Titre de l'histoire érotique : Quand ça me prend…
Récit érotique écrit par Mondoi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Quand ça me prend…
Comment définir cette envie qui me prend parfois alors que je pense être un hétéro convaincu, moi qui ayant goutté à des plaisirs entre homme sans y trouver de quoi me convaincre que j'aime les deux, fellation par un directeur bisexuel dans une salle d'archives, sodomie d'un collègue gay dans une cave à vin pendant une saison en hostellerie, je n'ai jamais été attiré par cette dualité et pourtant, j'aime le plaisir anal avec les femmes, donné ou reçu d'elles, la feuille de rose, le doigt visiteur dans l'œillet pendant les caresses buccales, les femmes qui savent vous présenter leurs jouets de solitude et vous en mettre un dans l'anus, j'aime les sodomiser et une croupe en levrette de femme et d'homme peuvent se ressembler, mais non, j'aime les femmes…
Pourtant, j'ai commencé jeune à me tripoter le rondelle, je me souviens de l'émotion ressentie lors du premier glissement savonneux d'un doigt sous le douche pendant la toilette intime, je n'avais pas pris le gant de toilette ce jour là pour me laver les fesses, inconsciemment, ou peut-être sans me l'avouer, par envie de ressentir quelque plaisir à me toucher la corolle plissée, j'avais eu honte aussi, honte de me pencher un peu en avant et de pousser sur mon sphincter pour faciliter l'introduction de mon index, mon esprit rejetais fortement l'idée que je sois homosexuel et en même temps mon anus réclamait l'attouchement, accompagné de caresses sur ma verge par mon autre main, j'en avais eu une érection puis une éjaculation quand j'avais bougé le doigt dans mes fesses...
J'avais été bouleversé par la découverte de ce plaisir interdit, c'était donc cela que ressentaient les hommes qui avaient des relations sexuelles avec des hommes, du plaisir par l'anus, je connaissais les mots insultants utilisés pour les stigmatiser, " Pd… Enculés…Tapettes…etc.…" et j'avais honte d'avoir aimé mon doigt dans mon cul, mais au bout de quelques jours ma honte disparaissait et l'envie de me toucher la rosette me reprenait et pas seulement sous la douche, au lit aussi le soir, un crayon enduit de salive en bouquinant, avant le doigt et la branlette , d'ailleurs, j'essayais mon majeur puis en vins à me rentrer le pouce, plus volumineux, ce qui m'amena à rechercher des objets ergonomiquement acceptables par mon sphincter, la bougie ménagère fut un vrai plaisir…
C'est ainsi que j'avançais dans ma sexualité, cachant ce que je pensais être une perversité ou une déviation à mes petites amies qui ne me touchaient jamais cet endroit, il faut dire que moi non plus n'osais pas toucher le leur, après ma première fois et les suivantes, j'en étais toujours au même stade(anal), apprendre à faire plaisir aux filles sans leur révéler mon secret et en prenant de l'âge, à goutter à différents objets et légumes pour me satisfaire, manche de brosse à cheveux ou de balai, cierge ou carotte nouvelle, j'alternais plaisirs avec les filles et plaisirs avec moi-même, ce n'est pas non plus la première sodomie avec une petite amie qui me poussa à en parler, c'est plus tard, beaucoup plus tard, à l'époque, j'avais déjà sculpté mon premier gode en bois…
J'en étais à simuler des bronchites et quinte de toux pour envoyer mes copines m'acheter des suppos dans l'espoir qu'une accepte de m'en mettre un sous le prétexte que je n'y arrivais pas seul, peu furent dupes mais deux acceptèrent de jouer à l'infirmière, dont une qui me fit comprendre qu'elle avait comprit en me disant: - Ah t'es comme ça toi…?! cela sentait le sous entendu, les années 70, malgré la libération sexuelle, ne favorisaient pas encore l'idée du massage prostatique, mais je m'en foutais, j'avais eu le droit à son doigt dans les fesses, et de plus, elle revint le lendemain proposer ses soins, c'est à cette époque que je rencontrais Martine, mon initiatrice de l'anal dont je parle ici sur le site, avec elle, tout allait changer pour moi et mon petit trou…
