Titre de l'histoire érotique : Magnétiseur pour femme - La Louise"
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Magnétiseur pour femme - La Louise"
Cette histoire est une suite de celle publiée le 28 – 06 – 2012.
2 – "La Louise" – a -
Comme je l’ai raconté dans le précédent chapitre ("1 – La Jeannette"), quand j’étais
ado, j’ai travaillé pour un job d’été chez un voisin de mes parents, un magnétiseur –
radiesthésiste, qui faisait office de "médecin", comme il en existait dans la France
rurale profonde où nous habitions alors. Moyennant quelques subsides, il m’avait
établi un espace "sous l’escalier", pour répondre au téléphone et pour introduire les
clients dans sa salle à manger, transformée en cabinet médical… Et là, grâce à une
petite imposte, je pouvais mater tout à loisir dans le dit cabinet, les "patientes"
qu’il recevait et dont certaines étaient vraiment dignes d’intérêt…
Un jour, j’introduisis une cliente qui allait se révéler particulièrement
intéressante, comme vous allez pouvoir le constater. C’était une grande femme, assez
forte, un peu "hommasse", qui malgré sa quarantaine paraissait à mes yeux d’ado de 16
ans beaucoup plus âgée. Le type même de la paysanne venue tout droit de sa ferme et
exclusivement occupée de ses champs, de ses récoltes et de ses troupeaux. De prime
abord, je ne l’avais pas retenue comme susceptible d’être une "cliente intéressante".
Au point que dès qu’elle fut entrée dans "le cabinet", je ne me précipitais pas sur
mon imposte, comme c’était souvent le cas. Cependant je tendais l’oreille pour
entendre, à travers la porte, l’objet de la visite de la dame. Je vous en résume
l’essentiel :
Louise, c’était son prénom allait, se marier, la quarantaine allègrement
dépassée, sans jamais avoir connu d’hommes dans sa vie. Elle appréhendait de se
retrouver face à un mari sans avoir reçu quelques conseils…
-" Il faut vous dire, docteur, que depuis mes 14 ans j’ai toujours travaillé à la
ferme avec mes parents. Il n’y avait pas de place pour penser à autre chose, ça non !
Ma mère est morte voici sept ans et ben sûr que je ne va pas demander à mon père ces
conseils là. D’ailleurs il est sourd comme un pot et je ne suis pas sûre qu’il me
répondrait !... Comme il est vieux et qu’il ne peut plus travailler, et vu que je ne
peux plus y arriver toute seule, je suis ben obligée de me mettre en ménage. Ca
coutera moins cher qu’un ouvrier !... "
Bernard (le magnétiseur donc) ne savait sans doute pas trop quoi dire à cette femme,
car je ne l’entendis pas répondre dans le silence qui suivit. La Louise continuait :
- " J’me suis dit que s’il y avait quelqu’un qui pourrait me conseiller là-dessus, ma
pauvre mère n’étant plus là, il n’y avait que vous !... " Bernard se décida enfin :
- " Je comprends bien chère madame, mais je pense que des personnes de votre
connaissance, des amies, des voisines…, je ne sais pas moi…, des femmes quoi, et
mariées de préférence, pourraient sans doute vous conseiller plus utilement…"
- " Pensez-vous docteur ! Que je va m’en aller voir les voisines ?!...Sûrement pas
!... Elles seraient bien trop contentes de s’en faire des gorges chaudes et qu’en
moins de deux, je serai la risée de tout le pays ! Ah ben ça non, alors !!… C’est mon
vieux père qui m’a dit : "Si quelqu’un peut t’aider c’est lui. Vas le voir et parle-
lui…" Y a que vous docteur, j’vous dis !!... "
- " Certes, certes, répondait Bernard, pensif et dont je devinais à son timbre de voix
que ce projet ne l’emballait pas vraiment, je comprends mais peut-être pourriez-vous
en parler à votre futur mari… Sans doute a-t-il une expérience de la chose…"
- " Justement !... Vous voulez que je passe pour une idiote ?!... Vous trouvez peut-
être que je n’en ai pas assez l’air comme ça ?... Et en plus je ne suis sûre de rien
; c’est un vieux célibataire de 15 ans plus âgé que moi. Bien sûr, il approche la
soixantaine, mais je ne sais pas s’il a eu des expériences… Et si jamais c’était le
cas, j’aimerais faire jeu égal avec lui, plutôt que de passer pour une oie blanche !…
"
- " Bien, lui répondit Bernard qui devait s’avouer vaincu en son fort intérieur, que
souhaitez savoir au juste, chère madame ? "
- " Tout, lui rétorqua la Louise, tout… Je connais que ce j’ai pu surprendre de mes
parents, quand je les entendais faire leurs affaires dans la chambre à côté… Et je
dois dire que cela remonte à loin… Si loin, que je ne sais plus si je m’en souviens
encore !... "
- " Bon, dit Bernard visiblement résigné. Alors commençons par le début. Vous avez
déjà vu le sexe d’un homme !... "
- " Deux ou trois fois celui de mon père. Lorsqu’il lui arrivait de pisser dans les
champs, j’ai pu l’apercevoir à son insu quelques fois…"
- " Bien, bien fit Bernard d’un air songeur, car il devait mesurer l’ampleur du
travail à faire. Madame, combien de fois à peu près, vous masturbez-vous par semaine
?..."
- " Que je me quoi ?... " demanda la Louise qui ne semblait vraiment pas comprendre. A
ce point de la conversation, les choses me semblèrent devenir plus intéressantes et je
montais sans plus attendre à mon observatoire : l’imposte, je le rappelle, donnant
sur "le cabinet" du magnétiseur.
- " Je veux dire, combien de fois vous touchez- vous le… le sexe…"
- " Ah oui !... Eh ben une, ou parfois 2 fois par semaine, quand je me lave là,
docteur ". Elle faisait le geste vers son bas-ventre.
