Titre de l'histoire érotique : Le retour d'Alexandra, la trav mangeuse d'hommes
Récit érotique écrit par Alexandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2016 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Le retour d'Alexandra, la trav mangeuse d'hommes
Ca fait des années que, chaque 3ème jeudi, je prends congé l’après-midi pour participer aux journées « 3ème sexe et admirateurs » organisées par Jan, ex-patron du club Aphrodisia. Tout au long de ces années, Jan a changé plusieurs fois d’endroit mais je l’ai toujours suivi, je suis toujours restée fidèle au poste, tant et si bien qu’à présent, je pense pouvoir dire qu’une sorte de collaboration s’est établie entre lui et moi. Certes, c’est toujours lui qui décide de l’organisation d’une « party » mais il est attentif à mes remarques et à mes diverses propositions. Pour ma part, je l’aide un peu à faire la promo ce qui, avouons-le, est aussi très bénéfique pour moi.
Depuis quelques mois, la « petite fête » se déroule dans un établissement situé dans le Brabant wallon, à une trentaine de kilomètres de Bruxelles. Depuis le temps que je fréquente ces journées, je m’y sens comme un poisson dans l’eau et je m’arrange toujours pour être présente de l’ouverture à la fermeture. En effet, de nombreux visiteurs potentiels entrent en contact avec moi en répondant aux annonces que je publie pour promouvoir l’évènement. J’estime qu’il est de mon devoir d’être présente lorsque ces personnes arrivent sur place. Et certaines arrivent très tôt.
En ce 21 avril, jour de la « Fête des secrétaires », le thème était tout trouvé : « Sexy T-girl secretaries ». Pour l’occasion j’avais sorti mon plus beau tailleur et mes jambes étaient gainées de bas nylon noirs à couture. Un chemisier cintré, une jupe courte mais pas trop et des escarpins noirs à bouts ouverts complétaient ma tenue. Un bloc-notes, un crayon, et une paire de lunettes de fidèle assistante étaient les accessoires que j’avais acquis spécialement pour l’occasion. Et oui, quand je me lance dans un projet, quel qu’il soit, je ne fais jamais dans la demi-mesure ;-)
C’est peu après 14h que nous sommes arrivées sur place. J’étais accompagnée de ma fidèle complice Mona et d’une autre travestie bruxelloise, Ericka. Celle-ci devait encore se préparer et elle fila au vestiaire pour se métamorphoser sans perdre de temps.
Quant à moi, après avoir salué les personnes présentes et bu un verre de mousseux, j’ai gravi les quelques marches qui mènent à l’étage où se trouvent 2 chambres spécialement conçues pour « faire plus ample connaissance ».
Je n’étais pas la première à explorer les coins câlins : mon amie Sophie, transexuelle très sympathique, était déjà bien occupée avec un coquin qui l’honorait comme il se doit. Elle occupait la chambre la plus spacieuse, celle où 2 matelas sont posés côte à côte à même le sol. Il me restait la seconde chambre, plus petite et meublée d’un lit assez étroit et d'aspect peu solide.
Très vite, je me retrouve en galante compagnie, un homme m’offrant sa queue à sucer. Je l'engloutis et il apprécie la caresse à tel point qu’il ne veut plus quitter ma bouche. Comme il ne désire visiblement pas faire évoluer les choses vers un jeu plus « physique », je lui propose d’interrompre les câlins pour les reprendre un peu plus tard. Comme le proclame régulièrement un ami, "sucer n'est pas jouer !".
J'adhère totalement à cette maxime et j'estime que, si la fellation peut être comparée à un "amuse-bouche" (c'est le cas de le dire), elle se doit d'être suivie assez rapidement du plat de consistance, à savoir une bonne et profonde pénétration !
L'homme libère donc le lit mais déjà, d’autres coquins sont présents et font la file pour que je m’occupe d’eux. Je ne me fais pas prier et c’est une nouvelle queue qui prend possession de ma bouche. Elle est plus épaisse que la première et c’est une vieille connaissance puisque je connais son propriétaire depuis quelques années déjà. Mais ça fait longtemps que nous n’avions plus été aussi « proches ». Je lui propose de s’allonger sur le lit pour qu'il soit dans une position plus confortable. En réalité, ce n’est pas la seule et unique raison. J’ai aussi à présent l'opportunité de me positionner de telle sorte que l’accès à ma "grotte d'amour" soit aisé pour quiconque aurait envie de l’explorer. Et ça marche ! Un inconnu s’approche, caresse mes fesses, et à présent je l’entends déchirer un emballage de capote. Je me cambre, je tends les fesses vers l'arrière, je bascule pour être bien dans l'axe, mais malheureusement, il ne parviendra pas à ses fins, son sexe n’étant pas assez dur.
