Titre de l'histoire érotique : La culotte de Rose 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La culotte de Rose 5
Benoît est un coach sportif, ce n’est pas un poète, cela s’entend:
- Suce. Lèche d’abord, tout autour, comme un cornet de glace. .. Hum ! Tu t’y connais. Dire que tu reportais sans cesse au lendemain cet événement délicieux. La panne de ton ordinateur est bien tombée. Il était temps. Enfin, nous allons connaître des heures heureuses.
Rose sourit, tient entre ses doigts une verge raide, un beau morceau de chair. Ce n’est pas le monstre de Rodolphe, mais à distance l’engin paraît de taille respectable. Mains sur les hanches, Benoît, si c’est lui, mais pourquoi en douter, propulse son ventre vers l’avant :
- C’est fameux. Maintenant en bouche, ouvre tes mâchoires et réjouis ton palais. Eh ! Ne mords pas, tes dents raclent ma peau et me font mal. Ouvre plus grand. Ah ! Ma pauvre. Tu n’es pas habituée aux modèles normaux. Avec la petite de ton mari, oui, tu manques d’expérience quand on entre dans le dur. Sache donc utiliser les dons de tes amis. Une fois encore, sois persuadée de mon désir de participer à ton épanouissement sexuel. C’est un droit pour chaque femme de goûter aux joies vraies et complètes de l‘amour. Tu dois pouvoir jouir pleinement des ressources de ton corps.
Rose par précaution ferme son poing autour de la base de la longue tige gorgée de sang. L’homme abat une main dans les cheveux longs, tire à lui la tête, s’enfonce jusqu’au poing.
- Voilà, c’est déjà mieux, tu apprends vite. Oh ! Tu n’as plus peur, tu me connais, lâche ma queue et avale tout. Il n’y a aucun risque de maternité comme ça. Putain, que tu es bonne
Rose fait un bond en arrière, s’arrache à la prise, toussote :
- Tu as beau dire, je n’ai pas l’habitude de tes dimensions; celle de Paul entre facilement, elle est minuscule comparée à la tienne. Laisse-moi le temps de m’habituer à ton gourdin.
- Reprends sans crainte, ma bite est normale. Gratte-moi les couilles en même temps.
Rose s’applique. Benoît, maintient à deux mains le crâne et pousse, pousse, pousse Il ne reste qu’un ou deux centimètres hors des lèvres aplaties sur le tube épais. Le recul permet à Rose de cracher un trop plein de salive. Cette fois je ne m’en remettrai pas. « Mignon, petit, minuscule, » c’est la descente vers le nul, l’inexistant ou l‘introuvable invisible, le néant. Le vocabulaire de Rose à lui seul est une justification de l’adultère en cours. Ils ont dépassé l’intention, les choses sont assez engagées pour que je me considère comme cocu. Humiliation suprême Rose a dénigré les dimensions de mon sexe. Qui en dehors de Benoît est au courant de mon handicap.
D’ailleurs la situation évolue. Benoît, c’est lui, mes yeux s’habituent à la demi obscurité, Benoît donc pousse Rose sur une botte de foin, se place à son tour genoux au sol entre les cuisses de ma femme. Sa tête se fraie un chemin sous et entre les fesses et les cuisses, se pose sur le sexe de son amante, et bouge comme pour dire oui, monte et descend, le nez collé dans la fourche écartée. Rose se met à feuler. Une respiration, retenue quelques secondes, se relâche bruyamment à intervalles réguliers. Elle veut se contenir mais lui veut la soumettre entièrement et cherche à vaincre avec sa langue, ses lèvres et ses doigts, les efforts de cette femme qui ne veut pas reconnaître trop vite sa reddition.
