Titre de l'histoire érotique : Rencontre au fastfood
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Rencontre au fastfood
Comme assez régulièrement, je faisais la queue au McDonald’s du centre commercial La Part Dieu à Lyon. J’y prends assez fréquemment mes repas du midi, une à deux fois par semaine. En cette période de solde, il y avait affluence et nous étions serrés les uns contre les autres dans la file. J’attendais mon tour en consultant mes messages lorsque je sentis ce qui ne pouvait être qu’une main passer sur mes fesses. Cette caresse, rendue d’autant plus agréable que j’étais épilé du week-end et que je portais un string sous mon pantalon de costume, m’a immédiatement électrisé. Ne doutant pas qu’il s’agissait d’un geste involontaire, j’ai commencé à fantasmer. C’est alors que la caresse c’est reproduite, plus prononcée cette fois. Je n’ai pas bougé, je pense même avoir cessé de respirer le temps que la main baladeuse passe d’une fesse à l’autre. Lorsqu’elle est revenue, j’ai eu un petit geste vers elle, pour lui montrer que j’étais consentant. Elle m’alors doucement caressé du plat, m’enserrant parfois chaque fesse. Elle s’est immiscée sous ma veste et seul le tissu de mon pantalon me séparait de sa peau que je sentais chaude. Lorsqu’elle a senti le haut de mon string, elle s’est immobilisée quelques secondes puis du bout des doigts elle a suivi la ficelle, passant entre mes fesses, les faisant trembler de plaisir. N’y pouvant plus j’ai tourné la tête.
Derrière moi se tenait un bel homme, en costume, un peu plus grand que moi de quelques centimètres. Je lui donnais 45 ans et lorsque nos regards se sont croisés il m’a fait un grand sourire, un peu lubrique peut être. Je lui ai rendu son sourire et me suis retourné, m’abandonnant à ses délicieuses caresses. Quelques instants plus tard, je l’ai senti se pencher vers moi il me susurra : « Tu ne voudrais pas que nous allions ailleurs ? Tu veux visiter mon bureau ? ». Lorsqu’il s’est décollé de moi et qu’il a commencé à s’éloigner, sans attendre ma réponse, je l’ai suivi. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans son bureau, à quelques pas du centre commercial. A peine la porte était fermée sur nous qu’il se penchait vers moi et m’embrassait. Le contact de ses lèvres sur les même était électrisant et lorsqu’il écarta les lèvres et que je sentis sa langue contre les miennes, j’ouvris les miennes pour la recevoir. Ce fut alors un baiser passionné où nos lèvres et nos langues n’avaient de cesse que de jouer à celles qui donnera le plus de plaisir. Finalement, sa langue c’est profondément enfoncée dans ma bouche et ses lèvres se sont collées aux miennes. Nos langues ont retrouvé un rythme plus sensuel tandis que je sentais ses mains se poser sur le bas de mon dos et m’attirer à lui. J’ai tout de suite senti son sexe tendu contre le mien ce qu’un léger déhancher n’a fait que renforcer.
Toujours sa langue dans la mienne, ses lèvres contre les miennes, j’ai senti ses mains descendre et c’est à deux qu’elles ont repris ce qu’une avait entamée au McDo. J’ondulais sous le plaisir qu’il me procurait. Je fis tomber ma veste puis la sienne. Je me décollais un peu pour lui caresser le torse, ouvrant sa chemise bouton par bouton. Arrivé au pantalon, je dégrafais sa ceinture, défaisant son bouton et descendais la fermeture éclair. Son pantalon tomba au sol, dévoilant un caleçon qui ne pouvait contenir un sexe tendu qui, du bout des doigts, me semblait d’une taille plus qu’honorable. Je m’arrachais alors à ces lèvres et entrepris de descendre m’assurer de ce que mes doigts avaient sentis. Je descendais doucement, le caressant du bout de la langue, m’attardant sur ces tétons tendus, sur ses abdominaux biens formés, son nombril. J’attrapais les bords de son caleçon et le descendais doucement entrainant son sexe avec lui. Il remontât sèchement lorsqu’il fut libéré de l’élastique et je pus admirer un beau sexe de 20 bons centimètres pour facilement 5 de diamètre. Je relevais les yeux, il me regardait avec un sourire satisfait tandis que je commençais à le caresser. Ses toujours en le regardant dans les yeux que j’ai approché mes lèvres de son gland et que j’ai commencé à l’avaler. Son sourire s’est alors figé et ses yeux se sont fermés tandis qu’il laissait échapper un soupir.