Qu’à cela ne tienne, un autre candidat sodomisateur prend sa place et lui il n’a aucune difficulté à me pénétrer. D’ailleurs je ressens un peu de douleur au départ car je n’ai pas été bien lubrifiée et l’enculade se fait presque à sec. Mais après quelques allers-retours dans mon intimité, ça va tout de suite mieux et je me donne à lui jusqu'à ce que jouissance s'ensuive, tout en continuant de sucer l'homme allongé sur le lit. Sa bite est d’ailleurs bien dure à présent et j’ai envie de la sentir en moi. Ce désir va se concrétiser très vite car lui aussi a envie de passer aux choses sérieuses. Il me baisera en levrette, comme le premier. Sa queue est dure et épaisse, mais mon petit trou a été préparé il y a quelques minutes par la première de calibre plus modeste. Je suis prête à présent à accueillir tout intrus, quelle que soit sa taille !
Mmmhhhh, ça fait un bien fou de se faire baiser le cul par un connaisseur. L’homme est massif, costaud, très viril, je me sens totalement à sa merci. Pendant qu’il me pilonne le cul, l’autre mec qui a éprouvé des difficultés un peu plus tôt se rapproche. Je lui fais signe de venir prendre place sur le lit, devant moi, afin que je puisse m’occuper de son sexe avec ma bouche. Mon but est de le faire durcir de sorte à ce qu’il soit « prêt à l’emploi » une fois que l’autre derrière moi aura terminé. Pas de chance, lorsqu’il finit par jouir entre mes fesses, la queue que je suce n’est toujours pas opérationnelle. Qu’à cela ne tienne, mes fesses ne restent pas inoccupées bien longtemps puisqu’un 3ème bâton de berger s’introduit dans mon intimité. Ca s’enchaîne sans qu'on perde de temps et j’adore ça. Lorsque je suis montée aux alcôves quelques minutes plus tôt j’étais loin de m’imaginer que je vivrais pareil scénario alors que la journée vient à peine de débuter ! Une fois de plus je me fais bien prendre, j’ai à peine le temps de me retourner pour vérifier qui s’active dans mon cul. Tout au long de ma « carrière » de clubbeuse, il m’est arrivé régulièrement de me faire baiser par des mecs que je pourrais croiser dans la rue quelques heures plus tard sans savoir qu’ils m’ont connue (très) intimement. C’est l’un des inconvénients (?) d’être prise en levrette.
Enfin bref, je ne vais pas me plaindre non plus ! L’homme jouit et, repus, il s’éloigne vers l’espace douches. Je ne peux que constater la débâcle chez le gaillard que je suce depuis quelques minutes : il ne durcit décidément pas. Pourtant c’est un habitué et il m’a déjà prise au moins 2 fois par le passé. Ce n’est sans doute pas son jour. Ca arrive aux meilleurs.
Je lui propose d’en rester là pour l’instant car en effet, j’ai bien besoin d’un verre et d’un petit passage devant un miroir pour vérifier l’étendue des dégâts.
Pendant que je m’amusais à l’étage, quelques nouveaux sont arrivés. L’occasion pour moi de me présenter et aussi de retrouver des coquins que je connais déjà un peu.
L’un d’entre eux est devenu, au fil du temps, un peu plus qu’un simple « sex partner ». Nous n’en sommes pas encore au point de passer le réveillon ensemble mais je l’ai déjà invité à une soirée privée que j'organisais dans un penthouse car il fait partie des personnes fiables sur lesquelles je peux compter.
Nous avons pris l’habitude de passer systématiquement un moment à 2 lorsque nous nous rencontrons et cette fois encore ne déroge pas à la règle. C’est de nouveau dans la petite chambre que je vais me retrouver avec lui. Il aime me sucer et je lui confierai mon « petit clito » pour qu’il s’en occupe. Mais ce que je préfère plus que tout, c'est de me faire sodomiser et ça, il l’a bien compris. D’ailleurs il prend lui aussi son pied à chaque fois. Notre rapport est assez bref mais toujours très intense.
Je vais descendre une fois de plus pour boire un verre mais, comme toujours, je ne vais pas rester inactive bien longtemps.
