Titre de l'histoire érotique : NA Leslie TR 63
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2010 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : NA Leslie TR 63
Leslie à Paris – P63 - Rencontre au salon, 1ère partie.
Les préparatifs.
Je dois me rendre à une exposition sur la construction, le fameux salon Batimat, Michel m’a demandé m’y rendre pour voir et prendre, éventuellement, des notes éventuellement sur les sujets intéressants et les nouveaux matériaux de décoration.
Laure est partie en congés quelques jours chez une amie à Lyon et je suis seule à l’appartement.
La veille au soir, je m’accorde un bon bain chaud avec plein de mousse, cela me relaxe et m’apaise des tentions, installée dans le bain je me laisse aller et ferme les yeux pour mieux apprécier cet instant.
En me laissant aller je me mets à penser à mes dernières rencontres et au plaisir que j’en ai retiré, ce qui a pour effet de me mettre en érection.
Je m’enfonce dans mon bain pour être mettre plus à l’aise et je place une de mes jambes sur le bord de la baignoire pour m’écarter au maximum les cuisses, je prends alors mon sexe en main et commence à me branler et avec mon autre main je place un doigt sur mon petit trou et commence à pousser doucement pour le faire entrer.
J’introduis sans difficulté mon doigt dans mon cul et commence à le rentrer et sortir au rythme de mon branle sur mon membre.
Je suis très excitée et mon trou palpitant réclame, je tends le bras pour prendre mon gode d’ivoire qui ne me quitte jamais et qui se trouve dans ma trousse de toilette. Il s’agit du gode dont je vous ai parlé, qui est mon ami de solitude ou que j’utilise lors de mes relations.
Délicatement je me le suis introduis dans mon anus préparé auparavant par mon doigt. J’en rentre un peu en moi en me branlant afin de m’habituer à sa présence, puis je le pousse un peu plus en moi et arrive à entrer une partie honorable et commence quelques vas et viens.
Mon branle de mon sexe et le gode dans mon cul me remplissent de douces sensations et je ferme les yeux pour apprécier le moment sans cesser de me donner du plaisir jusqu’au moment ou un orgasme fulgurant me traversa me faisant éjaculer tandis que mon anus se contracte et se rétracte autour du gode d’ivoire.
Puis je l’ai retiré de mon fondement, lentement en le sentant glisser hors de moi, puis je me suis replongée dans mon bain. Heureuse j’ai pensée que ce salon allait être formidable.
J’ai, bien sur, passée une bonne nuit peuplée de songes érotiques forts agréables.
La visite.
Au petit matin je me lève de forte agréable humeur, une bonne douche et je m’habille avant de prendre le petit déjeuner.
Une paire de bas gris tenus par un porte-jarretelles en soie noire, un petit string assorti et un corsage en soie crème légèrement transparent sans soutien gorge afin de laisser deviner l’ombre de mes tétons au travers, puis un tailleur jupe, assez classique, de couleur grise. La jupe d’une longueur raisonnable à la hauteur des genoux est munie d’une fente sur le coté remontant jusqu’à mi-cuisses, je passe des chaussures à talons hauts pour la cambrure, un léger maquillage et un peu de parfum, un dernier regard au miroir, je suis prête.
Après le petit déjeuner, laissant la voiture au parking, je me suis rendue en taxi au salon de la porte de Versailles, et c’est vers 11h00 que je commence à déambuler dans les allées du salon.
Je parcours le salon de stand en stand m’intéressant plus particulièrement au stand présentant les nouveaux matériaux de la construction et aussi ceux qui mettent en valeur les nouvelles technologies.
C’est sur le stand d’un des plus gros distributeurs de matériaux que je vois deux hommes, bels hommes tous les deux, eux aussi d’ailleurs m’ont vue et voyant que je fais semblant de m’intéresser aux produits de leur firme ils s’approchent de moi et m’invitent, comme cela se fait dans ce genre de salon, à boire un café.
