Titre de l'histoire érotique : Le frère d'un pote à une grillade - histoire érotique

Je vous raconte ma dernière expérience gay.
C'est au mois de février à l'ile de la réunion.
On était sur la plage de l'étang salé entre anciens potes du 4ème régiment du service militaire adapté pour une grillade et pour camper.
Ce soir là, un pote ramena son frère Franck qui était très gay. Il la bise et me lança un regard coquin. C'est vrai qu'il n'était pas mal, rouquin, un petit cul ferme, un bon paquet là où il le faut et une bouche qui me donne encore en ce moment.
Tout en parlant avec tout le monde, j'étais obsédé par son rire quand raconta des blagues cochonnes.
Lui doit bien râler quand il jouit me dis-je.
Le soir arrivant on s'est aperçu qu'il manquait de charbon pour notre grillade.
Je décidais d'aller du bois sec au bord de la plage.
Franck m'accompagna et mon excitation montait.
Au bout de 10 minutes, il en ramena plus que moi et se moquait de moi.
- quoi, t'as que çà comme bois? dit-il.
- oh arrete, j'en ai aussi.
- c'est pas grave, on partage dit-il en me fixant attentivement.
- attend, je peux te poser une question?
- ben ouais dit-il?
Comme je bandais je sortais ma queue et lui dit : c'est suffisant comme bois, celui là.
- ummm, j'espère qu'elle s'embrase pas trop vite
- Non, elle sait se retenir. J'aime ta bouche lui dis-je.
- ah bon, tu aimerais l'avoir sur ta queue me dit-il.
Ne me laissant pas le temps de répondre, il jeta son paquet de bois au sol et s'approcha de moi.
On s'embrassait vigoureusement et lui me caressa la queue.
- Tu es gay, me dit-il?
- Non, je suis marié à une femme et a dejà eu par la passé quelques expériences gays.
- tu aimerais faire quoi me demanda-t-il?
- vu ton joli cul, te la mettre au fond mais comme j'ai pas de capote qu'on se suce à moins que toi t'en as.
- Non désolé, je pensais pas baiser ce soir.

Il se me à genoux et commença à me lècher le gland pour l'enfoncer ensuite dans sa bouche chaude et humide.
Je le relevais et l'embrassait.
Je m'allongeais sur le sable et lui demanda de venir en 69.
Il enleva son caleçon et s'allongea pour une pipe d'enfer.
Avec ma langue je lui lèchais les couilles, le gland et lui gobait difficilement sa queue vu la grosseur et la longueur.
Au bout de 5 minutes (je pense) intensifs, il m'éjacula dans la bouche ce qui provoqua en moi une explosion.
On s'essuyait la queue et se rhabilla.
je lui dis que ça faisait longtemps que j'ai pas baisé avec un mec et que j'ai adoré ce moment.
On retourna avec les potes.
Tout au long de la soirée, on se regardait comme des amants en manque.
J'étais sur ma faim; Cette pipe m'a ouvert l'appétit.
Je m'éloignais un peu dans le noir vers la mer pour prendre l'air.
Au bout de 2 minutes, je sentais une main me prendre la main.
Je me retournais et vis Franck qui me tendait une biere.
Je lui dis que j'en voulais plus et il me dit la même chose.
Ecoute, je vais pas rester camper ce soir lui dis-je.
Si tu veux on part chez toi et ...
il mit sa main sur ma bouche et me dit ok si tu veux, j'ai des capotes à la maison et on pourra reprendre là où on était tout à l'heure.
- excuse moi j'en ai trop envie de ta grosse queue.
- moi aussi, j'ai envie de la tienne.

Je laissais mes potes en prétextant que ma femme vient de m'appeler pour une fuite d'eau.
Franck me rejoignais en voiture ensuite sur le parking pour nous rendre chez lui à Saint-Pierre dans la capital du Sud.

Tout en conduisant il me fit une pipe d'enfer, je zigzaguais sur la 4 voies à chaque coup de langue sur mon gland. Ne t'arrete pas continue, fais moi jouir avec ta bouche dis-je.
D'une main je tenais le volant et de l'autre je le guidais jusqu'à l'explosion totale.
Il avalait tout, il aimait çà le cochon.

Arrivé chez lui, on laissa la voiture dehors et on entra par la cuisine.
A peine la porte ouverte, que je le plaquais contre la porte pour lui rouler une bonne pelle.
Sa bouche avait le goût du sperme, mon sperme.

J'arrachais sa chemisette et baissa son caleçon pour gober son monstre.
Je le pompais en essayant de tout mettre en bouche mais en vain, quelle grande bite tu as Franck.
- Merci me dit-il.
Je me levais et lui demanda de m'emmener dans sa chambre.

