Titre de l'histoire érotique : La visite de ma cousine - histoire érotique

La visite de la cousine

3 mois après le mariage de ma cousine Fatima, elle est venue nous voir, accompagnée de sa belle mère, c'était un vendredi, son mari, travaillant en Libye, est parti et n'est pas prêt de revenir. Après les formules d’usage, la belle mère a dit à ma mère qu'elles étaient venues voir un médecin parce que Fatima était un peu fatiguée, ma mère lui a dit que c'est vendredi il faudra attendre le lundi pour voir un médecin. Donc elles doivent rester chez nous pour le week-end.
Le samedi fut un jour de promenade, ma mère les a emmené en ville faire un tour voir les souks et les bazars, moi, j'étais occupé à préparer certains travaux de ma section à l'institut agronomique.
Le dimanche la belle mère de ma cousine voulait voir ce que c'est qu'une grande surface, moi j'avais un match de foot dans la matinée, j'y ai été mais il avait plu ce jour là et on n'a pas pu faire notre match.
Donc, je suis revenu à la maison, je croyais qu'il n'y avait personne, je suis entré en sifflotant, et je trouve ma cousine à la maison. je lui demande où sont passés les autres, elle m'a dit qu'elles étaient parties sans elle, elle était fatiguée et elle n'a pas voulu les accompagner. Ce jour là mon père était parti à la chasse.
Ma cousine regardait la télévision, elle était vautrée sur le canapé, je me suis assis à côté d'elle, et on a commencé à parler,
Comment tu as trouvé le mariage ?
- C'est bien, mais je suis seule, mon mari est parti.
- Donc tu dors toute seule…
- Eh oui !
- Donc pas de caresses, pas de…..
- Pas de sexe, tu peux le dire…
A ces mots je me suis approché d’elle, ses pied étaient de mon côté et j'ai approché ma main et j'ai touché ses orteils, elle n'a pas bougé. J’ai continué, j'ai caressé son pied, elle a fermé les yeux et a gémi, j'ai continué mes caresses vers ses mollets, elle s'est laissé faire, elle a retroussé la chemise de nuit laissant apparaître ses cuisses. Là j'ai compris que je pouvais y aller sans crainte, j'ai mis ses jambes sur mes genoux et j'ai engagé ma main entre ses cuisses, elle a gémi tout en écartant les cuisses, je suis arrivé jusqu'à son minou et je l'ai palpé à travers le tissus de sa culotte, elle mouillait déjà… Je lui dis si on montait à ma chambre ce sera plus confortable dans un lit. On a éteint la télévision et on est monté à ma chambre, là elle a enlevé sa chemise de nuit et s'est jeté sur le lit, je me suis débarrassé de ma chemise et de mon short et je me suis étendu à côté d'elle. Elle me dit ce sera comme avant le mariage, les bons moments qu'on avait passés ensemble à la campagne. Elle a ravivé mes souvenirs, on s'est enlacé et on a commencé à nous embrasser, elle a envoyé sa langue dans ma bouche et moi j'ai fais de même avec ma langue. Ensuite j'ai pris un de ses seins dans ma bouche et j'ai commencé à le sucer, elle a émis un gémissement, pendant ce temps je travaillais son autre sein avec ma main libre, je le malaxais et elle gémissait. Elle a envoyé sa main se balader vers ma verge, elle l'a prise et a entamé une branlette, j'avais une bonne érection ! Elle m'a demandé si elle pouvait me sucer, je me suis mis sur le dos et elle s'est mise entre mes jambes et entama une sucette, engouffrant ma bite dans sa bouche jusqu'à la gorge, elle suçait tout en grognant de plaisir comme si c'était une glace trouvée dans le désert. Je n'avais pas touché une femme depuis un mois, j'ai vite éjaculé dans la bouche de ma cousine et comme d'habitude elle a tout avalé. Elle m'a nettoyé toute la bite. J'ai recommencé mes caresses, je l'ai embrassé à pleine bouche, nos langues se sont entrelacées, je me suis mis sur elle et j'ai commencé à lui titiller avec la langue les seins, elle gémissait, je suis descendu vers son ventre, son nombril et j'ai attaqué son minou, il était bien rasé, j'ai engagé ma langue entre les lèvres de son minou, elle a gémi au premier contact de ma langue avec son clitoris, j'ai continué à lui titiller le clitoris jusqu'à ce qu'elle eu crié : OOOOOOOGHHHHHHHHHHHHHHHH ,elle venait d'avoir un orgasme m'inondant la gueule avec un torrent de cyprine...
Elle cria "pénètre moi vite j'ai envie de t'avoir en moi". Sitôt demandé sitôt fait, j'ai approché mon chibre de sa vulve et j'ai introduit le gland, avec la lubrification en moins de rien j'étais dedans jusqu'aux couilles. Ma cousine a levé les jambes en l'air pour me faciliter la pénétration, mes va et viens ont commencé lentement arrachant des râles à ma partenaire, tout en lui disant quelle belle grotte tu as ma chère cousine et elle de me répondre que chose promise chose due, parce qu'elle m'avait promis de m'offrir sa chatte un jour. J'ai continué à la ramoner le plus doucement du monde et elle gémissait et criait profitant de l'absence des autres. J'étais aux nues. Je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes, elle s'est exécutée sortant son cul en pompe, j'ai réadmis mon chibre dans sa foufoune et j'ai continué à la ramoner tout en regardant son trou du cul, il avait repris sa forme initiale, il était serré. Tout en gémissant ma cousine me demanda d'aller plus vite ce que j'ai fait , elle avait eu un autre orgasme, moi je ne voulais pas terminer je l'ai laissé reprendre son calme et j'ai repris de plus belle mes va et viens, j'ai senti un plaisir remonter de la base du dos, mes muscles se sont tendus ,et j'ai agrippé fortement les hanches de ma partenaire et j'ai accéléré mes mouvements, et j'ai joui, je suis resté enfoncé profondément en elle, lâchant des giclées de foutre à l'intérieur du vagin de ma cousine , elle criait : OH que c'est chaud ! Oh que c'est bon ! ouiiiiiiiii, je l'ai lâchée et je suis tombé à coté d'elle tout en sueur. Elle s'est étendue, le visage dans l'oreiller, respirant péniblement, c'était l'extase. Je lui ai dit il faudra qu'on visite ce cul, elle m'a dit : il faudra attendre l’occasion, il faut disparaître maintenant pour ne pas éveiller de soupçons. Sitôt fini on s'est vite rhabillé, et je suis parti en emportant mon sac de sport, je suis revenu après que ma mère et la belle mère de ma cousine soient rentrées. Ni vu ni connu. Le soir au dîner ma cousine me regardait en clignant de temps en temps des yeux, elle était radieuse et de bonne humeur !