Titre de l'histoire érotique : Retour de soirée
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Retour de soirée
Lorsque j'arrêtais la voiture au niveau du portail, Je regardais l'heure sur la montre
du tableau de bord : 5h 20… Presque immédiatement une lumière se fit dans l'imposte de
l'entrée, la porte s'ouvrit inondant d'une vive lumière jaune le chemin de la cour.
Mireille ne s'était pas rendu compte que nous étions arrivés. La tête renversée sur le
haut du siège du passager, elle souriait aux anges, sa robe noire, fendue, ouverte sur
le haut de ses cuisses à l'intersection desquelles on pouvait apercevoir quelques
poils fins et fauves. On n'avait pas pris le temps de lui remettre son slip, ni son
soutien-gorge du reste, lorsque la Duval, une commerciale de l’entreprise, et moi
l'avons habillée avant de repartir. Dieu que la garce était belle ! Avec ses jambes
fines et longues, ses hanches bien arrondies et moulées par la robe, ses jolis seins
très fermes et hauts sous son décolleté ouvert qui montrait bien leur naissance...
Déjà dans la découpe de lumière une silhouette réprobatrice se détachait en ombre
chinoise. L'homme me paraissait grand dans le rectangle de lumière de la porte. Son
mari, sans doute, qui avait dû passer la nuit à l'attendre...
Je pris le parti de faire descendre Mireille le plus naturellement du monde comme
lorsque l'on ramène une collègue après une journée de travail... J'eu déjà beaucoup de
mal à la faire se lever du siège avant. Elle s'agrippa à moi pour y parvenir,
m'enserrant les épaules au moment où son mari arrivait de l'autre côté et regardait
par la vitre de la porte du chauffeur. Je réussi à la faire mettre debout, à peu près,
le long de la voiture, tandis que j'expliquais à son mari, sans émotion, du moins il
me semblait, que j'avais dû la ramener, ne pouvant pas décemment la laisser conduire
ainsi…
Je tentais d'expliquer ce qui était par trop visible : qu'elle avait un peu bu durant
le repas, et que c'était le dernier verre de champagne qui lui avait été fatal vers 4
heures du matin, lorsque, après avoir dansé des farandoles, la soif lui a fait prendre
" le verre de trop ". Je précisais rapidement que sa voiture était là-bas et je lui
proposais de le conduire tout l'heure pour aller l'y chercher. Il ne répondit pas,
mais à son air je vis que ma version était à peu près crédible.
Pendant ces explications, Mireille toujours appuyée à la voiture, riait fort
en ébauchant des gestes assez désordonnés et qu'elle n'assurait pas jusqu'au bout, ce
qui est un signe d'ébriété caractérisée. Les femmes ivres, ou plutôt entre 2 vins
c’est-à-dire fortement " éméchées ", m’ont toujours beaucoup excité sur le plan
cérébral, sans que je sache au juste pourquoi. Et de voir ou de côtoyer une femme dans
l'état de Mireille, cela me fait toujours fortement bander et me donne envie de faire
avec elle des choses insensées sur le plan sexuel...
Je pris Mireille sous un bras, très fermement et la maintenant ainsi je lui fit faire
le tour de la voiture en direction de la porte d'entrée. Elle titubait, marchait à pas
mal assurés et surtout se déhanchait et partait d'un côté de l'autre au point qu'elle
risquait chaque fois d'échapper à ma poigne et de glisser à terre.... Elle riait très
fort, de façon très saccadée, désordonnée et excessive, avec de brutales variations
dans la voix changeant de niveaux de rire. Comme on pouvait s'y attendre, elle ne
parvint pas directement à franchir les 2 marches du perron. Manquant la première, elle
faillit s'affaler sur la petite terrasse et se rattrapa au poteau du préau de l'entrée
qu'elle saisit à bras le corps et qu'elle étreignait fortement de ses 2 bras. Cette
situation de presque chute, eu pour conséquence de renforcer grandement son hilarité.
Accrochée maintenant au poteau, renversant la tête en arrière et faisant
dangereusement osciller son corps de part et d'autre, elle riait à gorge déployée.
