Titre de l'histoire érotique : Marchand d'illusions 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Marchand d'illusions 1
Rentrés bredouilles de la pêche hier, nous avons pêché aujourd’hui,en quelques minutes, de quoi faire une friture pour quatre. Aimé et moi, Jean, décidons de rentrer chez lui pour écailler et vider nos prises et pour surprendre agréablement Marie, 23 ans, sa compagne depuis deux ans et Julie, 20ans, la copine de Marie. Nos deux belles apprécieront car, au retour de leur interminable shopping du samedi, elles pourront s’asseoir à table et déguster le repas du soir que nous aurons préparé en cuisine.
Une voiture s’arrête sous la fenêtre de la cuisine où nous nous affairons en dégustant une bière. Etrange, nos chéries se font reconduire et rentrent beaucoup plus tôt que prévu. Le chauffeur, un grand gaillard d’une trentaine d’années, confie une valisette à chacune et les suit avec deux valisettes de même modèle. Nous nous regardons
-Tu attends de la visite?
-Non, qu’est-ce que ce type qui débarque chez moi à l’improviste avec tous ces bagages? Marie est imprévisible. Ecoute-les discuter comme de vieilles connaissances. Ne bougeons pas. Elles nous croient au bord de la rivière. Par le passe-plats nous saurons vite ce que nos deux femmes mijotent.
Car je dois préciser que Marie et Aimé ont décidé de travailler à me rapprocher de Julie et à m’unir à elle. Dans le fond cela n’est pas pour me déplaire. Au contraire! Julie est belle fille, gaie et avenante. Elle semble tenir à moi, son comportement est celui d’une fille amoureuse, sauf que…en dehors de quelques bisous furtifs, elle s’échappe chaque fois que je tente de l’étreindre. Dans la conversation avec nos hôtes elle sait m’aguicher, me tenter, mais ne m’accordera rien de concret avant le mariage. Pas question de batifoler ou de concéder d’importantes privautés, elle appâte mais elle a laissé clairement entendre que le garçon qui voudra la posséder devra d’abord l’épouser.
Ce soir là nous avons dansé en petit comité sous l’œil attendri de Marie. Aimé m’a dit:
-Allez, gars, fonce. C’est le moment, ouvre lui ton cœur, demande lui sa main.
J’aurais aimé prendre mon temps, ne pas précipiter mon engagement. Je réussis à la serrer d’un peu plus près, je dépose un bisou dans son cou, je frôle ses gentils petits seins comme par inadvertance, je vois dans ses yeux son attente d’une promesse. Dans son dos, ma main a poussé le corps souple et léger vers le mien, mon ventre sent la chaleur du sien. Alors j’ ose: je dépose un baiser, le premier, sur ses lèvres. C’est une façon de lui dire mon désir sans avoir à prononcer de serment définitif, ma bouche étant occupée sur la sienne! Elle répond à mon baiser, gentiment avec une lueur de bonheur dans les yeux.
Marie et Aimé nous ont laissés seuls. Je franchi mon Rubicon, j’appuie mes caresses sur son corps, dans son dos, autour de sa taille fine, sur l’arrondi dansant de ses fesses: je crois le moment arrivé de faire l’amour avec elle, elle est alanguie, s’abandonne mollement au travail de mes doigts, roule des yeux, embrasse, soupire, rit. « Femme qui rit est à moitié dans ton lit » Mais quand je veux pousser mon avantage, quand ma main descend lentement d’un sein sur son ventre et se dirige vers son bas-ventre en caresse légère mais décidée, Julie a un recul intempestif du bassin.
J’ai commencé, j’interprète son mouvement comme une réaction instinctive d’une jeune vierge confrontée aux premières attaques contre sa pudeur. Pourquoi m’arrêter, elle n’attend que ça. Ma main progresse, s’ insinue dans le tissu de sa jupe légère, veut épouser entre ses cuisses les courbes fuyantes de son sexe et provoque une réaction violente. Julie s’arrache de mes bras et me jette à la figure son leitmotiv:
- J’aurai la bague au doigt avant de recevoir le doigt dans ma bague.
Elle a un art consommé de l’alternance du chaud et du froid. Ainsi après avoir rejeté mon attaque et rappelé sa règle du jeu, elle plaque avec une précision stupéfiante la paume de sa main sur ma braguette et ses doigts se livrent à un ballet endiablé sur mon vit en effervescence. En même temps elle me fixe et ajoute ;
- Alors, ça te plaît? Qu’attends-tu, parleras-tu? Tu veux m’épouser?
Je tente une esquive:
- On n’achète pas un chat dans un sac! Encore moins une chatte.
