Titre de l'histoire érotique : Maîtresse Asiatique - histoire érotique

Depuis toujours, je suis attiré par les belles asiatiques. Depuis peu, je me suis découvert une passion pour la soumission. Logiquement, cela m'a mené à rencontrer une Maîtresse Asiatique. Appel téléphonique, elle semble très gentille, le feeling est bon, le rendez-vous est pris chez elle.

J'y arrive à la tombée de la nuit, tout en haut d'un immeuble parisien, une ravissante femme m'ouvre la porte. Elle porte des talons noirs et une robe courte et moulante en latex qui descend juste sous ses fesses. Elle est belle et souriante, je suis vite mis en confiance. Je pénètre dans la pénombre de l'appartemment. Il est éclairé à la bougie, équipé d'installations lubriques et un disque de musique classique accompagne le décor.

Elle s'assoit sur un canapé et me regarde avec une innocence troublante. Avec cette même naïveté elle me demande d'enlever mes vêtements. Bien sûr, je m'exécute et me déshabille calmement. Son regard ne me lâche pas et quand je monte mes yeux vers elle en mettant ma main sur mon caleçon, comme pour demander confirmation, son sourire s'étire et son regard innocent devient pervers et pénétrant. Je suis déjà conquis par cette femme, sous son emprise, je me mets nu et viens gentiment me mettre à genoux à ses pieds. Elle me demande mes envies, mes limites, mes habitudes, je lui réponds et lui tends mon téléphone pour qu'elle puisse me prendre en photo tout au long de la rencontre.

Tout de suite, sur son signal, je commence à embrasser puis lécher ses pieds. Elle a laissé tomber ses talons. Ses pieds sont divins, petits - sûrement du 36 ou 37 - et harmonieux, joliment dessinés. Elle alterne les pieds, je les nettoie avec amour. Je la sens me prendre en photo et toute cette scène me procure déjà une érection. Généreuse, elle vient caresser mon sexe avec son pied qui n'est pas dans ma bouche. Au contact de cette plante et des petits orteils, mon sexe se dresse complètement, je suis très excité. Et nous nous amusons ainsi quelques minutes.

Elle rompt cette harmonie et m'ordonnant de me positionner allongé sur le dos. Elle en profite pour balader ses pieds sur mon corps et m'écraser un peu partout. Elle se positionne au dessus de mon visage, lève sa robe, j'ai une vue sur ses orifices et je prie pour qu'elle s'assoie très vite sur moi. Je suis exaucé et je me retrouve étouffé sous ses fesses. Elle relève ses lobes pour me permettre un accès avec la langue, je me mets alors à pratiquer un anulingus, en mettant toute ma volonté. Sa rondelle a un goût merveilleux, je suis dans un état second, je remue ma langue frénétiquement. Je prends des grandes inspirations avec mon nez dans ses fesses, pour savourer ce moment dont je sais qu'il n'allait pas durer. Je suis au paradis. Elle me tapote tantôt le sexe et les boules avec une cravache, tantôt elle me le caresse avec les mains, créant un délicieux mélange entre douleur et douceur.

Elle me rappelle à ses pieds et je m'éxécute de plus belle. La précédente position m'a excité et je suis prêt à tout. Cela tombe bien parce qu'elle me fait mettre à quattre pattes, sur les coudes. Après quelques secondes à patienter, elle présente près de mon visage un gode fin passé à sa ceinture. "Qu'est ce que tu dois faire devant un gode comme ça ?". La réponse est simple, je le prends immédiatemment en bouche et le suce du mieux qu'il me soit donné. Après plusieurs minutes, elle vient derrière moi et démarre une merveilleuse sodomie. Elle me prend comme une petite chienne et j'adore ça. Elle me caresse de temps à autre le sexe, me tire les boules et va toujours plus loin, plus fort, plus vite. Je me donne tout entier à cette femme qui me prend. Malheureusement encore, tout plaisir a une fin et la sodomie a fini par s'arrêter.

C'est alors qu'elle me fait remettre en position allongée sur le dos. Elle me piétine, m'écrase sexe et visage. Sa phrase suivante ne me laisse pas le bénéfice du doute sur ses intentions : "Tu vas me nettoyer les fesses encore et puis on ira à la salle de bain". Je suis reparti, comme plus tôt, pour dix minutes de bonheur le visage écrasé et enfoui entre ses fesses. Encore une fois, je goûte, je sens, pour sauvegarder ce moment merveilleux. Jusqu'à ce que le moment fatidique arrive.

Je la suis à quatre pattes jusque dans la salle de bain où elle me fait prendre place dans la baignoire. Elle s'installe au-dessus de moi, les pieds sur les bords. Elle en profite pour me prendre en photo, je suis sous elle, nu et bandant, assis sagement au fond de la baignoire, attendant que Madame daigne me pisser dessus. Rabaissé à un état de moins-que-rien, je trépigne d'impatience cependant qu'Elle immortalise ce moment avec mon appareil. Bientôt je sens les premières gouttes de son urine chaude couler sur ma poitrine. Toujours en me photographant, elle oriente le jet sur tout mon corps pour bien marquer son nouveau territoire. Mon sexe, mon ventre, mon visage, ma bouche, rien n'est épargné. Je goûte, je sens, je bande et malheureusement, elle termine.

Je patoge alors dans l'urine, elle en avait beaucoup à me donner. Elle vient se mettre sur le côté de la baignoire et m'empoigne fermement le pénis. Avec son sourire malin, elle plonge son regard pervers dans le mien et commence à me branler, les yeux dans les yeux. Son regard est puissant, pénétrant, elle me fait fondre et l'excitation est telle que je me cramponne aux bords de la baignoire pour ne pas y succomber. Elle accélère le mouvement et je ne tiens pas longtemps, jouis de grandes lampées sur mon ventre, elle continue de me branler douloureusement en serrant fort pour extraite toute les gouttes. Satisfaite, elle me lâche et se nettoie dans la douche. Je la regarde faire cependant que l'urine continue de couler sur mon corps conquis.

Je me lave ensuite et la rejoins, nu, dans le salon. Le temps que je me rhabille, nous discutons, et je découvre en plus d'une formidable dominatrice, une femme chaleureuse et attentionnée. A regret, je quitte l'appartemment de cette déesse, après quelques mètres dans la rue, je décide de regarder les photos de la séance. Je reviendrai.