Titre de l'histoire érotique : Le rêve de Mia fin.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Le rêve de Mia fin.
Monsieur A, le directeur, est assis dans un fauteuil et parle avec plusieurs personnes.
— Monsieur...
Il se tourne vers moi,
— Tu ne vois pas qu'on discute ?
— Juste trente secondes.
Soupir excédé.
Je lui dis :
— Le dessinateur est d'accord pour me faire des dessins.
— Lequel ? Je t'en ai montré deux.
— Le plus jeune des deux.
— Tu te fous de moi ?
— Non, je vous jure.
Je lui montre le dessin. Il a l’air très surpris et me demande,
— Tu sais qui c'est ?
— Non, je ne le connais pas, enfin si... on a... j'ai.... non, rien.
— C'est Bruce Morgan un excellent dessinateur.
Aaah ?
— Où est-il ?
— En haut, Monsieur.
On monte voir « mon » dessinateur.
Je veux entrer dans la chambre, mais, il me dit :
— Attend ici.
Pfff...
Je colle mon oreille à la porte, mais je n'entends rien.
Quand il ressort, il me dit :
— Oui, c'est vrai ! Il est même d'accord de publier avec toi.
Oh ? J'ai du mal à bien réaliser... ce serait fait ? ?
— Bon, je vais faire un contrat.
Je le suis dans un bureau qui se trouve au rez de chaussée.
Il allume un PC et me demande mon nom, mon adresse...
Pour le dessinateur, il a tous les renseignements.
Il imprime un contrat en 3 exemplaires et me les tend en disant,
— Mets un paraphe au bas des 3 premières feuille et signe la dernière.
— Un paraphe, Monsieur ?
Il me montre comment faire. Marrant !
Je parcours... enfin, non, je ne lis pas !
Je « paraphe » et puis je signe la dernière feuille.
Il me donne mon exemplaire en me disant :
— Tu peux dormir ici, il y a une chambre.
— Merci, Monsieur.
Il ajoute :
— Mais, la soirée n'est pas finie. Comme convenu, tu continues à faire le service.
— Oui, bien sûr, Monsieur.
J'ajoute :
— Qu'est ce que je peux faire pour... pour...
— Faire le service, je te l'ai dit.
— Non, je veux dire, je pourrais essayer qu'on parle du livre, faire de la publicité.
Il rit et ça ne doit pas lui arriver souvent.
— Douée comme tu l'es, tu serais capable de coucher avec tous les libraires de France pour qu'ils vendent ton livre... Tu devrais demander à notre responsable de la publicité sur la Net.
Il me désigne un grand type avec une chemise noire, en disant :
— C'est lui !
— D'accord, merci beaucoup et je peux lui dire...
Il me coupe :
— Oui, tu peux lui dire qu'on va publier, ton livre. La fille qui est avec eux s’appelle Anais, elle a un blog « Miss Nanou » qui teste les sex-toys et parle des livres érotiques, ce serait une très bonne chose si elle te fait une bonne critique.
La fille qu’il me désigne est une brune pas très grande avec des lunettes. Elle est jolie et porte une robe tellement décolletée qu'elle a pratiquement les seins à l'air. Elle rit comme une fille qui a un peu forcé sur le champagne.
Le directeur me prend par le bras, en disant :
— Maintenant reprend ton service, il y a des gens qui n'ont plus à boire, tu leur parleras plus tard.
Pfff... Je vais près du petit groupe. Il y a mes cibles « chemise noire » et Anais « nichons à l’air ». Ils sont avec un autre homme qui a une cravate rouge Les hommes ont environ 35 ans, la fille est plus jeune. Ils ont manifestement tous pas mal picolé.
Tandis que je les regarde en me demandant comment je vais faire, « cravate rouge » m'aperçoit et m'appelle :
— Pppssiiittt !! Viens ici.
— Oui, Monsieur ?
— Essaie de nous dégotter une bouteille de champagne.
Je vais chercher une bouteille et lui apporte.
— Merci, petite.
Je reste là... Je vais...
L'homme me dit :
— C'est bon, merci, tu peux disposer.
