Titre de l'histoire érotique : Ma Maîtresse Asiatique
Récit érotique écrit par Paulta [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Ma Maîtresse Asiatique
Je suis retourné voir ma chère Maîtresse asiatique. Même endroit que la dernière fois, la porte s’ouvre quand j’arrive dans le couloir et je pénètre de nouveau dans ce petit univers. J’entre et me déshabille lentement sous son regard que je n’ose soutenir. Je ressens cette petite honte qui me plaît. Une fois nu, je viens me mettre sagement à genoux à ses pieds. Nos regards se croisent, comme la dernière fois, elle semble tendre et attentionnée, le jeu peut commencer.
Elle me tend un premier pied et j’embrasse tendrement ses orteils. Je les prends en bouche, les lèche avec amour. Une fois nettoyés, je me mets à lécher sa plante et à renifler son petit pied. Elle change très vite et me tend l’autre que je traite de la même manière. Elle s’amuse à venir effectuer des pressions sur mon sexe avec le pied qui n’est pas dans ma bouche, elle sait que j’adore ça. Malheureusement, je passe très vite, sur ses ordres, en position allongée sur le dos au sol. Elle décide de me placer des poids sur les testicules, une première pour moi. Je n’ai pas le temps d’appréhender son geste, elle me mets des pinces froides qui me mordent les bourses et m’arrache un tout petit cri que j’essaie de contenir. Cette morsure se fait ressentir quelques petites secondes avant de devenir somme toute plutôt agréable. Ma Maîtresse me surprend en voulant me bander les yeux, bien-sûr j’accepte. Je suis alors plongé dans le noir.
Privé de ma vue, je me concentre sur mes autres sens et essaie d’anticiper ses faits en écoutant. Je la sens se placer au-dessus de mon visage et devine tout de suite ce qui m’attend. J’attends impatiemment le contact de ses fesses et enfin, elle vient s’asseoir fesses nues sur mon visage. J’adore cette position et met tout mon cœur à la tâche en léchant son anus. J’essaie de balader ma langue partout pour en profiter le plus possible, je lèche et essaie de la rentrer dans son petit trou pour en goûter l’intérieur. Je renifle également. Elle m’étouffe totalement et je dois longtemps retenir ma respiration avant de chercher de l’air en remuant ma tête. Pendant ce temps, mon sexe se gonfle complètement et elle s’amuse à le tripoter. Je suis à ce moment-là heureux et ne souhaite être nulle part ailleurs. Evidemment, elle finit par se relever et me priver de son anus. Elle décide également de m’ôter mes poids, ce qui me procure un grand frisson. Elle me fait m’asseoir et m’ordonne d’une voix tranchante : « Ouvre ta bouche que je crache dedans ! ». Je lève le visage vers elle et ouvre grand ma bouche. Elle crache dedans à plusieurs reprises. Je referme ma bouche pleine de sa salive que j’avale avec passion. J’aime beaucoup être humilié de la sorte. Elle me demande alors de me mettre à quatre pattes et me guide. Je me mets sur les genoux et les coudes.
Elle se met alors à jouer avec mon anus. Elle commence très doucement mais m’écarte vite et je sens assez tôt des godes faires des allers-retours dans mon fondement. J’ai mal mais résiste pour lui faire plaisir. Elle me dit mettre un gode-ceinture pour pouvoir me prendre. Malgré cette douleur et l’érection qui a disparu, les assauts dans mes fesses font monter en moi l’envie de jouir et j’ai l’impression qu’un filet s’échappe de ma verge. Elle s’amuse et me prend les boules pendantes, me tripote le sexe. C’est quand enfin, je commence à me sentir bien, à apprécier le gode et à me demander si j’allais pouvoir me contenir, qu’elle s’arrête. Elle m’enlève le bandeau des yeux et penche son visage sur le mien pour cracher. Elle crache sur ma bouche qu’elle me demande d’ouvrir pour cracher de nouveau. J’avale et tente de nettoyer le crachat autour de ma bouche avec ma langue.
