Titre de l'histoire érotique : La folie du pleutre 12. Epilogue 1
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La folie du pleutre 12. Epilogue 1
Résumé
Par veulerie, j'ai voulu montrer un pourvoir, une personnalité qui me font défaut, à un inconnu rencontré dans le train, en lui offrant ma douce et belle épouse. Le résultat est allé bien au delà de mes calculs car Marion s'est donnée à mon insu à lui et à un complice. Dans cette trahison, elle s'est laissée prendre sans protection au risque de tomber enceinte et de mettre notre santé en péril. Caché derrière une glace sans tain, j'ai pu assister à l'abandon de ma femme. Notre couple fragile est en crise. J'étais complètement anéanti.
Plusieurs mois ont passé. Les règles sont venues. J'ai pardonné. Je ne l'aime plus comme avant, mais je l'aime toujours. Petit à petit nous nous sommes retrouvés.
Un soir, elle m'a tout avoué en larmes, se culpabilisant d'avoir failli me perdre, nous perdre. Elle a justifié ses paroles à mon égard par le fait qu'elle avait complètement perdu ses repères devant l'envie de se faire prendre à cet instant. Qu'elle avait vécu un enfer jusqu'à la libération des règles.
J'y ai gagné aussi une chose : Marion consent de se laisser tripoter les seins, les fesses ou la chatte par des inconnus dans des endroits publics mais en ma présence. Pour ma seule jouissance.
MOI : Je suis lâche, pleutre, obsédé par la beauté de ma femme. Candauliste, je l'utilise comme faire valoir auprès de ceux qui m'en imposent. Je suis timide. Elle est mon seul amour.
MARION : Une très belle femme de 26 ans. Mais surtout beaucoup de grâce et de beauté, un visage angélique. Très timide, maladive même (bien plus que moi), tendance à la soumission (son peu de volonté l'empêche à résister à toute autorité). Je suis son seul amour.
Épilogue 1
Les semaines qui suivent ses aveux se sont révélées être une période difficile de reconquête dans notre couple. Elle est très attentionnée et attentive à mes moindres demandes. Nous évitons de parler de ce qui apparaît de plus en plus nettement comme un écart de conduite et lentement, l'amour renait entre nous. Le temps passe, mais impossible d'effacer ce qui reste un crime conjugal dont nous sommes tous les deux coupables sous des aspects différents.
Sa faiblesse de caractère l'amène toujours, et plus en cette période, à rechercher chez moi protection, soutien et absolution. Sa timidité reste presque maladive et je n'arrive toujours pas à comprendre comment elle a pu se laisser entraîner dans cette histoire de débauche.
Marion accepte d'obéir et satisfaire mes pulsions, même les plus perverses. Tourmentée par le remord de sa débauche passée, elle s'évertue à me reconquérir et à se faire pardonner ses mensonges, motivée par la culpabilité qui la ronge. Elle multiplie alternativement les preuves d'amour et de soumission. Quelques aventures-débauches me confortent dans l'idée que ma douce me reste aimante… et fidèle. Mais si elle se contraint, elle ne participe pas vraiment. Rien à voir avec son comportement dans la boutique. Elle accepte à contre cœur, pour, semble-t-il me faire plaisir. Ou pour se faire plaisir ? C'est là toute l'ambiguïté de notre quotidien.
Tout devrait désormais aller bien, mais notre couple est fragile car nous sommes tous les deux fragiles et influençables.
Des doutes subsistent qui minent mes certitudes et troublent mes nuits avec des rêves qui me replongent dans des souvenirs ambigus mêlant excitation, humiliation et souffrance. Des interrogations prêtes à réveiller mes vieux démons et peut-être ceux de Marion.
Tout d'abord les images de sa débauche, qui me reviennent parfois en rêve : son visage si doux d'habitude déformé par la jouissance, sa grâce naturelle ridiculisée, ses cris, ses sanglots. Et ses mots proférés à mon encontre (Je m'interroge encore aujourd'hui pourquoi m'a t elle avoué ce qu'elle a dit pendant ces moments. Je n'étais pas susceptible de les avoir entendus, caché derrière le miroir sans tain), même si je peux imaginer et admettre qu''ils lui ont été extorqués par ses amants d'un soir.
