Une partie entre homme après une longue abstinence (suite) - histoire érotique

Hello,
Après avoir pris mon pied et été baisé comme une chienne humiliée, je nettoyais la queue de mon amant qui n’avait joui autant avec sa femme en le pompant jusqu’à la dernière goutte.
Ayant beaucoup transpirait je l’invitai à prendre une douche réparatrice.
Je coulais un bain chaud et entrait dans ma grande baignoire. Je l’invitai à me rejoindre. Il se mit entre mes jambes et je faisais couler l’eau sur son dos. Je le savonnai et le cou et lui fit des bisous tout en effleurant son sexe toujours aussi gros avec ma main. Je lui parlais de ma première fois et des autres aventures que j’avais entre autres à l’ile Maurice. Tout en lui racontant mes aventures je frottais ma petite queue de 13 sur son dos et il a compris qu’à mon tour j’avais envie de lui.
Je me levais et l’aidait à sortir en lui tendant la main. En se levant je le tirais vers moi et je lui roulais une pelle en le tant la tete entre mes mains.
Je lui dis que j’ai trop envie de jouir sur son petit cul.
Il se mit alors à genoux et goba ma queue bien raide et décalottée.
Il me suçait et me caressait les couilles en même temps et ne se gênait pas de mettre un doigt dans le cul encore dilaté.
Il mettait tout dans sa bouche et faisait des mouvements de va et vient de plus en plus intense.
Tout d’un coup, peur de jouir, (eh oui, il suçait bien mon amant), je le repoussai.
Je le relevai et l’embrassait avec fougue.
Je lui dis que je veux le baiser le cul dans la salle de bain en face du miroir. Je veux qu’on se voit prendre du plaisir.
Je lui dis de m’attendre le temps de partir récupérer le gel et les capotes.
De retour, il était déjà en appui avec une main sur le meuble de la salle de bain et de l’autre il se caressait les fesses et effleurait son petit trou epilé.
Voyant cela, je m’approchais de lui et m’accroupis en approchant mon visage de son petit cul bien ferme. Il avait une bonne odeur d’anus. Je sniffai et approchai ma langue. Je lui mettais de la salive et essayais de le pénétrer avec ma langue très chaude.
Il gémissait. Avec mon pouce je lui caressai l’anus et lui léchai les grosses couilles et je remontais ma langue vers son petit trou.
Çà le faisait sursauter.
Je lui léchais l’anus pendant un bon moment et j’alternais entre le dessous de ses couilles et son anus.
J’approchais enfin mon index et essayait de le pénétrer. Il sursautait par peur d’avoir mal.
Je lui dis de se mettre à l’aise et qu’il a la chance que j’aie un sexe pas trop gros pour la pénétration.
Je pris du gel et mis une bonne dose sur son trou. Je lui dis de respirer profondément et que j’allais entrer en douceur et surtout de me dire si je le faisais mal.
J’appuyais doucement et le pénétrais avec mon doigt. J’arrêtai de bouger afin qu’il sente bien le doigt. Je luis dis s’il veut de bouger son cul afin de faire des va et viens.
Il le faisait tout doucement pendant 2 bonnes minutes et lâchait de temps en temps un petit gémissement.
Je commençais à tourner mon doigt en lui tout en lui léchant les couilles et je le voyais de plus en plus à l’aise avec mon doigt.
J’en profitais à mon tour pour lui bourrer le cul en accélérant le mouvement avec mon doigt. Ça le faisait couiner davantage.
Je me relevais en laissant mon doigt en lui et lui dis que je vais lui faire découvrir un plaisir auquel il n’a jamais vécu.
Je luis dis : Tout à l’heure quand tu m’as baisé dans le lit, tu m’as dit que t’avais jamais joui comme çà avec ta femme.
Il me dit en souriant que c’était vrai.
Tu sais lui dis-je, moi je jouis bien du cul et toi çà sera ta première fois.
Tu vas voir ça va être autre chose que de m’enculer.
Je lui dis que je vais te faire jouir juste avec mon doigt en toi.
Comment ? me dit-il.
Surprise chéri décontracte toi et laisse toi faire.
Je retirais alors délicatement mon doigt de mon amant.
Je lui remis du gel et l’enfonça d’un coup.
Mon doigt entrait comme dans du beurre.
J’activais le mouvement tout en restant doux.
Tout en faisant des mouvements de va et vient je tournais mon doigt.