Bien sûr cette faible résistance ne saurait durer. Une femme ne se laisse pas aller aussi loin avec l’intention de stopper l’élan du partenaire qui butine sa fleur. J’ai compris qu’entre ces deux là, il s’agit d’une première, nourrie par des confidences sur la vie sexuelle de notre couple en déséquilibre à cause de ma déficience. On ne fait pas de telles révélations sans but. Benoît a su les recueillir et en tire profit. Par ailleurs, ma femme a pris plaisir à se plaindre dans l’espoir d’être consolée. D’où le spectacle qui se déroule sur la botte de foin. J’espère que quelques brindilles d’orties sont prisonnières des herbes et laisseront un souvenir brûlant aux fesses et au dos de la femme infidèle qui geint sous l’attaque du mâle conquérant. Il lui a promis du bonheur, bien. Elle saura que des draps sont plus confortables que le foin
De nouveau il est debout, s’astique le manche et aide Rose à se relever, lui fait accomplir un demi tour et ordonne:
- Pose tes mains sur le foin.
Benoît, le père de famille, passe aux choses sérieuses, les préliminaires l’ont enflé au maximum, son vit menace. Rose est penchée sur la botte de foin, pieds écartés, torse courbé en avant, poitrine pendante . Son compagnon s’active derrière le dos nu, plie les jambes pour se mettre au niveau du sexe de Rose, pousse en remontant. Elle fait : haha ! pendant l’intromission. Il bute contre les fesses, se colle à la croupe puis commence la danse de l’accouplement. Il a tout son temps, mais, comme chez tout mâle normalement constitué, son application lente va progressivement devenir un mouvement d’aller retour en accélération. puis essoufflement et éjaculation sur les crottes de poules.
Entre les bras tendus et le torse incliné à l’horizontale de Rose, un sein ballotte au gré des coups de bite de Benoît dans son… Je ne sais s’il l’enconne ou l’encule, il fait sombre dans le local.
Le coq fait cocorico. Benoît se met au diapason :
-Alors ma poule (la destination du lieu l’inspire), Mon plantoir n’est-il pas meilleur qu’une petite queue ? Là tu prends du calibre seize, un braquemart de sportif… On est plus en sécurité ici que dans le bois le vendredi. ..C’est bon ? Tu dégustes hein. Respire tranquillement, inspire… expire… Tu sens ?
- Oh ! Oui. Vas-y, c’est tellement meilleur que la toute petite bite de Paul.
- Elle est vraiment si petite que tu le répètes à chaque rencontre?
-Minuscule, comparée à la tienne. Dis, quand divorces-tu?
- Ne sois pas impatiente. Ce n’est pas facile, il y a mes filles. Arme-toi de patience. Je voudrais attendre la majorité de la cadette. Après, adieu Brigitte, vive la liberté.
- Tu m’avais promis. Trois ans, tromper mon homme pendant trois ans encore. Je ne pourrai pas continuer à le subir.
Une première fois, si j’ai bien entendu, mais préparée de loin et avec un projet solidement monté. On parle divorce, union future. Et moi, je n’ai rien vu venir. Au contraire je me suis réjoui de vivre avec une femme débordante d’énergie et socialement engagée. J’étais flatté de la voir évoluer avec aisance au sein de cette association! Elle est à l’aise jusque dans l’adultère qu’elle consomme avec assurance.
Benoît, le coach, la coche en bon coq, continue à limer en silence avant de relancer la conversation :
- Je sais. Mais tu ne m’aimes plus, tu es pressée ? Regarde, nous sommes bien comme ça. Chaque mercredi je te culbute ici, ça ne laisse pas de trace; chaque vendredi nous prenons notre plaisir dans le cabanon au bord de l’étang. Que veux-tu de plus ? Les cocus sont aveugles, nous ne risquons rien.
Aveugles, c’est sûr. Je peux ajouter « malentendants » ou « sourds. Chaque mercredi et chaque vendredi: leur histoire n’en est plus à ses débuts, ce n’est plus une première fois. Qu’ai-je mal interprété ? Voilà qui explique l’abandon des jouets sexuels. J’étais content de satisfaire ma femme seul, sans accessoires. Or, je n’étais plus que le complément sexuel de son amant. Je comprends mieux sa soumission aux ordres de cet homme qui la bouscule dans mon poulailler et qui la baise dans un cabanon d’autres fois. Rose confirme leur liaison
- Je veux t’avoir à moi, tout à moi, tous les jours. Oh que tu me fais du bien. Ramone-moi la cheminée, plus vite, plus fort. Hooooooooo! Benoît….! Mais vas-y, creuse, défonce encore, plus fort, plus vite
- Ça viendra. En attendant notre mariage, profite de ton Paul. Tu le dis si gentil. Il est gentil et moi, je te baise : tu as de la chance ! Deux coqs pour une poule, tu as de la veine.