Me reviennent aussi les odeurs de sexe, de baisers, le goût du sperme sur ses lèvres. Quand je l'ai retrouvée en rentrant chez nous, ce soir là, elle était couchée et dormait ou faisait semblant. Apparemment elle ne s'était pas douchée. Elle était nue, souillée, dans les draps et ne m'a pas adressé la parole pour s'inquiéter de la raison de mon retard. Ces silences chargés de fourberie et de mensonges m'ont fait mal. Une trahison dans notre couple. Je pensais ne jamais pouvoir pardonner ni me résoudre à lui faire l'amour à nouveau.
Jusqu'au soir où elle a explosé en sanglots et avoué sa tromperie. J'avais été sournois, pas enclin aux gestes de tendresse. Je la considérais comme une étrangère. Je sur-jouais l'indifférence. Cela a dû contribuer à la conduire à avouer.
C'est à ce moment là que j'ai honnêtement pris conscience que j'étais à l'origine de ce désastre. Et j'ai fini par accepter de pardonner. Et si elle savait mon rôle dans cette histoire, me pardonnerait-elle ? Je suis et reste un pleutre et à aucun moment je n'ai eu le courage de lui avouer mon implication dans cette histoire. Je ne veux pas à coups sûr risquer de la perdre !
Et puis (et cela me préoccupe), je dois reconnaître que je m'étais branlé plusieurs fois au spectacle de ma bien aimée baisée, abaissée, souillée et réduite au simple objet sexuel par des individus uniquement préoccupés à soumettre une femme mariée, belle, douce à leurs désirs les plus vils. Baiser celle d'un autre qui ne vous appartient pas ! Je les avais bien entendus dire cela et cela m'avait extrêmement humilié et excité. Et j'avais joui à plusieurs reprises devant ce spectacle.
En même temps, je m'aperçois et je réalise que les séances devant des voyeurs ne m'excitent plus vraiment. Et même la livrer dans des bras d'inconnus, petit à petit ne me fait plus rien.
La voir s'exhiber, voir les regards des mecs pleins de désirs pour elle, reste incontestablement excitant. Et souvent suffisant pour qu'une érection me surprenne et que je me termine par une masturbation qui aboutit à une éjaculation, sur moi ou dans ma petite femme le soir dans le lit conjugal ou dans la voiture garée au bord d'une route très fréquentée.
Comme ce samedi soir où je l'ai entraînée dans une boite de nuit. Elle devait se présenter seule et se laisser draguer en dansant sur la piste de danse. C'était un club boite de nuit rien de libertin. Je lui avais dit de se tenir au bar et d'aller sur la piste quand des hommes seuls seraient dans la salle. Assis dans un coin discret j'ai pu l'admirer danser. Qu'elle était belle dans cette robe noire très décolletée dans le dos et échancrée devant ! Courte à mi cuisses, elle donnait une image de ses jambes fines plantées sur des escarpins noirs, mais pas faméliques comme dans les images de mode où les mannequins sont maigres. Quoique timide je savais qu'elle se lâchait facilement quand il fallait danser. A peine entrés tous les hommes l'ont repérée. Une aubaine : une jolie femme seule et libre ! Aussi j'ai été pris d'une érection immédiate quand je l'ai vue s'avancer seule vers la piste de danse. La voir se dandiner au rythme de la musique me rendait fou d'excitation. A plusieurs reprises elle a jeté des regards dans ma direction comme pour se dédouaner d'une conduite que j'aurai pu mal interpréter. Elle me ménage. D'elle même elle avait décidé, pour me faire plaisir, de ne pas mettre de soutien gorge et maintenant elle ne se prive pas de secouer ses épaules pour faire danser sa jeune poitrine nue sous sa robe. En parcourant du regard depuis ma cachette, l'ensemble de la salle de danse, j'ai vite réalisé que tous les personnes présentes, hommes et femmes, n'avaient d'yeux que pour elle. On sentait même que certaines n'osaient pas s'aventurer sur la piste pour aller souffrir d'une comparaison humiliante. Marion semblait hors du temps.