Elle me demande de la suivre dans la salle de bain et c’est toujours à quatre pattes que je m’exécute. Je monte dans sa baignoire comme je l’avais déjà fait, m’y installe confortablement et elle saisit mon sexe et le secoue violemment pour me refaire bander. C’est chose aisée. Je remarque quand elle le secoue qu’en effet, un long filet de liquide pré séminal s’était formé pendant la sodomie. Elle crache dessus et se place debout sur les bords de la baignoire, au-dessus de moi. J’attends peu de temps les premiers jets d’urine. Elle me pisse dessus, sur le ventre, le torse avant de s’orienter sur mon sexe. Au contact de l’urine, je suis terriblement excité. Le jet est abondant et semble ne jamais s’arrêter. Elle s’arrête et me demande ensuite de lever la tête vers elle et d’ouvrir grand la bouche. J’obéis sagement et tire même la langue, j’ai le regarde rivés sur son vagin car j’appréhende un peu de recevoir son urine directement en bouche. Elle le sent et me demande de fermer les yeux, j’obéis encore. J’attends alors le moment fatidique pendant ce qui me semble une éternité et enfin je sens le jet puissant sur ma langue puis dans ma bouche qui se remplit. Qui se remplit jusqu’à déborder et forcer l’urine à couler sur mes joues et dans mon cou. Je prends conscience qu’une femme est en train de me pisser dans la bouche et j’accepte cela, je me soumets, pire, j’en suis fier et en tire du plaisir. Le goût est doux et ma bouche pleine m’oblige à respirer avec le nez l’odeur forte. Quand elle termine, je recrache tout sur moi-même.
Elle s’installe alors à côté de moi et me fait remarquer « Tu as pris une grosse douche hein. », ou encore « Tu es bien comme ça dans ma pisse. ». Des phrases humiliantes dont je raffole. Elle saisit alors mon sexe comme la dernière fois, me regarde dans les yeux et commence à me masturber. J’essaie cette fois de tenir un peu plus longtemps malgré la forte excitation, pour prolonger le bonheur. Je regarde cette femme qui vient de m’utiliser comme le plus bas des esclaves et qui impose une cadence soutenue. Je finis par jouir. Je me lave et la rejoins dans le salon. J’arrive nu devant la dame qui est, bien-sûr, habillée et qui me regarde. Je viens de lui lécher les pieds, puis elle m’a enculé, craché et pissé dessus. Je suis gêné et quelque part, je me sens ridicule. En même temps, je donnerais beaucoup pour recommencer immédiatement. J’essaie alors de faire comme si c’était normal et de discuter en remettant mon caleçon, puis un par un tous mes vêtements.
Elle me tend un premier pied et j’embrasse tendrement ses orteils. Je les prends en bouche, les lèche avec amour. Une fois nettoyés, je me mets à lécher sa plante et à renifler son petit pied. Elle change très vite et me tend l’autre que je traite de la même manière. Elle s’amuse à venir effectuer des pressions sur mon sexe avec le pied qui n’est pas dans ma bouche, elle sait que j’adore ça. Malheureusement, je passe très vite, sur ses ordres, en position allongée sur le dos au sol. Elle décide de me placer des poids sur les testicules, une première pour moi. Je n’ai pas le temps d’appréhender son geste, elle me mets des pinces froides qui me mordent les bourses et m’arrache un tout petit cri que j’essaie de contenir. Cette morsure se fait ressentir quelques petites secondes avant de devenir somme toute plutôt agréable. Ma Maîtresse me surprend en voulant me bander les yeux, bien-sûr j’accepte. Je suis alors plongé dans le noir.
Privé de ma vue, je me concentre sur mes autres sens et essaie d’anticiper ses faits en écoutant. Je la sens se placer au-dessus de mon visage et devine tout de suite ce qui m’attend. J’attends impatiemment le contact de ses fesses et enfin, elle vient s’asseoir fesses nues sur mon visage. J’adore cette position et met tout mon cœur à la tâche en léchant son anus. J’essaie de balader ma langue partout pour en profiter le plus possible, je lèche et essaie de la rentrer dans son petit trou pour en goûter l’intérieur. Je renifle également. Elle m’étouffe totalement et je dois longtemps retenir ma respiration avant de chercher de l’air en remuant ma tête. Pendant ce temps, mon sexe se gonfle complètement et elle s’amuse à le tripoter. Je suis à ce moment-là heureux et ne souhaite être nulle part ailleurs. Evidemment, elle finit par se relever et me priver de son anus. Elle décide également de m’ôter mes poids, ce qui me procure un grand frisson. Elle me fait m’asseoir et m’ordonne d’une voix tranchante : « Ouvre ta bouche que je crache dedans ! ». Je lève le visage vers elle et ouvre grand ma bouche. Elle crache dedans à plusieurs reprises. Je referme ma bouche pleine de sa salive que j’avale avec passion. J’aime beaucoup être humilié de la sorte. Elle me demande alors de me mettre à quatre pattes et me guide. Je me mets sur les genoux et les coudes.