- Oui, si son pénis n’était pas aussi minuscule…le tien est à ma mesure… C’est injuste… Enfin tu es là et tu supplées …
Ses phrases sont hachées, cassées par la montée de la jouissance, à la limite de la cohérence. Elle tente un chantage pour arracher une décision :
- Dans le fond, puisque tu ne te décides pas, je devrais rompre avec toi. Claudine me proposera un célibataire robuste et vigoureux avec une canne plus jeune et plus grande que la tienne. Cela existe, donc ça se trouve. Lundi, à la piscine elle m’en a montré un. Costaud mais pas beau. Elle cherche un autre candidat. Aïe, oh ! Ne fais pas le jaloux ! Oui, encore. Attends, je me mets sur le dos.
« Aussi minuscule » a-t-elle répété. Je ne supporte plus son dédain. Mais Rose,il ne fallait pas te jeter dans mes bras, tu étais avertie. Pourquoi m‘avoir épousé ? Pour la robe blanche, pour la fête, pour fuir tes parents ? Mais pourquoi moi, tu connaissais mon défaut .
Benoît redressé entretient manuellement son érection. Si je disposais d’un moyeu de cette taille je ne serais pas un lamentable « cocu-voyeur malgré lui. » Rose étale un drap de bain froissé sur le lit de foin, s’assied en bord de botte, s’allonge, lève les jambes. Benoît les saisit comme des brancards, s’avance dans la fourche des cuisses, vise la vulve mouillée, s’installe puis s’enfonce brutalement dans le con. Un grand « Ah ! » salue la pénétration. Rose marque chaque entrée d’un profond soupir. J’enrage. La salope, salope, salope!
« Elle m’aime ! » Elle le répète à tout vent. Menteuse, adultère, prête à partir avec Benoît ou avec le prochain amant présenté par Claudine. Salope, cette fois il n’y aura pas de pardon. Le spectacle me dégoûte. Je dérobe la culotte délaissée sur la clenche. Quand elle constatera sa disparition, Rose comprendra que quelqu un a observé son accouplement, a épié ses paroles, leur conversation, leurs projets peut-être. Elle se rongera les sangs.
Je m’arrête au salon, je vide les poches de Benoît. Son portefeuille épais contient ses pièces d’identité, ses cartes de sécurité sociale et de complémentaire, sa carte bancaire, une carte de fidélité de grande surface. Une enveloppe est pleine de billets de banque et une note du trésorier de l’association indique où il doit déposer la somme. Ce sale type me vole ma femme. Je lui vole le contenu de sa veste. Ce sera le début d’emmerdes, de mensonges, de combines dans les comptes.
Je balance des dossiers à travers la pièce et vise le dessous des meubles. J’ouvre la fenêtre qui donne sur la rue et je place une chaise dessous. Je jette la veste du séducteur dans le panier de linge sale sur une serviette et sur mes slips, je pisse dessus. Autrement dit, je marque mon territoire. Qu’il aille expliquer à sa famille l’origine de l’odeur d’urine de sa belle veste. Je quitte la maison avec deux de leurs classeurs, étonnamment légers : des prétextes pour faire croire que les deux complices triment. Les quelques documents finiront dans une poubelle. Leur manqueront-ils? Je m’en fous. Salauds !
Les amants sont encore accouplés. Si elle continue à geindre et à crier son bonheur, Rose ameutera les voisins, je me sauve pour échapper aux curieux. J’entre dans mon bureau au moment où le téléphone sonne.
- Allo, ici Paul. Ah! C’est toi ma poule ?
Si Benoît en bon coq l’appelle « ma poule », en qualité de mari, même cocu, je m’autorise à l’imiter. Eh ! Bien, elle s’est habituée à cette appellation, ne réagit pas. Elle ne fait plus la différence entre lui et moi en dehors du contact des sexes si différents.