J’accepte volontiers et je me dirige vers un fauteuil confortable et avant de m’installer je lis sur le badge que porte chacun des deux hommes que l’un s’appelle Jean-Paul et l’autre Christian.
J’essaye de m’asseoir de façon à ne pas trop faire remonter ma jupe, mais les fauteuils sont profonds et je fais de mon mieux afin de ne pas laisser apparaître le haut de mes bas sous l’œil amusé de Christian qui ne se gêne pas pour mater.
Je réussis m’asseoir, mais constate que Jean-Paul placé face à moi a une vue plongeante sur mes jambes et mes cuisses.
Il fait très chaud dans le salon et j’enlève ma veste pour me retrouver face aux deux hommes avec mon chemisier transparent. Je remarque que Christian a une étincelle dans son regard en fixant ma poitrine car il peut distinguer deux ombres au niveau de mes seins au travers du corsage transparent.
Les deux hommes se mirent à me parler de leur entreprise et des produits fabriqués et proposer au catalogue, non sans me quitter des yeux et surtout en s’attardant soit sur ma poitrine, soit sur mes jambes où ils peuvent deviner le haut des mes bas et des attaches du porte-jarretelles que ma jupe en remontant commence à dévoiler.
Au bout d’un long moment prétextant de vouloir continuer ma visite des autres stands je pris congé des deux hommes et en les quittant Jean-Paul, en gardant ma main dans la sienne, dit :
Christian, je crois que cette demoiselle apprécie beaucoup notre compagnie nous pourrions l’inviter ce soir au restaurant, enfin si mademoiselle est libre.
Sans projet pour la soirée, j’ai donc acceptée de retrouver mes deux complices dans un restaurant chic de la capitale pour diner, et lorsque je suis partie ils m’ont dit :
- A ce soir et bon salon.
J’ai continuée ma visite dans ce salon, quelque peu troublée par ce qui vient de se passer et de l’invitation de ce soir et je suis rentrée assez tôt dans l’après midi à l’appartement pour me détendre et me reposée.
Puis vers 19h00, j’ai pris un bain et me suis préparée pour la soirée.
Le rendez-vous.
J’ai changée quelque peu ma tenue afin de plaire le plus possible et faire honneur à l’invitation, sexy sans être provocante et vulgaire, une paire de bas auto-fixant blancs, un string de soie blanche et un corsage blanc très transparent, toujours sans soutien gorge, et une mini jupe en cuir noire le tout complétée par un spencer de cuir noir, je passe des chaussures à talons hauts, un peu de maquillage et parfum, et me voilà prête.
Je me suis rendue au restaurant en voiture, un endroit chic près d la place Vendôme et dès mon arrivée je suis accueillie par Jean-Paul et Christian qui se montrent aimables et enjouées de ma présence.
Le diner se passe merveilleusement bien, très vite il savent que je me prénomme Leslie, que j’ai 22 ans et que je travaille dans un cabinet d’architecte dans le sud de la France, puis nous parlons de choses et d’autres sur nos métiers pour commencer puis sur la vie en générale. Au moment du désert la conversation est plus portée sur ma personne car mes deux compagnons de table s’enquiert de mes goûts et des mes passions, ce que je fais dans la vie en dehors du travail et j’arrive tant bien que mal à répondre aux questions qui se font de plus en plus précises, voir parfois intimes.
- Alors Leslie pas de petit ami, me demande Christian.
- Non, j’aime trop ma liberté et la vie pour m’attacher, dis-je.
- Libre à tous points de vue ? demande Christian.
- Oui, répondis-je, jusque dans mes choix.
A cet instant je ne sais pas trop comment me sortir de la conversation qui risque de dériver sur des questions trop personnelles, mais les deux hommes me plaisent bien et je me dis que le mieux est de me laissée aller et de voir venir, d’autant qu’ils ne cessent de regarder ma poitrine dont les bouts pointent au travers du tissu de mon corsage, finalement cela ne me dérange pas et je suis une coquine et une aventure ce soir n’est pas pour me déplaire.