Très vite un puis deux danseurs se sont approchés d'elle, ont commencé par danser à ses côtés puis, le plus audacieux à la prendre dans ses bras pour la série de slows. Dans la pénombre (obligée pour ces danses), j'ai pu voir qu'il lui parlait dans l'oreille et qu'elle était sensible à ses mots. Jusqu'au moment où j'ai nettement vu le mec l'embrasser dans le cou sans qu'elle le rejette. Par timidité ? De peur de sa réaction ? De la mienne ? J'ai été pris de panique car je doutais d'elle dans ces moments là. Et encore une fois je savais que je n'aurais pas le courage d'aller affronter cet inconnu pour la protéger ou la récupérer.
Un autre danseur s'est alors approché du couple. Il voulait sans doutes se tenir prêt pour la subtiliser à son cavalier pour la danse suivante. La musique est redevenue rythmée. Les danses sont redevenues animées. Maintenant Marion est encadrée par ses deux soupirants. Un devant, un derrière. Ils se trémoussent, se touchent, s'exhibent. Je vois nettement que les deux hommes bandent et qu'ils n'hésitent pas, malgré la présence de nombreux danseurs et danseuses alentours, à venir se frotter contre les fesses, ou contre le ventre de Marion, contre son sexe. Leurs contorsions finissent par devenir obscènes et certains regards réprobateurs se manifestent. Mais ma petite femme ne voit rien, toute à sa danse qu'elle s'applique à magnifier pour s'exprimer dans sa plus belle expression corporelle. Elle est en sueur, ses yeux brillent. Plus rien de timide chez elle, mais plutôt une ivresse qui libère ses pulsions les plus refoulées. Depuis ma cachette je m'inquiète et en même temps je me réjouis. Une nouvelle série de slows donne l'occasion à son premier danseur de reprendre la main. Cette fois il l'a plaque carrément contre lui, une main sur la nuque pour caler sa tête contre son cou, une autre sur ses reins pour emprisonner son corps contre le sien.. Elle doit sentir son sexe bandé contre son ventre. Elle accepte le contact, ne dit rien et je la vois même fermer les yeux comme pour s'évader vers des sensations qu'elle retrouve peut-être sans les réprouver. Je panique car j'ai peur que cette fois encore la situation ne m'échappe. Elle a sa tête posée contre son épaule au creux de son cou. Je le vois l'embrasser doucement dans le cou, puis sur la joue, approchant subrepticement le coin de ses lèvres. Alors soudain, je la vois se redresser, éloigner sa tête et prendre ses distances avec son cavalier. Je respire ! Elle revient à la réalité. Elle a fini par le remercier et me rejoindre pour rentrer chez nous.
Dans la voiture je l'ai questionnée pour savoir si c'était ma présence qui l'avait faite renoncer. Elle n'a pas répondu tout de suite. Puis elle m'a avoué qu'il était charmant mais que surtout elle ne voulait pas me contrarier. Elle n'a jamais osé me dire si elle aurait pu s'abandonner plus avant dans ses bras. Mentait-elle ?
Je suis devenu jaloux, obsédé par ce doute sur sa sincérité. Je me suis mis à la suivre à son insu, rongé par le doute et la jalousie. Je me sens ridicule et cette filature est absurde car je ne sais pas quel serait mon comportement devant la révélation d'une trahison. En fait, heureusement, je ne l'ai jamais prise en défaut. Et quelque part j'en éprouve non pas un soulagement mais une certaine déception tant je sais quel plaisir j'en aurait tiré !
Ambiguïté du mélange de jalousie, souffrance et humiliation me devenaient indispensables à ma jouissance. Indifférent au plaisir de Marion. Je devenais malade.
