Titre de l'histoire érotique : Leslie HD33
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Leslie HD33
Leslie HD33 - Week-end en Bretagne, suite
Après l’après-midi mouvementée que nous venions de vivre avec Fabienne et Luc, aucunes de nous trois n’avait une grande fraîcheur physique.
Une seule envie, grignoter un petit quelque chose puis, une grâce matinée et plus, dodo. Un petit déjeuner, avec des laitages et des fruits, a fait l’affaire.
Nous retrouvions un certain entrain, et comme il fallait s’y attendre, le sujet de conversation se porta sur nos "exploits" de l’après-midi, ce qui eut pour effet de nous échauffer à nouveau.
Cathy, si nature, si cool, avait été séduite par Fabienne. Elle ne tarissait pas d’éloges sur cette femme qu’elle trouvait si sexy.
Laure, comme moi, elle avait aussi été très impressionnée par la taille du sexe de Luc, et surtout par l’aisance avec laquelle Cathy l’avait englouti.
Cathy essaya de nous transcrire le plaisir qu’elle pouvait ressentir lorsqu’elle était pourfendue par ce pieu.
Laure et moi écoutions religieusement ses confidences. Ses mots faisaient sur moi de l’effet, je me prenais à m’imaginer d’être à sa place et de me faire défoncer le cul comme une salope.
Le bungalow caravane baignait dans une douce pénombre. Sous l’impulsion de Laure, nous avions décidé de nous changer et de nous vêtir en vue de goûter à un sommeil réparateur.
Nous nous préparâmes à l’abri du regard des autres pour ménager le suspense à la découverte de nos tenues de nuit.
J’arrivais la dernière dans ce que nous appelions le séjour, y retrouvant mes amies affalées sur les banquettes-lits déjà dépliées.
Laure portait un long tee-shirt de fin coton blanc lui arrivant à mi-cuisses. Il était facile de se rendre compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, comme il se doit pour la nuit, tant ses mamelons marquaient le tissu.
Cathy, elle, avait opté pour une nuisette plus que coquine, en voile noir sous la poitrine, ses seins étant emprisonnés par une dentelle noire fort ajourée, du plus bel effet. Deux fines bretelles maintenaient ce petit bijou. À travers le voile, il était impossible de ne pas voir le superbe string en dentelle noire.
Une certaine excitation remplaça vite la surprise première que j’éprouvai à la vue de Cathy.
Pour ma part, mon choix s’était porté sur un simple tee-shirt, suffisamment long et entièrement nue dessous, il ne cachait à peine mon sexe, le bas m’arrivant à peine en dessous des fesses.
Nous étions les composantes d’un trio assez inattendu, mais nos envies se confondaient, profiter au maximum de ces quelques jours de liberté pour nous laisser aller là où notre corps et notre esprit nous entraînaient, vers le plaisir.
Nous nous installâmes, sur notre couchette. Il faisait un peu frais et le drap qui nous recouvrait était le bienvenu. Laure parla encore un peu, avant de tomber dans les bras de Morphée. La pénombre avait envahi notre "chambre". Je percevais distinctement le souffle régulier de Laure.
Cathy ne dormait pas, c’était sûr. J’entendais le bruissement de son drap, régulier, trop régulier …
Sa respiration ne pouvait que la trahir. Elle devait sans aucun doute se caresser, j’en étais persuadée, alors je me suis déplacée vers elle afin d’avoir accès à son corps …
J’avançais ma main sous le drap, jusqu’à sa peau. Du bout des doigts, j’effleurai sa cuisse. Elle ne cessa pas son mouvement continuant de se caresser.
Mes doigts montèrent le long de sa cuisse, découvrant au passage qu’elle ne portait pas de culotte. M’arrêtant sur l’aine. Je me fis plus insistante, j’aimais la douceur de la peau à cet endroit précis.
Cathy stoppa ses caresses. Elle devait être dans un état d’excitation déjà très avancé, car elle posa de suite sa main sur la mienne, et sans autre forme de procès, me guida vers son pubis, m’encouragea en caressant ma main, ce qui, par la pression, la masturbait.
Elle resta peu de temps à cet endroit, m’emmenant vers l’entrée de sa vulve déjà humide. Je la laissai me guider encore.
Ma propre excitation augmentait, impossible de rester aussi passive encore bien longtemps, je bandais comme une folle. Je commençais à agiter mes doigts, à les mouvoir le long de ses lèvres maculées de jouissance.