C’est Jean-Paul qui reprend la conversation en disant :
- Le choix de vos amants par exemple ?
- Tout à fait, dis-je.
- Aurions nous une chance ? réplique t’il.
- Vous n’avez qu’à essayer et vous saurez.
Le décor est planté et mes répliques ont fait de l’effet et de ce fait la conversation prend aussitôt une autre tournure.
- Tous les deux ensembles ? demande Jean-Paul.
- C’est envisageable, dis-je en le regardant dans les yeux.
Aussitôt Jean-Paul me demande :
- Etes vous d’accord pour aller boire une coupe de champagne dans notre chambre d’hôtel qui est à deux pas de là, avec Christian bien-sur.
- Volontiers.
J’ai acceptée cette nouvelle invitation et nous voilà nous dirigeant vers leur hôtel, et peu de temps après nous sommes installés confortablement dans une suite d’un luxueux hôtel avec du champagne que Jean-Paul à fait monter.
J’ai enlevée mon spencer et après une coupe, Jean-Paul s’approche de moi et le laissant faire il déboutonne mon chemisier en entier dévoilant ainsi ma poitrine en émettant un petit sifflement et en disant :
- Mademoiselle a une jolie petite poitrine, qu’en penses-tu Christian.
- Superbe, réplique Christian.
La poitrine nue et sous le regard de mes deux hommes mes tétons pointent, et ce faisant Jean-Paul commence à me caresser les seins, Christian observe et portant la main sur l’un de mes tétons le prend entre ses doigt et le pince délicatement, sous la caresse j’émets un petit gémissement.
Puis Christian et Jean-Paul me lèvent en m’enlevant le chemisier qui tombe à terre, et pendant que Jean-Paul me caresse les seins, Christian défait les boutons de ma jupe qui glisse sur mes jambes et tombe à terre.
Je me retrouve presque nue dans cette chambre avec mon string déformé par mon sexe, Jean-Paul s’en aperçoit et dit :
- Christian, notre demoiselle est une transexuelle.
- Pour ma part étant bisexuel cela ne me gêne pas, réplique Christian, et en plus jolie comme elle est ce serait dommage de ne pas profiter un peu.
Cela non plus n’a pas l’air de gêner Jean-Paul qui est passé derrière moi et me fait mettre les mains sur le bord de la table de la chambre et me pencher en avant, puis il m’oblige à écarter les jambes.
Christian lui m’enlève mon string en le faisant glisser le long de mes jambes, dévoilant mon sexe bandé.
- Décidemment cette petite nous surprendra, elle est remarquable dit Jean-Paul.
- Oui, dit Christian, prenant mon sexe dans la main.
Positionnée comme je suis, j’ai les seins sur la table et la croupe bien en arrière, ils ont une vision de mon anus tout lisse.
Jean-Paul s’empare de mes fesses et les caresse, puis les écarte de façon indécente, découvrant mon anus à Christian qui s’approche et met un doigt dans le sillon de mes fesses, son doigt glisse doucement à l’intérieur et vient s’attarder sur mon anneau, une légère poussé et son doigt entre sans beaucoup de peine dans mon trou.
- La demoiselle à l’air d’être prête, dit Christian.
Jean-Paul dégrafe alors son pantalon et sort son sexe dur, et me voyant ainsi offerte il pose le gland sur mon anus et commence à enfoncer son membre dur dans mon cul.
Christian passe sous la table et s’enfourne mon sexe dans la bouche pour me sucer.
Jean-Paul entre doucement, centimètre par centimètre, je ne bouge pas et me laisse enculer, tout au plaisir qui m’envahit et me fait gémir, puis il fait des vas et viens en moi et s’arrête pour dire à Christian :
- Je pense que la demoiselle est prête à t’offrir sa bouche, c’est à son tour de te sucer.
Christian se déshabille et se positionne entre moi et la table pour me tendre son sexe tendu à sucer.
Les mains sur la table je me penche pour le prendre dans ma bouche et je me mets à le sucer, ces deux sexes tendus et durs en moi allaient et venaient au même rythme.