Je réalise maintenant que ce qui m'avait le plus rendu fou dans sa débauche avec Monsieur David, c'est son mensonge, sa trahison. Celle de notre amour et celle à mon égard. A ce moment là, elle devenait une autre femme. Salope, pute ! L'excitation qui la submergeait était bien au delà de toute prudence. Comme elle pensait que je n'étais pas là, j'imagine qu'elle se sentait libre de s'abandonner jusqu'à aller au parjure de notre amour. Elle n'était plus en mesure d'estimer à leur juste valeur, les risques qu'elle encourait et qu'elle mettait en jeu. Elle pouvait me perdre en bafouant notre union. Elle pouvait perdre l'amour que je lui portais sans même se rendre compte que je ne pourrais plus lui suffire sexuellement et que son amour qu'elle me portait pourrait aussi disparaître, se volatiliser. Et laisser ces hommes se vider en elle sans aucune protection, se sachant féconde sans compter que rien ne prouvait leur bonne santé.
J'avoue que j'imagine souvent de me retrouver derrière la glace sans tain à mater Marion, les jambes écartées et une bite d'un fort calibre lui ramoner sa chatte si délicate. La voir sucer l'énorme bite du noir, entièrement enfoncée dans sa bouche, les yeux remplis de larmes, alors qu'il lui plaquait la tête conte son ventre à lui faire manquer d'air et l'obliger à boire et avaler sa liqueur. Alors je me fais égoïstement jouir. Comme ce jour là, caché derrière cette glace qui me révélait la nature cachée de Marion et me la montrait s'adonner au stupre et à la fornication. En cet instant elle me trompait. Il m'apparait aujourd'hui de plus en plus évident que la position de cocu, loin de me laisser indifférent, devient le stimulus indispensable pour laisser exploser ma libido.
Bien sûr savoir ma femme désirée, matée, tripotée, ne me laisse pas indifférent. Nécessaire mais plus suffisant. Comme un fantasme usé, épuisé, trop assouvis qui devient d'une banalité affligeante. Exhiber la belle et timide Marion ne me fait plus bander aussi profondément ! Triste réalité, peu glorieuse.
En conséquence, aujourd'hui si je suis sûr qu'elle m'aime, j'ai besoin pour jouir que le doute sur la sincérité de ses sentiments me taraude. J'ai besoin d'être cocu, humilié… content. L'être aimé, objet de mes perversions m'est soumise et je veux en jouir et en profiter. Mais, complice de mes fantasmes, accepterait-t-elle aujourd'hui de satisfaire mes perversions de candauliste ? Se laisser prendre devant moi ? Mais surtout à mon insu ?
Cette envie de la mater me faire cocu m'obsède de plus en plus. Plus rien d'autre ne m'excite autant. Je me devais de créer à nouveau la situation du magasin de vêtements. Et l'amour dans tout cela ? Aucun doute, nous nous aimons mais comme bien des couples avec nos jardins secrets. Et ceux de Marion m'obsèdent car je n'y ai pas accès, ce qui est naturel. On a un cœur public, un cœur privé et un cœur secret. Pour le cul c'est pareil.
C'est tout cela qui me manque aujourd'hui. Je voudrais la pousser à me tromper à nouveau et que je puisse constater de visu son infamie. La pousser dans les bras d'un autre avec uniquement son propre désir de l'autre. La voir s'abandonner, se soumettre aux volontés d'un autre que moi et pourquoi pas, retrouver dans ses yeux ces regards qu'elle ne réservait qu'à moi. Des regards de femme amoureuse. Des accouplements mêlant sexe, perversité et sentiment amoureux. En écrivant ces lignes je bande et je suis prêt pour aller me branler, saoulé par des images plus vulgaires les unes que les autres. La voir plonger dans la fange, dans les bassesses les plus extrêmes. L'entendre dire des mots crus, supplier qu'on lui défonce le cul, la chatte. Et au final recevoir des giclées de sperme, de foutre de semence dans le ventre, le cul la bouche. Elle, ma douce, mon amour, ma vie ! Si fragile et en même temps si délicieusement perverse. Plus je la salis, plus je me sens l'aimer.
