Titre de l'histoire érotique : Le jardin de la "colonne", la nuit.
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2016 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Le jardin de la "colonne", la nuit.
L'été, le bus qui va à la plage est toujours bondé, quelle que soit l'heure. Pour moi, c'est la seule ligne qui passe par chez moi. Ce jour-là, je remarque tout de suite, une fille avec un joli cul. Elle me tourne le dos. Donc, elle ne voit pas le regard insistant que je porte sur cette partie de son anatomie. A mesure que le bus progresse et que le flux des voyageurs qui nous sépare, diminue, je me rapproche d'elle. Elle n'a pas l'air de vouloir descendre. Excité par le galbe de son cul, je laisse passer l'arrêt où je descend d'habitude. Encore quelques passagers, et j'accéderai à ce joli fruit charnu.
Et voilà, je suis près d'elle. Je me campe derrière, et j'esquisse un toucher léger. Pas de réaction. Je me rapproche encore un peu. La caresse se fait plus précise. Obnubilé par ma quête, je ne me suis pas aperçu qu'un grand gaillard , m'avait suivi. J'ai senti que quelqu'un se collait à moi, dans mon dos. Bizarre, il me semblait qu'il y avait moins de monde. C'était un mec. Et il était en forme. Je sentais sa bite contre mon cul. Ce n'était pas un hasard. Je sentais que le mec cherchait à loger sa pine entre mes fesses, sur la raie. Comme je me dégageai vers l'avant, la fille au sublime cul, recula pour se coller à mon bas-ventre. Ma bite grandit et se raidit immédiatement. Dans le même temps, le bite sur ma raie me mit en émoi. La fille saisit ma queue à travers le pantalon et la serra dans sa main. Le gars derrière moi, se pencha et glissa à mon oreille :
- Tu descends là !
Le ton était péremptoire. Je n'ai pas résisté et suis descendu du bus. La fille passa son bras autour de mon cou, comme si nous nous connaissions. Du coin de l'oeil, je vis que le gars était descendu lui aussi. Il nous suivait à distance. Tout en haut de la rue, il y avait un jardin. Cet endroit est connu pour abriter les ébats des aventuriers du sexe de tout poil. Qu'allait-il m'arriver ?
J'en salivait à l'avance. J'aime ce genre de rencontre. Je n'entame jamais les hostilités. Je suis un passif. Je ne prend jamais rien, je donne tout, mon cul, ma bite, ma bouche. Aux hommes et aux femmes, indifféremment. On peut m'utiliser, chacun à sa guise.
La fille me regarde et me dit :
- Ca fait trois jours que James te suis. Quand on a un cul comme le tien, on ne peut pas être innocent.
Le James en question s'était assis sur un banc. Il avait baissé son pantalon. Son gros sexe était majestueusement dressé au milieu d'une forêt de poils roux. Il devait être britannique. La fille passa derrière moi, et me poussa doucement vers le rosbif à la bite flamboyante. Elle me glissa à l'oreille :
- Mets-toi à genoux...
Pas besoin de me faire un dessin, sur leurs intentions.
Je me mis en position. Je me penchai vers l'engin de l'angliche, la langue dehors. J'ai léché d'abord la colonne puis les couilles du grand breton, histoire de le débrider, puis, j'ai empoigné sa bite. J'ai donné un coup de langue sur le méat, ce qui a provoqué un mouvement de ses reins. Il m'a saisi par les cheveux, et a enfoncé son braquemart dans ma bouche. J'ai serré les lèvres. Moi, voir les lèvres d'un homme ou d'une femme glisser le long de ma bite, ça me rend fou. Alors, je suppose que c'est la même chose pour les autres. Vu la réaction du mec d'outre Manche, je suis sûr d'avoir raison. Il a imprimé à ma tête, un mouvement de plus en plus rapide. A chaque plongée, la pine s'enfonçait plus loin dans ma gorge. Je la sentait qui durcissait, s'allongeait et que les reins de James se crispèrent. Dans un ultime mouvement de ses hanches, ses couilles vinrent se coller à mes lèvres, et il s'épancha sur ma langue.
La fille s'agenouilla à côté de moi, et me glissa à l'oreille :
- N'avales pas, chuchota--elle. Ne craches pas non plus. Tu vas en avoir besoin quand tu vas l'avoir dans le cul, ajouta-t-elle, en désignant le sceptre de son compère.
Pendant que je suçais l'Anglais, la fille avait déboutonné lé braguette de mon pantalon et avait baissé mon slip. Elle n'avait cessé, durant mon opération buccale, d'embrasser et de lécher mon cul. Elle tendit la main, et je recrachai le sperme de son acolyte. Elle m'en barbouilla la raie, me prit la main et me releva. Elle me retourna vers elle, et me poussa à nouveau vers le banc, mit ses mains sur mes hanches, et m'empala sur le gros membre.Elle s'était baissée pour regarder l'engin s'enfoncer dans mon cul. Quand mes fesses reposèrent sur les cuisses de son comparse, la fille se mit à genoux et m'administra une magistrale bouffarde. Elle s'arrêta juste avant que je jouisse. Elle releva sa minijupe, et retira sa culotte. Elle monta sur le banc, enjamba le mangeur de panse de brebis farcie, et moi, et prit ma bite dans sa moule. Après l'avoir bien lubrifiée, elle s'est soulevée, m'a fait admirer son cul, et pour finir, elle s'est embrochée dessus.