Christian me maintenait la tête de ses mains et m’imprime le rythme pour entrer et sortir son membre de ma bouche.
Jean-Paul me pénètre de plus en plus profondément et va de plus en plus vite dans mon anus, j’ai envie de crier mais le sexe de Christian dans ma bouche m’en empêche.
Christian, de son côté, apprécie ma bouche et gémit sous ma fellation, tandis que Jean-Paul dit :
- Quel bon coup cette petite trans, c’est une vraie petite cochonne qui adore qu’on lui prenne le petit trou.
Christian fut tellement content du sort de son sexe dans ma bouche qu’il jouit intensément au fond de ma gorge. Ma position ne me permettant pas de me reculer, je dus me contorsionner pour cracher le sperme de Christian. Les coups de reins de Jean Paul dans mon cul se font plus profond, par de amples mouvement il me pénètre et me fait gémir de plaisir, je vais jouir c’est sur car j’aime beaucoup ce qu’on me fait.
Il entre encore et encore et je ne peux retenir la jouissance qui envahit mes reins et me fait contracter mon anus sur le membre de Jean-Paul qui jouis lui au fond de mon cul.
J’adore quand un homme jouit dans mon cul, cette sensation de se sentir remplie me donne de douces sensations, je suis complètement en nage, mes deux hommes du soir viennent de jouir en moi, mon corps luit de transpiration et j’ai chaud, mais maintenant mon corps réclame encore du plaisir.
Jean Paul m’installa dans le fauteuil les pieds sur les accoudoirs, ainsi les deux complices peuvent voir mon anus entrouvert de la précédente pénétration et mon sexe bandé à mort par le plaisir.
Mes deux complices veulent voir comment une petite trans se donne seule du plaisir, alors ils me demandent de leur montrer comment je m’y prends quand je suis seule, ils veulent me voir me donner du plaisir et jouir sous leurs regards.
Après avoir récupérer mon olisbos d’ivoire qui ne quitte jamais mon sac à main, je me réinstalle dans le fauteuil comme auparavant, Jean Paul et Christian se placent chacun sur un coté et commencent à malaxer mes seins et à caresser mes tétons qui pointent de plus en plus sous la caresse et durcissent,
Après avoir pris mon sexe en main je commence à me branler, mon sexe gonfle et commence à bander, je commence à haleter, prenant l’olisbos de la main gauche je le présente à mon anus et me pénètre avec, tout en continuant mes vas et viens sur mon sexe de plus en plus rapidement.
Jean Paul et Christian devant le spectacle que j’offre se mettent à bander à nouveau, et prenant leur sexe en main se branlent au dessus de moi, sous les assauts de mon gode et de ma main je ne tarde pas à sentir la jouissance monter en moi, je vais bientôt jouir.
Les deux hommes redoublent de vigueur en se branlant de concert et quand je jouis avec un long soupir, je reçois la jouissance de mes deux partenaires sur la poitrine.
Après avoir pris une douche, ils me dirent que l’instant a été formidable et qu’ils sont prêt à recommencer, mais je suis crever et je prends congé d’eux.
Ils me raccompagnent jusqu’à la porte, mais avant d’ouvrir la porte et que je sorte, Jean-Paul dit :
- Viens demain vers 22h00, nous t’attendrons dans cette chambre, j’espère que tu viendras.
Je ne réponds pas et quitte mes deux amants.
En sortant, je tente de prendre un air normal pour ne pas attirer l’attention sur moi.
Le retour à l’appartement.
La soirée a été formidable et je me suis offerte une partie de la nuit à deux hommes dans leur chambre d’hôtel et j’ai cédée à tous leurs désirs.
Je suis rentrée à l’appartement vers trois heures du matin et je rencontre le concierge qui sortant les poubelles m’a tenu la porte avec un regard malicieux en me disant :
- La soirée à du être bonne mademoiselle Leslie et j’espère que la nuit sera de même, une bonne nuit à vous.
