Titre de l'histoire érotique : Ma nièce donne mon cul à son copain - histoire érotique

Prunelle, est la nièce de ma femme. Pour s'être faite engrossée, elle a été bannie de sa famille. Et, grâce à ma femme, elle s'est réfugiée chez nous. C'est un petit bout de femme de 45 kg, pour 1m50. Un joli minois, et une jolie silhouette. Elle mince et fluette comme une anguille. Son petit cul bien cambré, et tout rond. J'ai du mal a imaginer qu'elle est enceinte. Après avoir fait son enfant, elle s'est faite embauchée dans l'usine de ma femme. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai senti qu'elle était faite pour le sexe. Elle devait aimer la bite.
Dés qu'elle a commencé son job, elle s'est faite branchée par un employé. Sans rien dire à sa tante, elle a rejoint le mec dans les toilettes et lui a taillé une pipe. Juste trois heures après sa prise de service. Un peu plus tard, elle a vu un garçon, l'air un peu triste. Elle a essayé de le réconforter. Il l'a emmenée dans sa voiture et l'a baisée sur le siège arrière. J'ai appris ça, beaucoup plus tard. Quand je l'ai su, ça ne m'a pas étonné.
Moi, je suis à la retraite. C'est moi qui m'occupe de l'enfant. Un jour, Prunelle me demande de sortir avec l'enfant, parce son copain devait lui rendre visite en cachette de sa tante. Quand ils sont arrivés, j'étais encore à l'appartement. Je me suis planqué sur le balcon. Depuis que l'enfant était là, il y avait toujours du linge à sécher. Je me suis caché derrière les draps. Croyant que j'étais sorti, Prunelle entra en courant. La culotte en bas des pieds, elle sauta pour s'asseoir sur la table. Je ne l'avais jamais vue à poil. C'est vrai qu'elle était sexy avec son petit cul bien moulé. Quand le garçon vint vers elle, elle ouvrit sa braguette et en sortit le plus gros sexe que j'avais jamais vu. Elle se laissa tomber de la table, puis se pencha vers le braquemart. Je n'aurais jamais cru qu'elle puisse avaler ce monstre de chair. La tête contre la table, le garçon poussa lentement sa grosse pine dans la bouche de Prunelle. Ses lèvres écartelées par le membre démesuré, la petite l'avalait centimètre par centimètre. On voyait le monstre déformer sa gorge. Elle n'était pas décontenancée. Le souffle coupé par la présence de la grosse pine, elle se retira, prit un gros bol d'air, avant d'avaler le dard à nouveau. Dans ma tête, je me demandais comment elle arrivait à faire ça. Sa faim de bite dépassait tout. Quand enfin elle fut rassasiée, elle avait avalé au moins trois gorgées de sperme. Le garçon se retira, et, la prenant à la taille, il la remise assise sur la table. Elle prit la bite dans sa main. Elle ne put refermer sa main. Elle commença à branler le garçon. A plusieurs reprises, elle posa ses lèvres sur le gland et aspira. Le garçon se mit à bander de nouveau. Elle passa ses jambes derrière lui, et posant ses pieds sur ses fesses, elle attira le mâle vers elle. Le gland était deux fois plus large que le minou de Prunelle. Le garçon poussait, et Prunelle retenait son souffle. Quand il passa l'entrée, on entendit un bruit, du style celui qu'on entend quand un doigt sort d'une bouteille : plop. Le reste de la pine monstrueuse s'enfonca jusqu'à la racine. Prunelle émit un rugissement. Posant ses mains sur le cul de Prunelle, le garçon se mit en mouvement. La chatte écartelée de Prunelle glissait sur la pine comme sur une énorme tringle. Elle haletait. Ses yeux révulsés brillaient de désir.
- Mon cul, cria Prunelle, mon cul !
Le garçon passa ses mains sous les fesses de Prunelle. S'aidant de ses bras, elle se retourna, à plat ventre sur la table. Le garçon se retira, et derechef, il enfonça son membre géant dans le cul de Prunelle. Celle-ci s'était relevée pour améliorer l'angle de pénétration. Guand les couilles du garçon s'écrasèrent sur le cul de Prunelle, elle se releva et se retrouva assise sur les cuisses du garçon. Elle posa ses mains sur ses épaules et commença à faire glisser sa chatte, le long de la grosse pine. La membrane distendue de son hymen commençait à saigner. C'est le moment que choisit le petit garçon pour apparaître.
- Aïe dit-elle. Il a laissé le petit tout seul l
Puis, tout à coup, ils me virent. Elle vint vers moi et demanda :
- T'as tout vu ?
- Ben oui !
- Ma tante de sait rien ! Demain, si tu n'as rien dit, tu prendra sa place. Tu sais que j'ai besoin de sexe. Si, par contre tu dis quelque chose, c'est lui qui s'occupera de ton cul.
- Moi je te propose autre chose ! Je dis rien et vous me prenez en sandwich. Toi tu me suces, et lui, il m'encule !
- T'es pédé ?
- Quand on a arrêté la baise, ta tante et moi, c'est parce qu'elle a rencontré un mec à qui j'ai donné mon cul, il y a quelques années dans un cinéma.
- Papa ? Et si on faisait ça tout le temps ! Je vais m'arranger, sous prétexte que le petit a besoin de moi. Quand tu l'amènes, elle, tu me récupères et on va le chercher, dit-elle en désignant son copain. Il s'occupe d'abord de moi, puis il te casse le cul sous mes yeux, pendant que tu me lèches le minou.
- On est OK ? fit Prunelle. Le garçon fit oui de la tête, et moi, j'embrassai Prunelle dans le cou.
Un jour, le garçon m'invita chez ses parents. Sa mère passa son bras autour de mes épaules. Elle me glissa à l'oreille :
- Il paraît que vous êtes la petite amie de mon fils ? J'ai hâte de voir ça !
Prunelle était déjà à poil. Elle me prit me prit par la main et m'entraîna au bord de la piscine. Elle baissa mon short et me mit à genoux devant elle. Elle se retourna vers le fils de la famille, et lui suça la queue devant sa mère. Elle avait déjà dû voir ça, vu qu'elle ne s'en émut pas. Mais quand la queue de son fils laboura mon cul, elle rougit de plaisir.
Les parents du garçon avaient sifflé quand Prunelle leur avait montré mon cul. D'après eux, tu deviendras l'invité le plus important de la soirée. les autres vont adorer ton cul. Tu vas passer à la casserole un paquet de fois.