Titre de l'histoire érotique : Le cavalier et sa monture (moi)
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Le cavalier et sa monture (moi)
Sur l'écran, un beau mec sodomise un minet. A travers le tissu de mon short, je serre mon sexe, raidi par le spectacle. Un colosse s'approche et s'assied près de moi. Sans attendre, sa main prend la place de la mienne. Son autre main prend mon visage et le tourne vers lui. Il se penche et ses lèvres se posent sur les miennes. Sa main glisse vers ma poitrine. Ses doigts ouvrent ma chemise et caressent mon torse. Sa langue se glisse dans ma bouche, tandis que ses doigts se posent sur ma braguette. Je pousse un soupir d'aise. Il passe un bras autour de mon cou, pendant que ses doigts ouvrent mon pantalon. Ils se glissent dans mon slip et saisissent ma queue bien dure. Ils la sortent du vêtement, et le costaud se penche et l'embouche. Ses lèvres montent et descendent le long de ma bite. Quand sa langue passe sur la fente du gland, ça déclenche en moi, une sorte de spasme. Sentant l'éjaculation toute proche, le mec passe sa main dans mon dos et la pose sur mes fesses. Il me pousse vers le bord du fauteuil pour que le sperme s'écoule sur le sol. En se relevant, il me glisse à l'oreille :
- Ca t'as plu ?
- Oui, ai-je chuchoté, dans le noir.
- Tu me fais la même chose ? demanda-t-il.
- J'aime pas sucer....
- Alors, pourquoi tu viens ?
- Moi, c'est mon cul que je donne.
Le colosse me regarde médusé.
- Pour de bon ?
- T'as l'air étonné ?
- Et toi si jeune...
- Combien tu me donnes ?
- 15 ans, 16 ans ?
- J'ai 22 ans !
- Je te crois pas....
- Avec toutes les histoires qui courent, vu ta réaction, ils m'auraient pas laissé entrer sans avoir vérifier mon âge.
- OK, lèves toi, pour voir.
Une fois debout, ses mains se posent sur mes fesses. Il se penche vers moi, et ses dents se referment sur ma bite, à travers mon pantalon. Il l'ouvre et descend mon slip. Il reprend ma bite dans sa bouche pendant qu'il glisse un doigt dans mon cul.
- Hum, dit-il, ça va être bon.
- Ouais, mais il y a une condition !
- Et c'est quoi ?
- Je veux que tu me déshabilles, et que tu m'encules,
devant tout le monde, au milieu du passage !
- Là-haut ?
- Ouais ! Tu me fous à poil, tu m'obliges à te sucer, puis, tu me renverse
sur l'accoudoir d'un fauteuil, et tu m'encules. Ensuite, tu jouis sur mon
dos.
Dès qu'il eut commencé d'enlever mon t-shirt, les pensionnaires du cinéma s'agglutinèrent autour de nous. Des exclamations fusèrent, quand le colosse ôta mon slip. De l'avis de mon entourage, j'ai un beau cul. Il posa ses mains sur mes épaules, et m'obligea à m'agenouiller. Une fois en place, le fort des halles sortit son instrument. Comme je le supposais, il avait la taille proportionnelle à la musculature de son propriétaire. Il l'empoigna et le présenta à ma bouche.
- Suces ! Gronda-t-il.
Un peu décontenancé, je déposai de la salive sur le pieu, pour lubrifier son passage entre mes lèvres. La bite était vraiment grosse. Je me suis pris à penser que bientôt je la prendrai dans le cul. Je sentais que celui-ci commençait à s'évaser.
La grosse bite commença à s'enfoncer dans ma bouche.L'énorme gland violacé, disparu entre mes lèvres, sous les yeux écarquillés des voyeurs. Quand mes lèvres entrèrent en contact avec les poils du pubis de l'hercule, celui-ci actionna ses hanches et le gros manche glissa sur ma langue. Après quelques va-et-vient, le molosse se retira, se baissa et m'attrapa par le bras. Une fois debout, il me prit par la main, comme un papa, saisissant la main de son fils. Il me conduisit vers un siège, et me courba sur l'accoudoir. Il recourba ses doigts dans sa main, sauf le majeur. Il le glissa dans la raie de mon cul, puis l'enfonça dans mon trou. Il le retira et le glissa dans sa bouche.
-C'est bon, dit-il. T'es bien lubrifié.
Il saisit son engin, et le glissa entre mes fesses. Il se pencha, et s'allongea sur mon dos. Il mit ses mains sur mes épaules, et, d'un puissant coup de reins, il enfonça sa grosse bite dans mon cul. Je poussai un cri de douleur. Quand il se mit à aller et venir dans cul, la douleur s'apaisa. Je saisi ma queue, qui se durcit immédiatement. Le monstre qui habitait mes entrailles s'arrêtait, quelques secondes, pour reprendre son labourage, excitant tous mes sens. Je voulais que ce moment dure le plus longtemps possible, mais c'est le plaisir qui décide du moment. Je me remémorai que mon occupant devait jouir sur mon dos. Pendant qu'il me bourrait le cul, plusieurs des spectateurs en profitèrent pour me baiser par la bouche. Ce soir-là, je ne mangerais sûrement pas. J'ai tellement bu de foutre ! Quand je sentis que le membre dans mon cul, grossit et durcit, le quidam se retira. Il se releva, empoigna son engin, le leva au-dessus de moi, et m'inonda le dos avec son sperme. Certains des voyeurs ont été éclaboussés. Finalement, mon musculeux suborneur, se retira et s'en alla. Il me laissait épuisé, éreinté, le cul en feu, mais comblé, le visage rieur et reconnaissant. Quelques anciens, habitués du lieu, me bouchonnèrent, comme on fait aux chevaux. L'un d'eux avait récupéré mes vêtements. A plusieurs, ils m'ont rhabillé.