Je pense que je devais avoir les yeux bordés de reconnaissance et une lueur de lubricité dans le regard que le concierge a remarqué.
A suivre……
Les préparatifs.
Je dois me rendre à une exposition sur la construction, le fameux salon Batimat, Michel m’a demandé m’y rendre pour voir et prendre, éventuellement, des notes éventuellement sur les sujets intéressants et les nouveaux matériaux de décoration.
Laure est partie en congés quelques jours chez une amie à Lyon et je suis seule à l’appartement.
La veille au soir, je m’accorde un bon bain chaud avec plein de mousse, cela me relaxe et m’apaise des tentions, installée dans le bain je me laisse aller et ferme les yeux pour mieux apprécier cet instant.
En me laissant aller je me mets à penser à mes dernières rencontres et au plaisir que j’en ai retiré, ce qui a pour effet de me mettre en érection.
Je m’enfonce dans mon bain pour être mettre plus à l’aise et je place une de mes jambes sur le bord de la baignoire pour m’écarter au maximum les cuisses, je prends alors mon sexe en main et commence à me branler et avec mon autre main je place un doigt sur mon petit trou et commence à pousser doucement pour le faire entrer.
J’introduis sans difficulté mon doigt dans mon cul et commence à le rentrer et sortir au rythme de mon branle sur mon membre.
Je suis très excitée et mon trou palpitant réclame, je tends le bras pour prendre mon gode d’ivoire qui ne me quitte jamais et qui se trouve dans ma trousse de toilette. Il s’agit du gode dont je vous ai parlé, qui est mon ami de solitude ou que j’utilise lors de mes relations.
Délicatement je me le suis introduis dans mon anus préparé auparavant par mon doigt. J’en rentre un peu en moi en me branlant afin de m’habituer à sa présence, puis je le pousse un peu plus en moi et arrive à entrer une partie honorable et commence quelques vas et viens.
Mon branle de mon sexe et le gode dans mon cul me remplissent de douces sensations et je ferme les yeux pour apprécier le moment sans cesser de me donner du plaisir jusqu’au moment ou un orgasme fulgurant me traversa me faisant éjaculer tandis que mon anus se contracte et se rétracte autour du gode d’ivoire.
Puis je l’ai retiré de mon fondement, lentement en le sentant glisser hors de moi, puis je me suis replongée dans mon bain. Heureuse j’ai pensée que ce salon allait être formidable.
J’ai, bien sur, passée une bonne nuit peuplée de songes érotiques forts agréables.
La visite.
Au petit matin je me lève de forte agréable humeur, une bonne douche et je m’habille avant de prendre le petit déjeuner.
Une paire de bas gris tenus par un porte-jarretelles en soie noire, un petit string assorti et un corsage en soie crème légèrement transparent sans soutien gorge afin de laisser deviner l’ombre de mes tétons au travers, puis un tailleur jupe, assez classique, de couleur grise. La jupe d’une longueur raisonnable à la hauteur des genoux est munie d’une fente sur le coté remontant jusqu’à mi-cuisses, je passe des chaussures à talons hauts pour la cambrure, un léger maquillage et un peu de parfum, un dernier regard au miroir, je suis prête.
Après le petit déjeuner, laissant la voiture au parking, je me suis rendue en taxi au salon de la porte de Versailles, et c’est vers 11h00 que je commence à déambuler dans les allées du salon.
Je parcours le salon de stand en stand m’intéressant plus particulièrement au stand présentant les nouveaux matériaux de la construction et aussi ceux qui mettent en valeur les nouvelles technologies.
C’est sur le stand d’un des plus gros distributeurs de matériaux que je vois deux hommes, bels hommes tous les deux, eux aussi d’ailleurs m’ont vue et voyant que je fais semblant de m’intéresser aux produits de leur firme ils s’approchent de moi et m’invitent, comme cela se fait dans ce genre de salon, à boire un café.
J’accepte volontiers et je me dirige vers un fauteuil confortable et avant de m’installer je lis sur le badge que porte chacun des deux hommes que l’un s’appelle Jean-Paul et l’autre Christian.
