Titre de l'histoire érotique : Le jeune loup et la vieille bique
Récit érotique écrit par Pyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Le jeune loup et la vieille bique
Autrefois, les enfants des petites classes des collèges ont vécu comme un supplice les dictées extraites des Lettres de Mon Moulin du fort célèbre et injustement haï des écoliers, Alphonse Daudet.
J’ai gardé en mémoire la chute d’un de ces textes les plus connus, le Secret de Maître Cornille : “ Tout a une fin en ce monde, et il faut croire que le temps des moulins à vent était passé comme celui des coches sur le Rhône, des parlements et des jaquettes à grandes fleurs ...”.
Tout allait avoir une fin ici, au mas de la Mamée. J’avais loué pour un trimestre, ce charmant appartement, et la relecture pointilleuse de ma thèse touchait à sa fin. Certes les privautés libidineuses de la Mamée m’avaient fait perdre beaucoup de temps. Non pas qu’il eut fallu de longues et fastidieuses manipulations de mon “bandit” pour qu’il soit en état de gicler sa ration de foutre dont elle faisait ses délices quotidiennes. Oui, “délices quotidiennes” ... souvenez-vous d’une histoire précédente, amour, délice et orgue sont masculin au singulier, et féminines au pluriel !
Non pas que le commerce lubrique avec la Mamée ait empiété véritablement sur mon temps de sommeil. Au delà de vingt trois heures la diablesse s’endormait comme un bébé de l’autre côté d’une petite branlette solitaire ou en ma compagnie qu’elle organisait comme un petit spectacle récréatif chaque jour inédit.
Pour tout dire, tant de lubricité mêlée à tant d’ingénuité et de simplicité hantait ma pauvre cervelle qui aurait dû être attentive à tous ces noms d’auteurs dont il fallait vérifier l’orthographe scrupuleusement. Tôt ou tard j’y revenais : le cul de la vielle, la moule de la vielle, les nichons de la vielle, les pelotages, les triturages, les malaxages, les intromissions monstrueuses, ses clapissements rauques de jouissance, sa mouille poisseuse, et même sa pisse et sa merde érotisées. J’en perdais mon latin et le fil de mes idées, je devais péniblement lire mot à mot ces pages rébarbatives et insensiblement je sentais ma bite qui bandait...J’en étais réduit à me tripoter seul pour calmer le “bandit” en demande pressante.
Il fallu signifier à la Mamée la fin de mon séjour. Je lui présentais la chose en citant cette fameuse phrase de Daudet. Elle eut un sourire triste puis se ravisa:
“- Beh mon Minot, on va faire le grand ménage dans ton appartement et tu passeras ta dernière nuit avec moi, et tu feras de moi ce que tu veux toute la nuit. Ainsi, comme dans une autre histoire de ce Daudet, au petit matin le jeune loup aura mangé la vieille bique !”
Ce qui fut dit fut fait. D’autres auraient trouvé que ce fût une nuit de cauchemars. Je la martyrisais, la sodomisais, la fouettais. Jamais elle ne demanda grâce jamais elle ne se refusa, toujours elle consentait approuvant :
“- Vas-y, mon Minot, abuse de ta vieille salope, régale toi de tous ces jeux salaces, bourres-moi autant que tu veux.”
Quand ma bite fut réduite à l’aspect de coquillette, elle dû goûter des bouteilles que nous avions bues, par le goulot dans son con, puis par l’autre bout. Elle aurait du dormir depuis longtemps, mais elle ne lâchait pas.
A l’heure du lever du jour, dans le lit elle avait réclamé pour accéder à sa jouissance que je continue de pincer ses tétons déjà malmenés. Quand le glapissement caractéristique de la montée de son plaisir claqua, j’en fus dépité...
Trop vite, trop court, mes paumes étaient encore affamées du moelleux de sa peau tiède comme brioche odorante...
Puis nous avons pris sagement le café, assis le plus près l’un de l’autre où le dialogue fut réduit aux échanges de chaleur de nos cuisses qui s’effleuraient. Ce qui suffisait comme rhétorique. Il fallut abréger. Le lancinant compte à rebours de l’heure du départ et de mes bagages à boucler s’imposait insidieusement. Je passais sous la douche rageusement et fourguais mes derniers effets n’importe comment dans la valise...
J’avais encore envie de la caresser, de la trousser carrément, et d’aller et venir de ses fesses aux poils follets de son sexe. Je la cherchais.
Je la retrouvais dans la salle de bain... parée d’une jaquette à grandes fleurs. Ultime hommage à sa façon.
