Titre de l'histoire érotique : Leslie NR38

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Leslie NR38 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Leslie NR38
Leslie NR38 – Nouveaux récits
Le congrès – Mais pas que, suite et fin

Il est tôt quand je me réveille, le soleil commence à se lever à l’horizon, je sors de ma cabine et monte sur le pont où je découvre Manon, qui repose nue.
Elle est belle, les seins hauts, gonflés, son ventre orné d’un petit rubis que je n’avais pas vu hier et le mont de Vénus lisse parfaitement épilé, avec juste ce petit trait de poils courts qui met toute la vulve en valeur et laisse les grandes lèvres brune apparentes.

J’avance vers elle, je sens à son regard tout le désir qui brule en elle et qu’elle est impatiente de se donner dans ce petit matin. Lentement en me regardant dans les yeux, elle écarte les cuisses, se cambre légèrement pour faire ressurgir son mont de Vénus et s’ouvre le sexe de ses doigts.
Elle m’offre de façon impudique son intimité qui luit sous le soleil naissant et lentement dégage la perle de son écrin. Je la viole des yeux, tout en m’approchant d’elle, le sexe déjà gonflé devant cette provocation indécente.
Elle se redresse et empoignant mon membre, elle le hume d’abord, puis du bout de sa langue lèche mon gland avant d mordiller la hampe, puis doucement, ouvrant doucement ses lèvres, engobe mon sexe au plus profond, jusqu’au fond, lentement.
Ses mains se crispent sur mes fesses et elle me suce avec désir et passion, sans hâte, mais profondément. Je gémis sous sa bouche accueillante, puis je m’arrache de sa bouche et m’agenouille entre ses jambes…
Ecartant ses cuisses sur toute la largeur du matelas, elle me lance :
- Viens !

Elle me laisse la lécher, l’exciter, son ventre monte et descend comme la houle du petit matin, ma langue comme s’insinue entre ses lèvres, elle mouille et coule de bonheur. En appui sur ses mains et ses pieds, elle se soulève pour aller au-devant de ma langue, la guide de ses déhanchements pour la guider suivant ses désirs.
Je m’interromps et m’empare des fesses, forçant Manon à se retourner pour qu’elle se mette à quatre pattes sur le matelas, cul en l’air, et là j’écarte ses fesses et dégage son œillet fripé.
- Hoo, gémit-elle, se doutant de ce qui va suivre.
J’ai dardé ma langue entre ses fesses et lui lèche le pourtour de l’anus, la faisant grogner de contentement. Ma langue a forcé le barrage et une main a investi sa vulve, l’index posé sur son bouton d’amour. Mes caresses catapultent Manon en avant pour échapper au plaisir trop aigu.

Je me redresse et place ma queue bandée au bord de son sexe brûlant et lentement ma queue s’enfonce dans son sexe complètement trempé.
Manon s’accroche au matelas, penchée en avant, tandis que je la défonce de plus en plus rapidement, de plus en plus puissamment…
Manon, en jouissant d’un dernier coup de rein, hurle son plaisir en disant :
- Ohhh, c’est trop….
Le sexe encore dressé, je me retire de sa vulve, elle me regarde et passe une main entre ses cuisses. Constatant que son fourreau intime n’est pas plein de mon sperme, elle me dit :
- Mais tu n’as pas joui !
Alors, elle se met à caresser lentement son sexe, ses doigts titillent son bouton gorgé de désir, s’enfoncent en elle. Elle gémit, se doigte, se masturbe en regardant fixement mon sexe dressé.
Ses doigts vont et viennent, elle feule, le ventre creusé par le plaisir, la respiration courte et le regard hagard.
Tremblante, elle se laisse glisser sur le matelas, sur le dos, passe ses mains sous ses cuisses et ramène ses jambes vers son buste. Puis ainsi, pliée en deux, les yeux perdus dans l’horizon du petit matin, elle me laisse investir ses reins, forcer son petit trou étoilé…
Elle me laisse le temps qu’il faut en me regardant d’un air presque suppliant, celui de jouir en elle, alors me laissant aller, je jouis au fond de ses reins.

Puis Manon, se relève, me prend par la main et me dispose en levrette, puis se glisse derrière moi et me lèche les testicules, puis le périnée, crache sur son anus, y insinue sa langue pointue, desserre mon anneau secret, le stimule et le pénètre de la langue.
Je frémis emporté par le viol de cette langue qui me fouille. Manon remplace sa langue par un doigt au creux de mes reins, elle le sodomise de son doigt.
Je feule tandis qu’elle entame un lent va-et-vient, s’emparant en même temps de ma queue gonflée pour me masturber, puis elle me dit en relâchant son étreinte :
- Je t’ai fouillé les reins de mon doigt, j’aimerais t’enculer avec un gode ceinture.
- J’aimerais bien ça, lui dis-je.
- Alors dans ta cabine tout à l’heure…