J’essaye de m’asseoir de façon à ne pas trop faire remonter ma jupe, mais les fauteuils sont profonds et je fais de mon mieux afin de ne pas laisser apparaître le haut de mes bas sous l’œil amusé de Christian qui ne se gêne pas pour mater.
Je réussis m’asseoir, mais constate que Jean-Paul placé face à moi a une vue plongeante sur mes jambes et mes cuisses.
Il fait très chaud dans le salon et j’enlève ma veste pour me retrouver face aux deux hommes avec mon chemisier transparent. Je remarque que Christian a une étincelle dans son regard en fixant ma poitrine car il peut distinguer deux ombres au niveau de mes seins au travers du corsage transparent.
Les deux hommes se mirent à me parler de leur entreprise et des produits fabriqués et proposer au catalogue, non sans me quitter des yeux et surtout en s’attardant soit sur ma poitrine, soit sur mes jambes où ils peuvent deviner le haut des mes bas et des attaches du porte-jarretelles que ma jupe en remontant commence à dévoiler.
Au bout d’un long moment prétextant de vouloir continuer ma visite des autres stands je pris congé des deux hommes et en les quittant Jean-Paul, en gardant ma main dans la sienne, dit :
Christian, je crois que cette demoiselle apprécie beaucoup notre compagnie nous pourrions l’inviter ce soir au restaurant, enfin si mademoiselle est libre.
Sans projet pour la soirée, j’ai donc acceptée de retrouver mes deux complices dans un restaurant chic de la capitale pour diner, et lorsque je suis partie ils m’ont dit :
- A ce soir et bon salon.
J’ai continuée ma visite dans ce salon, quelque peu troublée par ce qui vient de se passer et de l’invitation de ce soir et je suis rentrée assez tôt dans l’après midi à l’appartement pour me détendre et me reposée.
Puis vers 19h00, j’ai pris un bain et me suis préparée pour la soirée.
Le rendez-vous.
J’ai changée quelque peu ma tenue afin de plaire le plus possible et faire honneur à l’invitation, sexy sans être provocante et vulgaire, une paire de bas auto-fixant blancs, un string de soie blanche et un corsage blanc très transparent, toujours sans soutien gorge, et une mini jupe en cuir noire le tout complétée par un spencer de cuir noir, je passe des chaussures à talons hauts, un peu de maquillage et parfum, et me voilà prête.
Je me suis rendue au restaurant en voiture, un endroit chic près d la place Vendôme et dès mon arrivée je suis accueillie par Jean-Paul et Christian qui se montrent aimables et enjouées de ma présence.
Le diner se passe merveilleusement bien, très vite il savent que je me prénomme Leslie, que j’ai 22 ans et que je travaille dans un cabinet d’architecte dans le sud de la France, puis nous parlons de choses et d’autres sur nos métiers pour commencer puis sur la vie en générale. Au moment du désert la conversation est plus portée sur ma personne car mes deux compagnons de table s’enquiert de mes goûts et des mes passions, ce que je fais dans la vie en dehors du travail et j’arrive tant bien que mal à répondre aux questions qui se font de plus en plus précises, voir parfois intimes.
- Alors Leslie pas de petit ami, me demande Christian.
- Non, j’aime trop ma liberté et la vie pour m’attacher, dis-je.
- Libre à tous points de vue ? demande Christian.
- Oui, répondis-je, jusque dans mes choix.
A cet instant je ne sais pas trop comment me sortir de la conversation qui risque de dériver sur des questions trop personnelles, mais les deux hommes me plaisent bien et je me dis que le mieux est de me laissée aller et de voir venir, d’autant qu’ils ne cessent de regarder ma poitrine dont les bouts pointent au travers du tissu de mon corsage, finalement cela ne me dérange pas et je suis une coquine et une aventure ce soir n’est pas pour me déplaire.
C’est Jean-Paul qui reprend la conversation en disant :
- Le choix de vos amants par exemple ?
- Tout à fait, dis-je.