Elle était affairée à ses ablutions dans la salle de bain. Les mains sous le robinet, elle comprit mon intention et se pencha de bonne grâce pour me permettre de remonter lentement le vêtement insolite au dessus de ses fesses. Par jeu, elle serra puis détendit les muscles du postérieur. Je sentis sa peau frissonner. Très vite elle fit face et dégrafa les annelles de cette incroyable vareuse de théâtre m’offrant à contempler ses seins et son ventre tendus à nouveau prêts au plaisir. J’avais envie de recommencer, de pincer et de mordiller les tétons érigés, mais elle se déroba gentiment d’un pas de côté, se plaçant bien face au miroir.
Alors le délectable fut dans l’indécidable : s’offrit-elle à ma lubrique fantaisie en femme soumise, soumit-elle mes désirs lubriques à sa propension pour s’offrir ?
Jambes écartées, sexe entrouvert, l’indécence décidée qu’elle exhibait la magnifiait.
Se voir et se voir vue, frénétiquement sollicitée au clitoris par mes doigts, accroissait ses mouillures intimes. Et tout autant mon goût pour ce spectacle hallucinant doublé dans le miroir, semblait exacerber ses talents d’actrice: soumise, offerte, tentatrice, effrontée, résolument impudique et pourtant altière, élégante, hiératique.
Sa respiration pris la saccade qui m’enchantait dans chacun de nos assauts. L’asymétrie des vêtures était saisissante. Elle dénudée, dans son déguisement tendue sur la pointe des pieds, les seins tressautant au rythme de ma main fouillant son sexe ; moi habillé comme le voyageur prêt à s’engouffrer dans un train.
L’odeur poisseuse, enivrante et poivrée de ses liqueurs musquées couvrait l’effluve de lavande. Elle suintait un fumet de femelle en rut qui veut encore et encore jouir et se détacher le temps d’une fulgurance de toute contingence, de toute considération triviale. Et c’était comme de la pure métaphysique par le truchement d’Eros.
Télescopage de l’animale femelle et de la pensée femme sous un même cortex électrisé, sous un même corps tétanisé.
J’en tremblais d’émotion. Alors, ses doigts relayèrent les miens, plus précis, plus agiles au bon endroit intuitivement connu d’elle. L’opportunité de la glace où se mirer décuplait ses soupirs et son bonheur de branleuse experte. Car elle se branlait fougueuse et la virtuosité de ses doigts démontrait un long commerce de la partition à jouer.
Feignait-elle la pudeur et la timidité de ses yeux mi-clos qui semblaient accepter mes suggestions crapuleuses, ou entre deux regards jetés sur son con malmené s’offrait-elle le luxe d’une image mentale encore plus raffinée à garder secrète ? Tout était possible : ça l’excitait de se soumettre à mes commentaires et mes caprices étaient ce dont elle avait envie. Ca l’excitait de m’exciter en me montrant ce dont j’avais envie ... qui se trouvait être ce dont elle appréciait en cet instant de se faire jouir ! Puis, son glapissement, comme l’aboiement de Monsieur Loyal :
“ Et maintenant cher Minot, voyeur, tripoteur un peu gauche de tes doigts, je t’offre le meilleur de moi, le clou intime et suprême de mon érotique exhibition : l’éclosion de ma vulve de mes propres mains !”
Fanfare de nos respirations, et angoissant roulements de tambour de nos coeurs en chamade ! Je regardais éberlué, fasciné.
“Triple salto, coup de pied au firmament du plaisir, côtoiement périlleux des étoiles et chute libre sans filet.”
Fabuleux spectacle. L'éclosion de sa vulve.
Elle libérait ses gémissements de jouissance mêlés à des contractions folles de son ventre tendu. Ses talons retouchèrent le sol, ses jambes fléchirent. Un dernier attouchement de sa main apaisa les lèvres intimes béantes et baveuses.
Une caresse comme le dompteur à la gueule d’une gracile féline qui vient de traverser le terrible cercle de feu, et qu’il aurait flattée, sûr mais fier de son exploit.
“C’est bien tu es une bonne tigresse, une belle tigresse, tu a été merveilleuse, je peux encore compter sur toi, tu as bien réussi, tu es toujours aussi formidable, tout calme ma belle, tout calme maintenant...”
La puissance et la fulgurance de l’orgasme espéré avaient été extraordinaires et telles qu’un long sanglot et des larmes l’envahirent soudainement.