- " Oui, enfin je veux dire… Est-ce qu’il vous ait arrivé de vous donner du plaisir en
vous touchant là, justement…"
La Louise parut hésiter un instant. Puis elle dit de façon très naturelle :
- " Du plaisir ?! J’sais pas !... Mais il me semble docteur, que je vois ce que vous
voulez dire !... " Bernard parut soulagé par la réponse de Louise qui ajouta :
- " Il arrive que ça me démange fortement, là sur le haut… Le haut du…, du sexe comme
vous dites… Au point que je suis obligée de me frotter, frotter longuement jusqu’à ce
que cela s’apaise... Et de plus, ces démangeaisons, c’est par périodes… Entre mes
périodes justement ! Et sauf votre respect, docteur, il m’est même arrivé de me mettre
à califourchon sur le portillon du jardin ou de prendre le manche de la fourche ou du
balai pour me calmer la démangeaison ! Vous voyez ce que je veux dire docteur… "
- " Je vois parfaitement, dit Bernard décidé à affranchir la dame. Je dois aussi vous
dire ma chère Louise qu’il est très normal que cela vous démange à cet endroit et
qu’il est indispensable de bien se frotter !... "
- " Ah bon, continua Louise, donc ce n’est pas grave docteur ?... "
- " Absolument pas !..., affirma Bernard. Cela s’appelle se masturber, se branler si
vous aimez mieux !... Et c’est absolument nécessaire… Surtout dans votre cas !… Je
vais vous montrer ça plus en détail tout à l’heure… "
- " Docteur, vous voyez que j’ai eu raison de m’adresser à vous !... Vous m’expliquez
tout comme il faut… Et comme je vois que vous êtes bien disposé et que vous êtes
gentil avec moi, si j’osais, je vous demanderais de m’examiner là et me dire si c’est
en état… Enfin en état de marche, je veux dire ! Docteur, vous savez, je me suis bien
lavé tout exprès avant de venir, alors…"
Elle s’était mise debout et commençait à se trousser. Elle avait mis des bas très
noirs qui contrastaient énormément avec la peau très blanche de ses fortes cuisses.
D’où j’étais, en face d’elle et bien que surplombant la salle, je distinguais des
sortes de lanières noires le long des cuisses, qui semblaient retenir ses bas.
Assortiment dont j’appris plus tard qu’il s’agissait de porte–jarretelles… Que l’on me
pardonne, mais à 16 ans, on ne sait pas tout !
Louise avait remonté haut sa robe et se présentait à Bernard en petite culotte. Et
quand je dis "petite", c’est une façon de parler. En effet, la dite culotte était
immense, sans doute était-elle serrée aux jambes par un élastique, car elle pendait
derrière et débordait sur ses cuisses en tous sens… Même de mes 16 ans et sans avoir
beaucoup de repères de comparaison, je ne trouvais pas cela très sexy ; je dirai même
: pas bandant du tout… Je pense que Bernard était dans le même état d’esprit que moi,
et souhaitait remettre à plus tard l’examen demandé, puisqu’il remit lui-même la robe
en place en disant :
- " Oui Louise, nous allons voir ça bientôt !... Pour l’instant je voudrais que vous
me disiez si vous avez déjà eu en main un sexe d’homme ?..."
- " Bien sûr que non, docteur, lui répondit Louise plutôt outrée par la question,
je vous l’ai dit, je ne sais rien… Pourtant je suppose que je devrais faire un minimum
de choses sur ce point à mon futur mari !... " Bernard parut soulagé par la réponse de
Louise qui ajouta :
- " Oui, il vaudra mieux en effet, si vous voulez comme vous dites être à la hauteur
... " Puis comme s’il se jetait à l’eau, il ajouta :
- " Bon alors, chère Louise, on y va !... Commençons par le commencement et surtout
pas de dérobade par rapport à ce que je vais vous dire et vous demander, hein ?...
C’est d’accord... " Il était debout devant elle ; rapidement il ouvrit sa braguette et
sortit sa bite encore flasque. L’état de son membre indiquait le peu d’envie qu’il
avait de faire ce travail ! La Louise regarda d’abord avec une surprise évidente la
verge plutôt mole et de peu de vigueur de Bernard. Sans doute n’en avait elle jamais
vu d’aussi près. Comme pour s’excuser de voir cela elle dit avec un peu d’étonnement
mais aussi beaucoup d’admiration :
- " Ben vrai alors… C’est fait comme ça ?... Ben ça alors !... Y a pas de quoi se
battre pour ça, hein… Dire qu’il paraît que ça fait courir beaucoup de bonnes femmes !
…" Et après une petite pause, elle ajouta…
- " Pourtant celle-là me paraît plutôt belle et belle taille !... Par rapport à celle
de mon père s’entend, car je n’ai pas d’autres points de comparaison !!..."
Sur un ton qui se voulait très détaché, Bernard qui essayait d’être très professionnel
lui dit :
- " Voilà Louise, ce que vous avez là sous les yeux est un sexe d’homme. Autrement dit
une verge... Que l’on nomme plus familièrement : une bite, ou une pine, ou encore un
chibre… Vous pouvez aussi le toucher… Allez-y, prenez-le en main, insista-t-il, il ne
mord pas savez-vous ! " Louise hésita un court instant et tendit sa main pour
s’emparer de la verge qu’elle saisit au niveau de la hampe.
- " Oh lala, c’est doux, fit-elle surprise. " Elle n’osait pas bouger tant elle était
admirative du membre qui sous l’effet de la prise en main, commençait à grossir à vue
d’œil.
- " Oh et puis, dites docteur, ça grossit… Est-ce normal ?", dit-elle étonnée.
- " Oui, dit Bernard qui essayait de conserver un ton détaché. Quand on la caresse,
elle grossit et se redresse. Cela s’appelle : bander. Chez l’homme, c’est essentiel
pour qu’il puisse aller se mettre dans le sexe de la femme… "
- " Ah bon, fit-elle surprise. Dans le sexe de… Eh ben, comme vous y allez !... Nous
n’en sommes pas là !... Et quand on est marié, on doit faire ça souvent ?…
- " Souvent… Souvent …, fit Bernard qui, surpris par la question, restait évasif. Au
moins une fois par semaine et si possible plusieurs fois dans une semaine…"
- " Hein ?... Plusieurs fois par semaine ?!, s’inquiéta la Louise… Mais dites, pour
les vaches, on les met au taureau deux fois par an et encore pas toutes les années!"
