Titre de l'histoire érotique : La prison au Bésiland
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : La prison au Bésiland
A Bourreville, la vitesse est limitée à 15 km heure. Pour éviter les accidents, au cas où le passager ou la passagère fait une fait une gâterie au chauffeur. Ici, au Bésiland, la liberté sexuelle est inscrite dans la constitution. Elle est même érigée en dogme et à chaque étage de la société, tout le monde la respecte. Nul n'a jamais été condamné pour délit sexuel. Il y a des centres d'éducation pour les jeunes, des magasins de consommation pour les célibataires ou pour les amateurs de jeux à plusieurs. Moi, j'ai été arrêté pour excès de vitesse et traduit devant un juge.
J'ai été condamné à 30 heures de travaux d'utilité publics, et incarcéré. Je n'ai pas compris tout de suite. Enfermé dans une prison, comment effectuer des travaux d'utilité publics.
Arrivé à la prison, on m' a fait déshabiller entièrement puis prendre une douche. Un médecin est venu m'examiner sous toutes les coutures et principalement les parties génitales. Ce ne fut pas désagréable. Une petite branlette, pour voir si je bandais, et un doigt dans le cul, pour voir si j'étais bien ouvert. Après une séance de désinfection, on m'enferma dans une cellule en verre.
Celle-ci contenait un lit et une chaisse en métal gainé de plastique blanc. A chaque montant du lit ou du dossier et des pieds de chaque meuble, des menottes étaient fixées. J'avais l'impression d'être dans un laboratoire de tortures d'un quelconque docteur fou. On me laissa là, libre de mes mouvements. Je me demandais toujours quels étaient les travaux en question mais ne voulais pas poser la question. La cellule était construite au milieu d'un pièce plus grande, aux murs tout blancs. Un peu comme pour les poupées russes. Sur un côté, on pouvant déceler une double porte, ouvrant sur je ne sais quoi. Un des battants s'ouvrit et un homme nu franchit la porte. Il se dirigea directement vers moi et ouvrit la cellule. Il hésita un instant avant d'entrer et referma le verrou derrière lui. Son hésitation était due à ma docilité ou à ma révolte. Comme j'étais docile, il s'avança vers moi. Il posa les clefs sur la commode et fit signe au portier. Les deux battants s'ouvrirent et un flot de gens, hommes et femmes, se déversa autour de la cage de verre. Excités, ils commencèrent à taper des mains sur les vitres. Mon visiteur me prit par la main et me poussa vers la chaise. Je n'avais pas remarqué au premier coup d'oeil que le siège était équipé en son centre d'un sexe en latex , de belle taille. J'ai compris que le cerbère voulait que je m'y asseye. Une fois empalé, il fixa mes chevilles aux menottes de la chaise et mes bras au dossier. Il se retourna vers la foule et salua. Il revint vers moi et prenant sa bite à pleine main, il la présenta à mes lèvres. J'ai compris que je n'avais pas le choix et l'ai prise dans ma bouche. Quand le gland toucha le fond de ma gorge, la moitié de la bite était encore dehors.
- Je vais te baiser, d'abord par là, dit le gardien. La règle veut que tu la prennes toute entière. Je vais y aller progressivement et de plus en plus profond. Quand tu ne pourras plus, tu fermeras les yeux pour m'avertir et tu avaleras. Alors, je pousserai ma bite à fond pour que tout y entre. Après, on passera au cul.
Il se mit à onduler des hanches, faisant glisser sa bite entre mes lèvres.
- Mouilles bien, chuchotta-t-il, sinon tu vas souffrir quand je m'enfoncerai dans ta gorge.
J'ai produit toute la salive que j'avais dans le corps. Son gland glissait entre ma langue et le palais, progressant par petits bouts. J'arrondissais les lèvres autour de son gros membre qui écartelait ma bouche. Quand il toucha la luette, je fermai les yeux et, comme il me l'avait indiqué, j'ai avalé. A ce moment, et d'un seul coup, il enfonça sa bite dans ma bouche jusqu'aux couilles. J'ai cru que j'allais vomir ou m'étrangler, mais, je n'avais pas le choix, j'ai respiré par le nez. Ma tête était renversée en arrière. Le bourreau introduit deux doigts dans ma bouche, écarta mes lèvres au maximum, et, s'aidant d'une main, il poussa ses couilles à l'intérieur.
Les spectateurs de l'autre côté de la vitre applaudirent à tout rompre. Il se retira alors de moi et après une courte masturbation, il mit juste son gland entre mes lèvres et m'intima l'ordre d'avaler. L'assemblée vit avec ravissement les soubresauts de l'éjaculation qui agitaient le sexe collé sur ma bouche, ainsi que les mouvements de ma pomme d'adam, prouvant que j'avalais le sperme punitif.