C'est un WE dans ma famille qui devait me faire revivre par hasard ce fantasme
(à suivre très vite)
Par veulerie, j'ai voulu montrer un pourvoir, une personnalité qui me font défaut, à un inconnu rencontré dans le train, en lui offrant ma douce et belle épouse. Le résultat est allé bien au delà de mes calculs car Marion s'est donnée à mon insu à lui et à un complice. Dans cette trahison, elle s'est laissée prendre sans protection au risque de tomber enceinte et de mettre notre santé en péril. Caché derrière une glace sans tain, j'ai pu assister à l'abandon de ma femme. Notre couple fragile est en crise. J'étais complètement anéanti.
Plusieurs mois ont passé. Les règles sont venues. J'ai pardonné. Je ne l'aime plus comme avant, mais je l'aime toujours. Petit à petit nous nous sommes retrouvés.
Un soir, elle m'a tout avoué en larmes, se culpabilisant d'avoir failli me perdre, nous perdre. Elle a justifié ses paroles à mon égard par le fait qu'elle avait complètement perdu ses repères devant l'envie de se faire prendre à cet instant. Qu'elle avait vécu un enfer jusqu'à la libération des règles.
J'y ai gagné aussi une chose : Marion consent de se laisser tripoter les seins, les fesses ou la chatte par des inconnus dans des endroits publics mais en ma présence. Pour ma seule jouissance.
MOI : Je suis lâche, pleutre, obsédé par la beauté de ma femme. Candauliste, je l'utilise comme faire valoir auprès de ceux qui m'en imposent. Je suis timide. Elle est mon seul amour.
MARION : Une très belle femme de 26 ans. Mais surtout beaucoup de grâce et de beauté, un visage angélique. Très timide, maladive même (bien plus que moi), tendance à la soumission (son peu de volonté l'empêche à résister à toute autorité). Je suis son seul amour.
Épilogue 1
Les semaines qui suivent ses aveux se sont révélées être une période difficile de reconquête dans notre couple. Elle est très attentionnée et attentive à mes moindres demandes. Nous évitons de parler de ce qui apparaît de plus en plus nettement comme un écart de conduite et lentement, l'amour renait entre nous. Le temps passe, mais impossible d'effacer ce qui reste un crime conjugal dont nous sommes tous les deux coupables sous des aspects différents.
Sa faiblesse de caractère l'amène toujours, et plus en cette période, à rechercher chez moi protection, soutien et absolution. Sa timidité reste presque maladive et je n'arrive toujours pas à comprendre comment elle a pu se laisser entraîner dans cette histoire de débauche.
Marion accepte d'obéir et satisfaire mes pulsions, même les plus perverses. Tourmentée par le remord de sa débauche passée, elle s'évertue à me reconquérir et à se faire pardonner ses mensonges, motivée par la culpabilité qui la ronge. Elle multiplie alternativement les preuves d'amour et de soumission. Quelques aventures-débauches me confortent dans l'idée que ma douce me reste aimante… et fidèle. Mais si elle se contraint, elle ne participe pas vraiment. Rien à voir avec son comportement dans la boutique. Elle accepte à contre cœur, pour, semble-t-il me faire plaisir. Ou pour se faire plaisir ? C'est là toute l'ambiguïté de notre quotidien.
Tout devrait désormais aller bien, mais notre couple est fragile car nous sommes tous les deux fragiles et influençables.
Des doutes subsistent qui minent mes certitudes et troublent mes nuits avec des rêves qui me replongent dans des souvenirs ambigus mêlant excitation, humiliation et souffrance. Des interrogations prêtes à réveiller mes vieux démons et peut-être ceux de Marion.
Tout d'abord les images de sa débauche, qui me reviennent parfois en rêve : son visage si doux d'habitude déformé par la jouissance, sa grâce naturelle ridiculisée, ses cris, ses sanglots. Et ses mots proférés à mon encontre (Je m'interroge encore aujourd'hui pourquoi m'a t elle avoué ce qu'elle a dit pendant ces moments. Je n'étais pas susceptible de les avoir entendus, caché derrière le miroir sans tain), même si je peux imaginer et admettre qu''ils lui ont été extorqués par ses amants d'un soir.
