur l’herbe. Yves était tout heureux et me disait que je l’épatais ! Je me suis contentée de sourire en me relevant. J’ajustai ma robe, m’essuyant le cou du sperme restant, et nous sommes repartis vers les voitures…
Un morceau de papier éponge entre les cuisses, je suis rentrée à la maison, rassasiée de sexe et me sentant on ne peut plus Salope.
Yves m’étonne à chacune de nos rencontres. Je ne sais où cela s’arrêtera, mais dieu que j’y prends plaisir !!!

Les avis des lecteurs

Très bonne histoire, ravie de vous retrouver.
La surprise dans le récit est très excitant
Il faudrait qu'il recommence ce genre d'aventure mais avec plusieurs mateurs ....
Je vous embrasse
Helen



Texte coquin : Yves 4
Histoire sexe : Une rose rouge
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