Mon tourmenteur quitta alors ma bouche et se retourna, prêt à partir.
- Et le cul ? Demandai-je.
- Attends dit-il. Ce n'est pas moi.
Et il sortit. Dehors, on entendait :
- Enculé ! Enculé !
La grande porte s'ouvrit pour laisser sortir l'embouché et l'enculeur apparut. Mon sang se glaça. Celui-ci devait mesurer près de deux mètres. Ses bras étaient gros comme mes cuisses et son sexe alors, monstrueux ! Aussi large que mes poignets. Qu'est-ce que j'allais prendre dans le cul.
Je m'étais déjà fait ramoner plusieurs fois, si bien que le passage était fait, mais là ! Je crois qu'après ça, je pourrais supporter un cheval. Il entra dans le bocal et me libéra des menottes. Il mit sa grosse queue dans ma main en disant :
- Je veux que tu sentes ce que je vais te mettre !
Il était si gros que je ne pouvais pas refermer ma main autour. Je commençais à pâlir.
Il devait être habitué parce qu'il me proposa :
- Sans te promettre que tu ne souffriras pas, je connais un moyen pour t'apaiser un peu. Je rentre juste le gland, tu me branles jusqu'à ce que je crache dans ton cul. Ensuite, tu t'assoies sur moi et tu lubrifies ton cul avec mon sperme, on change de position puis je te défonce. Ca te va ?
- C'est mieux que rien, bredouillais-je.
La coulée de sperme était à la hauteur de la taille du sexe. Mon cul était plein. J'enfourchai l'enculeur et m'asseyais sur son pieu. Je forçai déjà pas mal pour faire entrer le gland. Quand il fut à l'intérieur, je fis coulisser de haut en bas mon anus, le long de l'énorme engin, l'engloutissant d'un millimètre supplémentaire à chaque descente. Le prendre tout entier dans le cul me prit plusieurs minutes. Quand mes fesses touchèrent son pubis, l'enculeur me prit par la taille et me courba en avant, par-dessus le dossier de la chaise. Il y attacha mes poignets aux menottes. J'étais debout, ses mains accrochées à mes hanches. Mon cul lubrifié par son sperme, son sexe s'agita dans mon trou, entrant et sortant comme un piston, de plus en plus vite et de plus en plus profond. Maintenant, on entendait le choc de mes fesses contre son ventre. Du sperme sortait de mon cul et coulait le long de mes jambes. Il m'a limé comme ça pendant près d'un quart d'heure.
Voilà à quoi correspondent les travaux d'utilité publics au Bésiland.
J'ai été condamné à 30 heures de travaux d'utilité publics, et incarcéré. Je n'ai pas compris tout de suite. Enfermé dans une prison, comment effectuer des travaux d'utilité publics.
Arrivé à la prison, on m' a fait déshabiller entièrement puis prendre une douche. Un médecin est venu m'examiner sous toutes les coutures et principalement les parties génitales. Ce ne fut pas désagréable. Une petite branlette, pour voir si je bandais, et un doigt dans le cul, pour voir si j'étais bien ouvert. Après une séance de désinfection, on m'enferma dans une cellule en verre.
Celle-ci contenait un lit et une chaisse en métal gainé de plastique blanc. A chaque montant du lit ou du dossier et des pieds de chaque meuble, des menottes étaient fixées. J'avais l'impression d'être dans un laboratoire de tortures d'un quelconque docteur fou. On me laissa là, libre de mes mouvements. Je me demandais toujours quels étaient les travaux en question mais ne voulais pas poser la question. La cellule était construite au milieu d'un pièce plus grande, aux murs tout blancs. Un peu comme pour les poupées russes. Sur un côté, on pouvant déceler une double porte, ouvrant sur je ne sais quoi. Un des battants s'ouvrit et un homme nu franchit la porte. Il se dirigea directement vers moi et ouvrit la cellule. Il hésita un instant avant d'entrer et referma le verrou derrière lui. Son hésitation était due à ma docilité ou à ma révolte. Comme j'étais docile, il s'avança vers moi. Il posa les clefs sur la commode et fit signe au portier. Les deux battants s'ouvrirent et un flot de gens, hommes et femmes, se déversa autour de la cage de verre. Excités, ils commencèrent à taper des mains sur les vitres. Mon visiteur me prit par la main et me poussa vers la chaise. Je n'avais pas remarqué au premier coup d'oeil que le siège était équipé en son centre d'un sexe en latex , de belle taille. J'ai compris que le cerbère voulait que je m'y asseye. Une fois empalé, il fixa mes chevilles aux menottes de la chaise et mes bras au dossier. Il se retourna vers la foule et salua. Il revint vers moi et prenant sa bite à pleine main, il la présenta à mes lèvres. J'ai compris que je n'avais pas le choix et l'ai prise dans ma bouche. Quand le gland toucha le fond de ma gorge, la moitié de la bite était encore dehors.