- C'était un bon moment, dirent certains.très beau et excitant !
Le cul endolori, la bouche encore pleine du goût de leurs spermes, je leur ai promis qu'un de ces quatre, je reviendrai me faire monter par un nouveau et hardi cavalier.
- Ca t'as plu ?
- Oui, ai-je chuchoté, dans le noir.
- Tu me fais la même chose ? demanda-t-il.
- J'aime pas sucer....
- Alors, pourquoi tu viens ?
- Moi, c'est mon cul que je donne.
Le colosse me regarde médusé.
- Pour de bon ?
- T'as l'air étonné ?
- Et toi si jeune...
- Combien tu me donnes ?
- 15 ans, 16 ans ?
- J'ai 22 ans !
- Je te crois pas....
- Avec toutes les histoires qui courent, vu ta réaction, ils m'auraient pas laissé entrer sans avoir vérifier mon âge.
- OK, lèves toi, pour voir.
Une fois debout, ses mains se posent sur mes fesses. Il se penche vers moi, et ses dents se referment sur ma bite, à travers mon pantalon. Il l'ouvre et descend mon slip. Il reprend ma bite dans sa bouche pendant qu'il glisse un doigt dans mon cul.
- Hum, dit-il, ça va être bon.
- Ouais, mais il y a une condition !
- Et c'est quoi ?
- Je veux que tu me déshabilles, et que tu m'encules,
devant tout le monde, au milieu du passage !
- Là-haut ?
- Ouais ! Tu me fous à poil, tu m'obliges à te sucer, puis, tu me renverse
sur l'accoudoir d'un fauteuil, et tu m'encules. Ensuite, tu jouis sur mon
dos.
Dès qu'il eut commencé d'enlever mon t-shirt, les pensionnaires du cinéma s'agglutinèrent autour de nous. Des exclamations fusèrent, quand le colosse ôta mon slip. De l'avis de mon entourage, j'ai un beau cul. Il posa ses mains sur mes épaules, et m'obligea à m'agenouiller. Une fois en place, le fort des halles sortit son instrument. Comme je le supposais, il avait la taille proportionnelle à la musculature de son propriétaire. Il l'empoigna et le présenta à ma bouche.
- Suces ! Gronda-t-il.
Un peu décontenancé, je déposai de la salive sur le pieu, pour lubrifier son passage entre mes lèvres. La bite était vraiment grosse. Je me suis pris à penser que bientôt je la prendrai dans le cul. Je sentais que celui-ci commençait à s'évaser.
La grosse bite commença à s'enfoncer dans ma bouche.L'énorme gland violacé, disparu entre mes lèvres, sous les yeux écarquillés des voyeurs. Quand mes lèvres entrèrent en contact avec les poils du pubis de l'hercule, celui-ci actionna ses hanches et le gros manche glissa sur ma langue. Après quelques va-et-vient, le molosse se retira, se baissa et m'attrapa par le bras. Une fois debout, il me prit par la main, comme un papa, saisissant la main de son fils. Il me conduisit vers un siège, et me courba sur l'accoudoir. Il recourba ses doigts dans sa main, sauf le majeur. Il le glissa dans la raie de mon cul, puis l'enfonça dans mon trou. Il le retira et le glissa dans sa bouche.
-C'est bon, dit-il. T'es bien lubrifié.
Il saisit son engin, et le glissa entre mes fesses. Il se pencha, et s'allongea sur mon dos. Il mit ses mains sur mes épaules, et, d'un puissant coup de reins, il enfonça sa grosse bite dans mon cul. Je poussai un cri de douleur. Quand il se mit à aller et venir dans cul, la douleur s'apaisa. Je saisi ma queue, qui se durcit immédiatement. Le monstre qui habitait mes entrailles s'arrêtait, quelques secondes, pour reprendre son labourage, excitant tous mes sens. Je voulais que ce moment dure le plus longtemps possible, mais c'est le plaisir qui décide du moment. Je me remémorai que mon occupant devait jouir sur mon dos. Pendant qu'il me bourrait le cul, plusieurs des spectateurs en profitèrent pour me baiser par la bouche. Ce soir-là, je ne mangerais sûrement pas. J'ai tellement bu de foutre ! Quand je sentis que le membre dans mon cul, grossit et durcit, le quidam se retira. Il se releva, empoigna son engin, le leva au-dessus de moi, et m'inonda le dos avec son sperme. Certains des voyeurs ont été éclaboussés. Finalement, mon musculeux suborneur, se retira et s'en alla. Il me laissait épuisé, éreinté, le cul en feu, mais comblé, le visage rieur et reconnaissant. Quelques anciens, habitués du lieu, me bouchonnèrent, comme on fait aux chevaux. L'un d'eux avait récupéré mes vêtements. A plusieurs, ils m'ont rhabillé.
- C'était un bon moment, dirent certains.très beau et excitant !
Le cul endolori, la bouche encore pleine du goût de leurs spermes, je leur ai promis qu'un de ces quatre, je reviendrai me faire monter par un nouveau et hardi cavalier.
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