Louise était visiblement très décontenancée par la réponse du magnétiseur.
Elle ajouta :
" Eh, dites…, ça ne fait pas mal au moins !", demanda-t-elle inquiète.
- " Bien sûr que non, fit Bernard impatienté. Pas mal, non, même au contraire ! Cela
fait beaucoup de bien si c’est bien fait ! C’est pour ça que vous êtes venue, non ?...
Pour apprendre !... Alors allez-y Louise, caressez-la bien, en faisant aller et venir
votre main comme ça…" Il lui avait saisit la main et lui faisait faire le mouvement
sur sa verge. Sous l’effet de la caresse qui se précisait, Bernard bandait de plus en
plus. La bite maintenant se redressait complètement et arrivait sous le nez de la
Louise. Celle-ci était émerveillée devant tant de magie :
- " Oh oui, docteur. Ca bande !... Hein, c’est comme ça que l’on dit ?... Oh oui,
elle a grossi et là elle relève bien la tête !!... "La bite bande, hein !" Oui, vous
voyez que j’ai compris et que j’ai bien retenu la leçon !...". Brusquement elle arrêta
le mouvement :
- " Eh mais docteur, attention : au bout votre peau s’enlève toute !... Cela doit
faire mal !... "
- " Non, non répondit Bernard, qui maintenant commençait à souffler plus court. Non,
Louise, cela est très normal. La peau doit dégager comme ça le bout là, que l’on
appelle le gland…
- " Comme le gland du chêne, docteur ? C’est vrai que cela fait penser au gland de
l’arbre avec le dessus lisse qui sort de la peau !... "
- " Oui, c’est bien ça... Et pour l’homme, il est important de faire sortir son gland
quand il bande… Et ce que vous faites-là maintenant, avec ce va-et-vient de votre
main, cela s’appelle : branler… Branler la bite ! Toutes les épouses doivent savoir
faire ça à leur mari !... Et je dois dire que pour une première fois, vous le faites
très bien, cela me fait beaucoup d’effets !... D’ailleurs, regardez le membre qui
grossit de plus en plus : il aime beaucoup comme vous le branlez…"
- " Ho là, vous savez docteur, je n’ai pas de mérite ! C’est exactement comme ça que
je trais mes vaches… Quand je leur prends la mamelle pour les traire, je fais
exactement ce même mouvement !... Par contre, je ne savais que l’on appelait cela :
branler !… Et vrai que là, ça, je saurai le faire docteur !...", dit-elle en branlant
le vit de Bernard d’un tour de main expert… Le magnétiseur, commençait donner des
signes d’excitation et moi-même j’avais la bite qui elle aussi grossissait dans mon
slip.
- " Voyez-vous Louise, dit Bernard, quand nous en sommes là, lorsque la pine est très
raide et dressée, la femme doit la mettre dans sa bouche et la sucer pour continuer à
bien faire bander l’homme et aussi pour lui faire du bien…"
- " La sucer docteur ? Mais vous n’y pensez pas !..., dit La Louise, qui n’en
revenait pas… Mais docteur, je ne fais pas cela aux tétines de mes vaches ! Et puis ça
doit avoir un goût particulier !... Beurk !!..." fit-elle dégoûtée…
- " Mais non, Louise, vous verrez, c’est très bon ! Et puis, je vais vous apprendre à
faire cela comme il faut… De toute façon vous êtes venue pour que je vous apprenne oui
ou non !?... Alors vous le faites et sans rechigner comme vous l’avez promis. De
plus, chaque femme doit savoir faire ça à son homme, non ? Alors…" Bernard défit sa
ceinture, laissa tomber à ses pieds slip et pantalon et avança sa bite vers la bouche
de la Louise. Celle-ci la prit en bouche avec une grimace, et sembla attendre ne
sachant que faire de plus.
- " Eh bien voilà dit Bernard, qui visiblement appréciait cette mise ne bouche. Mettez
une main sous mes couilles, là comme ça et caressez-les doucement. De l’autre
continuer de branler la tige de la verge. Et avec la bouche, aspirez et pompez bien en
serrant les lèvres sur la tige. Là comme ça… Entrez-la plus à fond dans la bouche et
puis ressortez là un peu, avec du va-et-vient… Là, d’accord… En même temps passez la
langue bien partout sur la tête…, sur le gland… Et branlez bien la tige avec votre
main ; vous sentez comme elle bande bien ? ". Louise n’osait pas lâcher le morceau et
faisait tout ce que lui demandait Bernard, avec une application extrême et en roulant
en tous sens ses yeux ronds. Elle pompait en même temps qu’elle branlait et aspirait
puis léchait la tête du nœud de sa langue agile… Bernard était bien monté et son engin
occupait toute la bouche de la Louise qui ne ménageait pas sa peine, comme pour plaire
à son précepteur !... Le magnétiseur en tirait manifestement du plaisir tout en
continuant de la guider :
- " Oui, vas-y là, ma belle… Tu vois que tu suces bien. Là, maintenant passe bien ta
langue sur le trou de la bite là, en haut… Là, tu le vois le trou sur le sommet du
gland ? Tu appliques bien ta langue dessus quand tu pompe… Oui, comme ça… putain que
c’est bon… Et maintenant, tu vas bien faire tourner ta langue tout autour du bout, là
à la base du gland… Oh lala, tu apprends vite !.... je vais faire de toi une jolie
salope !…" Tout à coup, la Louise désemboucha l’énorme braquemart du faux docteur :
- " Ohooohhh, docteur, voilà que ça me démange là, en bas… Et ça me démange énormément
!!... Est-ce que je peux me gratter, docteur ?!... Il faut absolument que je me
gratte, je ne peux plus tenir !…" Promptement Bernard la fit se lever de la chaise où
elle était assise et l’emmena sur la table d’auscultation où il la renversa sur le
dos. Il la troussa prestement et lui descendit rapidement son horrible culotte blanche
sans doute en coton. Il lui mit les jambes gainées de bas noirs dans le plus
écartement. Sa bite dressée comme jamais, était juste dans l’alignement de la chatte
noire de poils de la Louise. Je me suis dit qu’il allait la baiser directement et sans
la préparer tant son vit était tendu. Je bandais comme un fou, au point que je dû
libérer ma bite tendue du slip et de mon short. Quelqu’un qui serait arrivé dans le
couloir à cet instant, aurait pu me voir, sous l’escalier, debout sur une chaise face
au mur, le nez dans l’imposte, le short et le slip sur les talons et la pine bandée à
la main… Heureusement dans ces situations là, le ridicule ne tue pas !