Elle se met alors à jouer avec mon anus. Elle commence très doucement mais m’écarte vite et je sens assez tôt des godes faires des allers-retours dans mon fondement. J’ai mal mais résiste pour lui faire plaisir. Elle me dit mettre un gode-ceinture pour pouvoir me prendre. Malgré cette douleur et l’érection qui a disparu, les assauts dans mes fesses font monter en moi l’envie de jouir et j’ai l’impression qu’un filet s’échappe de ma verge. Elle s’amuse et me prend les boules pendantes, me tripote le sexe. C’est quand enfin, je commence à me sentir bien, à apprécier le gode et à me demander si j’allais pouvoir me contenir, qu’elle s’arrête. Elle m’enlève le bandeau des yeux et penche son visage sur le mien pour cracher. Elle crache sur ma bouche qu’elle me demande d’ouvrir pour cracher de nouveau. J’avale et tente de nettoyer le crachat autour de ma bouche avec ma langue.
Elle me demande de la suivre dans la salle de bain et c’est toujours à quatre pattes que je m’exécute. Je monte dans sa baignoire comme je l’avais déjà fait, m’y installe confortablement et elle saisit mon sexe et le secoue violemment pour me refaire bander. C’est chose aisée. Je remarque quand elle le secoue qu’en effet, un long filet de liquide pré séminal s’était formé pendant la sodomie. Elle crache dessus et se place debout sur les bords de la baignoire, au-dessus de moi. J’attends peu de temps les premiers jets d’urine. Elle me pisse dessus, sur le ventre, le torse avant de s’orienter sur mon sexe. Au contact de l’urine, je suis terriblement excité. Le jet est abondant et semble ne jamais s’arrêter. Elle s’arrête et me demande ensuite de lever la tête vers elle et d’ouvrir grand la bouche. J’obéis sagement et tire même la langue, j’ai le regarde rivés sur son vagin car j’appréhende un peu de recevoir son urine directement en bouche. Elle le sent et me demande de fermer les yeux, j’obéis encore. J’attends alors le moment fatidique pendant ce qui me semble une éternité et enfin je sens le jet puissant sur ma langue puis dans ma bouche qui se remplit. Qui se remplit jusqu’à déborder et forcer l’urine à couler sur mes joues et dans mon cou. Je prends conscience qu’une femme est en train de me pisser dans la bouche et j’accepte cela, je me soumets, pire, j’en suis fier et en tire du plaisir. Le goût est doux et ma bouche pleine m’oblige à respirer avec le nez l’odeur forte. Quand elle termine, je recrache tout sur moi-même.
Elle s’installe alors à côté de moi et me fait remarquer « Tu as pris une grosse douche hein. », ou encore « Tu es bien comme ça dans ma pisse. ». Des phrases humiliantes dont je raffole. Elle saisit alors mon sexe comme la dernière fois, me regarde dans les yeux et commence à me masturber. J’essaie cette fois de tenir un peu plus longtemps malgré la forte excitation, pour prolonger le bonheur. Je regarde cette femme qui vient de m’utiliser comme le plus bas des esclaves et qui impose une cadence soutenue. Je finis par jouir. Je me lave et la rejoins dans le salon. J’arrive nu devant la dame qui est, bien-sûr, habillée et qui me regarde. Je viens de lui lécher les pieds, puis elle m’a enculé, craché et pissé dessus. Je suis gêné et quelque part, je me sens ridicule. En même temps, je donnerais beaucoup pour recommencer immédiatement. J’essaie alors de faire comme si c’était normal et de discuter en remettant mon caleçon, puis un par un tous mes vêtements.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour super hard mais excitant un bon chien...il ne manque plus qu'un bon male viril a ta maitresse pour t'humilier en la baisant devant toi et pour te baiser et tu auras ce qu'un bon esclave merite le droit de nettoyer les orifices juteux de sperme de ta maitresse..
Merci de dévoiler tes penchants...cest bien ecrit
Merci de dévoiler tes penchants...cest bien ecrit