Un nouveau jeune homme a fait son apparition. Tout de jeans vêtu, il a le crâne rasé et un visage assez rond avec des yeux très doux.
Ce sera mon compagnon de jeu suivant. Cette fois, c’est dans la grande chambre que je vais sévir. Le jeune homme se tient debout et je m'agenouille afin de le sucer. Son sexe ne tarde pas durcir, il est assez bien proportionné. J’invite mon partenaire à s’allonger et c’est plus ou moins à ce moment qu’un couple nous rejoint pour s’encanailler sur le matelas d’à côté. La proximité d'autres joueurs ne me dérange pas du tout, bien au contraire, je suis assez "exhib" dans ces moments-là. Aussi, je ne perds pas de temps pour proposer à mon partenaire de me prendre, ce qu’il accepte sans hésiter. Il enfile une capote et me prend en levrette, une fois de plus. Cette position aura été la plus prisée ce jour-là. Ce n’est pourtant pas ma préférée. Mais il faut bien reconnaître que c'est la plus répandue quand on parle de sexe anal. Quoiqu’il en soit, je me donne à fond, remuant le cul pour bien m’empaler sur sa queue. Ca lui fait pas mal d’effet à tel point qu’il me dit être à 2 doigts de jouir.
« Mais vas-y, ne t’en fais pas pour moi, tu peux venir dans mon cul » (si le partenaire est « couvert », je n’y vois pas d’inconvénient).
« Oui mais j’ai envie sur ton visage plutôt ! »
« Ah bon, super, pas de problème ! »
Il extrait son sexe de mes fesses et, pendant qu’il ôte la capote, je m’allonge sur le dos et j’ouvre grand la bouche. Il n’est pas encore prêt à jouir, il se branle frénétiquement au-dessus de mon visage. Je le regarde dans les yeux et l'encourageant : "Vas-y, lâche tout, couvre mon visage de ton jus !" et soudain il crache son venin, une belle quantité bien crémeuse. Je ne m’attendais pas à ce qu’il y en ait autant. C'est une très agréable surprise ! J’adore recevoir une bonne éjac faciale mais je suis rarement satisfaite : soit il n’y a pas assez de matière, soit le jet est loupé et tout file à côté, soit le partenaire n’a tout simplement pas envie de jouir sur le visage. Dans le cas présent, je ne pouvais pas espérer mieux et je remercie mon partenaire pour sa vitalité et sa générosité.
Un passage par la salle de bains s’impose. Il me faut me débarbouiller et me repoudrer le nez d'urgence.
L’après-midi touche à sa fin et, déjà, certains hommes mettent les voiles alors que la fête dure normalement jusque 22h. Il est vrai que, passé une certaine heure, il faut trouver un prétexte pour justifier un retour tardif au bercail à sa tendre moitié.
Je ne connais pas ce problème, ce qui me permet de pouvoir profiter pleinement de ce type de journées.
Et justement, mon amie Mirabelle m’intercepte en plein vol et me recommande un monsieur qu'elle a déjà "pratiqué" à plusieurs reprises dans d'autres endroits que celui-ci. Mirabelle connaît mes goûts en matière de sexe et si elle m’affirme que cet homme me conviendra, je la crois sur parole.
J’ai déjà discuté avec cet homme un peu plus tôt dans la journée, sans "approfondir les choses". Il est un peu plus âgé que la moyenne mais en ce qui concerne le choix de mes partenaires de jeux, l'âge n'est vraiment pas un critère primordial. A présent retraité, il a eu une vie remplie de voyages et de missions plus intéressantes et périlleuses les unes que les autres. Je lui propose alors de tenter une expérience qui lui est pour l’instant toujours inconnue : un moment coquin avec Alexandra. Il accepte.
Nous occupons la grande chambre où il va me baiser dans plusieurs positions mais aussi effectuer à plusieurs reprises un massage de la prostate qui me fera hurler de plaisir à tel point qu’on entendra mes cris jusqu’en bas. Cet homme, particulièrement doué avec ses doigts, est aussi un limeur hors-pair qui n’aura pas arrêté d’honorer les T-girls présentes tout au long de la journée. J’étais sa 4ème proie et il en a encore eu une autre après moi. Quelle santé ! Et tout ça de manière naturelle, sans pilule ou autre fortifiant !