Multiplicité de sens de cette manifestation d’émotion ...le délectable là aussi, était dans l’indécidable : repue, épuisée, effrayée, triste, nostalgique, rajeunie, vieillie, bouleversée, étonnée, incrédule, jouisseuse, stupéfaite, épanouie, triomphante... amoureuse ... Femme.
J’ai gardé en mémoire la chute d’un de ces textes les plus connus, le Secret de Maître Cornille : “ Tout a une fin en ce monde, et il faut croire que le temps des moulins à vent était passé comme celui des coches sur le Rhône, des parlements et des jaquettes à grandes fleurs ...”.
Tout allait avoir une fin ici, au mas de la Mamée. J’avais loué pour un trimestre, ce charmant appartement, et la relecture pointilleuse de ma thèse touchait à sa fin. Certes les privautés libidineuses de la Mamée m’avaient fait perdre beaucoup de temps. Non pas qu’il eut fallu de longues et fastidieuses manipulations de mon “bandit” pour qu’il soit en état de gicler sa ration de foutre dont elle faisait ses délices quotidiennes. Oui, “délices quotidiennes” ... souvenez-vous d’une histoire précédente, amour, délice et orgue sont masculin au singulier, et féminines au pluriel !
Non pas que le commerce lubrique avec la Mamée ait empiété véritablement sur mon temps de sommeil. Au delà de vingt trois heures la diablesse s’endormait comme un bébé de l’autre côté d’une petite branlette solitaire ou en ma compagnie qu’elle organisait comme un petit spectacle récréatif chaque jour inédit.
Pour tout dire, tant de lubricité mêlée à tant d’ingénuité et de simplicité hantait ma pauvre cervelle qui aurait dû être attentive à tous ces noms d’auteurs dont il fallait vérifier l’orthographe scrupuleusement. Tôt ou tard j’y revenais : le cul de la vielle, la moule de la vielle, les nichons de la vielle, les pelotages, les triturages, les malaxages, les intromissions monstrueuses, ses clapissements rauques de jouissance, sa mouille poisseuse, et même sa pisse et sa merde érotisées. J’en perdais mon latin et le fil de mes idées, je devais péniblement lire mot à mot ces pages rébarbatives et insensiblement je sentais ma bite qui bandait...J’en étais réduit à me tripoter seul pour calmer le “bandit” en demande pressante.
Il fallu signifier à la Mamée la fin de mon séjour. Je lui présentais la chose en citant cette fameuse phrase de Daudet. Elle eut un sourire triste puis se ravisa:
“- Beh mon Minot, on va faire le grand ménage dans ton appartement et tu passeras ta dernière nuit avec moi, et tu feras de moi ce que tu veux toute la nuit. Ainsi, comme dans une autre histoire de ce Daudet, au petit matin le jeune loup aura mangé la vieille bique !”
Ce qui fut dit fut fait. D’autres auraient trouvé que ce fût une nuit de cauchemars. Je la martyrisais, la sodomisais, la fouettais. Jamais elle ne demanda grâce jamais elle ne se refusa, toujours elle consentait approuvant :
“- Vas-y, mon Minot, abuse de ta vieille salope, régale toi de tous ces jeux salaces, bourres-moi autant que tu veux.”
Quand ma bite fut réduite à l’aspect de coquillette, elle dû goûter des bouteilles que nous avions bues, par le goulot dans son con, puis par l’autre bout. Elle aurait du dormir depuis longtemps, mais elle ne lâchait pas.
A l’heure du lever du jour, dans le lit elle avait réclamé pour accéder à sa jouissance que je continue de pincer ses tétons déjà malmenés. Quand le glapissement caractéristique de la montée de son plaisir claqua, j’en fus dépité...
Trop vite, trop court, mes paumes étaient encore affamées du moelleux de sa peau tiède comme brioche odorante...
Puis nous avons pris sagement le café, assis le plus près l’un de l’autre où le dialogue fut réduit aux échanges de chaleur de nos cuisses qui s’effleuraient. Ce qui suffisait comme rhétorique. Il fallut abréger. Le lancinant compte à rebours de l’heure du départ et de mes bagages à boucler s’imposait insidieusement. Je passais sous la douche rageusement et fourguais mes derniers effets n’importe comment dans la valise...
J’avais encore envie de la caresser, de la trousser carrément, et d’aller et venir de ses fesses aux poils follets de son sexe. Je la cherchais.
Je la retrouvais dans la salle de bain... parée d’une jaquette à grandes fleurs. Ultime hommage à sa façon.
