Titre de l'histoire érotique : Partie de cul, nu, sur une plage des Antilles
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Partie de cul, nu, sur une plage des Antilles
Lors d'un voyage en Guadeloupe, nous avons appris l'existence d'une plage nudiste. Je suis un matinal. Un seul de mes copains était éveillé. Comme tous les autres dormaient, on a décidé de s'y rendre, seulement lui et moi. Arrivés sur la plage, mon copain s'est déshabillé, mais a gardé son maillot de bain. Trop timide !
Moi, je faisais le fier. Malgré que je n'en menais pas large, j'ai retiré le mien. Au repos, mon sexe est tout petit, et ça me donne des complexes. Je suis alors entré dans l'eau, j'ai enlevé mon maillot et suis ressorti à poil.
Pas de réaction suspecte. Je suis allé m'allonger à côté de mon copain. Lui, toujours gêné, a préféré retourner à l'hôtel. Au bout du compte, je me suis retrouvé seul, allongé sur le ventre, les fesses offertes au soleil.
Ca n'a pas duré longtemps. Quelqu'un est venu s'allonger près de moi. J'ai senti un chatouillement sur ma bouche qui m'a réveillé. Quand j'ai ouvert les yeux, il y avait un gros sexe qui essayait de se frayer un passage entre mes lèvres. Instinctivement, ma langue s'est dirigée vers la petite fente du gland de l'intrus. Profitant de l'ouverture, le sexe a glissé sur ma langue et s'est dirigé vers ma gorge. Les couilles de l'individu sont venues s'écraser sur mon menton. Alors, j'ai soulevé ma tête, et j'ai examiné mon buccal occupant.
Putain, qu'il était beau ! Je me suis mis en mouvement, mes lèvres glissant de haut en bas et de bas en haut le long du membre enduit de ma salive.
- T'as un beau cul...Susurra l'apollon au creux de mon oreille.
- Prouve- le ! Lâchai-je.
- Ici ?
- Ca te pose un problème ?
Il se releva, sur les genoux et les écarta, autour de ma taille. Il écarta mes fesses et lâcha un filet de bave dans ma raie. Il empoigna son sceptre, et posa le gland sur mon petit trou. Je remontai mes genoux pour écarter encore plus les globes fessiers. Un coup de reins bien dosé, et sa queue pénêtra dans mon cul. Il posa ses mains sur mes hanches et commença à s'activer. Son sexe était relativement épais. D'habitude, ceux que je prenais dans le cul, glissaient facilement, sans problème. Celui-là, je le sentais coulisser dans mon anus. Le gars posa alors, sur le sable, un petit miroir. Je pouvais me voir, embroché par la bite. Ce qui m'excitait le plus, c'était la grosse queue noire qui pourfendait un joli petit cul blanc étroit et bombé. L'Antillais, saisi ma bite, sous mon ventre, et entreprit de me branler. A mesure que ma bite durcissait, son mouvement de va-et-vient dans mon cul s'accélérait. Quand il arriva au seuil de la jouissance, il se releva sur ses genoux, me saisit par les hanches, et donna de violents coups de boutoir. Le choc de ses hanches contre mes fesses, était suffisamment sonore pour attirer l'attention des autres baigneurs. Plusieurs regardaient dans notre direction. Quand ils se sont aperçus que j'étais consentant, certains sont venus fourrer leurs queues dans ma bouche. Ca s'est terminé en fanfare. Quelques beaux mâles se sont approchés, et une bonne dizaine d'entre eux se sont branlés sur mon dos. Une douche de sperme s'est abattue sur ma peau. Ce n'était pas un problème, il y avait la mer à côté. Et, comme le dit Renaud, pourquoi pas moi, puisque les poissons baisent dedans !
Moi, je faisais le fier. Malgré que je n'en menais pas large, j'ai retiré le mien. Au repos, mon sexe est tout petit, et ça me donne des complexes. Je suis alors entré dans l'eau, j'ai enlevé mon maillot et suis ressorti à poil.
Pas de réaction suspecte. Je suis allé m'allonger à côté de mon copain. Lui, toujours gêné, a préféré retourner à l'hôtel. Au bout du compte, je me suis retrouvé seul, allongé sur le ventre, les fesses offertes au soleil.
Ca n'a pas duré longtemps. Quelqu'un est venu s'allonger près de moi. J'ai senti un chatouillement sur ma bouche qui m'a réveillé. Quand j'ai ouvert les yeux, il y avait un gros sexe qui essayait de se frayer un passage entre mes lèvres. Instinctivement, ma langue s'est dirigée vers la petite fente du gland de l'intrus. Profitant de l'ouverture, le sexe a glissé sur ma langue et s'est dirigé vers ma gorge. Les couilles de l'individu sont venues s'écraser sur mon menton. Alors, j'ai soulevé ma tête, et j'ai examiné mon buccal occupant.
Putain, qu'il était beau ! Je me suis mis en mouvement, mes lèvres glissant de haut en bas et de bas en haut le long du membre enduit de ma salive.
- T'as un beau cul...Susurra l'apollon au creux de mon oreille.
- Prouve- le ! Lâchai-je.
- Ici ?
- Ca te pose un problème ?
Il se releva, sur les genoux et les écarta, autour de ma taille. Il écarta mes fesses et lâcha un filet de bave dans ma raie. Il empoigna son sceptre, et posa le gland sur mon petit trou. Je remontai mes genoux pour écarter encore plus les globes fessiers. Un coup de reins bien dosé, et sa queue pénêtra dans mon cul. Il posa ses mains sur mes hanches et commença à s'activer. Son sexe était relativement épais. D'habitude, ceux que je prenais dans le cul, glissaient facilement, sans problème. Celui-là, je le sentais coulisser dans mon anus. Le gars posa alors, sur le sable, un petit miroir. Je pouvais me voir, embroché par la bite. Ce qui m'excitait le plus, c'était la grosse queue noire qui pourfendait un joli petit cul blanc étroit et bombé. L'Antillais, saisi ma bite, sous mon ventre, et entreprit de me branler. A mesure que ma bite durcissait, son mouvement de va-et-vient dans mon cul s'accélérait. Quand il arriva au seuil de la jouissance, il se releva sur ses genoux, me saisit par les hanches, et donna de violents coups de boutoir. Le choc de ses hanches contre mes fesses, était suffisamment sonore pour attirer l'attention des autres baigneurs. Plusieurs regardaient dans notre direction. Quand ils se sont aperçus que j'étais consentant, certains sont venus fourrer leurs queues dans ma bouche. Ca s'est terminé en fanfare. Quelques beaux mâles se sont approchés, et une bonne dizaine d'entre eux se sont branlés sur mon dos. Une douche de sperme s'est abattue sur ma peau. Ce n'était pas un problème, il y avait la mer à côté. Et, comme le dit Renaud, pourquoi pas moi, puisque les poissons baisent dedans !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas mal mais manque de précision..je suis souvent aux Antilles ...elle St ou ta plage ?,