Titre de l'histoire érotique : Ode à la fesse
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ode à la fesse
Depuis plus d'une semaine, la télévision nous retransmet les images des championnats d'Europe d'athlétisme. Je regarde principalement les courses féminines. Leurs fesses musclées et cambrées à souhait excitent mes sens. Je les imagine fermes, douces sous mes mains qui les caressent. J'ai la chance d'en connaître une, qui est au fait de mes goûts en matière de sexe.
Si je donne régulièrement les miennes à des hommes, je préfère regarder, caresser et posséder celles des femmes. Voir une culotte descendre lentement des cuisses d'une femme, dévoilant le spectacle inouï d'une paire de fesses fermes et galbées, cambrées et musclées, me met dans un état second. C'est une des raisons qui font que j'adore les stripteases.
Même les BD, me mettent en transes. Les fesses de Druuna, l'héroïne de Serpieri, me poussent aux fantasmes les plus fous. J'imagine, ma queue plantée en elles. Alors, ma main glisse entre mes cuisses et sort ma pine de son slip. Oui, j'avoue, les belles fesses me font bander. Surtout celles des femmes. Pourtant, quelquefois, celles de certains hommes me font aussi rêver. Les tennismen, les coureurs à pied, enfin, tous ceux qui sont habillés près du corps. Ah, les maillots des athlètes, ou des nageurs !
J'imagine ma pine, se frayant un passage au milieu des globes, petits et ronds,(mes préférés), cherchant le petit trou par lequel elle s'enfoncera dans le réceptacle divin. Plus elles sont serrées et hermétiques, plus le plaisir est grand. Quand je dois pousser de toutes mes forces pour pénétrer enfin dans le temple du plaisir, et y déposer le produit de ma jouissance, je jouis une seconde fois.
Ma copine, connaissant mes goûts, fait de l'enlèvement de sa culotte, un instant mémorable. Quand elle me rend visite, elle ne met jamais de string. Je déteste ça. Ils me privent du spectacle de la découverte de l'objet de ma passion, les belles fesses. Elle revêt un de ses shorts moulants qui dessine parfaitement leurs galbes, et met pratiquement une demi-heure pour l'enlever. Elle adore me voir me branler en la regardant dénuder son postérieur. Elle se relève, pose son cul sur mon visage pour que je le lèche. Au bord de l'éjaculation, je la plaque au sol. Elle écarte ses fesses, et , je pose ma bite, qu'elle a pris soin de lubrifier avec sa salive. Lentement, le gland s'introduit dans le petit passage. Ma copine a l'air d'apprécier, parce qu'à ce moment, elle se relève sur ses genoux et s'empale lentement sur mon engin. Quand ses fesses viennent se coller au creux de mes cuisses, je saisis ses hanches, et commence le pilonnage. Ma queue va et vient entre ses fesses fabuleuses. Au moment de l'éjaculation, je donne un dernier coup de reins, le plus violent possible, pour me, et lui prouver que je la possède. Le sperme qui coule alors entre ses fesses, lui arrache un râle de plaisir. Une chose qu'elle m'a apprise, aussi. Quand j'ai joui dans son cul, elle aime que je ressorte ma queue, toute trempée de sperme, et que je la glisse sur sa raie, entre ses fesses que je resserre, avec mes mains. Par mouvement de mes reins, je fais glisser ma pine entre ses fesses et ça lui donne du plaisir.
Quand je vois les gros membres des personnages de Serpièri, s'enfoncer entre les fesses de Druuna, je ne peux m'empêcher de me masturber. Quelquefois, je m'imagine à sa place, et j'enfonce un gode, entre les miennes.
Depuis longtemps déjà, les filles qui ont vu les miennes s'extasient. Il y en a une qui m'a dit :
- T'as un joli mignon, en me caressant le cul. Un jour je me le ferai !
Puis, ce jour est arrivé.
- J'ai une surprise, me dit-elle, en me montrant son engin en plastique. Vu le nombre de fois où tu m'as enculée, tu peux bien me donner ton cul, au moins une fois ?
Ne connaissant pas sa réaction, je n'ai pas voulu lui dire que des tas d'hommes, amateurs, l'avaient précédée. Elle a voulu singer un homme. Elle s'est présentée, debout, revêtue d'une ceinture gode. Elle a pris le sexe factice dans sa main, et l'a présenté à mes lèvres. Elles se sont écartées et le gland de plastique, s'est posé sur ma langue. Mes lèvres se sont refermées sur l'engin. Elle a alors posé ses mains sur ma tête, et a animé ses reins. Le gode glissait entre mes lèvres, les mains de la fille imprimant le rythme. Quand elle a jugé que le jeu avait assez duré, elle a ressorti l'engin de ma bouche. Toujours à genoux, je me suis retourné et lui ai présenté mon cul. Elle a écarté mes fesses avec l'ersatz de pine, l'a posé sur mon anus, et l'a enfoncé dans mon cul. Comme je l'aurais fait, elle a fait aller et venir la copie de braquemart et quand elle a jugé que le moment était venu, elle l'a enfoncé d'un seul coup, et a poussé un cri, comme quand c'est moi qui l'encule et y prend du plaisir. Elle a recommencé plusieurs fois, constatant que j'y prenais plaisir, moi aussi.