J’ai alors entrepris une lente fellation, faisant coulisser son membre dans ma bouche, salivant pour lui donner plus de glissant. Allant et venant lentement, m’arrêtant sur son gland, le gardant au chaud dans ma bouche tandis que ma langue le massait. Je le sortais de ma bouche, le léchant sur toute sa longueur, remontant, titillant le haut de son gland tandis que mes mains le masturbaient. Finalement j’ai entrepris des mouvements plus vifs qui ont été interrompus pas ses mains qui, me prenant la tête m’ont guidées vers ses lèvres. « Arrête, je ne veux pas jouir trop vite » me dit-il en commençant à me déshabiller à mon tour. Lorsque je me retrouvais en string, ces mains se sont précipitées sur mes fesses que plus rien ne protégeait de ses caresses tout en me disant « Tu as un cul magnifique, je n’ai pas pu résister ».
Sur ce, il me retourne et il se colle à moi, je sens son sexe venir entre mes fesses au creux desquelles il entreprend un lent va et vient. Je le sens frôler ma rondelle tout juste protéger par la ficelle de mon string. Doucement il me penche vers l’avant et je prends appuis sur son bureau. Ces mouvements s’accélèrent, mon souffle aussi jusqu’à je le sente descendre en me caressant le dos puis les fesses. Je sens la ficelle de mon string être déplacée sur le côté, lui offrant ma rondelle palpitante. C’est sans attendre que je sens sa langue venir parcourir mon sillon, passer sur mon œillet sans s’y arrêter mais me faisant gémir tout de même. Finalement, après en avoir bien fait le tout, je sens sa langue se forcer un passage et me prodiguer un divin massage. Je sens sa salive m’inonder et sa langue me titiller entrant, sortant, m’effleurant, m’aspirant.
Lorsqu’il se redresse j’ai très envie de lui, qu’il me fasse l’amour. Je ne suis pas déçu lorsque je sens son gland jouer quelques instants entre mes fesses avant de se positionner et de me pénétrer. J’anticipais le mouvement en m’empalant sur son sexe et nos mouvements contraires ne furent stoppés que lorsqu’il fut contre moi, ces cuisses contre mes fesses. Il commença alors à aller et venir, en me saisissant par les hanches, faisant d’amples mouvements qui le faisait haleter et moi gémir. Je le sens sur toute sa longueur, sa largeur me permet de prendre pleinement conscience de ce membre qui coulisse en moi, m’électrisant m’approchant inexorable de la jouissance. J’ai fermé les yeux et je me laisse envahir par le plaisir qui monte entre mes reins. Ces mouvements deviennent plus rapides et sa main vient me caresser le sexe au travers du string au rythme de ses assauts. Dans un dernier assaut violent je le sens s’enfoncer profondément et jouir dans un râle de plaisir. Cette sensation m’amène immédiatement à un orgasme foudroyant qui amène ma propre jouissance dans un gémissement très proche d’un cri.
Haletant, je le sens venir se coller contre mon dos, m’embrasser le cou et il me dit « Qu’est-ce que tu es bon. J’ai pris un pied formidable et toi ? ». Je lui réponds : « Moi aussi j’ai pris mon pied. J’adore ta queue. ». Là-dessus, je le sens sortir et c’est un regret, comme un coup de blues, un manque. Il m’apporte alors, sans un mot, une boite de mouchoirs et j’essuie sa semence qui commence à couler de mon œillet encore béant. Je m’essuie aussi le sexe enduit de ma propre jouissance tandis qu’il fait de même. Toujours en silence, comme perdu dans nos pensées, nous nous rhabillons et, sur un denier bisous, je quitte son bureau pour rejoindre le mien dans une tour voisine. J’espère que je le reverrai, ce n’est pas tous les jours que l’on se fait draguer et que l’on tombe sur un baiseur pareil.