Me reviennent aussi les odeurs de sexe, de baisers, le goût du sperme sur ses lèvres. Quand je l'ai retrouvée en rentrant chez nous, ce soir là, elle était couchée et dormait ou faisait semblant. Apparemment elle ne s'était pas douchée. Elle était nue, souillée, dans les draps et ne m'a pas adressé la parole pour s'inquiéter de la raison de mon retard. Ces silences chargés de fourberie et de mensonges m'ont fait mal. Une trahison dans notre couple. Je pensais ne jamais pouvoir pardonner ni me résoudre à lui faire l'amour à nouveau.
Jusqu'au soir où elle a explosé en sanglots et avoué sa tromperie. J'avais été sournois, pas enclin aux gestes de tendresse. Je la considérais comme une étrangère. Je sur-jouais l'indifférence. Cela a dû contribuer à la conduire à avouer.
C'est à ce moment là que j'ai honnêtement pris conscience que j'étais à l'origine de ce désastre. Et j'ai fini par accepter de pardonner. Et si elle savait mon rôle dans cette histoire, me pardonnerait-elle ? Je suis et reste un pleutre et à aucun moment je n'ai eu le courage de lui avouer mon implication dans cette histoire. Je ne veux pas à coups sûr risquer de la perdre !
Et puis (et cela me préoccupe), je dois reconnaître que je m'étais branlé plusieurs fois au spectacle de ma bien aimée baisée, abaissée, souillée et réduite au simple objet sexuel par des individus uniquement préoccupés à soumettre une femme mariée, belle, douce à leurs désirs les plus vils. Baiser celle d'un autre qui ne vous appartient pas ! Je les avais bien entendus dire cela et cela m'avait extrêmement humilié et excité. Et j'avais joui à plusieurs reprises devant ce spectacle.
En même temps, je m'aperçois et je réalise que les séances devant des voyeurs ne m'excitent plus vraiment. Et même la livrer dans des bras d'inconnus, petit à petit ne me fait plus rien.
La voir s'exhiber, voir les regards des mecs pleins de désirs pour elle, reste incontestablement excitant. Et souvent suffisant pour qu'une érection me surprenne et que je me termine par une masturbation qui aboutit à une éjaculation, sur moi ou dans ma petite femme le soir dans le lit conjugal ou dans la voiture garée au bord d'une route très fréquentée.
Comme ce samedi soir où je l'ai entraînée dans une boite de nuit. Elle devait se présenter seule et se laisser draguer en dansant sur la piste de danse. C'était un club boite de nuit rien de libertin. Je lui avais dit de se tenir au bar et d'aller sur la piste quand des hommes seuls seraient dans la salle. Assis dans un coin discret j'ai pu l'admirer danser. Qu'elle était belle dans cette robe noire très décolletée dans le dos et échancrée devant ! Courte à mi cuisses, elle donnait une image de ses jambes fines plantées sur des escarpins noirs, mais pas faméliques comme dans les images de mode où les mannequins sont maigres. Quoique timide je savais qu'elle se lâchait facilement quand il fallait danser. A peine entrés tous les hommes l'ont repérée. Une aubaine : une jolie femme seule et libre ! Aussi j'ai été pris d'une érection immédiate quand je l'ai vue s'avancer seule vers la piste de danse. La voir se dandiner au rythme de la musique me rendait fou d'excitation. A plusieurs reprises elle a jeté des regards dans ma direction comme pour se dédouaner d'une conduite que j'aurai pu mal interpréter. Elle me ménage. D'elle même elle avait décidé, pour me faire plaisir, de ne pas mettre de soutien gorge et maintenant elle ne se prive pas de secouer ses épaules pour faire danser sa jeune poitrine nue sous sa robe. En parcourant du regard depuis ma cachette, l'ensemble de la salle de danse, j'ai vite réalisé que tous les personnes présentes, hommes et femmes, n'avaient d'yeux que pour elle. On sentait même que certaines n'osaient pas s'aventurer sur la piste pour aller souffrir d'une comparaison humiliante. Marion semblait hors du temps.