Lorsqu’un 2ème homme nous rejoint et qu’il s’avère être plus intéressé par mon partenaire que par moi, je décide de les laisser jouer à deux et je redescends à l'espace bar/buffet où je vais enfin manger quelque chose, pour la première fois de la journée.
C’est vers 22h30 que je quitterai l’établissement, absolument ravie de ma journée bien remplie, et impatiente de pouvoir recommencer dans 4 semaines déjà !
FIN.
Depuis quelques mois, la « petite fête » se déroule dans un établissement situé dans le Brabant wallon, à une trentaine de kilomètres de Bruxelles. Depuis le temps que je fréquente ces journées, je m’y sens comme un poisson dans l’eau et je m’arrange toujours pour être présente de l’ouverture à la fermeture. En effet, de nombreux visiteurs potentiels entrent en contact avec moi en répondant aux annonces que je publie pour promouvoir l’évènement. J’estime qu’il est de mon devoir d’être présente lorsque ces personnes arrivent sur place. Et certaines arrivent très tôt.
En ce 21 avril, jour de la « Fête des secrétaires », le thème était tout trouvé : « Sexy T-girl secretaries ». Pour l’occasion j’avais sorti mon plus beau tailleur et mes jambes étaient gainées de bas nylon noirs à couture. Un chemisier cintré, une jupe courte mais pas trop et des escarpins noirs à bouts ouverts complétaient ma tenue. Un bloc-notes, un crayon, et une paire de lunettes de fidèle assistante étaient les accessoires que j’avais acquis spécialement pour l’occasion. Et oui, quand je me lance dans un projet, quel qu’il soit, je ne fais jamais dans la demi-mesure ;-)
C’est peu après 14h que nous sommes arrivées sur place. J’étais accompagnée de ma fidèle complice Mona et d’une autre travestie bruxelloise, Ericka. Celle-ci devait encore se préparer et elle fila au vestiaire pour se métamorphoser sans perdre de temps.
Quant à moi, après avoir salué les personnes présentes et bu un verre de mousseux, j’ai gravi les quelques marches qui mènent à l’étage où se trouvent 2 chambres spécialement conçues pour « faire plus ample connaissance ».
Je n’étais pas la première à explorer les coins câlins : mon amie Sophie, transexuelle très sympathique, était déjà bien occupée avec un coquin qui l’honorait comme il se doit. Elle occupait la chambre la plus spacieuse, celle où 2 matelas sont posés côte à côte à même le sol. Il me restait la seconde chambre, plus petite et meublée d’un lit assez étroit et d'aspect peu solide.
Très vite, je me retrouve en galante compagnie, un homme m’offrant sa queue à sucer. Je l'engloutis et il apprécie la caresse à tel point qu’il ne veut plus quitter ma bouche. Comme il ne désire visiblement pas faire évoluer les choses vers un jeu plus « physique », je lui propose d’interrompre les câlins pour les reprendre un peu plus tard. Comme le proclame régulièrement un ami, "sucer n'est pas jouer !".
J'adhère totalement à cette maxime et j'estime que, si la fellation peut être comparée à un "amuse-bouche" (c'est le cas de le dire), elle se doit d'être suivie assez rapidement du plat de consistance, à savoir une bonne et profonde pénétration !
L'homme libère donc le lit mais déjà, d’autres coquins sont présents et font la file pour que je m’occupe d’eux. Je ne me fais pas prier et c’est une nouvelle queue qui prend possession de ma bouche. Elle est plus épaisse que la première et c’est une vieille connaissance puisque je connais son propriétaire depuis quelques années déjà. Mais ça fait longtemps que nous n’avions plus été aussi « proches ». Je lui propose de s’allonger sur le lit pour qu'il soit dans une position plus confortable. En réalité, ce n’est pas la seule et unique raison. J’ai aussi à présent l'opportunité de me positionner de telle sorte que l’accès à ma "grotte d'amour" soit aisé pour quiconque aurait envie de l’explorer. Et ça marche ! Un inconnu s’approche, caresse mes fesses, et à présent je l’entends déchirer un emballage de capote. Je me cambre, je tends les fesses vers l'arrière, je bascule pour être bien dans l'axe, mais malheureusement, il ne parviendra pas à ses fins, son sexe n’étant pas assez dur.