- Je vais te baiser, d'abord par là, dit le gardien. La règle veut que tu la prennes toute entière. Je vais y aller progressivement et de plus en plus profond. Quand tu ne pourras plus, tu fermeras les yeux pour m'avertir et tu avaleras. Alors, je pousserai ma bite à fond pour que tout y entre. Après, on passera au cul.
Il se mit à onduler des hanches, faisant glisser sa bite entre mes lèvres.
- Mouilles bien, chuchotta-t-il, sinon tu vas souffrir quand je m'enfoncerai dans ta gorge.
J'ai produit toute la salive que j'avais dans le corps. Son gland glissait entre ma langue et le palais, progressant par petits bouts. J'arrondissais les lèvres autour de son gros membre qui écartelait ma bouche. Quand il toucha la luette, je fermai les yeux et, comme il me l'avait indiqué, j'ai avalé. A ce moment, et d'un seul coup, il enfonça sa bite dans ma bouche jusqu'aux couilles. J'ai cru que j'allais vomir ou m'étrangler, mais, je n'avais pas le choix, j'ai respiré par le nez. Ma tête était renversée en arrière. Le bourreau introduit deux doigts dans ma bouche, écarta mes lèvres au maximum, et, s'aidant d'une main, il poussa ses couilles à l'intérieur.
Les spectateurs de l'autre côté de la vitre applaudirent à tout rompre. Il se retira alors de moi et après une courte masturbation, il mit juste son gland entre mes lèvres et m'intima l'ordre d'avaler. L'assemblée vit avec ravissement les soubresauts de l'éjaculation qui agitaient le sexe collé sur ma bouche, ainsi que les mouvements de ma pomme d'adam, prouvant que j'avalais le sperme punitif.
Mon tourmenteur quitta alors ma bouche et se retourna, prêt à partir.
- Et le cul ? Demandai-je.
- Attends dit-il. Ce n'est pas moi.
Et il sortit. Dehors, on entendait :
- Enculé ! Enculé !
La grande porte s'ouvrit pour laisser sortir l'embouché et l'enculeur apparut. Mon sang se glaça. Celui-ci devait mesurer près de deux mètres. Ses bras étaient gros comme mes cuisses et son sexe alors, monstrueux ! Aussi large que mes poignets. Qu'est-ce que j'allais prendre dans le cul.
Je m'étais déjà fait ramoner plusieurs fois, si bien que le passage était fait, mais là ! Je crois qu'après ça, je pourrais supporter un cheval. Il entra dans le bocal et me libéra des menottes. Il mit sa grosse queue dans ma main en disant :
- Je veux que tu sentes ce que je vais te mettre !
Il était si gros que je ne pouvais pas refermer ma main autour. Je commençais à pâlir.
Il devait être habitué parce qu'il me proposa :
- Sans te promettre que tu ne souffriras pas, je connais un moyen pour t'apaiser un peu. Je rentre juste le gland, tu me branles jusqu'à ce que je crache dans ton cul. Ensuite, tu t'assoies sur moi et tu lubrifies ton cul avec mon sperme, on change de position puis je te défonce. Ca te va ?
- C'est mieux que rien, bredouillais-je.
La coulée de sperme était à la hauteur de la taille du sexe. Mon cul était plein. J'enfourchai l'enculeur et m'asseyais sur son pieu. Je forçai déjà pas mal pour faire entrer le gland. Quand il fut à l'intérieur, je fis coulisser de haut en bas mon anus, le long de l'énorme engin, l'engloutissant d'un millimètre supplémentaire à chaque descente. Le prendre tout entier dans le cul me prit plusieurs minutes. Quand mes fesses touchèrent son pubis, l'enculeur me prit par la taille et me courba en avant, par-dessus le dossier de la chaise. Il y attacha mes poignets aux menottes. J'étais debout, ses mains accrochées à mes hanches. Mon cul lubrifié par son sperme, son sexe s'agita dans mon trou, entrant et sortant comme un piston, de plus en plus vite et de plus en plus profond. Maintenant, on entendait le choc de mes fesses contre son ventre. Du sperme sortait de mon cul et coulait le long de mes jambes. Il m'a limé comme ça pendant près d'un quart d'heure.
Voilà à quoi correspondent les travaux d'utilité publics au Bésiland.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
oui tout comme moi aussi moi je verrait 50 a l'h comme ca je peu rester plusieurs jour lol
C'est où le bresiland ? J'ai envie de me faire flasher.