Je sentais son rythme accéléré.
Tu aimes çà mon cochon lui dis-je.
Il me regardait dans le miroir et se mordait les lèvres.
Tout en le pénétrant je lui caressais la prostate et étant debout derrière lui je lui mordais les oreilles.
Un doigt dans le cul, une main sur son torse qui descendait entre ses jambes à la recherche de sa queue qui à mon grand étonnement était toute molle.
Moi la mienne était dure et je me frottais sur sa cuisse comme pour me branler.
Pendant 5 bonnes minutes je lui bourrais le cul en massant sa prostate et tenais dans mon autre main sa grosse queue tout molle que je caressais.
Puis je le voyais dans le miroir se grimacer et jouir en couinant : un liquide encore plus épais sortait de sa queue.
Il m’a avoué qu’il se sentait faible. Je le pris dans mes bras et l’embrassais.
Oh purée me dit-il, je ne sais pas comment décrire ce que tu viens de me procurer.
Alors, tout à l’heure tu m’as baisé et jouis en bouche en me disant que c’était mieux qu’avec ta femme.
Et là tu as joui d’une autre façon. C’est une bonne leçon que tu as apprise aujourd’hui.
Moi aussi, j’aime me masser ma prostate quand je suis seul ou avec un homme qui sait y faire.
Mais au fait, je veux jouir à mon tour.
Tu veux quoi me dit-il ?
Je veux que tu me suces un peu pour que je t’encule comme ton petit trou semble prêt.
Je l’embrasse et appuie sur sa tête pour qu’il se mette à genou.
Il ouvre grand la bouche et me gobe littéralement la queue pendant 2 bonnes minutes.
Je lui donne capote pour qu’il me l’enfile et lui dis de mettre du gel sur la capote.
Je le relève et me mets derrière lui et pointe ma queue vers son anus.
J’approche mais malgré que je n’ai pas une grosse, elle a du mal à entrer.
Il prend alors du gel et remet une bonne dose sur son trou et je le vois mettre un doigt et se branler.
Ummm tu aimes çà on dirait.
IL sourit et continue.
Essaie de t’en mettre 2 doigts lui dis-je. Il le fait lentement mais sûrement.
Il active le mouvement et gémit beaucoup.
Je pense que tu es prêt à me recevoir lui dis-je.
Je me pointe alors derrière lui et approche mon gland.
J’essaie de forcer le passage mais ça veut toujours pas rentrer.
Respire lentement lui dis-je. Dès que tu sens ma queue forçait ton anus, pousse comme si tu voulais faire un besoin, çà va relâcher ton sphincter et je pourrais te pénétrer.
Il appliqua mes conseils et j’ai pu le pénétrer et commencer à le baiser.
Je le tenais par les hanches et accéléra le mouvement.
Tu es à moi maintenant dis-je.
Je vais te montrer qu’une petite queue donne autant de plaisir.
Oh que c’est bon me dit-il. Bourre-moi encore.
J’accèlerais le mouvement et je le plaquais contre le meuble
Tu es une bonne chienne tu sais lui dis-je
Oui, c’est bon de se faire prendre.
Je lui tirais les cheveux tout en le défonçant.
Tu vas me faire jouir si tu continues à couiner ainsi lui dis-je.
Il hurlait tellement fort que j’avais peur que les voisins nous entendent.

Ne tenant plus je sortais de son cul, enlevais ma capote et lui tendais la queue.
Il ouvrit grand sa bouche et il me goba.
J’essayais de sortir pour ne pas lui jouir dans la bouche mais il me tenait par les fesses pour que je lui jouisse dans la bouche.
Il ne laissa aucune goutte.
Il se releva et me roula une pelle avec le gout de mon sperme.
Lui était déjà au garde à vous.
Il me retourna et se frotta contre mon cul pour me rejoindre.
Sa queue bien raide me pénétra sans difficulté et à son tour il me bourrait.
Le fait de me voir dans le miroir avec mon amant en train de me sodomiser procurait en moi un plaisir que je n’arrive toujours pas à décrire encore aujourd’hui.
Il me traitait de tous les noms et moi j’aimais çà.
J’étais sa chienne, sa chose, sa petite pute et j’aimais çà.
Au bout d’un bon moment de bourrage de cul et je le vis se crispait dans le miroir tout en me serrant par les hanches. Il accélérait le mouvement et jouis en moi. Je sentais son liquide couler entre mes fesses.
Il me serra dans ses bras et resta en mois jusqu’à qu’il débande.
J’ai pris beaucoup de plaisir sans éjaculer.

Quel moment inoubliable cette journée.