Bernard, debout entre les jambes écartées de la Louise renversée, le dos sur la table,
avait la bite à quelques centimètres de la fente noire de la fermière. Il ne la
baisait pas. Il la branlait. De sa main gauche, il lui frottait la motte et sans doute
le clitoris ; je ne pouvais discerner en raison de la distance et surtout de
l’invasion des poils. Visiblement, la chatte de la Louise n’avait jamais été
entretenue ! Bernard de la main droite lui avait mis un doigt dans le trou du con et
il la branlait d’un mouvement de va-et-vient qui devenait de plus en plus frénétique.
La grande femme soupirait de plus en plus fort et de plus en plus vite, avec des râles
de plus en plus longs et rauques… Sans doute n’avait-elle jamais été branlée comme ça
!
- " Oh dis-donc, c’est super !… Tu es étroite… Un doigt suffit à bien te boucher le
trou ! On voit que tu es vierge, ma belle… Un trou où il n’y a jamais eu une seule
bite qui y soit entrée !!... C’est un plaisir sans nom de branler une vierge, surtout
de ton âge !... Putain, si je ne me retenait pas, je te baiserai bien à fond !..."
Mais il voulut rester pédagogue jusqu’au bout et plutôt que de s’enfourner tout de
suite au trou de la foufoune de la paysanne, il vint chercher la main droite de la
Louise et la dirigea jusqu'à la fente de cette dernière.
- " Voilà, laisse-moi te guider et tu vas te finir toute seule… Viens mettre le doigt
de ta main ici sur ton clito et frotte-le bien ; tandis qu’avec l’autre main, tu mets
ce doigt dans ton trou et tu branles bien à fond… N’est-ce pas que c’est bon ?... Vas-
y, branle-toi bien de plus en plus vite et de plus en plus fort… Avec moi… là comme ça
!!... "
La Louise ne tarda pas à être submergée et se mit à geindre puis à râler avec force.
Elle partit en torche et fut agitée de convulsions et de soubresauts qui secouèrent
fortement la table d’auscultation. Puis après quelques secondes, elle retomba inerte…
Elle avait sans doute déchargé car je vis un instant la bite tendue de Bernard,
luisante de mouille alors qu’il ne l’avait pas mise au trou… Tandis que la Louise
s’apaisait, il s’astiqua l’engin à deux ou trois reprises, il déchargea en abondance
son foutre sur le ventre de la fermière qui, surprise releva la tête avant de se
replonger dans son plaisir post-jouissance…
Je ne pouvais tenir plus longtemps. Je me défis en hâte de mes vêtements qui
m’entravaient les pieds et la bite à la main je me précipitais dans le cagibi -
toilette à deux pas de là. Je n’eu pas le temps de m’y enfermer que mon vit bandé
crachait à l’aronde sa laitance, servant dans un même élan salvateur le lavabo, la
glace et le siège des toilettes… Je fus apaisé d’un coup. Je pris le temps de
m’essuyer la bite qui déjà s’amollissait. Je nettoyais rapidement le lieu et je sortis
du cagibi en catimini, la pine et les fesses à l’air, en priant le ciel que personne
n’emprunterait le corridor avant que j’ai pu récupérer mes affaires sous l’escalier.
Finalement j’y arrivais sans encombre et je m’habillais rapidement…
Vite, je remontais à mon observatoire. Il ne s’était pas écoulé plus de deux minutes,
mais déjà, les deux protagonistes s’étaient rhabillés et avait repris leur place.
Bernard derrière son bureau et Louise penchée en avant pour écouter ce qu’il lui
disait :
- " Bien, maintenant Louise, vous allez rentrer chez vous. C’est suffisant pour une
première fois… Et pour le suite, nous verrons ce que nous pourrons faire…". Louise
insistait :
- " Docteur, j’ai comme l’impression que vous ne m’avez pas tout dit… Il ne faut rien
me cacher, hein, c’est pour la bonne cause… J’ai compris tout de suite que vous
sauriez me dire ce qu’il faut et comme il faut…", dit-elle, affirmative.
- " Oui, bien sûr, répondit Bernard, dont je sentais qu’il ne savait pas trop quoi lui
dire au juste. Bien sûr il y a encore du travail à faire et je dois vous faire encore
quelques… soins ! Mais pour l’instant vous rentrez chez vous et l’on se revoit la
semaine prochaine…. D’ici là, tous les soirs, vous vous caresserez comme je vous ai
montré. Tous les soirs, hein !... Il faut rattraper le temps perdu !..."
- " Oui, ça j’ai compris, coupa Louise, dites-moi carrément : branlez-vous bien
jusqu’au plaisir !... Comme tout à l’heure ! C’est vrai que je n’avais jamais connu
ça !!... Ha lala… Va, ça je n’oublierai pas docteur, vous pouvez me croire !... "
- " Oui, c’est ça, allongez-vous bien confortablement sur votre lit et branlez-vous
bien, le plus souvent et le plus longuement possible, cela fera cesser les
démangeaisons !... "
C’était là une prescription plutôt sympa, non ?
Je pensais à mon lycée : dommage qu’ils ne nous donnent pas ce genre de devoirs à la
maison ! Et d’ailleurs, le soir même je m’appliquais à la lettre la prescription de
Bernard pour le travail à la maison. Repensant à ce que j’avais vu dans l’après-midi,
je me branlais à mon tour en pensant à la grande fermière dont j’avais vu l’entrejambe
pourtant pas forcément très sexy, mais qui du haut de mes 16 ans, me faisait quand
même rêver…
Fin du premier épisode (a) de "La Louise".