Très vite un puis deux danseurs se sont approchés d'elle, ont commencé par danser à ses côtés puis, le plus audacieux à la prendre dans ses bras pour la série de slows. Dans la pénombre (obligée pour ces danses), j'ai pu voir qu'il lui parlait dans l'oreille et qu'elle était sensible à ses mots. Jusqu'au moment où j'ai nettement vu le mec l'embrasser dans le cou sans qu'elle le rejette. Par timidité ? De peur de sa réaction ? De la mienne ? J'ai été pris de panique car je doutais d'elle dans ces moments là. Et encore une fois je savais que je n'aurais pas le courage d'aller affronter cet inconnu pour la protéger ou la récupérer.
Un autre danseur s'est alors approché du couple. Il voulait sans doutes se tenir prêt pour la subtiliser à son cavalier pour la danse suivante. La musique est redevenue rythmée. Les danses sont redevenues animées. Maintenant Marion est encadrée par ses deux soupirants. Un devant, un derrière. Ils se trémoussent, se touchent, s'exhibent. Je vois nettement que les deux hommes bandent et qu'ils n'hésitent pas, malgré la présence de nombreux danseurs et danseuses alentours, à venir se frotter contre les fesses, ou contre le ventre de Marion, contre son sexe. Leurs contorsions finissent par devenir obscènes et certains regards réprobateurs se manifestent. Mais ma petite femme ne voit rien, toute à sa danse qu'elle s'applique à magnifier pour s'exprimer dans sa plus belle expression corporelle. Elle est en sueur, ses yeux brillent. Plus rien de timide chez elle, mais plutôt une ivresse qui libère ses pulsions les plus refoulées. Depuis ma cachette je m'inquiète et en même temps je me réjouis. Une nouvelle série de slows donne l'occasion à son premier danseur de reprendre la main. Cette fois il l'a plaque carrément contre lui, une main sur la nuque pour caler sa tête contre son cou, une autre sur ses reins pour emprisonner son corps contre le sien.. Elle doit sentir son sexe bandé contre son ventre. Elle accepte le contact, ne dit rien et je la vois même fermer les yeux comme pour s'évader vers des sensations qu'elle retrouve peut-être sans les réprouver. Je panique car j'ai peur que cette fois encore la situation ne m'échappe. Elle a sa tête posée contre son épaule au creux de son cou. Je le vois l'embrasser doucement dans le cou, puis sur la joue, approchant subrepticement le coin de ses lèvres. Alors soudain, je la vois se redresser, éloigner sa tête et prendre ses distances avec son cavalier. Je respire ! Elle revient à la réalité. Elle a fini par le remercier et me rejoindre pour rentrer chez nous.
Dans la voiture je l'ai questionnée pour savoir si c'était ma présence qui l'avait faite renoncer. Elle n'a pas répondu tout de suite. Puis elle m'a avoué qu'il était charmant mais que surtout elle ne voulait pas me contrarier. Elle n'a jamais osé me dire si elle aurait pu s'abandonner plus avant dans ses bras. Mentait-elle ?
Je suis devenu jaloux, obsédé par ce doute sur sa sincérité. Je me suis mis à la suivre à son insu, rongé par le doute et la jalousie. Je me sens ridicule et cette filature est absurde car je ne sais pas quel serait mon comportement devant la révélation d'une trahison. En fait, heureusement, je ne l'ai jamais prise en défaut. Et quelque part j'en éprouve non pas un soulagement mais une certaine déception tant je sais quel plaisir j'en aurait tiré !
Ambiguïté du mélange de jalousie, souffrance et humiliation me devenaient indispensables à ma jouissance. Indifférent au plaisir de Marion. Je devenais malade.
Je réalise maintenant que ce qui m'avait le plus rendu fou dans sa débauche avec Monsieur David, c'est son mensonge, sa trahison. Celle de notre amour et celle à mon égard. A ce moment là, elle devenait une autre femme. Salope, pute ! L'excitation qui la submergeait était bien au delà de toute prudence. Comme elle pensait que je n'étais pas là, j'imagine qu'elle se sentait libre de s'abandonner jusqu'à aller au parjure de notre amour. Elle n'était plus en mesure d'estimer à leur juste valeur, les risques qu'elle encourait et qu'elle mettait en jeu. Elle pouvait me perdre en bafouant notre union. Elle pouvait perdre l'amour que je lui portais sans même se rendre compte que je ne pourrais plus lui suffire sexuellement et que son amour qu'elle me portait pourrait aussi disparaître, se volatiliser. Et laisser ces hommes se vider en elle sans aucune protection, se sachant féconde sans compter que rien ne prouvait leur bonne santé.