J'ai essayé de comparer le plaisir de donner mes fesses, à celui de prendre celles des autres. je préfère donner les miennes aux hommes, et prendre celles des femmes. Pourtant, rien ne remplace le plaisir visuel. Voir des belles fesses, c'est le pied. Bien plus que de les posséder.
On appelle ça, être contemplatif ?
Si je donne régulièrement les miennes à des hommes, je préfère regarder, caresser et posséder celles des femmes. Voir une culotte descendre lentement des cuisses d'une femme, dévoilant le spectacle inouï d'une paire de fesses fermes et galbées, cambrées et musclées, me met dans un état second. C'est une des raisons qui font que j'adore les stripteases.
Même les BD, me mettent en transes. Les fesses de Druuna, l'héroïne de Serpieri, me poussent aux fantasmes les plus fous. J'imagine, ma queue plantée en elles. Alors, ma main glisse entre mes cuisses et sort ma pine de son slip. Oui, j'avoue, les belles fesses me font bander. Surtout celles des femmes. Pourtant, quelquefois, celles de certains hommes me font aussi rêver. Les tennismen, les coureurs à pied, enfin, tous ceux qui sont habillés près du corps. Ah, les maillots des athlètes, ou des nageurs !
J'imagine ma pine, se frayant un passage au milieu des globes, petits et ronds,(mes préférés), cherchant le petit trou par lequel elle s'enfoncera dans le réceptacle divin. Plus elles sont serrées et hermétiques, plus le plaisir est grand. Quand je dois pousser de toutes mes forces pour pénétrer enfin dans le temple du plaisir, et y déposer le produit de ma jouissance, je jouis une seconde fois.
Ma copine, connaissant mes goûts, fait de l'enlèvement de sa culotte, un instant mémorable. Quand elle me rend visite, elle ne met jamais de string. Je déteste ça. Ils me privent du spectacle de la découverte de l'objet de ma passion, les belles fesses. Elle revêt un de ses shorts moulants qui dessine parfaitement leurs galbes, et met pratiquement une demi-heure pour l'enlever. Elle adore me voir me branler en la regardant dénuder son postérieur. Elle se relève, pose son cul sur mon visage pour que je le lèche. Au bord de l'éjaculation, je la plaque au sol. Elle écarte ses fesses, et , je pose ma bite, qu'elle a pris soin de lubrifier avec sa salive. Lentement, le gland s'introduit dans le petit passage. Ma copine a l'air d'apprécier, parce qu'à ce moment, elle se relève sur ses genoux et s'empale lentement sur mon engin. Quand ses fesses viennent se coller au creux de mes cuisses, je saisis ses hanches, et commence le pilonnage. Ma queue va et vient entre ses fesses fabuleuses. Au moment de l'éjaculation, je donne un dernier coup de reins, le plus violent possible, pour me, et lui prouver que je la possède. Le sperme qui coule alors entre ses fesses, lui arrache un râle de plaisir. Une chose qu'elle m'a apprise, aussi. Quand j'ai joui dans son cul, elle aime que je ressorte ma queue, toute trempée de sperme, et que je la glisse sur sa raie, entre ses fesses que je resserre, avec mes mains. Par mouvement de mes reins, je fais glisser ma pine entre ses fesses et ça lui donne du plaisir.
Quand je vois les gros membres des personnages de Serpièri, s'enfoncer entre les fesses de Druuna, je ne peux m'empêcher de me masturber. Quelquefois, je m'imagine à sa place, et j'enfonce un gode, entre les miennes.
Depuis longtemps déjà, les filles qui ont vu les miennes s'extasient. Il y en a une qui m'a dit :
- T'as un joli mignon, en me caressant le cul. Un jour je me le ferai !
Puis, ce jour est arrivé.
- J'ai une surprise, me dit-elle, en me montrant son engin en plastique. Vu le nombre de fois où tu m'as enculée, tu peux bien me donner ton cul, au moins une fois ?
Ne connaissant pas sa réaction, je n'ai pas voulu lui dire que des tas d'hommes, amateurs, l'avaient précédée. Elle a voulu singer un homme. Elle s'est présentée, debout, revêtue d'une ceinture gode. Elle a pris le sexe factice dans sa main, et l'a présenté à mes lèvres. Elles se sont écartées et le gland de plastique, s'est posé sur ma langue. Mes lèvres se sont refermées sur l'engin. Elle a alors posé ses mains sur ma tête, et a animé ses reins. Le gode glissait entre mes lèvres, les mains de la fille imprimant le rythme. Quand elle a jugé que le jeu avait assez duré, elle a ressorti l'engin de ma bouche. Toujours à genoux, je me suis retourné et lui ai présenté mon cul. Elle a écarté mes fesses avec l'ersatz de pine, l'a posé sur mon anus, et l'a enfoncé dans mon cul. Comme je l'aurais fait, elle a fait aller et venir la copie de braquemart et quand elle a jugé que le moment était venu, elle l'a enfoncé d'un seul coup, et a poussé un cri, comme quand c'est moi qui l'encule et y prend du plaisir. Elle a recommencé plusieurs fois, constatant que j'y prenais plaisir, moi aussi.
J'ai essayé de comparer le plaisir de donner mes fesses, à celui de prendre celles des autres. je préfère donner les miennes aux hommes, et prendre celles des femmes. Pourtant, rien ne remplace le plaisir visuel. Voir des belles fesses, c'est le pied. Bien plus que de les posséder.
On appelle ça, être contemplatif ?
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