- C’est toi, mon amour. Tu es au travail ? Tu ne serais pas passé à la maison, cet après-midi?
- Non. Pourquoi ? Tu y es, tu m’aurais vu!
-Je montrais ton beau jardin à Benoît, j’avais oublié de fermer la fenêtre côté rue. On nous a cambriolés.
Elle montrait mon beau jardin ! J’en rirais !Elle montrait son con en réalité. En guise de pelouse Benoît se prélassait sur sa toison pubienne et il usait de son plantoir pour suppléer au manque d’importance de ma toute petite bite. Tu penses. Et Benoît retournait ma terre peut-être ? Il l’ensemençait aussi sans doute ! Il piochait et arrosait mes plants ! Son plantoir faisait mon travail ! Rose en était toute rouge et humide. J’enrage mais je me contiens , je suis même de bon conseil :
- Porte plainte, ma chère. Tu pourras goûter au bâton de gendarme.
- Quoi ? J’entends mal. Un bâton de gendarme, pourquoi?
- Les gendarmes ont des matraques.
- Quel rapport avec un cambriolage ? Les matraques de gendarmes, Paul, tu te moques de moi ?
Et oui, après le gourdin ou la massue de Benoît, je lui propose la matraque. Elle ne saisit pas…C’est idiot, ça soulage ma fureur. J’évite de prolonger cette conversation:
- Bon, oublie. J’ai du retard dans mon travail. Vois avec Benoît s’il est là.
- Ah, c’est vrai. Je me disais que peut-être tu étais passé. Bien, je fais le nécessaire. Je t’embrasse mon amour.
Ce soir là, je ressors l’œuf pour la « poule » de Benoît et le vibromasseur. Rose couve l’œuf, jouit, pleure de bonheur, de douleur inavouable, me supplie de prendre la place des engins: mais c’est pour les fuir; ma queue minuscule est donc moins efficace et plus supportable que les jouets. De plus les piles sont inépuisables ou presque alors que moi je finis toujours par tomber en panne. Je hais Claudine, je déteste Rose. Mais ma pitié fout le camp.
- Suce. Lèche d’abord, tout autour, comme un cornet de glace. .. Hum ! Tu t’y connais. Dire que tu reportais sans cesse au lendemain cet événement délicieux. La panne de ton ordinateur est bien tombée. Il était temps. Enfin, nous allons connaître des heures heureuses.
Rose sourit, tient entre ses doigts une verge raide, un beau morceau de chair. Ce n’est pas le monstre de Rodolphe, mais à distance l’engin paraît de taille respectable. Mains sur les hanches, Benoît, si c’est lui, mais pourquoi en douter, propulse son ventre vers l’avant :
- C’est fameux. Maintenant en bouche, ouvre tes mâchoires et réjouis ton palais. Eh ! Ne mords pas, tes dents raclent ma peau et me font mal. Ouvre plus grand. Ah ! Ma pauvre. Tu n’es pas habituée aux modèles normaux. Avec la petite de ton mari, oui, tu manques d’expérience quand on entre dans le dur. Sache donc utiliser les dons de tes amis. Une fois encore, sois persuadée de mon désir de participer à ton épanouissement sexuel. C’est un droit pour chaque femme de goûter aux joies vraies et complètes de l‘amour. Tu dois pouvoir jouir pleinement des ressources de ton corps.
Rose par précaution ferme son poing autour de la base de la longue tige gorgée de sang. L’homme abat une main dans les cheveux longs, tire à lui la tête, s’enfonce jusqu’au poing.
- Voilà, c’est déjà mieux, tu apprends vite. Oh ! Tu n’as plus peur, tu me connais, lâche ma queue et avale tout. Il n’y a aucun risque de maternité comme ça. Putain, que tu es bonne
Rose fait un bond en arrière, s’arrache à la prise, toussote :
- Tu as beau dire, je n’ai pas l’habitude de tes dimensions; celle de Paul entre facilement, elle est minuscule comparée à la tienne. Laisse-moi le temps de m’habituer à ton gourdin.