J'avoue que j'imagine souvent de me retrouver derrière la glace sans tain à mater Marion, les jambes écartées et une bite d'un fort calibre lui ramoner sa chatte si délicate. La voir sucer l'énorme bite du noir, entièrement enfoncée dans sa bouche, les yeux remplis de larmes, alors qu'il lui plaquait la tête conte son ventre à lui faire manquer d'air et l'obliger à boire et avaler sa liqueur. Alors je me fais égoïstement jouir. Comme ce jour là, caché derrière cette glace qui me révélait la nature cachée de Marion et me la montrait s'adonner au stupre et à la fornication. En cet instant elle me trompait. Il m'apparait aujourd'hui de plus en plus évident que la position de cocu, loin de me laisser indifférent, devient le stimulus indispensable pour laisser exploser ma libido.
Bien sûr savoir ma femme désirée, matée, tripotée, ne me laisse pas indifférent. Nécessaire mais plus suffisant. Comme un fantasme usé, épuisé, trop assouvis qui devient d'une banalité affligeante. Exhiber la belle et timide Marion ne me fait plus bander aussi profondément ! Triste réalité, peu glorieuse.
En conséquence, aujourd'hui si je suis sûr qu'elle m'aime, j'ai besoin pour jouir que le doute sur la sincérité de ses sentiments me taraude. J'ai besoin d'être cocu, humilié… content. L'être aimé, objet de mes perversions m'est soumise et je veux en jouir et en profiter. Mais, complice de mes fantasmes, accepterait-t-elle aujourd'hui de satisfaire mes perversions de candauliste ? Se laisser prendre devant moi ? Mais surtout à mon insu ?
Cette envie de la mater me faire cocu m'obsède de plus en plus. Plus rien d'autre ne m'excite autant. Je me devais de créer à nouveau la situation du magasin de vêtements. Et l'amour dans tout cela ? Aucun doute, nous nous aimons mais comme bien des couples avec nos jardins secrets. Et ceux de Marion m'obsèdent car je n'y ai pas accès, ce qui est naturel. On a un cœur public, un cœur privé et un cœur secret. Pour le cul c'est pareil.
C'est tout cela qui me manque aujourd'hui. Je voudrais la pousser à me tromper à nouveau et que je puisse constater de visu son infamie. La pousser dans les bras d'un autre avec uniquement son propre désir de l'autre. La voir s'abandonner, se soumettre aux volontés d'un autre que moi et pourquoi pas, retrouver dans ses yeux ces regards qu'elle ne réservait qu'à moi. Des regards de femme amoureuse. Des accouplements mêlant sexe, perversité et sentiment amoureux. En écrivant ces lignes je bande et je suis prêt pour aller me branler, saoulé par des images plus vulgaires les unes que les autres. La voir plonger dans la fange, dans les bassesses les plus extrêmes. L'entendre dire des mots crus, supplier qu'on lui défonce le cul, la chatte. Et au final recevoir des giclées de sperme, de foutre de semence dans le ventre, le cul la bouche. Elle, ma douce, mon amour, ma vie ! Si fragile et en même temps si délicieusement perverse. Plus je la salis, plus je me sens l'aimer.
C'est un WE dans ma famille qui devait me faire revivre par hasard ce fantasme
(à suivre très vite)
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Remarquable retour psychologique sur les raisons d'un abandon en escalier. L'escalier vers le désir et le plaisir enfin atteints. Marion a vaincu car elle a osé tricher. C'est ce mensonge qui la sublime.
Merci pour nous les femmes, Arsenne.
Merci pour nous les femmes, Arsenne.
Hé oui, Arsène, j'ai failli attendre cette suite, toujours aussi excitante...Merci
Didier
Didier
toujours aussi bandant...bravo