- Aurions nous une chance ? réplique t’il.
- Vous n’avez qu’à essayer et vous saurez.
Le décor est planté et mes répliques ont fait de l’effet et de ce fait la conversation prend aussitôt une autre tournure.
- Tous les deux ensembles ? demande Jean-Paul.
- C’est envisageable, dis-je en le regardant dans les yeux.
Aussitôt Jean-Paul me demande :
- Etes vous d’accord pour aller boire une coupe de champagne dans notre chambre d’hôtel qui est à deux pas de là, avec Christian bien-sur.
- Volontiers.
J’ai acceptée cette nouvelle invitation et nous voilà nous dirigeant vers leur hôtel, et peu de temps après nous sommes installés confortablement dans une suite d’un luxueux hôtel avec du champagne que Jean-Paul à fait monter.
J’ai enlevée mon spencer et après une coupe, Jean-Paul s’approche de moi et le laissant faire il déboutonne mon chemisier en entier dévoilant ainsi ma poitrine en émettant un petit sifflement et en disant :
- Mademoiselle a une jolie petite poitrine, qu’en penses-tu Christian.
- Superbe, réplique Christian.
La poitrine nue et sous le regard de mes deux hommes mes tétons pointent, et ce faisant Jean-Paul commence à me caresser les seins, Christian observe et portant la main sur l’un de mes tétons le prend entre ses doigt et le pince délicatement, sous la caresse j’émets un petit gémissement.
Puis Christian et Jean-Paul me lèvent en m’enlevant le chemisier qui tombe à terre, et pendant que Jean-Paul me caresse les seins, Christian défait les boutons de ma jupe qui glisse sur mes jambes et tombe à terre.
Je me retrouve presque nue dans cette chambre avec mon string déformé par mon sexe, Jean-Paul s’en aperçoit et dit :
- Christian, notre demoiselle est une transexuelle.
- Pour ma part étant bisexuel cela ne me gêne pas, réplique Christian, et en plus jolie comme elle est ce serait dommage de ne pas profiter un peu.
Cela non plus n’a pas l’air de gêner Jean-Paul qui est passé derrière moi et me fait mettre les mains sur le bord de la table de la chambre et me pencher en avant, puis il m’oblige à écarter les jambes.
Christian lui m’enlève mon string en le faisant glisser le long de mes jambes, dévoilant mon sexe bandé.
- Décidemment cette petite nous surprendra, elle est remarquable dit Jean-Paul.
- Oui, dit Christian, prenant mon sexe dans la main.
Positionnée comme je suis, j’ai les seins sur la table et la croupe bien en arrière, ils ont une vision de mon anus tout lisse.
Jean-Paul s’empare de mes fesses et les caresse, puis les écarte de façon indécente, découvrant mon anus à Christian qui s’approche et met un doigt dans le sillon de mes fesses, son doigt glisse doucement à l’intérieur et vient s’attarder sur mon anneau, une légère poussé et son doigt entre sans beaucoup de peine dans mon trou.
- La demoiselle à l’air d’être prête, dit Christian.
Jean-Paul dégrafe alors son pantalon et sort son sexe dur, et me voyant ainsi offerte il pose le gland sur mon anus et commence à enfoncer son membre dur dans mon cul.
Christian passe sous la table et s’enfourne mon sexe dans la bouche pour me sucer.
Jean-Paul entre doucement, centimètre par centimètre, je ne bouge pas et me laisse enculer, tout au plaisir qui m’envahit et me fait gémir, puis il fait des vas et viens en moi et s’arrête pour dire à Christian :
- Je pense que la demoiselle est prête à t’offrir sa bouche, c’est à son tour de te sucer.
Christian se déshabille et se positionne entre moi et la table pour me tendre son sexe tendu à sucer.
Les mains sur la table je me penche pour le prendre dans ma bouche et je me mets à le sucer, ces deux sexes tendus et durs en moi allaient et venaient au même rythme.
Christian me maintenait la tête de ses mains et m’imprime le rythme pour entrer et sortir son membre de ma bouche.