- Reprends sans crainte, ma bite est normale. Gratte-moi les couilles en même temps.
Rose s’applique. Benoît, maintient à deux mains le crâne et pousse, pousse, pousse Il ne reste qu’un ou deux centimètres hors des lèvres aplaties sur le tube épais. Le recul permet à Rose de cracher un trop plein de salive. Cette fois je ne m’en remettrai pas. « Mignon, petit, minuscule, » c’est la descente vers le nul, l’inexistant ou l‘introuvable invisible, le néant. Le vocabulaire de Rose à lui seul est une justification de l’adultère en cours. Ils ont dépassé l’intention, les choses sont assez engagées pour que je me considère comme cocu. Humiliation suprême Rose a dénigré les dimensions de mon sexe. Qui en dehors de Benoît est au courant de mon handicap.
D’ailleurs la situation évolue. Benoît, c’est lui, mes yeux s’habituent à la demi obscurité, Benoît donc pousse Rose sur une botte de foin, se place à son tour genoux au sol entre les cuisses de ma femme. Sa tête se fraie un chemin sous et entre les fesses et les cuisses, se pose sur le sexe de son amante, et bouge comme pour dire oui, monte et descend, le nez collé dans la fourche écartée. Rose se met à feuler. Une respiration, retenue quelques secondes, se relâche bruyamment à intervalles réguliers. Elle veut se contenir mais lui veut la soumettre entièrement et cherche à vaincre avec sa langue, ses lèvres et ses doigts, les efforts de cette femme qui ne veut pas reconnaître trop vite sa reddition.
Bien sûr cette faible résistance ne saurait durer. Une femme ne se laisse pas aller aussi loin avec l’intention de stopper l’élan du partenaire qui butine sa fleur. J’ai compris qu’entre ces deux là, il s’agit d’une première, nourrie par des confidences sur la vie sexuelle de notre couple en déséquilibre à cause de ma déficience. On ne fait pas de telles révélations sans but. Benoît a su les recueillir et en tire profit. Par ailleurs, ma femme a pris plaisir à se plaindre dans l’espoir d’être consolée. D’où le spectacle qui se déroule sur la botte de foin. J’espère que quelques brindilles d’orties sont prisonnières des herbes et laisseront un souvenir brûlant aux fesses et au dos de la femme infidèle qui geint sous l’attaque du mâle conquérant. Il lui a promis du bonheur, bien. Elle saura que des draps sont plus confortables que le foin
De nouveau il est debout, s’astique le manche et aide Rose à se relever, lui fait accomplir un demi tour et ordonne:
- Pose tes mains sur le foin.
Benoît, le père de famille, passe aux choses sérieuses, les préliminaires l’ont enflé au maximum, son vit menace. Rose est penchée sur la botte de foin, pieds écartés, torse courbé en avant, poitrine pendante . Son compagnon s’active derrière le dos nu, plie les jambes pour se mettre au niveau du sexe de Rose, pousse en remontant. Elle fait : haha ! pendant l’intromission. Il bute contre les fesses, se colle à la croupe puis commence la danse de l’accouplement. Il a tout son temps, mais, comme chez tout mâle normalement constitué, son application lente va progressivement devenir un mouvement d’aller retour en accélération. puis essoufflement et éjaculation sur les crottes de poules.
Entre les bras tendus et le torse incliné à l’horizontale de Rose, un sein ballotte au gré des coups de bite de Benoît dans son… Je ne sais s’il l’enconne ou l’encule, il fait sombre dans le local.
Le coq fait cocorico. Benoît se met au diapason :
-Alors ma poule (la destination du lieu l’inspire), Mon plantoir n’est-il pas meilleur qu’une petite queue ? Là tu prends du calibre seize, un braquemart de sportif… On est plus en sécurité ici que dans le bois le vendredi. ..C’est bon ? Tu dégustes hein. Respire tranquillement, inspire… expire… Tu sens ?
- Oh ! Oui. Vas-y, c’est tellement meilleur que la toute petite bite de Paul.
- Elle est vraiment si petite que tu le répètes à chaque rencontre?
-Minuscule, comparée à la tienne. Dis, quand divorces-tu?