S'ils savaient ce qui vient de se passer, et si j'étais à leur place, les femmes et les enfants qui visitent ce lieu, habituellement, je ne m'assiérais plus jamais sur les bancs de ce jardin.
Et voilà, je suis près d'elle. Je me campe derrière, et j'esquisse un toucher léger. Pas de réaction. Je me rapproche encore un peu. La caresse se fait plus précise. Obnubilé par ma quête, je ne me suis pas aperçu qu'un grand gaillard , m'avait suivi. J'ai senti que quelqu'un se collait à moi, dans mon dos. Bizarre, il me semblait qu'il y avait moins de monde. C'était un mec. Et il était en forme. Je sentais sa bite contre mon cul. Ce n'était pas un hasard. Je sentais que le mec cherchait à loger sa pine entre mes fesses, sur la raie. Comme je me dégageai vers l'avant, la fille au sublime cul, recula pour se coller à mon bas-ventre. Ma bite grandit et se raidit immédiatement. Dans le même temps, le bite sur ma raie me mit en émoi. La fille saisit ma queue à travers le pantalon et la serra dans sa main. Le gars derrière moi, se pencha et glissa à mon oreille :
- Tu descends là !
Le ton était péremptoire. Je n'ai pas résisté et suis descendu du bus. La fille passa son bras autour de mon cou, comme si nous nous connaissions. Du coin de l'oeil, je vis que le gars était descendu lui aussi. Il nous suivait à distance. Tout en haut de la rue, il y avait un jardin. Cet endroit est connu pour abriter les ébats des aventuriers du sexe de tout poil. Qu'allait-il m'arriver ?
J'en salivait à l'avance. J'aime ce genre de rencontre. Je n'entame jamais les hostilités. Je suis un passif. Je ne prend jamais rien, je donne tout, mon cul, ma bite, ma bouche. Aux hommes et aux femmes, indifféremment. On peut m'utiliser, chacun à sa guise.
La fille me regarde et me dit :
- Ca fait trois jours que James te suis. Quand on a un cul comme le tien, on ne peut pas être innocent.
Le James en question s'était assis sur un banc. Il avait baissé son pantalon. Son gros sexe était majestueusement dressé au milieu d'une forêt de poils roux. Il devait être britannique. La fille passa derrière moi, et me poussa doucement vers le rosbif à la bite flamboyante. Elle me glissa à l'oreille :
- Mets-toi à genoux...
Pas besoin de me faire un dessin, sur leurs intentions.
Je me mis en position. Je me penchai vers l'engin de l'angliche, la langue dehors. J'ai léché d'abord la colonne puis les couilles du grand breton, histoire de le débrider, puis, j'ai empoigné sa bite. J'ai donné un coup de langue sur le méat, ce qui a provoqué un mouvement de ses reins. Il m'a saisi par les cheveux, et a enfoncé son braquemart dans ma bouche. J'ai serré les lèvres. Moi, voir les lèvres d'un homme ou d'une femme glisser le long de ma bite, ça me rend fou. Alors, je suppose que c'est la même chose pour les autres. Vu la réaction du mec d'outre Manche, je suis sûr d'avoir raison. Il a imprimé à ma tête, un mouvement de plus en plus rapide. A chaque plongée, la pine s'enfonçait plus loin dans ma gorge. Je la sentait qui durcissait, s'allongeait et que les reins de James se crispèrent. Dans un ultime mouvement de ses hanches, ses couilles vinrent se coller à mes lèvres, et il s'épancha sur ma langue.
La fille s'agenouilla à côté de moi, et me glissa à l'oreille :
- N'avales pas, chuchota--elle. Ne craches pas non plus. Tu vas en avoir besoin quand tu vas l'avoir dans le cul, ajouta-t-elle, en désignant le sceptre de son compère.
Pendant que je suçais l'Anglais, la fille avait déboutonné lé braguette de mon pantalon et avait baissé mon slip. Elle n'avait cessé, durant mon opération buccale, d'embrasser et de lécher mon cul. Elle tendit la main, et je recrachai le sperme de son acolyte. Elle m'en barbouilla la raie, me prit la main et me releva. Elle me retourna vers elle, et me poussa à nouveau vers le banc, mit ses mains sur mes hanches, et m'empala sur le gros membre.Elle s'était baissée pour regarder l'engin s'enfoncer dans mon cul. Quand mes fesses reposèrent sur les cuisses de son comparse, la fille se mit à genoux et m'administra une magistrale bouffarde. Elle s'arrêta juste avant que je jouisse. Elle releva sa minijupe, et retira sa culotte. Elle monta sur le banc, enjamba le mangeur de panse de brebis farcie, et moi, et prit ma bite dans sa moule. Après l'avoir bien lubrifiée, elle s'est soulevée, m'a fait admirer son cul, et pour finir, elle s'est embrochée dessus.
S'ils savaient ce qui vient de se passer, et si j'étais à leur place, les femmes et les enfants qui visitent ce lieu, habituellement, je ne m'assiérais plus jamais sur les bancs de ce jardin.
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J adorerait les rencontrer pour qu ils m enculent