La maline comprend vite, se laisse tomber sur le canapé, relève le tissu, dévoile ses cuisses, les ouvre sur l’enveloppe d’un string étroit, glisse un index sous le tissu pour le pousser dans le pli entre cuisse et ventre et me montre illico, sous un buisson de bouclettes brunes , l’entaille sombre de sa vulve nichée entre deux lèvres enflées. Le majeur d‘un côté, l‘index de l‘autre, sans gêne apparente, elle écarte les grandes lèvres et expose à mes yeux émerveillés le losange aux chairs luisantes de la fente convoitée.
- Voilà la chatte sortie du sac. Regarde bien, ne rougis pas comme ça; je suis une femme normalement constituée…Pas touche, retiens tes mains. Tu touches avec les yeux seulement. Hum? Alors, tu achètes? A quand le mariage? Je peux fermer la boutique maintenant que tu t’es rincé l’œil ?
J’ai du mal à déglutir. Cette fois la question est directe et réclame une réponse.
- Julie, voudras-tu m’épouser ?
- Enfin! Mais avant d’acheter le chien, je veux voir sa queue, c’est une contrepartie normale à ce que tu as exigé de moi ! Allez, à ton tour, déballe ton matériel, montre, plus vite que ça!.
Elle joint le geste à la parole, et comme si elle n’avait fait que ça de sa vie, se retrouve main dans mon slip pour en extirper l’objet du désir en voie de développement depuis ses caresses précédentes et surtout depuis l’apparition de son berlingot. Inutile de lui préciser de ne toucher qu’avec les yeux, elle le tient fermement, hume en fermant les yeux et imprime à sa main un mouvement dont la répétition me ravit
- Bon, c’est acceptable. L’engin est de bonne qualité mais devra être rodé. Parfait, il grossit encore, oui, encore, oh! je m’en contenterai s’il fonctionne convenablement. Réactif au toucher, c’est bien. Et à la chaleur? A étudier, lon ami.
L’étude se fait sur place. Elle assise, moi tiré entre ses jambes par mon appendice; me voilà entre ses lèvres chaudes et humides livré au double va et vient de ses deux mains sur ma tige et mes bourses et de sa bouche également humide et chaude sur mon gland décalotté habilement. Les doigts me quittent et se posent sur mes fesses pour m’attirer encore plus près. Les dents raclent, je suis comme aspiré contre l’intérieur moelleux des joues, la langue flagelle mon extrémité en feu, et par à-coups, la demoiselle si vertueuse réussit l’exploit de me mettre entièrement en bouche. Son nez butte contre les poils de mon pubis alors que je me heurte au velouté du fond de sa gorge. Deux ou trois secondes plus tard elle se retire en toussant, s’essuie la bouche puis dit
-Tu aimes. Encore un peu?
Elle fait les questions et les réponses et se remet à sucer avec ferveur mon zizi devenu gourdin.
Elle a dit « un peu». Je ne vais pas me plaindre des prolongations. La tête s’agite, le nez revient souvent humer l’odeur de mes poils pubiens, la langue tournicote inlassable autour de ma chair enivrée de salive, je sens monter des picotements étranges, mes nerfs se cabrent, des ondes bienfaisantes électrisent ma colonne vertébrale, j’ai le souffle coupé, je m’accroche à ses cheveux.
-Laisse-toi aller…J’ai envie de te bouffer mon chéri…
J’ouvre les vannes, je suis secoué par la déferlante d’un sperme contenu depuis trop longtemps. A peine Julie esquisse-t-elle un léger recul, elle conserve au chaud la tête qui vomit en saccades dans sa bouche la bouillie épaisse…Pfouhhh!.. Me voici à l’air libre. Elle lève les yeux vers moi et déclare un peu après:
-C’est bon, meilleur que des huîtres. Merci.
Elle ouvre le bec, me montre ses molaires dégagées: où est passée la salve que je croyais avoir envoyée? Sa langue ramasse sur le bord des lèvres les dernières gouttelettes à la manière d’un chat qui a vidé son écuelle.
- Merci, mon futur époux. Tu es reçu à ton examen d’aptitude maritale. Fixons une date pour le mariage.
- C’est que…
J’explique que cela va demander des préparatifs: avertir les familles, trouver une salle, un traiteur, etcetera
- Il te faudra donc faire preuve de patience pour revoir minette ou pour te faire tailler une autre pipe.
Eh! Oui, toute cette démonstration pour me faire désirer encore plus fort les plaisirs du mariage. C’était la carotte. Le bâton sera l’abstinence, la longue attente au purgatoire avant la montée promise au septième ciel. Elle m’en a donné un avant-goût et depuis je suis heureux de glaner ça et là quelques bisous destinés à entretenir la flamme. Demain, au restaurant, en tête-à-tête, je lui offrirai une bague de fiançailles avec l’espoir de l’amadouer. J’aurai peut-être droit à un petit supplément…
Demain… mais aujourd’hui j’écaille des poissons dans la cuisine de Marie et d’Aimé. Nos « femmes » rentrent plus tôt que prévu, accompagnées en voiture par un porteur de valisettes. Qu’ont-elles acheté qui leur vaut cette escorte?