Derrière moi se tenait un bel homme, en costume, un peu plus grand que moi de quelques centimètres. Je lui donnais 45 ans et lorsque nos regards se sont croisés il m’a fait un grand sourire, un peu lubrique peut être. Je lui ai rendu son sourire et me suis retourné, m’abandonnant à ses délicieuses caresses. Quelques instants plus tard, je l’ai senti se pencher vers moi il me susurra : « Tu ne voudrais pas que nous allions ailleurs ? Tu veux visiter mon bureau ? ». Lorsqu’il s’est décollé de moi et qu’il a commencé à s’éloigner, sans attendre ma réponse, je l’ai suivi. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans son bureau, à quelques pas du centre commercial. A peine la porte était fermée sur nous qu’il se penchait vers moi et m’embrassait. Le contact de ses lèvres sur les même était électrisant et lorsqu’il écarta les lèvres et que je sentis sa langue contre les miennes, j’ouvris les miennes pour la recevoir. Ce fut alors un baiser passionné où nos lèvres et nos langues n’avaient de cesse que de jouer à celles qui donnera le plus de plaisir. Finalement, sa langue c’est profondément enfoncée dans ma bouche et ses lèvres se sont collées aux miennes. Nos langues ont retrouvé un rythme plus sensuel tandis que je sentais ses mains se poser sur le bas de mon dos et m’attirer à lui. J’ai tout de suite senti son sexe tendu contre le mien ce qu’un léger déhancher n’a fait que renforcer.
Toujours sa langue dans la mienne, ses lèvres contre les miennes, j’ai senti ses mains descendre et c’est à deux qu’elles ont repris ce qu’une avait entamée au McDo. J’ondulais sous le plaisir qu’il me procurait. Je fis tomber ma veste puis la sienne. Je me décollais un peu pour lui caresser le torse, ouvrant sa chemise bouton par bouton. Arrivé au pantalon, je dégrafais sa ceinture, défaisant son bouton et descendais la fermeture éclair. Son pantalon tomba au sol, dévoilant un caleçon qui ne pouvait contenir un sexe tendu qui, du bout des doigts, me semblait d’une taille plus qu’honorable. Je m’arrachais alors à ces lèvres et entrepris de descendre m’assurer de ce que mes doigts avaient sentis. Je descendais doucement, le caressant du bout de la langue, m’attardant sur ces tétons tendus, sur ses abdominaux biens formés, son nombril. J’attrapais les bords de son caleçon et le descendais doucement entrainant son sexe avec lui. Il remontât sèchement lorsqu’il fut libéré de l’élastique et je pus admirer un beau sexe de 20 bons centimètres pour facilement 5 de diamètre. Je relevais les yeux, il me regardait avec un sourire satisfait tandis que je commençais à le caresser. Ses toujours en le regardant dans les yeux que j’ai approché mes lèvres de son gland et que j’ai commencé à l’avaler. Son sourire s’est alors figé et ses yeux se sont fermés tandis qu’il laissait échapper un soupir.
J’ai alors entrepris une lente fellation, faisant coulisser son membre dans ma bouche, salivant pour lui donner plus de glissant. Allant et venant lentement, m’arrêtant sur son gland, le gardant au chaud dans ma bouche tandis que ma langue le massait. Je le sortais de ma bouche, le léchant sur toute sa longueur, remontant, titillant le haut de son gland tandis que mes mains le masturbaient. Finalement j’ai entrepris des mouvements plus vifs qui ont été interrompus pas ses mains qui, me prenant la tête m’ont guidées vers ses lèvres. « Arrête, je ne veux pas jouir trop vite » me dit-il en commençant à me déshabiller à mon tour. Lorsque je me retrouvais en string, ces mains se sont précipitées sur mes fesses que plus rien ne protégeait de ses caresses tout en me disant « Tu as un cul magnifique, je n’ai pas pu résister ».