Elle était affairée à ses ablutions dans la salle de bain. Les mains sous le robinet, elle comprit mon intention et se pencha de bonne grâce pour me permettre de remonter lentement le vêtement insolite au dessus de ses fesses. Par jeu, elle serra puis détendit les muscles du postérieur. Je sentis sa peau frissonner. Très vite elle fit face et dégrafa les annelles de cette incroyable vareuse de théâtre m’offrant à contempler ses seins et son ventre tendus à nouveau prêts au plaisir. J’avais envie de recommencer, de pincer et de mordiller les tétons érigés, mais elle se déroba gentiment d’un pas de côté, se plaçant bien face au miroir.
Alors le délectable fut dans l’indécidable : s’offrit-elle à ma lubrique fantaisie en femme soumise, soumit-elle mes désirs lubriques à sa propension pour s’offrir ?
Jambes écartées, sexe entrouvert, l’indécence décidée qu’elle exhibait la magnifiait.
Se voir et se voir vue, frénétiquement sollicitée au clitoris par mes doigts, accroissait ses mouillures intimes. Et tout autant mon goût pour ce spectacle hallucinant doublé dans le miroir, semblait exacerber ses talents d’actrice: soumise, offerte, tentatrice, effrontée, résolument impudique et pourtant altière, élégante, hiératique.
Sa respiration pris la saccade qui m’enchantait dans chacun de nos assauts. L’asymétrie des vêtures était saisissante. Elle dénudée, dans son déguisement tendue sur la pointe des pieds, les seins tressautant au rythme de ma main fouillant son sexe ; moi habillé comme le voyageur prêt à s’engouffrer dans un train.
L’odeur poisseuse, enivrante et poivrée de ses liqueurs musquées couvrait l’effluve de lavande. Elle suintait un fumet de femelle en rut qui veut encore et encore jouir et se détacher le temps d’une fulgurance de toute contingence, de toute considération triviale. Et c’était comme de la pure métaphysique par le truchement d’Eros.
Télescopage de l’animale femelle et de la pensée femme sous un même cortex électrisé, sous un même corps tétanisé.
J’en tremblais d’émotion. Alors, ses doigts relayèrent les miens, plus précis, plus agiles au bon endroit intuitivement connu d’elle. L’opportunité de la glace où se mirer décuplait ses soupirs et son bonheur de branleuse experte. Car elle se branlait fougueuse et la virtuosité de ses doigts démontrait un long commerce de la partition à jouer.
Feignait-elle la pudeur et la timidité de ses yeux mi-clos qui semblaient accepter mes suggestions crapuleuses, ou entre deux regards jetés sur son con malmené s’offrait-elle le luxe d’une image mentale encore plus raffinée à garder secrète ? Tout était possible : ça l’excitait de se soumettre à mes commentaires et mes caprices étaient ce dont elle avait envie. Ca l’excitait de m’exciter en me montrant ce dont j’avais envie ... qui se trouvait être ce dont elle appréciait en cet instant de se faire jouir ! Puis, son glapissement, comme l’aboiement de Monsieur Loyal :
“ Et maintenant cher Minot, voyeur, tripoteur un peu gauche de tes doigts, je t’offre le meilleur de moi, le clou intime et suprême de mon érotique exhibition : l’éclosion de ma vulve de mes propres mains !”
Fanfare de nos respirations, et angoissant roulements de tambour de nos coeurs en chamade ! Je regardais éberlué, fasciné.
“Triple salto, coup de pied au firmament du plaisir, côtoiement périlleux des étoiles et chute libre sans filet.”
Fabuleux spectacle. L'éclosion de sa vulve.
Elle libérait ses gémissements de jouissance mêlés à des contractions folles de son ventre tendu. Ses talons retouchèrent le sol, ses jambes fléchirent. Un dernier attouchement de sa main apaisa les lèvres intimes béantes et baveuses.
Une caresse comme le dompteur à la gueule d’une gracile féline qui vient de traverser le terrible cercle de feu, et qu’il aurait flattée, sûr mais fier de son exploit.
“C’est bien tu es une bonne tigresse, une belle tigresse, tu a été merveilleuse, je peux encore compter sur toi, tu as bien réussi, tu es toujours aussi formidable, tout calme ma belle, tout calme maintenant...”
La puissance et la fulgurance de l’orgasme espéré avaient été extraordinaires et telles qu’un long sanglot et des larmes l’envahirent soudainement.
Multiplicité de sens de cette manifestation d’émotion ...le délectable là aussi, était dans l’indécidable : repue, épuisée, effrayée, triste, nostalgique, rajeunie, vieillie, bouleversée, étonnée, incrédule, jouisseuse, stupéfaite, épanouie, triomphante... amoureuse ... Femme.
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