Je prenais un immense plaisir à faire glisser mon index entre ses lèvres luisantes, ma phalange extrême enserrée par ses deux bourrelets intimes. Partie à la rencontre de son clitoris, je le découvris gonflé de désir. Je le caressai de la pointe de mon index enduit de sa mouille.
Cathy ne tenait plus en place, ondulant, le souffle court. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas m’arrêter. Je me dirigeai vers sa couchette.
Je me délectais à présent de son fruit juteux. Laure était allongée sur le dos, jambes relevées et largement ouvertes, m’offrant son sexe. Ma bouche posée sur son intimité, je dégustais son miel, ma langue s’insinuant entre ses lèvres, venant par moments taquiner son bouton d’amour.
Je la sentais vibrer sous mes caresses, la voir se cambrer, l’entendre haleter, gémir doucement parfois.
Je gobais son pistil entre mes lèvres, le léchant du bout de la langue, sans plus m’arrêter, Cathy ondulais de plus belle, m’offrant ses gémissements qui me comblaient et me faisaient bander. Elle se cambra soudainement, se raidit et poussa un long râle. Elle jouissait sous ma langue qui lapait la liqueur de son plaisir.
Toute à son plaisir, les secondes que durèrent sa jouissance furent une éternité.
Elle retomba, essoufflée. Je me levais pour partager avec elle un long baiser d’amour. Elle glissa sa main sur mes hanches, venant vite sur mon sexe qu’elle massa sans hésiter et sans pudeur.
- Donne-moi ton sexe, Leslie, me dit Cathy.
Je vins sur elle en 69, sa bouche se jeta littéralement sur mon sexe. Ses lèvres enserrant mon membre, me suça comme une dingue. Je vibrais sous sa langue et ses lèvres, sentant mon sexe couler de plaisir dans sa bouche.
Je ne pus même pas poser ma bouche sur sa chatte, elle me fit jouir bien avant.
Cathy me dit plus tard que j’avais crié et sans doute réveillé Laure qui s’était retournée, mais nous avait laissées seules.
Un peu plus tard je lui fis l’amour et c’est fourbues, nous nous endormîmes enlacées.
A suivre…
Après l’après-midi mouvementée que nous venions de vivre avec Fabienne et Luc, aucunes de nous trois n’avait une grande fraîcheur physique.
Une seule envie, grignoter un petit quelque chose puis, une grâce matinée et plus, dodo. Un petit déjeuner, avec des laitages et des fruits, a fait l’affaire.
Nous retrouvions un certain entrain, et comme il fallait s’y attendre, le sujet de conversation se porta sur nos "exploits" de l’après-midi, ce qui eut pour effet de nous échauffer à nouveau.
Cathy, si nature, si cool, avait été séduite par Fabienne. Elle ne tarissait pas d’éloges sur cette femme qu’elle trouvait si sexy.
Laure, comme moi, elle avait aussi été très impressionnée par la taille du sexe de Luc, et surtout par l’aisance avec laquelle Cathy l’avait englouti.
Cathy essaya de nous transcrire le plaisir qu’elle pouvait ressentir lorsqu’elle était pourfendue par ce pieu.
Laure et moi écoutions religieusement ses confidences. Ses mots faisaient sur moi de l’effet, je me prenais à m’imaginer d’être à sa place et de me faire défoncer le cul comme une salope.
Le bungalow caravane baignait dans une douce pénombre. Sous l’impulsion de Laure, nous avions décidé de nous changer et de nous vêtir en vue de goûter à un sommeil réparateur.
Nous nous préparâmes à l’abri du regard des autres pour ménager le suspense à la découverte de nos tenues de nuit.
J’arrivais la dernière dans ce que nous appelions le séjour, y retrouvant mes amies affalées sur les banquettes-lits déjà dépliées.
Laure portait un long tee-shirt de fin coton blanc lui arrivant à mi-cuisses. Il était facile de se rendre compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, comme il se doit pour la nuit, tant ses mamelons marquaient le tissu.
Cathy, elle, avait opté pour une nuisette plus que coquine, en voile noir sous la poitrine, ses seins étant emprisonnés par une dentelle noire fort ajourée, du plus bel effet. Deux fines bretelles maintenaient ce petit bijou. À travers le voile, il était impossible de ne pas voir le superbe string en dentelle noire.