Jean-Paul me pénètre de plus en plus profondément et va de plus en plus vite dans mon anus, j’ai envie de crier mais le sexe de Christian dans ma bouche m’en empêche.
Christian, de son côté, apprécie ma bouche et gémit sous ma fellation, tandis que Jean-Paul dit :
- Quel bon coup cette petite trans, c’est une vraie petite cochonne qui adore qu’on lui prenne le petit trou.
Christian fut tellement content du sort de son sexe dans ma bouche qu’il jouit intensément au fond de ma gorge. Ma position ne me permettant pas de me reculer, je dus me contorsionner pour cracher le sperme de Christian. Les coups de reins de Jean Paul dans mon cul se font plus profond, par de amples mouvement il me pénètre et me fait gémir de plaisir, je vais jouir c’est sur car j’aime beaucoup ce qu’on me fait.
Il entre encore et encore et je ne peux retenir la jouissance qui envahit mes reins et me fait contracter mon anus sur le membre de Jean-Paul qui jouis lui au fond de mon cul.
J’adore quand un homme jouit dans mon cul, cette sensation de se sentir remplie me donne de douces sensations, je suis complètement en nage, mes deux hommes du soir viennent de jouir en moi, mon corps luit de transpiration et j’ai chaud, mais maintenant mon corps réclame encore du plaisir.
Jean Paul m’installa dans le fauteuil les pieds sur les accoudoirs, ainsi les deux complices peuvent voir mon anus entrouvert de la précédente pénétration et mon sexe bandé à mort par le plaisir.
Mes deux complices veulent voir comment une petite trans se donne seule du plaisir, alors ils me demandent de leur montrer comment je m’y prends quand je suis seule, ils veulent me voir me donner du plaisir et jouir sous leurs regards.
Après avoir récupérer mon olisbos d’ivoire qui ne quitte jamais mon sac à main, je me réinstalle dans le fauteuil comme auparavant, Jean Paul et Christian se placent chacun sur un coté et commencent à malaxer mes seins et à caresser mes tétons qui pointent de plus en plus sous la caresse et durcissent,
Après avoir pris mon sexe en main je commence à me branler, mon sexe gonfle et commence à bander, je commence à haleter, prenant l’olisbos de la main gauche je le présente à mon anus et me pénètre avec, tout en continuant mes vas et viens sur mon sexe de plus en plus rapidement.
Jean Paul et Christian devant le spectacle que j’offre se mettent à bander à nouveau, et prenant leur sexe en main se branlent au dessus de moi, sous les assauts de mon gode et de ma main je ne tarde pas à sentir la jouissance monter en moi, je vais bientôt jouir.
Les deux hommes redoublent de vigueur en se branlant de concert et quand je jouis avec un long soupir, je reçois la jouissance de mes deux partenaires sur la poitrine.
Après avoir pris une douche, ils me dirent que l’instant a été formidable et qu’ils sont prêt à recommencer, mais je suis crever et je prends congé d’eux.
Ils me raccompagnent jusqu’à la porte, mais avant d’ouvrir la porte et que je sorte, Jean-Paul dit :
- Viens demain vers 22h00, nous t’attendrons dans cette chambre, j’espère que tu viendras.
Je ne réponds pas et quitte mes deux amants.
En sortant, je tente de prendre un air normal pour ne pas attirer l’attention sur moi.
Le retour à l’appartement.
La soirée a été formidable et je me suis offerte une partie de la nuit à deux hommes dans leur chambre d’hôtel et j’ai cédée à tous leurs désirs.
Je suis rentrée à l’appartement vers trois heures du matin et je rencontre le concierge qui sortant les poubelles m’a tenu la porte avec un regard malicieux en me disant :
- La soirée à du être bonne mademoiselle Leslie et j’espère que la nuit sera de même, une bonne nuit à vous.
Je pense que je devais avoir les yeux bordés de reconnaissance et une lueur de lubricité dans le regard que le concierge a remarqué.
A suivre……
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