— C'est que... on va publier mon livre.
Ils se tournent tous les trois, vers moi.
« Nichons à l'air » dit :
— Attend, ne dis rien. Je vais deviner le titre de ton livre... Tu as écrit... « Les mémoires d'une serpillière. »
Ils éclatent de rire ! ça commence bien.
Et puis les hommes s'y mettent aussi.
Non, je crois que c'est, « 50 nuances de vaisselle sale. »
Ou, « La vérité est au fond de la cuvette. »
Ils sont morts de rire ! Et, ils continuent :
Non, c’est une guide, « Comment bien laver les culottes de Madame. »
« Va peloter la bonne, maman est occupée. »
J'en ai les larmes aux yeux ! !
Anais « nichons à l’air » s'en aperçoit et dit :
— On arrête, sinon, elle va pleurer !"
Elle se tourne vers moi :
— On va publier ton livre, qui s'appelle ?
— « Mia sans dessous », Mademoiselle.
Ils se remettent à rire !
Je me tourne vers « chemise noire »,
— S'il vous plait, Monsieur, dites-moi comment je dois faire pour que mon livre se vende ?
— Tu nous dérange pour ça ?
— C'est que c'est important pour moi.
Je regarde « chemise noire » dans les yeux, en disant :
— Je vous en prie, je ferai ce que vous voulez.
Anais « nichons à l'air » intervient :
— Allez, va baiser cette petite, j'ai vu comme tu matais son cul !
Il hésite... Je me retourne et ramasse un petit truc par terre... ce qui met en valeur... mes arguments.
Ça les fait rire à nouveau. « Chemise noire », dit :
— Bon, on va dans aller discuter dans la chambre.
— T'es fou ! Tu ne vas pas défaire un lit pour tirer une bonne. Une fille comme elle, on la trousse devant son évier ou sur la table de la cuisine, voire dans les chiottes !
— T'as raison, va pour les chiottes !
... euh... je ne vais pas dire « Mais je ne suis pas une fille qu'on baise dans les chiottes », parce que je suis sûre qu’ils vont rire à nouveau !
On va dans les toilettes. Elles sont spacieuses.
Il me dit :
— Penche-toi, les avant-bras sur la planche, la tête dans la cuvette. Et remue bien ton col, quand je serai dedans, sinon je tire la chasse !
Ppppfff... Je suis tombé je sur un imaginatif, normal, dans la pub. J'avais déjà eu un aperçu quand ils ont joué « titres de ton livre. »
Il remonte ma jupe et constate que n'ai pas de culotte.
L'eau au fond de la cuvette est jaune et il y quelques papiers. J'aurais du nettoyer les toilettes, mais c’était difficile de prévoir que j’allais me retrouver la tête dedans !
— Aiiee !!
Il est entré en moi, d'un coup ! Faites, comme chez vous, hein ! On se croirait au Sofitel de New York !
La menace de me faire arroser le visage et les cheveux par de l'eau pisseuse me stimule bien ! Je remue les fesses comme une danseuse de twerk !
Et ça marche, le twerk ! Au bout d'une dizaine de minutes, le monsieur de la pub qui est derrière moi pousse quelques grognements, j'imagine qu'ils signifient, « Je vais jouir en vous, ma belle, contractez bien votre vagin ! »
Oh ! Je sens un petit ballon en moi, c'est le préservatif qui se remplit.
Il sort, me donne une claque sur les fesses, en disant :
— Tu le remues bien, petite, je vais t'aider !
— Merci, Monsieur.
Oui, et merci à mon cul, c'est un précieux allié. Si j'étais assez souple je lui ferais plein de bisous !
On retourne dans le grand salon. Aussitôt, le directeur me tombe dessus et m'engueule :
— Et alors, où étais-tu ? Je t'avais dit que tu devais aider au service jusqu'à la fin de la soirée.
Si je lui dis que j'étais en réunion avec les publicitaires, il va s'énerver.
Alors je la ferme... mais ça l'énerve aussi !
— Bon. Eh bien tu vas tout nettoyer quand tout le monde sera parti et je veux que ce soit nickel, c'est bien compris ?