- Ne sois pas impatiente. Ce n’est pas facile, il y a mes filles. Arme-toi de patience. Je voudrais attendre la majorité de la cadette. Après, adieu Brigitte, vive la liberté.
- Tu m’avais promis. Trois ans, tromper mon homme pendant trois ans encore. Je ne pourrai pas continuer à le subir.
Une première fois, si j’ai bien entendu, mais préparée de loin et avec un projet solidement monté. On parle divorce, union future. Et moi, je n’ai rien vu venir. Au contraire je me suis réjoui de vivre avec une femme débordante d’énergie et socialement engagée. J’étais flatté de la voir évoluer avec aisance au sein de cette association! Elle est à l’aise jusque dans l’adultère qu’elle consomme avec assurance.
Benoît, le coach, la coche en bon coq, continue à limer en silence avant de relancer la conversation :
- Je sais. Mais tu ne m’aimes plus, tu es pressée ? Regarde, nous sommes bien comme ça. Chaque mercredi je te culbute ici, ça ne laisse pas de trace; chaque vendredi nous prenons notre plaisir dans le cabanon au bord de l’étang. Que veux-tu de plus ? Les cocus sont aveugles, nous ne risquons rien.
Aveugles, c’est sûr. Je peux ajouter « malentendants » ou « sourds. Chaque mercredi et chaque vendredi: leur histoire n’en est plus à ses débuts, ce n’est plus une première fois. Qu’ai-je mal interprété ? Voilà qui explique l’abandon des jouets sexuels. J’étais content de satisfaire ma femme seul, sans accessoires. Or, je n’étais plus que le complément sexuel de son amant. Je comprends mieux sa soumission aux ordres de cet homme qui la bouscule dans mon poulailler et qui la baise dans un cabanon d’autres fois. Rose confirme leur liaison
- Je veux t’avoir à moi, tout à moi, tous les jours. Oh que tu me fais du bien. Ramone-moi la cheminée, plus vite, plus fort. Hooooooooo! Benoît….! Mais vas-y, creuse, défonce encore, plus fort, plus vite
- Ça viendra. En attendant notre mariage, profite de ton Paul. Tu le dis si gentil. Il est gentil et moi, je te baise : tu as de la chance ! Deux coqs pour une poule, tu as de la veine.
- Oui, si son pénis n’était pas aussi minuscule…le tien est à ma mesure… C’est injuste… Enfin tu es là et tu supplées …
Ses phrases sont hachées, cassées par la montée de la jouissance, à la limite de la cohérence. Elle tente un chantage pour arracher une décision :
- Dans le fond, puisque tu ne te décides pas, je devrais rompre avec toi. Claudine me proposera un célibataire robuste et vigoureux avec une canne plus jeune et plus grande que la tienne. Cela existe, donc ça se trouve. Lundi, à la piscine elle m’en a montré un. Costaud mais pas beau. Elle cherche un autre candidat. Aïe, oh ! Ne fais pas le jaloux ! Oui, encore. Attends, je me mets sur le dos.
« Aussi minuscule » a-t-elle répété. Je ne supporte plus son dédain. Mais Rose,il ne fallait pas te jeter dans mes bras, tu étais avertie. Pourquoi m‘avoir épousé ? Pour la robe blanche, pour la fête, pour fuir tes parents ? Mais pourquoi moi, tu connaissais mon défaut .
Benoît redressé entretient manuellement son érection. Si je disposais d’un moyeu de cette taille je ne serais pas un lamentable « cocu-voyeur malgré lui. » Rose étale un drap de bain froissé sur le lit de foin, s’assied en bord de botte, s’allonge, lève les jambes. Benoît les saisit comme des brancards, s’avance dans la fourche des cuisses, vise la vulve mouillée, s’installe puis s’enfonce brutalement dans le con. Un grand « Ah ! » salue la pénétration. Rose marque chaque entrée d’un profond soupir. J’enrage. La salope, salope, salope!