C'est elle qui fut la première à me doigter sans subterfuges de ma part, elle le faisait naturellement et trouvait normal que j'aime cela, elle aussi était sodomite et de son expérience me fit profiter car je manquais de respect dans mes pratiques, allant un peu comme un cheval fou dans le derrière des dames, elle m'imposa le lavement pour que je soit propre lors des ses doigtages et pénétration avec vibro et gode, elle me faisait les miens, je lui faisais les siens, le doute sur ma possible bisexualité disparaissait, preuve en fût le jour où elle me proposa une partie avec un autre couple, elle me fit miroiter une possible relation lesbienne avec la dame devant moi, à condition que je fasse plaisir au mari avec la bouche et avec mes fesses, je refusais tout net et cela mit fin à nos jeux…
Ce n'est que des années plus tard que l'envie de m'en prendre une vraie dans l'anus m'a turlupinée au point de chercher et trouver un gars pour me dépuceler complètement, je dis "complètement" car j'en étais arrivé aux courgettes et que je me disais, pourquoi essayer une vraie verge au point où j'en suis, le premier gars qui est venu pour me le faire en avait une trop grosse et ça ne rentrait pas, faut dire qu'elle me faisait peur et que je craignais me faire déchirer, par contre le deuxième gars en avait une moyenne et c'est bien passé, il m'a besogné doucement puis plus vite et a prit son pied rapidement, j'ai eu un instant la sensation d'être un morceau de viande, un cul à bite, mais bon, j'ai déchargé aussi en me branlant pendant qu'il me faisait le cul…
Et donc voilà, la raison du titre de cette histoire " Quand ça me prend", il est lié intimement à la pulsion incontrôlée que je ressens après de longues périodes d'abstinence anale, l'envie de m'en prendre une dans l'anus, c'est ainsi que dans ces moments là, je suis dispo momentanément pour une vraie sodomie et que je fais ce qu'il faut pour trouver un bénévole de l'enculade, pas forcément homo et surtout pas dominateur, juste un gars qui ne l'a pas fait depuis longtemps ou jamais, avec une queue et pas un manche de pioche, peu importe son âge, encore que… faut un truc bien raide et rapide à vider, j'aime bien la façon livraison à domicile, le gars sonne, il entre, je baisse mon pantalon et lui présente la vaseline et mes fesses, il entre une deuxième fois…
Pas de papouilles, pas de câlins, je peux éventuellement le branler ou le sucer un peu s'il ne bande pas de suite mais je ne suis pas là pour être gentil, je veux juste me faire ramoner et prendre mon plaisir anal et prostatique, surtout que de nos jours, c'est avec capote que ça ce fait, on a plus le plaisir de se faire arroser le conduit rectal, après, il se casse, je ne cherche pas un amant, j'ai ma femme pour ça, ma main et nos jouets, je dois dire que cela ne ce fait pas tous les mois mais suffisamment pour me laisser un souvenir, parfois je laisse ma caméra allumée pour filmer la scène que je montre à mon épouse après, il m'est arrivé aussi de la laisser regarder, cachée discrètement derrière une porte, elle aime ça, elle se masturbe après le départ du gars ou je lui broute la foune…
FIN…
Pourtant, j'ai commencé jeune à me tripoter le rondelle, je me souviens de l'émotion ressentie lors du premier glissement savonneux d'un doigt sous le douche pendant la toilette intime, je n'avais pas pris le gant de toilette ce jour là pour me laver les fesses, inconsciemment, ou peut-être sans me l'avouer, par envie de ressentir quelque plaisir à me toucher la corolle plissée, j'avais eu honte aussi, honte de me pencher un peu en avant et de pousser sur mon sphincter pour faciliter l'introduction de mon index, mon esprit rejetais fortement l'idée que je sois homosexuel et en même temps mon anus réclamait l'attouchement, accompagné de caresses sur ma verge par mon autre main, j'en avais eu une érection puis une éjaculation quand j'avais bougé le doigt dans mes fesses...