Elle tentait en même temps de donner quelques explications sur son état à son mari qui
était plus médusé et ennuyé qu'en colère.
- " Tu sais mon chéri, j'ai dû boire un peu trop, je te le susss... Je peux te
le faire... Je suis avec... ". Les mots lui venaient mal et elle s'embrouillait
largement dans ses phrases, le débit très incertain et la langue pâteuse.... Ses
cheveux courts et roux foncés en désordre, lui donnaient un air à la fois enfantin et
charmant de femme-enfant.
- " J'ai bu trop d'accord, se reprit-elle entre deux rires appuyés, mais j'ai été très
sage et convenable, tu sais... C'est la valse qui m'a fait tourner la tête... Oh,
lala…, cette valse ! Mais c'est rien, tu sais !... Je suis très contente quand même
de ma soirée..."
Certes, lui ne semblait pas deviner tout ce qu'elle avait pris entre les
cuisses toute la soirée, ni tout ce qu'elle avait tenu entre ses mains fines, ni ce
qui était passé entre les jolies lèvres de sa bouche sensuelle... Je craignais
cependant qu'une fausse parole, dite dans ces conditions très incertaines, ne vienne
donner l'alerte ou mette en éveil le mari. Je parlais pour redire ce que j'avais déjà
dit et surtout pour éviter que ce soit trop Mireille qui explique...
Mais déjà, elle, secouée de rires, agrippée au poteau, lâcha un pet magistral
qui nous atteignit dans le silence froid de l'heure du laitier. Cet événement cocasse
eut pour effet de redoubler ses rires... Elle était presque pliée en deux de rire
autant. Elle lâcha un deuxième pet tout aussi fort que le premier mais qui dura plus
longtemps comme se répercutant en écho sur le fin.... Puis toute une autre série en
chapelet, 5 à 6 accrochés ainsi... Et encore une nouvelle salve plus bruyante et plus
longue, me sembla-t-il. Elle n'en pouvait plus de rire. Je ne craignais qu'une chose :
c'est qu'emportée par le rire et l'ivresse elle ne remonte sa robe à l'occasion de cet
accès de flatulence, et montre son joli cul ce qui aurait immédiatement averti le mari
de l'absence de son slip...
Pliée en deux, les mains enserrant le poteau, les bras tendus, penchée en
avant, le dos incliné et les fesses bien moulées par la robe noire, et malgré son
ivresse, ou à cause d'elle, elle était toujours aussi belle et désirable, enfantine et
touchante, sensuelle... Excitante, et portant si fragile...
Elle était agitée de soubresauts incontrôlables, le souffle coupé par les rires. Et
sous l'effet des rires sans doute, lâchant les derniers pets, elle pissa ainsi,
debout, dans sa robe et le long de ses jambes, qu'elle n'écarta qu'à peine un peu
plus, tant ce n'était pas son problème du moment.... Le liquide chaud arrivait sur le
carrelage avec un léger bruissement et de clapotis de fontaines alpestres et
s'étendait en nappes entre ses pieds. Elle riait de plus belle en disant
- " Voilà que je pisse maintenant !... Qu'est-ce que vous me faites faire là ! Ah !
Mais, vous êtes fou !... Retenez-moi, empêchez-moi !... Ah les salauds !! Regardez-
moi, je suis toute mouillée maintenant !... C'est comme ça que vous me vouliez ?! "
Son mari vint vers elle, plein de compréhension…
- " Voyons, Mireille arrête et tiens-toi tranquille, voyons !… Rentrons d’abord à la
maison aller viens, rentrons !... "
- " Ah non, salauds ! C'est ce que vous vouliez, hein, alors ne m'arrêtez pas !... Je
ne quitte rien et je ne bouge pas ! Dieu que c'est chaud ! C'est bon... " Et disant
cela, elle s'empoigne d'une main la cramouille à travers la robe et se frotte
énergiquement entre les jambes comme pour s'essuyer avec le tissu et s'astiquer
fortement. Son mari un moment interdit, s'approche d'elle vivement et l'empoignant aux
épaules et aux poignets lui dit sans ménagement :
- " Mais enfin Mireille tu es folle ? Te rends-tu compte de ce que tu fais ?