Une certaine excitation remplaça vite la surprise première que j’éprouvai à la vue de Cathy.
Pour ma part, mon choix s’était porté sur un simple tee-shirt, suffisamment long et entièrement nue dessous, il ne cachait à peine mon sexe, le bas m’arrivant à peine en dessous des fesses.
Nous étions les composantes d’un trio assez inattendu, mais nos envies se confondaient, profiter au maximum de ces quelques jours de liberté pour nous laisser aller là où notre corps et notre esprit nous entraînaient, vers le plaisir.
Nous nous installâmes, sur notre couchette. Il faisait un peu frais et le drap qui nous recouvrait était le bienvenu. Laure parla encore un peu, avant de tomber dans les bras de Morphée. La pénombre avait envahi notre "chambre". Je percevais distinctement le souffle régulier de Laure.
Cathy ne dormait pas, c’était sûr. J’entendais le bruissement de son drap, régulier, trop régulier …
Sa respiration ne pouvait que la trahir. Elle devait sans aucun doute se caresser, j’en étais persuadée, alors je me suis déplacée vers elle afin d’avoir accès à son corps …
J’avançais ma main sous le drap, jusqu’à sa peau. Du bout des doigts, j’effleurai sa cuisse. Elle ne cessa pas son mouvement continuant de se caresser.
Mes doigts montèrent le long de sa cuisse, découvrant au passage qu’elle ne portait pas de culotte. M’arrêtant sur l’aine. Je me fis plus insistante, j’aimais la douceur de la peau à cet endroit précis.
Cathy stoppa ses caresses. Elle devait être dans un état d’excitation déjà très avancé, car elle posa de suite sa main sur la mienne, et sans autre forme de procès, me guida vers son pubis, m’encouragea en caressant ma main, ce qui, par la pression, la masturbait.
Elle resta peu de temps à cet endroit, m’emmenant vers l’entrée de sa vulve déjà humide. Je la laissai me guider encore.
Ma propre excitation augmentait, impossible de rester aussi passive encore bien longtemps, je bandais comme une folle. Je commençais à agiter mes doigts, à les mouvoir le long de ses lèvres maculées de jouissance.
Je prenais un immense plaisir à faire glisser mon index entre ses lèvres luisantes, ma phalange extrême enserrée par ses deux bourrelets intimes. Partie à la rencontre de son clitoris, je le découvris gonflé de désir. Je le caressai de la pointe de mon index enduit de sa mouille.
Cathy ne tenait plus en place, ondulant, le souffle court. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas m’arrêter. Je me dirigeai vers sa couchette.
Je me délectais à présent de son fruit juteux. Laure était allongée sur le dos, jambes relevées et largement ouvertes, m’offrant son sexe. Ma bouche posée sur son intimité, je dégustais son miel, ma langue s’insinuant entre ses lèvres, venant par moments taquiner son bouton d’amour.
Je la sentais vibrer sous mes caresses, la voir se cambrer, l’entendre haleter, gémir doucement parfois.
Je gobais son pistil entre mes lèvres, le léchant du bout de la langue, sans plus m’arrêter, Cathy ondulais de plus belle, m’offrant ses gémissements qui me comblaient et me faisaient bander. Elle se cambra soudainement, se raidit et poussa un long râle. Elle jouissait sous ma langue qui lapait la liqueur de son plaisir.
Toute à son plaisir, les secondes que durèrent sa jouissance furent une éternité.
Elle retomba, essoufflée. Je me levais pour partager avec elle un long baiser d’amour. Elle glissa sa main sur mes hanches, venant vite sur mon sexe qu’elle massa sans hésiter et sans pudeur.
- Donne-moi ton sexe, Leslie, me dit Cathy.
Je vins sur elle en 69, sa bouche se jeta littéralement sur mon sexe. Ses lèvres enserrant mon membre, me suça comme une dingue. Je vibrais sous sa langue et ses lèvres, sentant mon sexe couler de plaisir dans sa bouche.
Je ne pus même pas poser ma bouche sur sa chatte, elle me fit jouir bien avant.
Cathy me dit plus tard que j’avais crié et sans doute réveillé Laure qui s’était retournée, mais nous avait laissées seules.
Un peu plus tard je lui fis l’amour et c’est fourbues, nous nous endormîmes enlacées.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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excellent