2 – "La Louise" – a -
Comme je l’ai raconté dans le précédent chapitre ("1 – La Jeannette"), quand j’étais
ado, j’ai travaillé pour un job d’été chez un voisin de mes parents, un magnétiseur –
radiesthésiste, qui faisait office de "médecin", comme il en existait dans la France
rurale profonde où nous habitions alors. Moyennant quelques subsides, il m’avait
établi un espace "sous l’escalier", pour répondre au téléphone et pour introduire les
clients dans sa salle à manger, transformée en cabinet médical… Et là, grâce à une
petite imposte, je pouvais mater tout à loisir dans le dit cabinet, les "patientes"
qu’il recevait et dont certaines étaient vraiment dignes d’intérêt…
Un jour, j’introduisis une cliente qui allait se révéler particulièrement
intéressante, comme vous allez pouvoir le constater. C’était une grande femme, assez
forte, un peu "hommasse", qui malgré sa quarantaine paraissait à mes yeux d’ado de 16
ans beaucoup plus âgée. Le type même de la paysanne venue tout droit de sa ferme et
exclusivement occupée de ses champs, de ses récoltes et de ses troupeaux. De prime
abord, je ne l’avais pas retenue comme susceptible d’être une "cliente intéressante".
Au point que dès qu’elle fut entrée dans "le cabinet", je ne me précipitais pas sur
mon imposte, comme c’était souvent le cas. Cependant je tendais l’oreille pour
entendre, à travers la porte, l’objet de la visite de la dame. Je vous en résume
l’essentiel :
Louise, c’était son prénom allait, se marier, la quarantaine allègrement
dépassée, sans jamais avoir connu d’hommes dans sa vie. Elle appréhendait de se
retrouver face à un mari sans avoir reçu quelques conseils…
-" Il faut vous dire, docteur, que depuis mes 14 ans j’ai toujours travaillé à la
ferme avec mes parents. Il n’y avait pas de place pour penser à autre chose, ça non !
Ma mère est morte voici sept ans et ben sûr que je ne va pas demander à mon père ces
conseils là. D’ailleurs il est sourd comme un pot et je ne suis pas sûre qu’il me
répondrait !... Comme il est vieux et qu’il ne peut plus travailler, et vu que je ne
peux plus y arriver toute seule, je suis ben obligée de me mettre en ménage. Ca
coutera moins cher qu’un ouvrier !... "
Bernard (le magnétiseur donc) ne savait sans doute pas trop quoi dire à cette femme,
car je ne l’entendis pas répondre dans le silence qui suivit. La Louise continuait :
- " J’me suis dit que s’il y avait quelqu’un qui pourrait me conseiller là-dessus, ma
pauvre mère n’étant plus là, il n’y avait que vous !... " Bernard se décida enfin :
- " Je comprends bien chère madame, mais je pense que des personnes de votre
connaissance, des amies, des voisines…, je ne sais pas moi…, des femmes quoi, et
mariées de préférence, pourraient sans doute vous conseiller plus utilement…"
- " Pensez-vous docteur ! Que je va m’en aller voir les voisines ?!...Sûrement pas
!... Elles seraient bien trop contentes de s’en faire des gorges chaudes et qu’en
moins de deux, je serai la risée de tout le pays ! Ah ben ça non, alors !!… C’est mon
vieux père qui m’a dit : "Si quelqu’un peut t’aider c’est lui. Vas le voir et parle-
lui…" Y a que vous docteur, j’vous dis !!... "
- " Certes, certes, répondait Bernard, pensif et dont je devinais à son timbre de voix
que ce projet ne l’emballait pas vraiment, je comprends mais peut-être pourriez-vous
en parler à votre futur mari… Sans doute a-t-il une expérience de la chose…"
- " Justement !... Vous voulez que je passe pour une idiote ?!... Vous trouvez peut-
être que je n’en ai pas assez l’air comme ça ?... Et en plus je ne suis sûre de rien
; c’est un vieux célibataire de 15 ans plus âgé que moi. Bien sûr, il approche la
soixantaine, mais je ne sais pas s’il a eu des expériences… Et si jamais c’était le
cas, j’aimerais faire jeu égal avec lui, plutôt que de passer pour une oie blanche !…
"
- " Bien, lui répondit Bernard qui devait s’avouer vaincu en son fort intérieur, que
souhaitez savoir au juste, chère madame ? "
- " Tout, lui rétorqua la Louise, tout… Je connais que ce j’ai pu surprendre de mes
parents, quand je les entendais faire leurs affaires dans la chambre à côté… Et je
dois dire que cela remonte à loin… Si loin, que je ne sais plus si je m’en souviens
encore !... "
- " Bon, dit Bernard visiblement résigné. Alors commençons par le début. Vous avez
déjà vu le sexe d’un homme !... "
- " Deux ou trois fois celui de mon père. Lorsqu’il lui arrivait de pisser dans les
champs, j’ai pu l’apercevoir à son insu quelques fois…"
- " Bien, bien fit Bernard d’un air songeur, car il devait mesurer l’ampleur du
travail à faire. Madame, combien de fois à peu près, vous masturbez-vous par semaine
?..."
- " Que je me quoi ?... " demanda la Louise qui ne semblait vraiment pas comprendre. A
ce point de la conversation, les choses me semblèrent devenir plus intéressantes et je
montais sans plus attendre à mon observatoire : l’imposte, je le rappelle, donnant
sur "le cabinet" du magnétiseur.
- " Je veux dire, combien de fois vous touchez- vous le… le sexe…"
- " Ah oui !... Eh ben une, ou parfois 2 fois par semaine, quand je me lave là,
docteur ". Elle faisait le geste vers son bas-ventre.