Je t'en prie, tiens-toi un peu ! Ca suffit maintenant !!... " Puis s'adressant à moi :
- " Faites-là entrer, s'il vous plaît… Je vais chercher de quoi nettoyer ça et de quoi
la couvrir."
Il disparaît dans la maison. Mireille qui riait toujours, un peu calmée il est
vrai, me passe les bras autour du cou me disant :
- " Ah mon chéri, j'ai le cul en feu ! J'ai la chatte qui me démange !... Passe-moi ta
main entre les cuisses, vite, j'ai besoin ! Et relevant sa robe devant, elle ajoute :
tiens, regarde ma chatte comme elle gonflée... Touche, elle est toute mouillée
maintenant qu'elle a pissé... Ah la salope !... Elle me démange, elle a très envie
d'être léchée et branlée !... Branle-là, je t'en prie, frotte-là moi fort ! "
Gardant la robe relevée, penchée en avant, elle regardait sa chatte,
s'écartant les lèvres d'une main de l'autre se caressant avec force et rapidité le
bord des petites lèvres, un doigt allant et venant dans la fente. Ce qu'elle se
faisait là, sur son perron à 5h 30 du matin, la faisait frémir de plaisir. Elle se
branlait fortement, me tendait sa langue pour que je lui suce...
Mais déjà j'entendais le mari revenir. Je lui rabaissais prestement le robe, et je mis
dans sa main son slip rouge et noir qu'elle n'avait pas dû avoir le temps de salir de
la soirée, pour faire comme si elle venait de le retirer après avoir pissé dedans.
Puis, la maintenant debout contre mon épaule, je la fis avancer doucement vers
l'entrée. Le mari lui passa un lourd manteau sur les épaules et alla mettre la
serpillière sur la flaque d'urine. Il nous rejoignit en disant :
- " Entrez, j'ai mis un café en route, je vais lui faire prendre un bain et
lui donner un café très fort ". Il l'entraîna vers la salle de bain, elle avait
toujours sa main droite qui pressait fortement son pubis à travers la robe et je suis
à peu près sûr qu'elle continuait à se branler à travers le tissu. Il poussa derrière
lui la porte de la salle de bain, j'entendis qu'il lui quittait sa robe, puis qu’il
faisait couler de l’eau dans la baignoire.
Je me disais pourvu qu'il ne remarque pas les marques sur les hanches et aux épaules
faites sur sa jolie peau fine et fragile de rousse, par ceux dont je fus, qui la
baisant par derrière, surtout en levrette, l'avaient empoignée vigoureusement aux
épaules et aux hanches.
Pour bien la connaître (j’étais son amant depuis de nombreux mois), je savais que sa
chatte était caractéristique de son état d'excitation. Là, au cours de la soirée,
masturbée, léchée, écartée, branlée, sucée, engodée, enfilée, baisée..., pendant une
bonne partie de la nuit, la chatte était rouge, très ouverte avec les grandes lèvres,
déjà bien épaisses et larges, devenues très turgescentes et gonflées. Ses petites
lèvres d'ordinaire très discrètes, roses et peu marquées chez elle, sont dans ces
moments là très pendantes, faisant saillie entre les grandes lèvres, très ridées et
d'un rose violacé dû à l’afflux de sang. Le clitoris, lui aussi très bandé, était
magnifiquement érectile sous mes pointes de langue, et ce soir là, je m'en étais pas
privé. Quand elle est excitée ainsi et un peu " allumée " par le champagne, son "
clito " fait très nettement sailli hors du capuchon, la hampe très relevée, pointant
très haut, nettement hors des poils qu'il dépasse largement dans ces occasions. Les
poils de rousse, sont eux aussi très caractéristiques : très fins et peu fournis, ils
deviennent sous l'effet des frottements divers, des mouillages, des décharges de bites
ou de cyprine et des léchages variés, soyeux, beaucoup plus souples et bouclés,
rejetés largement sur les côtés des cuisses et du pubis, dégageant bien alors la
fente, le trou du cul et l'entrée du con.... Oui, pas besoin d'être un grand expert,
il faut seulement bien connaître Mireille, pour s'apercevoir qu'elle n'avait pas fait
que boire et danser cette nuit là !...