J'avais été bouleversé par la découverte de ce plaisir interdit, c'était donc cela que ressentaient les hommes qui avaient des relations sexuelles avec des hommes, du plaisir par l'anus, je connaissais les mots insultants utilisés pour les stigmatiser, " Pd… Enculés…Tapettes…etc.…" et j'avais honte d'avoir aimé mon doigt dans mon cul, mais au bout de quelques jours ma honte disparaissait et l'envie de me toucher la rosette me reprenait et pas seulement sous la douche, au lit aussi le soir, un crayon enduit de salive en bouquinant, avant le doigt et la branlette , d'ailleurs, j'essayais mon majeur puis en vins à me rentrer le pouce, plus volumineux, ce qui m'amena à rechercher des objets ergonomiquement acceptables par mon sphincter, la bougie ménagère fut un vrai plaisir…
C'est ainsi que j'avançais dans ma sexualité, cachant ce que je pensais être une perversité ou une déviation à mes petites amies qui ne me touchaient jamais cet endroit, il faut dire que moi non plus n'osais pas toucher le leur, après ma première fois et les suivantes, j'en étais toujours au même stade(anal), apprendre à faire plaisir aux filles sans leur révéler mon secret et en prenant de l'âge, à goutter à différents objets et légumes pour me satisfaire, manche de brosse à cheveux ou de balai, cierge ou carotte nouvelle, j'alternais plaisirs avec les filles et plaisirs avec moi-même, ce n'est pas non plus la première sodomie avec une petite amie qui me poussa à en parler, c'est plus tard, beaucoup plus tard, à l'époque, j'avais déjà sculpté mon premier gode en bois…
J'en étais à simuler des bronchites et quinte de toux pour envoyer mes copines m'acheter des suppos dans l'espoir qu'une accepte de m'en mettre un sous le prétexte que je n'y arrivais pas seul, peu furent dupes mais deux acceptèrent de jouer à l'infirmière, dont une qui me fit comprendre qu'elle avait comprit en me disant: - Ah t'es comme ça toi…?! cela sentait le sous entendu, les années 70, malgré la libération sexuelle, ne favorisaient pas encore l'idée du massage prostatique, mais je m'en foutais, j'avais eu le droit à son doigt dans les fesses, et de plus, elle revint le lendemain proposer ses soins, c'est à cette époque que je rencontrais Martine, mon initiatrice de l'anal dont je parle ici sur le site, avec elle, tout allait changer pour moi et mon petit trou…
C'est elle qui fut la première à me doigter sans subterfuges de ma part, elle le faisait naturellement et trouvait normal que j'aime cela, elle aussi était sodomite et de son expérience me fit profiter car je manquais de respect dans mes pratiques, allant un peu comme un cheval fou dans le derrière des dames, elle m'imposa le lavement pour que je soit propre lors des ses doigtages et pénétration avec vibro et gode, elle me faisait les miens, je lui faisais les siens, le doute sur ma possible bisexualité disparaissait, preuve en fût le jour où elle me proposa une partie avec un autre couple, elle me fit miroiter une possible relation lesbienne avec la dame devant moi, à condition que je fasse plaisir au mari avec la bouche et avec mes fesses, je refusais tout net et cela mit fin à nos jeux…
Ce n'est que des années plus tard que l'envie de m'en prendre une vraie dans l'anus m'a turlupinée au point de chercher et trouver un gars pour me dépuceler complètement, je dis "complètement" car j'en étais arrivé aux courgettes et que je me disais, pourquoi essayer une vraie verge au point où j'en suis, le premier gars qui est venu pour me le faire en avait une trop grosse et ça ne rentrait pas, faut dire qu'elle me faisait peur et que je craignais me faire déchirer, par contre le deuxième gars en avait une moyenne et c'est bien passé, il m'a besogné doucement puis plus vite et a prit son pied rapidement, j'ai eu un instant la sensation d'être un morceau de viande, un cul à bite, mais bon, j'ai déchargé aussi en me branlant pendant qu'il me faisait le cul…
Et donc voilà, la raison du titre de cette histoire " Quand ça me prend", il est lié intimement à la pulsion incontrôlée que je ressens après de longues périodes d'abstinence anale, l'envie de m'en prendre une dans l'anus, c'est ainsi que dans ces moments là, je suis dispo momentanément pour une vraie sodomie et que je fais ce qu'il faut pour trouver un bénévole de l'enculade, pas forcément homo et surtout pas dominateur, juste un gars qui ne l'a pas fait depuis longtemps ou jamais, avec une queue et pas un manche de pioche, peu importe son âge, encore que… faut un truc bien raide et rapide à vider, j'aime bien la façon livraison à domicile, le gars sonne, il entre, je baisse mon pantalon et lui présente la vaseline et mes fesses, il entre une deuxième fois…
Pas de papouilles, pas de câlins, je peux éventuellement le branler ou le sucer un peu s'il ne bande pas de suite mais je ne suis pas là pour être gentil, je veux juste me faire ramoner et prendre mon plaisir anal et prostatique, surtout que de nos jours, c'est avec capote que ça ce fait, on a plus le plaisir de se faire arroser le conduit rectal, après, il se casse, je ne cherche pas un amant, j'ai ma femme pour ça, ma main et nos jouets, je dois dire que cela ne ce fait pas tous les mois mais suffisamment pour me laisser un souvenir, parfois je laisse ma caméra allumée pour filmer la scène que je montre à mon épouse après, il m'est arrivé aussi de la laisser regarder, cachée discrètement derrière une porte, elle aime ça, elle se masturbe après le départ du gars ou je lui broute la foune…
FIN…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très intéressant tout ce que tu écris me parle beaucoup.
Et je ne suis toujours pas passer à l'acte avec un mec
Et je ne suis toujours pas passer à l'acte avec un mec
Pourquoi être systématiquement catalogué ? Prends ton plaisir et ta vie n'en seras que meilleure. Ras-le-bol de tous ces tartuffes !