— Oui M'sieur. Mais, avant de nettoyer, je peux demander à la blogueuse de parler de moi ?
Le directeur pousse un tout beau soupir,
— D’accord !
Je vais chercher le manuscrit et me dirige à nouveau vers le petit groupe… « Chemise noire » dit à Anais :
— Ça va être pour toi cette fois-ci.
Facile après ça ! Je lui demande :
— Vous voulez bien jeter un minuscule coup d’œil à mon manuscrit.
« Chemise noire » lui dit :
— Essaye-la, elle est habile.
Anais fait la moue,:
— Je ne fais pas ça avec des filles.
— C’est pas une fille, c’est un sex toy !
Ils rigolent tous à nouveau.
Dure, la vie d'auteure ! !
Mais, présenté comme ça, ça lui plait…
Elle s’assied à une table, moi en dessous, bien sûr. Il n’y a pas que mia qui soit sans dessous, Anais n’en a pas non plus. Je me retrouve tout de suite la bouche sur sa chatte aussi lisse qu’une savonnette. Si elle n’aime pas les femmes, elle aime les sex toys… car elle réagit tout de suite… On devient vite intimes, c'est-à-dire que je connais l’odeur et le goût de sa chatte…
Elle a beaucoup aimé ma langue et ma technique… et puis aussi, mon livre et elle en parle très gentiment.
Le directeur de la publicité a tenu ses engagements aussi et même au delà puisqu'il m'a fait une série de sites sur « Images fap », « Tumblr », « Xhamster », « Twitter », « HDS »…
Inutile de dire que je lui suis très reconnaissante !
Je revois, Anais « nichons à l'air » quand je cherche un titre pour mon nouveau livre ou pour autre chose. Elle n’aime toujours pas les filles, mais elle aime toujours les sex-toy !
Voilà mon rêve s'est réalisé, vous pouvez me commander à La Musardine.
Fin.
P.S. : Vous allez me demander, si tout est vrai.
Bien sûr, il s'agit des Éditions de la Musardine, qui ne ressemblent pas aux Éditions Millevertus. « C'est beaucoup moins amusant, ici. » m'a dit le vrai directeur... »
Quant à Bruce Morgan, il est terriblement sollicité. J'ai donc du trouver des arguments pour qu'il me fasse des dessins et... comment dire... une fille, plutôt mignonne et qui ne met jamais de culotte, elle a des arguments !
***
*** MIA ! Tu es occupé de dire publiquement que tu as eu des relations sexuelles avec Bruce Morgan, pour qu'il te fasse des dessins ! ? ! ? Sa femme va être ravie d'apprendre qu'il la trompe ! !
- Mais… pas du tout, la Voix ! Et puis, d'ailleurs... sucer, c'est pas tromper ! !
***
J'ai raison, hein ?
Enfin, bref, « Mia sans dessous », 370 pages et 81 dessins de Bruce Morgan, est en vente à www.lamusardine.com.
Et... Bruce Morgan qui apprécie mes histoires (et le reste) continue à me faire des dessins toutes les semaines.
La semaine prochaine, Susie, une nouvelle super héroïne, va faire son apparition. Vous allez l’adorer !
— Monsieur...
Il se tourne vers moi,
— Tu ne vois pas qu'on discute ?
— Juste trente secondes.
Soupir excédé.
Je lui dis :
— Le dessinateur est d'accord pour me faire des dessins.
— Lequel ? Je t'en ai montré deux.
— Le plus jeune des deux.
— Tu te fous de moi ?
— Non, je vous jure.
Je lui montre le dessin. Il a l’air très surpris et me demande,
— Tu sais qui c'est ?
— Non, je ne le connais pas, enfin si... on a... j'ai.... non, rien.
— C'est Bruce Morgan un excellent dessinateur.
Aaah ?
— Où est-il ?
— En haut, Monsieur.
On monte voir « mon » dessinateur.
Je veux entrer dans la chambre, mais, il me dit :
— Attend ici.
Pfff...
Je colle mon oreille à la porte, mais je n'entends rien.
Quand il ressort, il me dit :
— Oui, c'est vrai ! Il est même d'accord de publier avec toi.