Qu’à cela ne tienne, un autre candidat sodomisateur prend sa place et lui il n’a aucune difficulté à me pénétrer. D’ailleurs je ressens un peu de douleur au départ car je n’ai pas été bien lubrifiée et l’enculade se fait presque à sec. Mais après quelques allers-retours dans mon intimité, ça va tout de suite mieux et je me donne à lui jusqu'à ce que jouissance s'ensuive, tout en continuant de sucer l'homme allongé sur le lit. Sa bite est d’ailleurs bien dure à présent et j’ai envie de la sentir en moi. Ce désir va se concrétiser très vite car lui aussi a envie de passer aux choses sérieuses. Il me baisera en levrette, comme le premier. Sa queue est dure et épaisse, mais mon petit trou a été préparé il y a quelques minutes par la première de calibre plus modeste. Je suis prête à présent à accueillir tout intrus, quelle que soit sa taille !
Mmmhhhh, ça fait un bien fou de se faire baiser le cul par un connaisseur. L’homme est massif, costaud, très viril, je me sens totalement à sa merci. Pendant qu’il me pilonne le cul, l’autre mec qui a éprouvé des difficultés un peu plus tôt se rapproche. Je lui fais signe de venir prendre place sur le lit, devant moi, afin que je puisse m’occuper de son sexe avec ma bouche. Mon but est de le faire durcir de sorte à ce qu’il soit « prêt à l’emploi » une fois que l’autre derrière moi aura terminé. Pas de chance, lorsqu’il finit par jouir entre mes fesses, la queue que je suce n’est toujours pas opérationnelle. Qu’à cela ne tienne, mes fesses ne restent pas inoccupées bien longtemps puisqu’un 3ème bâton de berger s’introduit dans mon intimité. Ca s’enchaîne sans qu'on perde de temps et j’adore ça. Lorsque je suis montée aux alcôves quelques minutes plus tôt j’étais loin de m’imaginer que je vivrais pareil scénario alors que la journée vient à peine de débuter ! Une fois de plus je me fais bien prendre, j’ai à peine le temps de me retourner pour vérifier qui s’active dans mon cul. Tout au long de ma « carrière » de clubbeuse, il m’est arrivé régulièrement de me faire baiser par des mecs que je pourrais croiser dans la rue quelques heures plus tard sans savoir qu’ils m’ont connue (très) intimement. C’est l’un des inconvénients (?) d’être prise en levrette.
Enfin bref, je ne vais pas me plaindre non plus ! L’homme jouit et, repus, il s’éloigne vers l’espace douches. Je ne peux que constater la débâcle chez le gaillard que je suce depuis quelques minutes : il ne durcit décidément pas. Pourtant c’est un habitué et il m’a déjà prise au moins 2 fois par le passé. Ce n’est sans doute pas son jour. Ca arrive aux meilleurs.
Je lui propose d’en rester là pour l’instant car en effet, j’ai bien besoin d’un verre et d’un petit passage devant un miroir pour vérifier l’étendue des dégâts.
Pendant que je m’amusais à l’étage, quelques nouveaux sont arrivés. L’occasion pour moi de me présenter et aussi de retrouver des coquins que je connais déjà un peu.
L’un d’entre eux est devenu, au fil du temps, un peu plus qu’un simple « sex partner ». Nous n’en sommes pas encore au point de passer le réveillon ensemble mais je l’ai déjà invité à une soirée privée que j'organisais dans un penthouse car il fait partie des personnes fiables sur lesquelles je peux compter.
Nous avons pris l’habitude de passer systématiquement un moment à 2 lorsque nous nous rencontrons et cette fois encore ne déroge pas à la règle. C’est de nouveau dans la petite chambre que je vais me retrouver avec lui. Il aime me sucer et je lui confierai mon « petit clito » pour qu’il s’en occupe. Mais ce que je préfère plus que tout, c'est de me faire sodomiser et ça, il l’a bien compris. D’ailleurs il prend lui aussi son pied à chaque fois. Notre rapport est assez bref mais toujours très intense.
Je vais descendre une fois de plus pour boire un verre mais, comme toujours, je ne vais pas rester inactive bien longtemps.
Un nouveau jeune homme a fait son apparition. Tout de jeans vêtu, il a le crâne rasé et un visage assez rond avec des yeux très doux.