J'entendais qu'il la douchait et la frictionnait au gant de crin. Ce
traitement, sans doute donné avec attention mais très fermement, la rendait tour à
tour hilare et gémissante... Deux ou trois fois, elle entrecoupa ses rires de chansons
du style de : " Il était un petit navire " et " C'est la danse des canards "... Je
craignais qu'elle n'entonne : " Le curé de Camaret" ou " Jeanneton " chanson de corps
de garde, qui avaient animé une bonne partie de notre soirée. Non pour mes chastes
oreilles, mais parce que cela aurait trop donné le ton de notre équipée nocturne à son
mari. Il faut dire que nos soirées d’entreprise sont toujours très corsées. Nous
sommes une bonne douzaine de collègues hommes et femmes qui s’entendent bien pour
organiser de temps en temps ce genre de soirée, où la baise et la partouse, sous
toutes ses formes, est toujours au rendez-vous…
Je remarquais alors, que Bernard, son mari donc, avait posé la robe du soir de
Mireille à la porte de la salle de bain, dans le couloir, puis avait repoussé la
porte. Je me souvins que vers l’heure du départ, j’avais ramassé sous une table le
slip et le soutien-gorge de la belle Mireille. Il me revint à cet instant que j’avais
gardé sur moi le soutien-gorge. Je le sortis de la poche intérieure de mon veston et
allais rapidement le poser sous la robe, espérant que le mari ne se souviendrait pas
qu'il ne le lui avait pas enlevé...
D'avoir dans la main ce soutien-gorge me fit quelque chose et je me remémorais le
moment où un grand gaillard de mes collègues, qui se tenait dans son dos, lui avait
dégrafé, libérant ses deux très jolis seins dont elle est très fière... Avant de
dissimuler le soutien-gorge sous la robe, je le portais furtivement à mes lèvres. Les
effluves du parfum subtil de Mireille m'enivrèrent un instant, et mes sens
chavirèrent. Je fus violemment transporté deux ou trois heures auparavant : au moment
précis où j'avais mon visage dans son cou et qu'elle, allongée sur moi, son dos sur
mon corps, je la prenais avec vigueur dans sa jolie fente, tandis que la Duval, lui
léchait et lui titillait le clitoris de la pointe de sa langue. Elle avait joui très
fortement à ce moment là, de façon presque obscène, en proférant et criant des mots
crus et très osés comme elle en avait l’habitude, renversant sa tête en arrière vers
moi, me donnant sa bouche et sa langue, m'embrassant fougueusement, agitée de
soubresauts... Les trois autres collègues en face la regardaient jouir et décharger,
empalée sur mon sexe, qu'elle inondait de flots de cyprine qu'elle lâchait sans
regret, les cuisses bien relevées et maintenues haut par la Duval…
La garce aimait tellement être matée dans ces moments là, que souvent la situation
seule suffisait à lui donner des orgasmes... Le visage enfoui dans le soutien gorge,
imprégné de l'odeur merveilleuse de Mireille, je revivais toute la scène... Y compris
le moment où à la fin de la jouissance de Mireille, la Duval, sentant venir mon heure,
sortit prestement ma bite du con ruisselant de la belle rousse, et la déconnant ainsi,
elle lui mit immédiatement trois doigts dans le trou pour remplacer mon engin. Mais
surtout la Duval, se plaçant entre les jambes de Mireille me pris le sexe en bouche,
et le branla avec une légèreté et une sensualité que j’avais rarement vues, puis elle
me suça complètement tout aussi divinement... Je ne fus pas long à partir et à lancer
alentour de longues giclées qui atteignait la Duval, tantôt dans les cheveux, sur le
visage, le cou, les seins, au fur et à mesure de la diminution de la puissance des
jets successifs... Elle reprit le gland en bouche et finit de le pomper en aspirant le
foutre qui s'échappait aux commissures de ses lèvres... Dieu quel pied, ce fut !
