Titre de l'histoire érotique : Ma première fille
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Ma première fille
J'avais 18 ans, elle en avait 19.
J'étais interne dans un lycée, elle faisait la plonge dans une gargote.
La cantine du lycée était fermée pendant le week end. Les anciens affichaient des informations concernant les endroits où on pouvait aller manger. C'est comme ça que j'ai connu Danielle. Sa mère était serveuse dans le boui-boui.
Pendant le week end, le lycée n'ouvrait ses portes que le soir, pour les internes. Le Samedi et le Dimanche, on nous lâchait dans la nature, du matin au soir. Comme je n'étais pas bien argenté, je restai au restaurant jusqu'à la fermeture.
J'ai plusieurs fois remarqué une petite tête aux cheveux noirs de jais, jeter un regard dans la salle. J'ai d'abord cru que c'était un garçon. J'ai demandé à la serveuse :
- C'est qui la petite tête brune que je vois de temps en temps ?
- C'est ma fille, répondit-elle. Elle vient faire la plonge, le week end. Tu veux la voir ?
Elle tutoyait tout le monde. Javais un problème avec les filles. J'étais timide. Aussi, je suis devenu écarlate, quand j'ai répondu :
- Pourquoi pas....
Danielle est venue à la table. Elle a dit bonjour et s'est fendue d'un grand sourire. Puis, elle est repartie dans son repaire. Sa mère m'a dit que si je voulais, je pouvais attendre la fermeture et je les accompagnerais pour parler un peu avec sa fille.
Fernande, après le restaurant, avait une place de serveuse dans un bar appartenant à la propriétaire du restaurant.
Nous sommes restés dans le bistro pendant au moins deux heures, sans que Danielle ne m'adresse le moindre mot. Je lui parlais mais elle ne répondait pas. Tout à coup, sa mère s'est approchée et m'a demandé si je voulais bien la raccompagner à la maison. J'ai accepté.
Une fois dans l'appartement, je n'ai pas su quoi faire. Je me suis assis dans un fauteuil et là, il m'a semblé que je comprenais ce qu'il m'arrivait. Danielle avait l'air un peu bizarre, comme si elle était attardée. Sa phrase suivante me l'a confirmée.
-Tu sais, me dit-elle, j'ai envie de faire une passe !
J'ai voulu m'en aller, mais elle a voulu m'accompagner. Je l'ai emmenée dans ma chambre au lycée, avec une seule idée en tête, coucher enfin avec une fille.
Je l'ai allongée sur le lit et j'ai commencé à la déshabiller. J'ai défait la ceinture du pantalon et j'ai tenté de le lui ôter. En vain. J'ai descendu sa culotte, et là, pas de réaction.
Je me suis déshabillé, me suis couché sur elle, mais n'ai pas réussi. Je l'ai relevée, elle s'est rhabillée, moi aussi, et je l'ai raccompagnée chez elle.
Le week end suivant, elle a voulu aller sous le pont de chemin de fer qui enjambait une rivière. Elle a grimpé sur le versant de la colline, a attendu qu'un train arrive. Elle a baissé son pantalon, puis sa culotte et s'est penchée sur un rocher, les fesses tendues vers le ciel. Je me suis précipité, mais n'étant pas habitué, je n'ai pas utilisé de capote, ni de lubrifiant.
J'ai écarté ses fesses et j'ai posé ma bite sur son trou. J'ai poussé de toutes mes forces et elle a poussé un hurlement quand ma bite s'enfonça dans son cul. Je n'ai pas eu le temps d'éprouver du plaisir. J'ai joui immédiatement. La douleur l'a faite ruer et elle s'est relevé, m'expulsant de son cul.
J'étais interne dans un lycée, elle faisait la plonge dans une gargote.
La cantine du lycée était fermée pendant le week end. Les anciens affichaient des informations concernant les endroits où on pouvait aller manger. C'est comme ça que j'ai connu Danielle. Sa mère était serveuse dans le boui-boui.
Pendant le week end, le lycée n'ouvrait ses portes que le soir, pour les internes. Le Samedi et le Dimanche, on nous lâchait dans la nature, du matin au soir. Comme je n'étais pas bien argenté, je restai au restaurant jusqu'à la fermeture.
J'ai plusieurs fois remarqué une petite tête aux cheveux noirs de jais, jeter un regard dans la salle. J'ai d'abord cru que c'était un garçon. J'ai demandé à la serveuse :
- C'est qui la petite tête brune que je vois de temps en temps ?
- C'est ma fille, répondit-elle. Elle vient faire la plonge, le week end. Tu veux la voir ?
Elle tutoyait tout le monde. Javais un problème avec les filles. J'étais timide. Aussi, je suis devenu écarlate, quand j'ai répondu :
- Pourquoi pas....
Danielle est venue à la table. Elle a dit bonjour et s'est fendue d'un grand sourire. Puis, elle est repartie dans son repaire. Sa mère m'a dit que si je voulais, je pouvais attendre la fermeture et je les accompagnerais pour parler un peu avec sa fille.
Fernande, après le restaurant, avait une place de serveuse dans un bar appartenant à la propriétaire du restaurant.
Nous sommes restés dans le bistro pendant au moins deux heures, sans que Danielle ne m'adresse le moindre mot. Je lui parlais mais elle ne répondait pas. Tout à coup, sa mère s'est approchée et m'a demandé si je voulais bien la raccompagner à la maison. J'ai accepté.
Une fois dans l'appartement, je n'ai pas su quoi faire. Je me suis assis dans un fauteuil et là, il m'a semblé que je comprenais ce qu'il m'arrivait. Danielle avait l'air un peu bizarre, comme si elle était attardée. Sa phrase suivante me l'a confirmée.
-Tu sais, me dit-elle, j'ai envie de faire une passe !
J'ai voulu m'en aller, mais elle a voulu m'accompagner. Je l'ai emmenée dans ma chambre au lycée, avec une seule idée en tête, coucher enfin avec une fille.
Je l'ai allongée sur le lit et j'ai commencé à la déshabiller. J'ai défait la ceinture du pantalon et j'ai tenté de le lui ôter. En vain. J'ai descendu sa culotte, et là, pas de réaction.
Je me suis déshabillé, me suis couché sur elle, mais n'ai pas réussi. Je l'ai relevée, elle s'est rhabillée, moi aussi, et je l'ai raccompagnée chez elle.
Le week end suivant, elle a voulu aller sous le pont de chemin de fer qui enjambait une rivière. Elle a grimpé sur le versant de la colline, a attendu qu'un train arrive. Elle a baissé son pantalon, puis sa culotte et s'est penchée sur un rocher, les fesses tendues vers le ciel. Je me suis précipité, mais n'étant pas habitué, je n'ai pas utilisé de capote, ni de lubrifiant.
J'ai écarté ses fesses et j'ai posé ma bite sur son trou. J'ai poussé de toutes mes forces et elle a poussé un hurlement quand ma bite s'enfonça dans son cul. Je n'ai pas eu le temps d'éprouver du plaisir. J'ai joui immédiatement. La douleur l'a faite ruer et elle s'est relevé, m'expulsant de son cul.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Qui a compris ?
Je n'ai rien compris!! Histoire nulle!