À suivre
Une voiture s’arrête sous la fenêtre de la cuisine où nous nous affairons en dégustant une bière. Etrange, nos chéries se font reconduire et rentrent beaucoup plus tôt que prévu. Le chauffeur, un grand gaillard d’une trentaine d’années, confie une valisette à chacune et les suit avec deux valisettes de même modèle. Nous nous regardons
-Tu attends de la visite?
-Non, qu’est-ce que ce type qui débarque chez moi à l’improviste avec tous ces bagages? Marie est imprévisible. Ecoute-les discuter comme de vieilles connaissances. Ne bougeons pas. Elles nous croient au bord de la rivière. Par le passe-plats nous saurons vite ce que nos deux femmes mijotent.
Car je dois préciser que Marie et Aimé ont décidé de travailler à me rapprocher de Julie et à m’unir à elle. Dans le fond cela n’est pas pour me déplaire. Au contraire! Julie est belle fille, gaie et avenante. Elle semble tenir à moi, son comportement est celui d’une fille amoureuse, sauf que…en dehors de quelques bisous furtifs, elle s’échappe chaque fois que je tente de l’étreindre. Dans la conversation avec nos hôtes elle sait m’aguicher, me tenter, mais ne m’accordera rien de concret avant le mariage. Pas question de batifoler ou de concéder d’importantes privautés, elle appâte mais elle a laissé clairement entendre que le garçon qui voudra la posséder devra d’abord l’épouser.
Ce soir là nous avons dansé en petit comité sous l’œil attendri de Marie. Aimé m’a dit:
-Allez, gars, fonce. C’est le moment, ouvre lui ton cœur, demande lui sa main.
J’aurais aimé prendre mon temps, ne pas précipiter mon engagement. Je réussis à la serrer d’un peu plus près, je dépose un bisou dans son cou, je frôle ses gentils petits seins comme par inadvertance, je vois dans ses yeux son attente d’une promesse. Dans son dos, ma main a poussé le corps souple et léger vers le mien, mon ventre sent la chaleur du sien. Alors j’ ose: je dépose un baiser, le premier, sur ses lèvres. C’est une façon de lui dire mon désir sans avoir à prononcer de serment définitif, ma bouche étant occupée sur la sienne! Elle répond à mon baiser, gentiment avec une lueur de bonheur dans les yeux.
Marie et Aimé nous ont laissés seuls. Je franchi mon Rubicon, j’appuie mes caresses sur son corps, dans son dos, autour de sa taille fine, sur l’arrondi dansant de ses fesses: je crois le moment arrivé de faire l’amour avec elle, elle est alanguie, s’abandonne mollement au travail de mes doigts, roule des yeux, embrasse, soupire, rit. « Femme qui rit est à moitié dans ton lit » Mais quand je veux pousser mon avantage, quand ma main descend lentement d’un sein sur son ventre et se dirige vers son bas-ventre en caresse légère mais décidée, Julie a un recul intempestif du bassin.
J’ai commencé, j’interprète son mouvement comme une réaction instinctive d’une jeune vierge confrontée aux premières attaques contre sa pudeur. Pourquoi m’arrêter, elle n’attend que ça. Ma main progresse, s’ insinue dans le tissu de sa jupe légère, veut épouser entre ses cuisses les courbes fuyantes de son sexe et provoque une réaction violente. Julie s’arrache de mes bras et me jette à la figure son leitmotiv:
- J’aurai la bague au doigt avant de recevoir le doigt dans ma bague.
Elle a un art consommé de l’alternance du chaud et du froid. Ainsi après avoir rejeté mon attaque et rappelé sa règle du jeu, elle plaque avec une précision stupéfiante la paume de sa main sur ma braguette et ses doigts se livrent à un ballet endiablé sur mon vit en effervescence. En même temps elle me fixe et ajoute ;
- Alors, ça te plaît? Qu’attends-tu, parleras-tu? Tu veux m’épouser?
Je tente une esquive:
- On n’achète pas un chat dans un sac! Encore moins une chatte.
La maline comprend vite, se laisse tomber sur le canapé, relève le tissu, dévoile ses cuisses, les ouvre sur l’enveloppe d’un string étroit, glisse un index sous le tissu pour le pousser dans le pli entre cuisse et ventre et me montre illico, sous un buisson de bouclettes brunes , l’entaille sombre de sa vulve nichée entre deux lèvres enflées. Le majeur d‘un côté, l‘index de l‘autre, sans gêne apparente, elle écarte les grandes lèvres et expose à mes yeux émerveillés le losange aux chairs luisantes de la fente convoitée.