Oh ? J'ai du mal à bien réaliser... ce serait fait ? ?
— Bon, je vais faire un contrat.
Je le suis dans un bureau qui se trouve au rez de chaussée.
Il allume un PC et me demande mon nom, mon adresse...
Pour le dessinateur, il a tous les renseignements.
Il imprime un contrat en 3 exemplaires et me les tend en disant,
— Mets un paraphe au bas des 3 premières feuille et signe la dernière.
— Un paraphe, Monsieur ?
Il me montre comment faire. Marrant !
Je parcours... enfin, non, je ne lis pas !
Je « paraphe » et puis je signe la dernière feuille.
Il me donne mon exemplaire en me disant :
— Tu peux dormir ici, il y a une chambre.
— Merci, Monsieur.
Il ajoute :
— Mais, la soirée n'est pas finie. Comme convenu, tu continues à faire le service.
— Oui, bien sûr, Monsieur.
J'ajoute :
— Qu'est ce que je peux faire pour... pour...
— Faire le service, je te l'ai dit.
— Non, je veux dire, je pourrais essayer qu'on parle du livre, faire de la publicité.
Il rit et ça ne doit pas lui arriver souvent.
— Douée comme tu l'es, tu serais capable de coucher avec tous les libraires de France pour qu'ils vendent ton livre... Tu devrais demander à notre responsable de la publicité sur la Net.
Il me désigne un grand type avec une chemise noire, en disant :
— C'est lui !
— D'accord, merci beaucoup et je peux lui dire...
Il me coupe :
— Oui, tu peux lui dire qu'on va publier, ton livre. La fille qui est avec eux s’appelle Anais, elle a un blog « Miss Nanou » qui teste les sex-toys et parle des livres érotiques, ce serait une très bonne chose si elle te fait une bonne critique.
La fille qu’il me désigne est une brune pas très grande avec des lunettes. Elle est jolie et porte une robe tellement décolletée qu'elle a pratiquement les seins à l'air. Elle rit comme une fille qui a un peu forcé sur le champagne.
Le directeur me prend par le bras, en disant :
— Maintenant reprend ton service, il y a des gens qui n'ont plus à boire, tu leur parleras plus tard.
Pfff... Je vais près du petit groupe. Il y a mes cibles « chemise noire » et Anais « nichons à l’air ». Ils sont avec un autre homme qui a une cravate rouge Les hommes ont environ 35 ans, la fille est plus jeune. Ils ont manifestement tous pas mal picolé.
Tandis que je les regarde en me demandant comment je vais faire, « cravate rouge » m'aperçoit et m'appelle :
— Pppssiiittt !! Viens ici.
— Oui, Monsieur ?
— Essaie de nous dégotter une bouteille de champagne.
Je vais chercher une bouteille et lui apporte.
— Merci, petite.
Je reste là... Je vais...
L'homme me dit :
— C'est bon, merci, tu peux disposer.
— C'est que... on va publier mon livre.
Ils se tournent tous les trois, vers moi.
« Nichons à l'air » dit :
— Attend, ne dis rien. Je vais deviner le titre de ton livre... Tu as écrit... « Les mémoires d'une serpillière. »
Ils éclatent de rire ! ça commence bien.
Et puis les hommes s'y mettent aussi.
Non, je crois que c'est, « 50 nuances de vaisselle sale. »
Ou, « La vérité est au fond de la cuvette. »
Ils sont morts de rire ! Et, ils continuent :
Non, c’est une guide, « Comment bien laver les culottes de Madame. »
« Va peloter la bonne, maman est occupée. »
J'en ai les larmes aux yeux ! !
Anais « nichons à l’air » s'en aperçoit et dit :
— On arrête, sinon, elle va pleurer !"
Elle se tourne vers moi :
— On va publier ton livre, qui s'appelle ?
— « Mia sans dessous », Mademoiselle.
Ils se remettent à rire !
Je me tourne vers « chemise noire »,
— S'il vous plait, Monsieur, dites-moi comment je dois faire pour que mon livre se vende ?