- " Oui, enfin je veux dire… Est-ce qu’il vous ait arrivé de vous donner du plaisir en
vous touchant là, justement…"
La Louise parut hésiter un instant. Puis elle dit de façon très naturelle :
- " Du plaisir ?! J’sais pas !... Mais il me semble docteur, que je vois ce que vous
voulez dire !... " Bernard parut soulagé par la réponse de Louise qui ajouta :
- " Il arrive que ça me démange fortement, là sur le haut… Le haut du…, du sexe comme
vous dites… Au point que je suis obligée de me frotter, frotter longuement jusqu’à ce
que cela s’apaise... Et de plus, ces démangeaisons, c’est par périodes… Entre mes
périodes justement ! Et sauf votre respect, docteur, il m’est même arrivé de me mettre
à califourchon sur le portillon du jardin ou de prendre le manche de la fourche ou du
balai pour me calmer la démangeaison ! Vous voyez ce que je veux dire docteur… "
- " Je vois parfaitement, dit Bernard décidé à affranchir la dame. Je dois aussi vous
dire ma chère Louise qu’il est très normal que cela vous démange à cet endroit et
qu’il est indispensable de bien se frotter !... "
- " Ah bon, continua Louise, donc ce n’est pas grave docteur ?... "
- " Absolument pas !..., affirma Bernard. Cela s’appelle se masturber, se branler si
vous aimez mieux !... Et c’est absolument nécessaire… Surtout dans votre cas !… Je
vais vous montrer ça plus en détail tout à l’heure… "
- " Docteur, vous voyez que j’ai eu raison de m’adresser à vous !... Vous m’expliquez
tout comme il faut… Et comme je vois que vous êtes bien disposé et que vous êtes
gentil avec moi, si j’osais, je vous demanderais de m’examiner là et me dire si c’est
en état… Enfin en état de marche, je veux dire ! Docteur, vous savez, je me suis bien
lavé tout exprès avant de venir, alors…"
Elle s’était mise debout et commençait à se trousser. Elle avait mis des bas très
noirs qui contrastaient énormément avec la peau très blanche de ses fortes cuisses.
D’où j’étais, en face d’elle et bien que surplombant la salle, je distinguais des
sortes de lanières noires le long des cuisses, qui semblaient retenir ses bas.
Assortiment dont j’appris plus tard qu’il s’agissait de porte–jarretelles… Que l’on me
pardonne, mais à 16 ans, on ne sait pas tout !
Louise avait remonté haut sa robe et se présentait à Bernard en petite culotte. Et
quand je dis "petite", c’est une façon de parler. En effet, la dite culotte était
immense, sans doute était-elle serrée aux jambes par un élastique, car elle pendait
derrière et débordait sur ses cuisses en tous sens… Même de mes 16 ans et sans avoir
beaucoup de repères de comparaison, je ne trouvais pas cela très sexy ; je dirai même
: pas bandant du tout… Je pense que Bernard était dans le même état d’esprit que moi,
et souhaitait remettre à plus tard l’examen demandé, puisqu’il remit lui-même la robe
en place en disant :
- " Oui Louise, nous allons voir ça bientôt !... Pour l’instant je voudrais que vous
me disiez si vous avez déjà eu en main un sexe d’homme ?..."
- " Bien sûr que non, docteur, lui répondit Louise plutôt outrée par la question,
je vous l’ai dit, je ne sais rien… Pourtant je suppose que je devrais faire un minimum
de choses sur ce point à mon futur mari !... " Bernard parut soulagé par la réponse de
Louise qui ajouta :
- " Oui, il vaudra mieux en effet, si vous voulez comme vous dites être à la hauteur
... " Puis comme s’il se jetait à l’eau, il ajouta :
- " Bon alors, chère Louise, on y va !... Commençons par le commencement et surtout
pas de dérobade par rapport à ce que je vais vous dire et vous demander, hein ?...
C’est d’accord... " Il était debout devant elle ; rapidement il ouvrit sa braguette et
sortit sa bite encore flasque. L’état de son membre indiquait le peu d’envie qu’il
avait de faire ce travail ! La Louise regarda d’abord avec une surprise évidente la
verge plutôt mole et de peu de vigueur de Bernard. Sans doute n’en avait elle jamais
vu d’aussi près. Comme pour s’excuser de voir cela elle dit avec un peu d’étonnement
mais aussi beaucoup d’admiration :
- " Ben vrai alors… C’est fait comme ça ?... Ben ça alors !... Y a pas de quoi se
battre pour ça, hein… Dire qu’il paraît que ça fait courir beaucoup de bonnes femmes !
…" Et après une petite pause, elle ajouta…
- " Pourtant celle-là me paraît plutôt belle et belle taille !... Par rapport à celle
de mon père s’entend, car je n’ai pas d’autres points de comparaison !!..."
Sur un ton qui se voulait très détaché, Bernard qui essayait d’être très professionnel
lui dit :
- " Voilà Louise, ce que vous avez là sous les yeux est un sexe d’homme. Autrement dit
une verge... Que l’on nomme plus familièrement : une bite, ou une pine, ou encore un
chibre… Vous pouvez aussi le toucher… Allez-y, prenez-le en main, insista-t-il, il ne
mord pas savez-vous ! " Louise hésita un court instant et tendit sa main pour
s’emparer de la verge qu’elle saisit au niveau de la hampe.
- " Oh lala, c’est doux, fit-elle surprise. " Elle n’osait pas bouger tant elle était
admirative du membre qui sous l’effet de la prise en main, commençait à grossir à vue
d’œil.
- " Oh et puis, dites docteur, ça grossit… Est-ce normal ?", dit-elle étonnée.
- " Oui, dit Bernard qui essayait de conserver un ton détaché. Quand on la caresse,
elle grossit et se redresse. Cela s’appelle : bander. Chez l’homme, c’est essentiel
pour qu’il puisse aller se mettre dans le sexe de la femme… "
- " Ah bon, fit-elle surprise. Dans le sexe de… Eh ben, comme vous y allez !... Nous
n’en sommes pas là !... Et quand on est marié, on doit faire ça souvent ?…
- " Souvent… Souvent …, fit Bernard qui, surpris par la question, restait évasif. Au
moins une fois par semaine et si possible plusieurs fois dans une semaine…"
- " Hein ?... Plusieurs fois par semaine ?!, s’inquiéta la Louise… Mais dites, pour
les vaches, on les met au taureau deux fois par an et encore pas toutes les années!"