- Voilà la chatte sortie du sac. Regarde bien, ne rougis pas comme ça; je suis une femme normalement constituée…Pas touche, retiens tes mains. Tu touches avec les yeux seulement. Hum? Alors, tu achètes? A quand le mariage? Je peux fermer la boutique maintenant que tu t’es rincé l’œil ?
J’ai du mal à déglutir. Cette fois la question est directe et réclame une réponse.
- Julie, voudras-tu m’épouser ?
- Enfin! Mais avant d’acheter le chien, je veux voir sa queue, c’est une contrepartie normale à ce que tu as exigé de moi ! Allez, à ton tour, déballe ton matériel, montre, plus vite que ça!.
Elle joint le geste à la parole, et comme si elle n’avait fait que ça de sa vie, se retrouve main dans mon slip pour en extirper l’objet du désir en voie de développement depuis ses caresses précédentes et surtout depuis l’apparition de son berlingot. Inutile de lui préciser de ne toucher qu’avec les yeux, elle le tient fermement, hume en fermant les yeux et imprime à sa main un mouvement dont la répétition me ravit
- Bon, c’est acceptable. L’engin est de bonne qualité mais devra être rodé. Parfait, il grossit encore, oui, encore, oh! je m’en contenterai s’il fonctionne convenablement. Réactif au toucher, c’est bien. Et à la chaleur? A étudier, lon ami.
L’étude se fait sur place. Elle assise, moi tiré entre ses jambes par mon appendice; me voilà entre ses lèvres chaudes et humides livré au double va et vient de ses deux mains sur ma tige et mes bourses et de sa bouche également humide et chaude sur mon gland décalotté habilement. Les doigts me quittent et se posent sur mes fesses pour m’attirer encore plus près. Les dents raclent, je suis comme aspiré contre l’intérieur moelleux des joues, la langue flagelle mon extrémité en feu, et par à-coups, la demoiselle si vertueuse réussit l’exploit de me mettre entièrement en bouche. Son nez butte contre les poils de mon pubis alors que je me heurte au velouté du fond de sa gorge. Deux ou trois secondes plus tard elle se retire en toussant, s’essuie la bouche puis dit
-Tu aimes. Encore un peu?
Elle fait les questions et les réponses et se remet à sucer avec ferveur mon zizi devenu gourdin.
Elle a dit « un peu». Je ne vais pas me plaindre des prolongations. La tête s’agite, le nez revient souvent humer l’odeur de mes poils pubiens, la langue tournicote inlassable autour de ma chair enivrée de salive, je sens monter des picotements étranges, mes nerfs se cabrent, des ondes bienfaisantes électrisent ma colonne vertébrale, j’ai le souffle coupé, je m’accroche à ses cheveux.
-Laisse-toi aller…J’ai envie de te bouffer mon chéri…
J’ouvre les vannes, je suis secoué par la déferlante d’un sperme contenu depuis trop longtemps. A peine Julie esquisse-t-elle un léger recul, elle conserve au chaud la tête qui vomit en saccades dans sa bouche la bouillie épaisse…Pfouhhh!.. Me voici à l’air libre. Elle lève les yeux vers moi et déclare un peu après:
-C’est bon, meilleur que des huîtres. Merci.
Elle ouvre le bec, me montre ses molaires dégagées: où est passée la salve que je croyais avoir envoyée? Sa langue ramasse sur le bord des lèvres les dernières gouttelettes à la manière d’un chat qui a vidé son écuelle.
- Merci, mon futur époux. Tu es reçu à ton examen d’aptitude maritale. Fixons une date pour le mariage.
- C’est que…
J’explique que cela va demander des préparatifs: avertir les familles, trouver une salle, un traiteur, etcetera
- Il te faudra donc faire preuve de patience pour revoir minette ou pour te faire tailler une autre pipe.
Eh! Oui, toute cette démonstration pour me faire désirer encore plus fort les plaisirs du mariage. C’était la carotte. Le bâton sera l’abstinence, la longue attente au purgatoire avant la montée promise au septième ciel. Elle m’en a donné un avant-goût et depuis je suis heureux de glaner ça et là quelques bisous destinés à entretenir la flamme. Demain, au restaurant, en tête-à-tête, je lui offrirai une bague de fiançailles avec l’espoir de l’amadouer. J’aurai peut-être droit à un petit supplément…
Demain… mais aujourd’hui j’écaille des poissons dans la cuisine de Marie et d’Aimé. Nos « femmes » rentrent plus tôt que prévu, accompagnées en voiture par un porteur de valisettes. Qu’ont-elles acheté qui leur vaut cette escorte?
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