— Tu nous dérange pour ça ?
— C'est que c'est important pour moi.
Je regarde « chemise noire » dans les yeux, en disant :
— Je vous en prie, je ferai ce que vous voulez.
Anais « nichons à l'air » intervient :
— Allez, va baiser cette petite, j'ai vu comme tu matais son cul !
Il hésite... Je me retourne et ramasse un petit truc par terre... ce qui met en valeur... mes arguments.
Ça les fait rire à nouveau. « Chemise noire », dit :
— Bon, on va dans aller discuter dans la chambre.
— T'es fou ! Tu ne vas pas défaire un lit pour tirer une bonne. Une fille comme elle, on la trousse devant son évier ou sur la table de la cuisine, voire dans les chiottes !
— T'as raison, va pour les chiottes !
... euh... je ne vais pas dire « Mais je ne suis pas une fille qu'on baise dans les chiottes », parce que je suis sûre qu’ils vont rire à nouveau !
On va dans les toilettes. Elles sont spacieuses.
Il me dit :
— Penche-toi, les avant-bras sur la planche, la tête dans la cuvette. Et remue bien ton col, quand je serai dedans, sinon je tire la chasse !
Ppppfff... Je suis tombé je sur un imaginatif, normal, dans la pub. J'avais déjà eu un aperçu quand ils ont joué « titres de ton livre. »
Il remonte ma jupe et constate que n'ai pas de culotte.
L'eau au fond de la cuvette est jaune et il y quelques papiers. J'aurais du nettoyer les toilettes, mais c’était difficile de prévoir que j’allais me retrouver la tête dedans !
— Aiiee !!
Il est entré en moi, d'un coup ! Faites, comme chez vous, hein ! On se croirait au Sofitel de New York !
La menace de me faire arroser le visage et les cheveux par de l'eau pisseuse me stimule bien ! Je remue les fesses comme une danseuse de twerk !
Et ça marche, le twerk ! Au bout d'une dizaine de minutes, le monsieur de la pub qui est derrière moi pousse quelques grognements, j'imagine qu'ils signifient, « Je vais jouir en vous, ma belle, contractez bien votre vagin ! »
Oh ! Je sens un petit ballon en moi, c'est le préservatif qui se remplit.
Il sort, me donne une claque sur les fesses, en disant :
— Tu le remues bien, petite, je vais t'aider !
— Merci, Monsieur.
Oui, et merci à mon cul, c'est un précieux allié. Si j'étais assez souple je lui ferais plein de bisous !
On retourne dans le grand salon. Aussitôt, le directeur me tombe dessus et m'engueule :
— Et alors, où étais-tu ? Je t'avais dit que tu devais aider au service jusqu'à la fin de la soirée.
Si je lui dis que j'étais en réunion avec les publicitaires, il va s'énerver.
Alors je la ferme... mais ça l'énerve aussi !
— Bon. Eh bien tu vas tout nettoyer quand tout le monde sera parti et je veux que ce soit nickel, c'est bien compris ?
— Oui M'sieur. Mais, avant de nettoyer, je peux demander à la blogueuse de parler de moi ?
Le directeur pousse un tout beau soupir,
— D’accord !
Je vais chercher le manuscrit et me dirige à nouveau vers le petit groupe… « Chemise noire » dit à Anais :
— Ça va être pour toi cette fois-ci.
Facile après ça ! Je lui demande :
— Vous voulez bien jeter un minuscule coup d’œil à mon manuscrit.
« Chemise noire » lui dit :
— Essaye-la, elle est habile.
Anais fait la moue,:
— Je ne fais pas ça avec des filles.
— C’est pas une fille, c’est un sex toy !
Ils rigolent tous à nouveau.
Dure, la vie d'auteure ! !
Mais, présenté comme ça, ça lui plait…
Elle s’assied à une table, moi en dessous, bien sûr. Il n’y a pas que mia qui soit sans dessous, Anais n’en a pas non plus. Je me retrouve tout de suite la bouche sur sa chatte aussi lisse qu’une savonnette. Si elle n’aime pas les femmes, elle aime les sex toys… car elle réagit tout de suite… On devient vite intimes, c'est-à-dire que je connais l’odeur et le goût de sa chatte…
Elle a beaucoup aimé ma langue et ma technique… et puis aussi, mon livre et elle en parle très gentiment.
