Titre de l'histoire érotique : NA Leslie TR 07 - histoire érotique

Leslie à Paris – P07 –Un amant de Laure, Gilles.

Cette nuit alors que je suis couchée, allongée nue dans mon lit, j’entends Laure rentrer et j’ai entendue une voix d’homme qui parle à Laure, celle-ci à ramené un copain à l’appartement.
Quelques instants plus tard je pense qu’ils font l’amour, car Laure gémit et crie, cela à duré une bonne partie de la nuit, les gémissements de Laure m’ont excités, surtout qu’à un moment Laure à dit :
- Non, non pas ça.
Suivi de longs gémissements. Je suis très troublée quand j’essaie de trouver le sommeil.
Je commence à sombrer quand Laure entre dans ma chambre, elle est nue et s’assoie sur le lit en me disant :
- Leslie, mon copain Gilles est un fabuleux amant, et il est doté d’un membre à faire pâlir les vierges, si tu peux en profiter un peu cela ne me dérange pas, allez dort bien.
Et Laure s’en retourne dans sa chambre.

Le lendemain matin alors que je suis dans ma salle de bains entrain de prendre une douche, je suis encore toute troublée par les gémissements et les propos de Laure, ma nuit ayant été mouvementée et remplie de rêves érotique, mes seins sont durs et je bande sous ma douche.
Je ressens une présence près de moi et je vois Gilles dans l’embrasement de la porte, nu, la queue à la main, elle est énorme, gonflée, Laure n’a pas mentie, Gilles est musclé avec un corps bronzé, un corps de rêve.
Je suis certaine que Laure m’envoie son amant de la nuit pour que je passe un moment avec lui avant qu’elle ne le congédie.
Il entre dans la salle de bains et me dit :
- Ca te dis de gouter à ma queue, ta copine à vachement appréciée cette nuit, d’ailleurs tu as du l’entendre.
Sans attendre ma réponse il me prend la tête et me force à me mettre à genoux devant lui, à la vision de son sexe je perds toute force de résistance et j’ai le désire de gouter à ce membre, hésitante entre peur et envie.
J’ouvre la bouche et il m’enfonce sa queue jusqu'à la garde dans la gorge, à la limite de l’étouffement, son membre déformant mes lèvres.
Je le suce à genoux sur le carrelage de la salle de bains, et je trouve du plaisir à sucer ce membre épais, Gilles bande ferme et il me laisse faire pendant un moment, puis il me relève et me dirige vers le lit sur lequel il s'allonge et me dit :
Montre-moi ton petit trou.
Je suis au bord du lit et me penche en avant pour lui monter ma rondelle, il passe un doigt dessus me faisant légèrement frémir, puis il me dit :
- T’inquiète pas ma belle je vais bien te préparer aux assauts de ma bite car je vois que ton cul réclame.

Il est assis sur le lit le dos contre le mur, et me fait monter sur le lit à quatre pattes au dessus de ses jambes en levrette lui présentant mon cul, il va avoir ainsi mon petit trou en gros plan.
Il me de demande d’écarter mes fesses de mes deux mains, la tête sur les draps cambrée au maximum j’ouvre mes fesses de mes deux mains et lui dévoile de façon indécente mon œillet. Il me doigte le trou d’un doigt et me caresse toute la raie de son autre main, il est vraiment doux et je frémis par le plaisir qu’il me donne, je sens que je m’ouvre, j’adore ce qu’il me fait et je me sens très excitée. Gilles le ressent et il me dit :
- Toi tu dois être une bonne et tu dois aimer la bite alors viens t'empaler sur mon sexe
Je m'exécute, je me place au dessus de sa queue la rondelle collée à son gland, me supportant par mes bras posés sur le lit et je commence ma descente.
C’est gros et j’ai du mal à absorber ce membre qui commence à dilater mon anus, je force un peu en grimaçant et le gland passe la rondelle, je suis littéralement écartelée du cul, je souffle en essayant de m’habituer à cette pénétration, j’ai autant envie de me relever et d’abandonner que de me rentrer ce sexe entièrement en moi, et Gilles m’encourage en disant :
- Va ma belle, encule toi à fond, tu vas voir comme c'est bon une bonne grosse bite au fond de ton cul.
Je continue doucement ma descente, rentrant centimètre par centimètre ce membre, l’impression est démentielle, mais doucement j’arrive à m’empaler entièrement sur Gilles, puis je commence à bouger, montant et descendant sur ce sexe qui m’encule. Après un certain temps Gilles me dit :
Maintenant que tu t’es bien préparée je vais te prendre en levrette, je me positionne suivant son désir et après s’être installé derrière moi, il prend son sexe d’une main et présente son gland au bord de mon petit trou, il appuie légèrement et je sens qu’à nouveau je m’ouvre puis je le sens entrer lentement, il pousse encore m'arrachant à nouveau un gémissement lorsque son gland passe ma rondelle, et je gémis encore quand il pousse pour rentrer complètement son membre dans mon fondement, maintenant je le sens bien inséré en moi mais pas entièrement et il commence à me limer
Je gémis en disant :
- Humm, que c'est bon, j'adore ton gros sexe.
Je le sens s'enfoncer de plus en plus profondément au fur et à mesure qu’il me lime le petit trou.
Je m’ouvre de plus en plus et accepte cette pénétration indécente et hors norme, il me dit :
- C'est bien serré, mais je vais tout rentrer en toi.
Et il m'enfonce, d’un coup de rein, totalement son sexe en moi, et commence à aller et venir.
Il me démonte littéralement le cul, de temps en temps il ressorts de mon trou pour mieux y replonger, j'ai un plaisir immense, et quand il s’enfonce jusqu’à la garde, je crie en disant :
- Oui, c'est bon ta bite dans mon cul, c'est énorme.
Il est bien au fond et ne bouge, j’ai le cul complètement distendu et Gilles dit :
- Avant de jouir en toi ma belle je veux voir le superbe spectacle de ton trou béant.
Alors il retire sa queue de mon cul et me fait me cambrer davantage et dit :
- Alors là, superbe, tu es complètement ouverte, ton cul est totalement dilaté et béant.
Il entre à nouveau son sexe en moi et lime encore un peu mon cul me faisant jouir, j'explose dans un grand cri dément, et c’est à son tour de jouir au fond de mes entrailles remplissant mon conduit de sa jouissance.
Avant qu’il ne sorte de mon cul, j’entends la voix de Laure qui dit :
- Alors ma chérie, il n’est pas formidable mon amant.
- Oh que si, lui dis-je, mais j’ai le cul cassé.
- T’inquiètes pas, me dit’ elle, on ne meurt pas de ces choses la.

Après un petit déjeuner à trois, Gilles nous à quitter, nous avons avec Laure gardées un bon souvenir de ces instants passés et nos culs aussi d’ailleurs.

A suivre……