J'en étais là de mes pensées et détachant péniblement mon visage de ce tissu
odorant, je me penchais pour glisser le soutien-gorge sous la robe, la porte s'ouvrit
à ce moment là. Bernard, me voyant à demi baissé, le soutien-gorge à la main, me dit :
- " Mais non laissez ! Laissez !, je rangerai tout cela bientôt, ne vous
donnez pas cette peine, et puis, tout est sale, alors par terre où ailleurs, cela n'a
plus d'importance. Venez, elle va prendre un café très fort ".
Mireille était là derrière lui, les cheveux défaits cette fois, dans un
peignoir rouge, très ouvert sur le haut des cuisses et très décolleté sur ces jolis
seins... Elle était un peu calmée, mais moi qui la connaissais bien, je voyais qu'elle
était encore dans les vapeurs de l'ivresse. La soutenant chacun sous un bras nous
l'amenons jusqu'à la cuisine où nous la faisons asseoir au bout de la table.
Le jour pointait par la fenêtre. Nous prîmes ensemble le café. Mireille
semblait un peu abattue, comme assommée sans doute par le bain très chaud. D’ailleurs
malgré le café fort, elle s’endormit rapidement sur le bout de la table de la cuisine,
la tête posée sur son bras. Bernard se releva de sa chaise et me fit signe de lui
prendre les pieds. Il la prit lui-même sous les aisselles et nous allâmes la poser
délicatement, endormie, sur le canapé du salon… Durant ce court trajet le peignoir
s’était ouvert en haut laissant passer un sein magnifique dont le téton était toujours
bien dressé. Le peignoir s’était aussi ouvert en bas et j’aperçus furtivement, pour la
dernière fois de la soirée, la touffe couleur fauve de la belle Mireille, avec au
milieu, la naissance de sa fente…
Il était juste 6 heures du matin quand nous remontâmes dans ma voiture. Comme
convenu, je conduisis Bernard jusqu’à celle de Mireille où nous fûmes 10 minutes plus
tard. Je lui devais bien cela ! Avant de descendre et de prendre congé, il me remercia
vivement :
- " Vraiment merci, me dit-il, heureusement que vous avez été là pour vous
occuper d’elle… Et merci d’avoir veillé sur elle pour qu’il ne lui arrive rien… Je ne
sais comment vous remercier… ". Je n’eu que l’aplomb d’ajouter :
- " Laisser, ce n’est rien… Rien que de très normal ! Vous savez, cela ne m’a
pas coûté… L’essentiel c’est que tout ce soit bien passé…"
Et je ne mentais pas ! Mais non, en disant cela, je ne mentais pas !... Qu’auriez-
vous dit, vous, à ma place… ?
du tableau de bord : 5h 20… Presque immédiatement une lumière se fit dans l'imposte de
l'entrée, la porte s'ouvrit inondant d'une vive lumière jaune le chemin de la cour.
Mireille ne s'était pas rendu compte que nous étions arrivés. La tête renversée sur le
haut du siège du passager, elle souriait aux anges, sa robe noire, fendue, ouverte sur
le haut de ses cuisses à l'intersection desquelles on pouvait apercevoir quelques
poils fins et fauves. On n'avait pas pris le temps de lui remettre son slip, ni son
soutien-gorge du reste, lorsque la Duval, une commerciale de l’entreprise, et moi
l'avons habillée avant de repartir. Dieu que la garce était belle ! Avec ses jambes
fines et longues, ses hanches bien arrondies et moulées par la robe, ses jolis seins
très fermes et hauts sous son décolleté ouvert qui montrait bien leur naissance...
Déjà dans la découpe de lumière une silhouette réprobatrice se détachait en ombre
chinoise. L'homme me paraissait grand dans le rectangle de lumière de la porte. Son
mari, sans doute, qui avait dû passer la nuit à l'attendre...