Louise était visiblement très décontenancée par la réponse du magnétiseur.
Elle ajouta :
" Eh, dites…, ça ne fait pas mal au moins !", demanda-t-elle inquiète.
- " Bien sûr que non, fit Bernard impatienté. Pas mal, non, même au contraire ! Cela
fait beaucoup de bien si c’est bien fait ! C’est pour ça que vous êtes venue, non ?...
Pour apprendre !... Alors allez-y Louise, caressez-la bien, en faisant aller et venir
votre main comme ça…" Il lui avait saisit la main et lui faisait faire le mouvement
sur sa verge. Sous l’effet de la caresse qui se précisait, Bernard bandait de plus en
plus. La bite maintenant se redressait complètement et arrivait sous le nez de la
Louise. Celle-ci était émerveillée devant tant de magie :
- " Oh oui, docteur. Ca bande !... Hein, c’est comme ça que l’on dit ?... Oh oui,
elle a grossi et là elle relève bien la tête !!... "La bite bande, hein !" Oui, vous
voyez que j’ai compris et que j’ai bien retenu la leçon !...". Brusquement elle arrêta
le mouvement :
- " Eh mais docteur, attention : au bout votre peau s’enlève toute !... Cela doit
faire mal !... "
- " Non, non répondit Bernard, qui maintenant commençait à souffler plus court. Non,
Louise, cela est très normal. La peau doit dégager comme ça le bout là, que l’on
appelle le gland…
- " Comme le gland du chêne, docteur ? C’est vrai que cela fait penser au gland de
l’arbre avec le dessus lisse qui sort de la peau !... "
- " Oui, c’est bien ça... Et pour l’homme, il est important de faire sortir son gland
quand il bande… Et ce que vous faites-là maintenant, avec ce va-et-vient de votre
main, cela s’appelle : branler… Branler la bite ! Toutes les épouses doivent savoir
faire ça à leur mari !... Et je dois dire que pour une première fois, vous le faites
très bien, cela me fait beaucoup d’effets !... D’ailleurs, regardez le membre qui
grossit de plus en plus : il aime beaucoup comme vous le branlez…"
- " Ho là, vous savez docteur, je n’ai pas de mérite ! C’est exactement comme ça que
je trais mes vaches… Quand je leur prends la mamelle pour les traire, je fais
exactement ce même mouvement !... Par contre, je ne savais que l’on appelait cela :
branler !… Et vrai que là, ça, je saurai le faire docteur !...", dit-elle en branlant
le vit de Bernard d’un tour de main expert… Le magnétiseur, commençait donner des
signes d’excitation et moi-même j’avais la bite qui elle aussi grossissait dans mon
slip.
- " Voyez-vous Louise, dit Bernard, quand nous en sommes là, lorsque la pine est très
raide et dressée, la femme doit la mettre dans sa bouche et la sucer pour continuer à
bien faire bander l’homme et aussi pour lui faire du bien…"
- " La sucer docteur ? Mais vous n’y pensez pas !..., dit La Louise, qui n’en
revenait pas… Mais docteur, je ne fais pas cela aux tétines de mes vaches ! Et puis ça
doit avoir un goût particulier !... Beurk !!..." fit-elle dégoûtée…
- " Mais non, Louise, vous verrez, c’est très bon ! Et puis, je vais vous apprendre à
faire cela comme il faut… De toute façon vous êtes venue pour que je vous apprenne oui
ou non !?... Alors vous le faites et sans rechigner comme vous l’avez promis. De
plus, chaque femme doit savoir faire ça à son homme, non ? Alors…" Bernard défit sa
ceinture, laissa tomber à ses pieds slip et pantalon et avança sa bite vers la bouche
de la Louise. Celle-ci la prit en bouche avec une grimace, et sembla attendre ne
sachant que faire de plus.
- " Eh bien voilà dit Bernard, qui visiblement appréciait cette mise ne bouche. Mettez
une main sous mes couilles, là comme ça et caressez-les doucement. De l’autre
continuer de branler la tige de la verge. Et avec la bouche, aspirez et pompez bien en
serrant les lèvres sur la tige. Là comme ça… Entrez-la plus à fond dans la bouche et
puis ressortez là un peu, avec du va-et-vient… Là, d’accord… En même temps passez la
langue bien partout sur la tête…, sur le gland… Et branlez bien la tige avec votre
main ; vous sentez comme elle bande bien ? ". Louise n’osait pas lâcher le morceau et
faisait tout ce que lui demandait Bernard, avec une application extrême et en roulant
en tous sens ses yeux ronds. Elle pompait en même temps qu’elle branlait et aspirait
puis léchait la tête du nœud de sa langue agile… Bernard était bien monté et son engin
occupait toute la bouche de la Louise qui ne ménageait pas sa peine, comme pour plaire
à son précepteur !... Le magnétiseur en tirait manifestement du plaisir tout en
continuant de la guider :
- " Oui, vas-y là, ma belle… Tu vois que tu suces bien. Là, maintenant passe bien ta
langue sur le trou de la bite là, en haut… Là, tu le vois le trou sur le sommet du
gland ? Tu appliques bien ta langue dessus quand tu pompe… Oui, comme ça… putain que
c’est bon… Et maintenant, tu vas bien faire tourner ta langue tout autour du bout, là
à la base du gland… Oh lala, tu apprends vite !.... je vais faire de toi une jolie
salope !…" Tout à coup, la Louise désemboucha l’énorme braquemart du faux docteur :
- " Ohooohhh, docteur, voilà que ça me démange là, en bas… Et ça me démange énormément
!!... Est-ce que je peux me gratter, docteur ?!... Il faut absolument que je me
gratte, je ne peux plus tenir !…" Promptement Bernard la fit se lever de la chaise où
elle était assise et l’emmena sur la table d’auscultation où il la renversa sur le
dos. Il la troussa prestement et lui descendit rapidement son horrible culotte blanche
sans doute en coton. Il lui mit les jambes gainées de bas noirs dans le plus
écartement. Sa bite dressée comme jamais, était juste dans l’alignement de la chatte
noire de poils de la Louise. Je me suis dit qu’il allait la baiser directement et sans
la préparer tant son vit était tendu. Je bandais comme un fou, au point que je dû
libérer ma bite tendue du slip et de mon short. Quelqu’un qui serait arrivé dans le
couloir à cet instant, aurait pu me voir, sous l’escalier, debout sur une chaise face
au mur, le nez dans l’imposte, le short et le slip sur les talons et la pine bandée à
la main… Heureusement dans ces situations là, le ridicule ne tue pas !