Après le petit déjeuner les hommes sont parti faire de la pêche sous-marine, accompagnée de Cathy qui vu sa tenue ne pensait pas qu’à attraper des poissons, mais plutôt de faire fourrer pas les eux mâles, enfin le résultat était qu’ils nous laissaient seuls avec Manon pour nos ébats…
Sitôt disparus, Manon m’entraina dans sa cabine où elle m’allongea sur le lit et commença à me sucer, très rapidement je fus en érection et elle s’attaqua à mon œillet qu’elle lécha pour bien l’humidifier. Puis me sentant prête, elle s’harnacha se son gode ceinture qui était sous l’oreiller. Elle se plaça alors entre mes jambes en me disant :
- Je vais te sodomiser mais je veux te regarder…
Et elle enfonça son gode en me faisant gémir, non pas que l’engin était long, mais la largeur m’écarta subitement l’anneau, et elle rajouta :
- Tu le sens bien, il est large et j’adore m’en servir sur les petits culs comme le tien !
Et elle me sodomisa pendant de longues minutes en me regardant dans les yeux et scrutant mes réactions, tour en me branlant d’une main.
Elle avait l’habitude et donnait de grands coups de reins aussi bien qu’un homme, sur son visage je pouvais voir le plaisir qu’elle prenait et cela me fit jouir et me répandre sur mon ventre…
Elle continua encore de longues minutes, me tirant des soupirs à chaque pénétration, puis heureuse de m’avoir donné du plaisir, elle se retira et me demanda de la sodomiser une nouvelle fois.
A la tête que faisaient nos trois complices de retour de leur plongée, nous avons tout de suite compris avec Manon, qu’eux aussi avaient pris du bon temps, mais pas qu’à chasser le poisson sous l’eau…
Le rets de la journée se passa entre baignades et complicités d’ordres plus physiques que verbales, en allant me coucher mon petit trou me lançait un peu, suite aux nombreuses sodomies qu’il avaient subis dans le cours de la journée. Cette nuit seule fut la bienvenue pour me reposer et laisser tranquille mon orifice intime…

Le lendemain, Claude vint me réveiller alors que tout le monde dormait encore et m’entraina dans sa cabine où Cathy reposait, recouverte d’un drap sur la couchette. Claude me fit comprendre ses désirs et Cathy se réveilla en sentant que je montais sur la couchette, derrière elle.
Elle comprit ce qui l’attendait quand, en relevant la tête, elle vit Claude assis dans le fauteuil près d’elle et moi nue près d’elle, certainement qu’elle avait vécu cette expérience dans le passé.
La lumière du petit matin éclairait la cabine, lui permettant de voir le sourire qui illuminait le visage de Claude, puis elle sentit que je tirais le drap qui la recouvrait et sous lequel elle était nue, mais sans savoir que c’était moi...
- Surtout ne te retourne pas, lui demanda Claude.

Elle devait se sentir complètement exposée à mon regard, le drap maintenant enlevé, offerte nue, les reins offerts, alors elle serra les cuisses pour cacher son sexe qui baillait.
- Tu as vu son beau cul ?
Claude savait que sa femme était désirable ainsi offerte et il allait réaliser un de ses fantasmes, la voir faire l’amour avec une transsexuelle, se faire prendre par elle, bien qu’il sache que je l’avais déjà prise, mais l’excitation provoquait en lui une belle érection qu’il ne cachait pas à Cathy, comme par fierté.
- Vas-y, me dit Claude, moi je me contente de regarder, Cathy à l’habitude !
Cathy sentit mes deux mains la saisir par les hanches pour la tirer en arrière et agrippant l’oreiller, elle enfonça son visage dedans pour étouffer un gémissement d’anticipation.

Puis elle se laissa faire, abandonnée au désir, sentant mon sexe raide et brûlant posé dans la raie de ses fesses, alors elle écarta les cuisses en se cambrant davantage.
Alors, sa vulve s’ouvrit et Cathy soupira et poussa un petit cri quand mon membre se posa sur son intimité, la faisant se cambrer encore plus.
Elle releva la tête et chercha le regard Claude qui la regardait, offerte sur la couchette avec ses grands yeux mouillés d’émotion et d’amour.

Cathy se mordit la lèvre inférieure en sentant mon sexe la pénétrer d’un coup, jusqu’à la garde. Elle cria, d’une voix rauque sous cette pénétration sauvage, sentant mon membre qui la violait.
La bouche entrouverte, d’où aucun cri ne sortait, Cathy cherchait l’air afin de ne pas perdre conscience.
Claude aimait observer Cathy se faire prendre par un autre et Cathy aimait se donner ainsi en spectacle à son homme, cela tenait du rituel

Cathy poussait de petits cris rauques, tandis que je la limais en profondeur, butant au fond contre sa matrice, savourant les palpitations de la vulve ouverte et trempée autour de mon sexe sous l’œil attentif de Claude qui se branlait en regardant. Puis, soudain, Claude se redressa le sexe dressé et attrapa Cathy par les cheveux, et enfonça son sexe dans sa bouche avide.
Il soupira de plaisir, quand la langue de Cathy entrepris une sarabande effrénée autour de son gland, en tentant de prendre toute la longueur du sexe de son homme dans sa bouche déformée.
Cathy s’accrochant au sexe Claude d’une main, envoyait l’autre entre ses cuisses pour agacer son clitoris de son doigt.
Le sexe Claude violait sa bouche tandis que je la pénétrais en la tenant par les hanches, prise ainsi Cathy gémissait et râlait de plaisir.

Puis, Cathy se laissa soudain emportée par l’orgasme, tétanisée par le plaisir qui se répétait dans son corps, au bord de l’évanouissement.
Alors profitant de ce moment de relâchement, j’ai violé l’œillet de Cathy d’un pouce hâtivement couvert de salive, avant de lâcher tout mon plaisir en quelques coups de reins, en me vidant à longs jets brûlants dans le sexe qui se crispait autour de mon sexe.
Claude jouis à son tour dans la bouche de Cathy…
Pour finir, Cathy nous demanda de la sodomiser, ce que nous fîmes en jouissant l’un et l’autre dans son fondement…

La fin de mon périple s’acheva par un au revoir, les deux couples ayant décidés de prolonger leur croisière…

A suivre…

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