Arrivé dans sa chambre il me jeta sur le lit puis venait entre mes jambes.
Il frottait sa queue contre mon bas ventre.
Je sentais sa queue durcir. Puis il me retourna sur le vente et approcha sa tête de mon cou pour me dire qu'il va bien s'occuper de moi.
Il se leva pour prendre des capotes et du gel dans sa table de chevet.
Il s'approcha et écarta mon cul. Il me lécha et me mit du lubrifiant.
- J'ai très envie de te prendre le cul me dit-il.
- Moi aussi, donne moi du plaisir.

Il me mit un doigt puis deux pour me préparer. Que c’était bon.
Il prit une capote et me demande de la mettre.
Je me retournais et me mit à quatre pattes pour le sucer puis j'enfilais la capote.
Je me levais et on s'embrassait.
- J'en ai très envie Franck, çà fait un bail que je ne l'ai pas fait, dis-je.
- Tu vas adorer tu vas voir me dit-il.
- Je veux être ta chienne. Donne moi du plaisir.

Il m'allongea sur le vente et me mis un oreiller sous le ventre pour soulever mes fesses.
J'étais cambré, le cul en l'air.
- écarte tes fesses me dit-il.

Il approcha ensuite son gland et le frotta sur mon petit trou.
- uuummmmm c'est bon dis-je.
Il enfonce son gland doucement pour ne pas me faire mal.
Je sens sa queue me pénétrait difficilement mais je le laisse faire;
Je sens mon trou s'ouvrir et sa respiration de plus en plus forte.
AU bout d'un moment il s'arrete pour que je m'habitue.
- vas-y dis-je je suis à toi.

D'un coup il m'enfonce sa queue. Je sens une chaleur en mois dans le bas du dos.
- Je suis au fond me dit-il
Ses couilles me touchent les fesses et il accélère le mouvement.
- VAs-y Franck défonce moi.

Il me plaque au sol en appuyant ses mains sur mes hanches et me défonce le cul.

- c'est bon ne t’arrête pas.
Il me donne de plus en plus de grand coup de reins.
Au bout de 5 minutes, il s'arrête me demandant de changer de position.
Il sort sec, je sens mon cul s'enflammer.

Il se mit sur le dos et me demande de le chevaucher.
Je remets un peu de lubrifiant et lui c'est moi qui prend les commandes maintenant.
Je m’assois sur sa queue et me l'enfonce jusqu’aux couilles de mon amant d'un soir.

J'accélère le mouvement et lui me branle la queue.
- ahhhhh je te sens,...
Je ne me contrôle plus et hurle de plaisir.
Je me penche en arrière pour que sa queue me simule la prostate.
- OUIIIIIIIIIIII c'est bon.

Lui aussi devient de plus en plus chaud et me lance des cochonneries.
- Tu aimes la bite dans ton cul, t'es une bonne garce dit-il
- oui, je suis à toi, fais en moi ton esclave.
- ah ouais mon esclave.
Il me mit une bonne claque sur les cuisses
- laisse toi faire.
Il me prit par les hanches et donna de grands coups de queue de plus en plus violent.
Il me soulevait les fesses et me donna de grands coups puis me repoussa.
- tu veux être mon esclave? dit-il.
- oui j'aime ta queue.

Il se releva et me dit de me mettre à 4 pattes la tête sur le lit.
Tout d'un coup je sentais un coup de ceinture sur les fesses.
- Aie dis-je surpris.
- Tu es chez moi ce soir et c'est moi le maître.

Il me mit une dizaine de coup de ceinture sur les fesses.
Je prenais un plaisir enfoui en moi je pense.

Tout d'un coup il s'approche de moi et m'enfonce sa queue d'un coup et me défonce le cul ouvert.
Il est de plus en plus violent.
- Prends çà, cochonne et hurle de plaisir.

Je pris mon pied comme jamais.
Au bout de quelques minutes de lutte, il me pousse par les hanches violemment contre le lit pur dégager son sexe enflammait.
Il enlève sa capote et me jouit dans le bouche.
J'avale tout et lui pompe la queue pour tout nettoyer.

- t'es une bonne chienne me dit-il.
- Merci, mais toi tu assures grave avec ta queue dis-je

On prenait ensuite une douche où il me suça pour jouir à mon tour et on a passé la nuit ensemble.

Je ne vous cache pas que la nuit fut longue et que mois aussi je l'ai mis au fond. Mais bon je préfère sentir sa queue en moi que la mienne en lui tellement qu'il est habile.

A bientôt pour une autre aventure