Bernard, debout entre les jambes écartées de la Louise renversée, le dos sur la table,
avait la bite à quelques centimètres de la fente noire de la fermière. Il ne la
baisait pas. Il la branlait. De sa main gauche, il lui frottait la motte et sans doute
le clitoris ; je ne pouvais discerner en raison de la distance et surtout de
l’invasion des poils. Visiblement, la chatte de la Louise n’avait jamais été
entretenue ! Bernard de la main droite lui avait mis un doigt dans le trou du con et
il la branlait d’un mouvement de va-et-vient qui devenait de plus en plus frénétique.
La grande femme soupirait de plus en plus fort et de plus en plus vite, avec des râles
de plus en plus longs et rauques… Sans doute n’avait-elle jamais été branlée comme ça
!
- " Oh dis-donc, c’est super !… Tu es étroite… Un doigt suffit à bien te boucher le
trou ! On voit que tu es vierge, ma belle… Un trou où il n’y a jamais eu une seule
bite qui y soit entrée !!... C’est un plaisir sans nom de branler une vierge, surtout
de ton âge !... Putain, si je ne me retenait pas, je te baiserai bien à fond !..."
Mais il voulut rester pédagogue jusqu’au bout et plutôt que de s’enfourner tout de
suite au trou de la foufoune de la paysanne, il vint chercher la main droite de la
Louise et la dirigea jusqu'à la fente de cette dernière.
- " Voilà, laisse-moi te guider et tu vas te finir toute seule… Viens mettre le doigt
de ta main ici sur ton clito et frotte-le bien ; tandis qu’avec l’autre main, tu mets
ce doigt dans ton trou et tu branles bien à fond… N’est-ce pas que c’est bon ?... Vas-
y, branle-toi bien de plus en plus vite et de plus en plus fort… Avec moi… là comme ça
!!... "
La Louise ne tarda pas à être submergée et se mit à geindre puis à râler avec force.
Elle partit en torche et fut agitée de convulsions et de soubresauts qui secouèrent
fortement la table d’auscultation. Puis après quelques secondes, elle retomba inerte…
Elle avait sans doute déchargé car je vis un instant la bite tendue de Bernard,
luisante de mouille alors qu’il ne l’avait pas mise au trou… Tandis que la Louise
s’apaisait, il s’astiqua l’engin à deux ou trois reprises, il déchargea en abondance
son foutre sur le ventre de la fermière qui, surprise releva la tête avant de se
replonger dans son plaisir post-jouissance…
Je ne pouvais tenir plus longtemps. Je me défis en hâte de mes vêtements qui
m’entravaient les pieds et la bite à la main je me précipitais dans le cagibi -
toilette à deux pas de là. Je n’eu pas le temps de m’y enfermer que mon vit bandé
crachait à l’aronde sa laitance, servant dans un même élan salvateur le lavabo, la
glace et le siège des toilettes… Je fus apaisé d’un coup. Je pris le temps de
m’essuyer la bite qui déjà s’amollissait. Je nettoyais rapidement le lieu et je sortis
du cagibi en catimini, la pine et les fesses à l’air, en priant le ciel que personne
n’emprunterait le corridor avant que j’ai pu récupérer mes affaires sous l’escalier.
Finalement j’y arrivais sans encombre et je m’habillais rapidement…
Vite, je remontais à mon observatoire. Il ne s’était pas écoulé plus de deux minutes,
mais déjà, les deux protagonistes s’étaient rhabillés et avait repris leur place.
Bernard derrière son bureau et Louise penchée en avant pour écouter ce qu’il lui
disait :
- " Bien, maintenant Louise, vous allez rentrer chez vous. C’est suffisant pour une
première fois… Et pour le suite, nous verrons ce que nous pourrons faire…". Louise
insistait :
- " Docteur, j’ai comme l’impression que vous ne m’avez pas tout dit… Il ne faut rien
me cacher, hein, c’est pour la bonne cause… J’ai compris tout de suite que vous
sauriez me dire ce qu’il faut et comme il faut…", dit-elle, affirmative.
- " Oui, bien sûr, répondit Bernard, dont je sentais qu’il ne savait pas trop quoi lui
dire au juste. Bien sûr il y a encore du travail à faire et je dois vous faire encore
quelques… soins ! Mais pour l’instant vous rentrez chez vous et l’on se revoit la
semaine prochaine…. D’ici là, tous les soirs, vous vous caresserez comme je vous ai
montré. Tous les soirs, hein !... Il faut rattraper le temps perdu !..."
- " Oui, ça j’ai compris, coupa Louise, dites-moi carrément : branlez-vous bien
jusqu’au plaisir !... Comme tout à l’heure ! C’est vrai que je n’avais jamais connu
ça !!... Ha lala… Va, ça je n’oublierai pas docteur, vous pouvez me croire !... "
- " Oui, c’est ça, allongez-vous bien confortablement sur votre lit et branlez-vous
bien, le plus souvent et le plus longuement possible, cela fera cesser les
démangeaisons !... "
C’était là une prescription plutôt sympa, non ?
Je pensais à mon lycée : dommage qu’ils ne nous donnent pas ce genre de devoirs à la
maison ! Et d’ailleurs, le soir même je m’appliquais à la lettre la prescription de
Bernard pour le travail à la maison. Repensant à ce que j’avais vu dans l’après-midi,
je me branlais à mon tour en pensant à la grande fermière dont j’avais vu l’entrejambe
pourtant pas forcément très sexy, mais qui du haut de mes 16 ans, me faisait quand
même rêver…
Fin du premier épisode (a) de "La Louise".
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