Le directeur de la publicité a tenu ses engagements aussi et même au delà puisqu'il m'a fait une série de sites sur « Images fap », « Tumblr », « Xhamster », « Twitter », « HDS »…
Inutile de dire que je lui suis très reconnaissante !
Je revois, Anais « nichons à l'air » quand je cherche un titre pour mon nouveau livre ou pour autre chose. Elle n’aime toujours pas les filles, mais elle aime toujours les sex-toy !
Voilà mon rêve s'est réalisé, vous pouvez me commander à La Musardine.
Fin.
P.S. : Vous allez me demander, si tout est vrai.
Bien sûr, il s'agit des Éditions de la Musardine, qui ne ressemblent pas aux Éditions Millevertus. « C'est beaucoup moins amusant, ici. » m'a dit le vrai directeur... »
Quant à Bruce Morgan, il est terriblement sollicité. J'ai donc du trouver des arguments pour qu'il me fasse des dessins et... comment dire... une fille, plutôt mignonne et qui ne met jamais de culotte, elle a des arguments !
***
*** MIA ! Tu es occupé de dire publiquement que tu as eu des relations sexuelles avec Bruce Morgan, pour qu'il te fasse des dessins ! ? ! ? Sa femme va être ravie d'apprendre qu'il la trompe ! !
- Mais… pas du tout, la Voix ! Et puis, d'ailleurs... sucer, c'est pas tromper ! !
***
J'ai raison, hein ?
Enfin, bref, « Mia sans dessous », 370 pages et 81 dessins de Bruce Morgan, est en vente à www.lamusardine.com.
Et... Bruce Morgan qui apprécie mes histoires (et le reste) continue à me faire des dessins toutes les semaines.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un tout grand merci pour ces commentaires qui me font vraiment plaisir...
Vous voyez, mon ego n'est pas très grand et il traîne un peu la patte (il a été malade quand il était petit!). Après avoir lu ces commentaires (oui, il sait lire quand même) il a grandi de 5 cm et a pu enlever sa chaussure orthopédique.
Et, sinon, j'ai entrepris une histoire de science fiction, genre grandiose épopée intergalactique, et puis, au milieu de la 1ère page ça a dérapé : un extra terrestre est arrivé eat a commencé à niquer tout ce qui bouge!
Oui, c'est ballot! Du coup, ça va être de l'érotic-science-fiction. Je le publierai ici dans un bonne semaine.
Merci aussi à l'équipe de HDS qui m'a encouragée et m'a envoyé un gentil message... ça a été une très bonne surprise.
bisous à tous,
mia
Vous voyez, mon ego n'est pas très grand et il traîne un peu la patte (il a été malade quand il était petit!). Après avoir lu ces commentaires (oui, il sait lire quand même) il a grandi de 5 cm et a pu enlever sa chaussure orthopédique.
Et, sinon, j'ai entrepris une histoire de science fiction, genre grandiose épopée intergalactique, et puis, au milieu de la 1ère page ça a dérapé : un extra terrestre est arrivé eat a commencé à niquer tout ce qui bouge!
Oui, c'est ballot! Du coup, ça va être de l'érotic-science-fiction. Je le publierai ici dans un bonne semaine.
Merci aussi à l'équipe de HDS qui m'a encouragée et m'a envoyé un gentil message... ça a été une très bonne surprise.
bisous à tous,
mia
Eh bien bravo comme quoi sans le cul...ça ne passe pas, mais c'est normal et tellement bien raconté. avec un bon compliment pour la suceuse et ses rapports avec les mecs et les filles...voilà de quoi nous faire bander, merci Mia...si c'était Toi...tu es super. moi j'écris des poèmes érotique mais mon cul n'a pas d'intérêt alors hélas ça ne passe pas va voir Verdon sur vassilia ou mon livre "ne le dites à personne"sur le net .Bises.
Excellent
Plein d'humour.
Plein d'humour.