Ce sera mon compagnon de jeu suivant. Cette fois, c’est dans la grande chambre que je vais sévir. Le jeune homme se tient debout et je m'agenouille afin de le sucer. Son sexe ne tarde pas durcir, il est assez bien proportionné. J’invite mon partenaire à s’allonger et c’est plus ou moins à ce moment qu’un couple nous rejoint pour s’encanailler sur le matelas d’à côté. La proximité d'autres joueurs ne me dérange pas du tout, bien au contraire, je suis assez "exhib" dans ces moments-là. Aussi, je ne perds pas de temps pour proposer à mon partenaire de me prendre, ce qu’il accepte sans hésiter. Il enfile une capote et me prend en levrette, une fois de plus. Cette position aura été la plus prisée ce jour-là. Ce n’est pourtant pas ma préférée. Mais il faut bien reconnaître que c'est la plus répandue quand on parle de sexe anal. Quoiqu’il en soit, je me donne à fond, remuant le cul pour bien m’empaler sur sa queue. Ca lui fait pas mal d’effet à tel point qu’il me dit être à 2 doigts de jouir.
« Mais vas-y, ne t’en fais pas pour moi, tu peux venir dans mon cul » (si le partenaire est « couvert », je n’y vois pas d’inconvénient).
« Oui mais j’ai envie sur ton visage plutôt ! »
« Ah bon, super, pas de problème ! »
Il extrait son sexe de mes fesses et, pendant qu’il ôte la capote, je m’allonge sur le dos et j’ouvre grand la bouche. Il n’est pas encore prêt à jouir, il se branle frénétiquement au-dessus de mon visage. Je le regarde dans les yeux et l'encourageant : "Vas-y, lâche tout, couvre mon visage de ton jus !" et soudain il crache son venin, une belle quantité bien crémeuse. Je ne m’attendais pas à ce qu’il y en ait autant. C'est une très agréable surprise ! J’adore recevoir une bonne éjac faciale mais je suis rarement satisfaite : soit il n’y a pas assez de matière, soit le jet est loupé et tout file à côté, soit le partenaire n’a tout simplement pas envie de jouir sur le visage. Dans le cas présent, je ne pouvais pas espérer mieux et je remercie mon partenaire pour sa vitalité et sa générosité.
Un passage par la salle de bains s’impose. Il me faut me débarbouiller et me repoudrer le nez d'urgence.
L’après-midi touche à sa fin et, déjà, certains hommes mettent les voiles alors que la fête dure normalement jusque 22h. Il est vrai que, passé une certaine heure, il faut trouver un prétexte pour justifier un retour tardif au bercail à sa tendre moitié.
Je ne connais pas ce problème, ce qui me permet de pouvoir profiter pleinement de ce type de journées.
Et justement, mon amie Mirabelle m’intercepte en plein vol et me recommande un monsieur qu'elle a déjà "pratiqué" à plusieurs reprises dans d'autres endroits que celui-ci. Mirabelle connaît mes goûts en matière de sexe et si elle m’affirme que cet homme me conviendra, je la crois sur parole.
J’ai déjà discuté avec cet homme un peu plus tôt dans la journée, sans "approfondir les choses". Il est un peu plus âgé que la moyenne mais en ce qui concerne le choix de mes partenaires de jeux, l'âge n'est vraiment pas un critère primordial. A présent retraité, il a eu une vie remplie de voyages et de missions plus intéressantes et périlleuses les unes que les autres. Je lui propose alors de tenter une expérience qui lui est pour l’instant toujours inconnue : un moment coquin avec Alexandra. Il accepte.
Nous occupons la grande chambre où il va me baiser dans plusieurs positions mais aussi effectuer à plusieurs reprises un massage de la prostate qui me fera hurler de plaisir à tel point qu’on entendra mes cris jusqu’en bas. Cet homme, particulièrement doué avec ses doigts, est aussi un limeur hors-pair qui n’aura pas arrêté d’honorer les T-girls présentes tout au long de la journée. J’étais sa 4ème proie et il en a encore eu une autre après moi. Quelle santé ! Et tout ça de manière naturelle, sans pilule ou autre fortifiant !
Lorsqu’un 2ème homme nous rejoint et qu’il s’avère être plus intéressé par mon partenaire que par moi, je décide de les laisser jouer à deux et je redescends à l'espace bar/buffet où je vais enfin manger quelque chose, pour la première fois de la journée.
C’est vers 22h30 que je quitterai l’établissement, absolument ravie de ma journée bien remplie, et impatiente de pouvoir recommencer dans 4 semaines déjà !
FIN.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et bien tu n'as même pas parlé de ton boss
Toujours ravie de connaitre tes exploits...
Jennybhose
Jennybhose
Rien qu'un petit mot d'encouragement et te souhaiter de nombreux commentaires.
Mona
Mona