« Elle m’aime ! » Elle le répète à tout vent. Menteuse, adultère, prête à partir avec Benoît ou avec le prochain amant présenté par Claudine. Salope, cette fois il n’y aura pas de pardon. Le spectacle me dégoûte. Je dérobe la culotte délaissée sur la clenche. Quand elle constatera sa disparition, Rose comprendra que quelqu un a observé son accouplement, a épié ses paroles, leur conversation, leurs projets peut-être. Elle se rongera les sangs.
Je m’arrête au salon, je vide les poches de Benoît. Son portefeuille épais contient ses pièces d’identité, ses cartes de sécurité sociale et de complémentaire, sa carte bancaire, une carte de fidélité de grande surface. Une enveloppe est pleine de billets de banque et une note du trésorier de l’association indique où il doit déposer la somme. Ce sale type me vole ma femme. Je lui vole le contenu de sa veste. Ce sera le début d’emmerdes, de mensonges, de combines dans les comptes.
Je balance des dossiers à travers la pièce et vise le dessous des meubles. J’ouvre la fenêtre qui donne sur la rue et je place une chaise dessous. Je jette la veste du séducteur dans le panier de linge sale sur une serviette et sur mes slips, je pisse dessus. Autrement dit, je marque mon territoire. Qu’il aille expliquer à sa famille l’origine de l’odeur d’urine de sa belle veste. Je quitte la maison avec deux de leurs classeurs, étonnamment légers : des prétextes pour faire croire que les deux complices triment. Les quelques documents finiront dans une poubelle. Leur manqueront-ils? Je m’en fous. Salauds !
Les amants sont encore accouplés. Si elle continue à geindre et à crier son bonheur, Rose ameutera les voisins, je me sauve pour échapper aux curieux. J’entre dans mon bureau au moment où le téléphone sonne.
- Allo, ici Paul. Ah! C’est toi ma poule ?
Si Benoît en bon coq l’appelle « ma poule », en qualité de mari, même cocu, je m’autorise à l’imiter. Eh ! Bien, elle s’est habituée à cette appellation, ne réagit pas. Elle ne fait plus la différence entre lui et moi en dehors du contact des sexes si différents.
- C’est toi, mon amour. Tu es au travail ? Tu ne serais pas passé à la maison, cet après-midi?
- Non. Pourquoi ? Tu y es, tu m’aurais vu!
-Je montrais ton beau jardin à Benoît, j’avais oublié de fermer la fenêtre côté rue. On nous a cambriolés.
Elle montrait mon beau jardin ! J’en rirais !Elle montrait son con en réalité. En guise de pelouse Benoît se prélassait sur sa toison pubienne et il usait de son plantoir pour suppléer au manque d’importance de ma toute petite bite. Tu penses. Et Benoît retournait ma terre peut-être ? Il l’ensemençait aussi sans doute ! Il piochait et arrosait mes plants ! Son plantoir faisait mon travail ! Rose en était toute rouge et humide. J’enrage mais je me contiens , je suis même de bon conseil :
- Porte plainte, ma chère. Tu pourras goûter au bâton de gendarme.
- Quoi ? J’entends mal. Un bâton de gendarme, pourquoi?
- Les gendarmes ont des matraques.
- Quel rapport avec un cambriolage ? Les matraques de gendarmes, Paul, tu te moques de moi ?
Et oui, après le gourdin ou la massue de Benoît, je lui propose la matraque. Elle ne saisit pas…C’est idiot, ça soulage ma fureur. J’évite de prolonger cette conversation:
- Bon, oublie. J’ai du retard dans mon travail. Vois avec Benoît s’il est là.
- Ah, c’est vrai. Je me disais que peut-être tu étais passé. Bien, je fais le nécessaire. Je t’embrasse mon amour.
Ce soir là, je ressors l’œuf pour la « poule » de Benoît et le vibromasseur. Rose couve l’œuf, jouit, pleure de bonheur, de douleur inavouable, me supplie de prendre la place des engins: mais c’est pour les fuir; ma queue minuscule est donc moins efficace et plus supportable que les jouets. De plus les piles sont inépuisables ou presque alors que moi je finis toujours par tomber en panne. Je hais Claudine, je déteste Rose. Mais ma pitié fout le camp.
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