Sur ce, il me retourne et il se colle à moi, je sens son sexe venir entre mes fesses au creux desquelles il entreprend un lent va et vient. Je le sens frôler ma rondelle tout juste protéger par la ficelle de mon string. Doucement il me penche vers l’avant et je prends appuis sur son bureau. Ces mouvements s’accélèrent, mon souffle aussi jusqu’à je le sente descendre en me caressant le dos puis les fesses. Je sens la ficelle de mon string être déplacée sur le côté, lui offrant ma rondelle palpitante. C’est sans attendre que je sens sa langue venir parcourir mon sillon, passer sur mon œillet sans s’y arrêter mais me faisant gémir tout de même. Finalement, après en avoir bien fait le tout, je sens sa langue se forcer un passage et me prodiguer un divin massage. Je sens sa salive m’inonder et sa langue me titiller entrant, sortant, m’effleurant, m’aspirant.
Lorsqu’il se redresse j’ai très envie de lui, qu’il me fasse l’amour. Je ne suis pas déçu lorsque je sens son gland jouer quelques instants entre mes fesses avant de se positionner et de me pénétrer. J’anticipais le mouvement en m’empalant sur son sexe et nos mouvements contraires ne furent stoppés que lorsqu’il fut contre moi, ces cuisses contre mes fesses. Il commença alors à aller et venir, en me saisissant par les hanches, faisant d’amples mouvements qui le faisait haleter et moi gémir. Je le sens sur toute sa longueur, sa largeur me permet de prendre pleinement conscience de ce membre qui coulisse en moi, m’électrisant m’approchant inexorable de la jouissance. J’ai fermé les yeux et je me laisse envahir par le plaisir qui monte entre mes reins. Ces mouvements deviennent plus rapides et sa main vient me caresser le sexe au travers du string au rythme de ses assauts. Dans un dernier assaut violent je le sens s’enfoncer profondément et jouir dans un râle de plaisir. Cette sensation m’amène immédiatement à un orgasme foudroyant qui amène ma propre jouissance dans un gémissement très proche d’un cri.
Haletant, je le sens venir se coller contre mon dos, m’embrasser le cou et il me dit « Qu’est-ce que tu es bon. J’ai pris un pied formidable et toi ? ». Je lui réponds : « Moi aussi j’ai pris mon pied. J’adore ta queue. ». Là-dessus, je le sens sortir et c’est un regret, comme un coup de blues, un manque. Il m’apporte alors, sans un mot, une boite de mouchoirs et j’essuie sa semence qui commence à couler de mon œillet encore béant. Je m’essuie aussi le sexe enduit de ma propre jouissance tandis qu’il fait de même. Toujours en silence, comme perdu dans nos pensées, nous nous rhabillons et, sur un denier bisous, je quitte son bureau pour rejoindre le mien dans une tour voisine. J’espère que je le reverrai, ce n’est pas tous les jours que l’on se fait draguer et que l’on tombe sur un baiseur pareil.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super bon moment de lecture
Hummm que c'est bon, ça me réconcilie avec les fast food !
Ça c'est une pause déjeuner comme j'en aimerais une tous les jours....
Bravo en tout cas pour cette belle histoire très bien racontée.
Ça c'est une pause déjeuner comme j'en aimerais une tous les jours....
Bravo en tout cas pour cette belle histoire très bien racontée.
Très belle histoire mais je m'interroge : Se faire enculer et recevoir la semence dans ses fesses, ou c'est une histoire inventée (mais super sexy) ou c'est l'oeuvre d'un inconscient irresponsable qui ne connait pas les risques du VIH ou des MST.
vraiment super !
Très beau récit , plein de sensualité et de plaisir .