Je pris le parti de faire descendre Mireille le plus naturellement du monde comme
lorsque l'on ramène une collègue après une journée de travail... J'eu déjà beaucoup de
mal à la faire se lever du siège avant. Elle s'agrippa à moi pour y parvenir,
m'enserrant les épaules au moment où son mari arrivait de l'autre côté et regardait
par la vitre de la porte du chauffeur. Je réussi à la faire mettre debout, à peu près,
le long de la voiture, tandis que j'expliquais à son mari, sans émotion, du moins il
me semblait, que j'avais dû la ramener, ne pouvant pas décemment la laisser conduire
ainsi…
Je tentais d'expliquer ce qui était par trop visible : qu'elle avait un peu bu durant
le repas, et que c'était le dernier verre de champagne qui lui avait été fatal vers 4
heures du matin, lorsque, après avoir dansé des farandoles, la soif lui a fait prendre
" le verre de trop ". Je précisais rapidement que sa voiture était là-bas et je lui
proposais de le conduire tout l'heure pour aller l'y chercher. Il ne répondit pas,
mais à son air je vis que ma version était à peu près crédible.
Pendant ces explications, Mireille toujours appuyée à la voiture, riait fort
en ébauchant des gestes assez désordonnés et qu'elle n'assurait pas jusqu'au bout, ce
qui est un signe d'ébriété caractérisée. Les femmes ivres, ou plutôt entre 2 vins
c’est-à-dire fortement " éméchées ", m’ont toujours beaucoup excité sur le plan
cérébral, sans que je sache au juste pourquoi. Et de voir ou de côtoyer une femme dans
l'état de Mireille, cela me fait toujours fortement bander et me donne envie de faire
avec elle des choses insensées sur le plan sexuel...
Je pris Mireille sous un bras, très fermement et la maintenant ainsi je lui fit faire
le tour de la voiture en direction de la porte d'entrée. Elle titubait, marchait à pas
mal assurés et surtout se déhanchait et partait d'un côté de l'autre au point qu'elle
risquait chaque fois d'échapper à ma poigne et de glisser à terre.... Elle riait très
fort, de façon très saccadée, désordonnée et excessive, avec de brutales variations
dans la voix changeant de niveaux de rire. Comme on pouvait s'y attendre, elle ne
parvint pas directement à franchir les 2 marches du perron. Manquant la première, elle
faillit s'affaler sur la petite terrasse et se rattrapa au poteau du préau de l'entrée
qu'elle saisit à bras le corps et qu'elle étreignait fortement de ses 2 bras. Cette
situation de presque chute, eu pour conséquence de renforcer grandement son hilarité.
Accrochée maintenant au poteau, renversant la tête en arrière et faisant
dangereusement osciller son corps de part et d'autre, elle riait à gorge déployée.
Elle tentait en même temps de donner quelques explications sur son état à son mari qui
était plus médusé et ennuyé qu'en colère.
- " Tu sais mon chéri, j'ai dû boire un peu trop, je te le susss... Je peux te
le faire... Je suis avec... ". Les mots lui venaient mal et elle s'embrouillait
largement dans ses phrases, le débit très incertain et la langue pâteuse.... Ses
cheveux courts et roux foncés en désordre, lui donnaient un air à la fois enfantin et
charmant de femme-enfant.
- " J'ai bu trop d'accord, se reprit-elle entre deux rires appuyés, mais j'ai été très
sage et convenable, tu sais... C'est la valse qui m'a fait tourner la tête... Oh,
lala…, cette valse ! Mais c'est rien, tu sais !... Je suis très contente quand même
de ma soirée..."
Certes, lui ne semblait pas deviner tout ce qu'elle avait pris entre les
cuisses toute la soirée, ni tout ce qu'elle avait tenu entre ses mains fines, ni ce
qui était passé entre les jolies lèvres de sa bouche sensuelle... Je craignais
cependant qu'une fausse parole, dite dans ces conditions très incertaines, ne vienne
donner l'alerte ou mette en éveil le mari. Je parlais pour redire ce que j'avais déjà
dit et surtout pour éviter que ce soit trop Mireille qui explique...
Mais déjà, elle, secouée de rires, agrippée au poteau, lâcha un pet magistral
qui nous atteignit dans le silence froid de l'heure du laitier. Cet événement cocasse
eut pour effet de redoubler ses rires... Elle était presque pliée en deux de rire
autant. Elle lâcha un deuxième pet tout aussi fort que le premier mais qui dura plus
longtemps comme se répercutant en écho sur le fin.... Puis toute une autre série en
chapelet, 5 à 6 accrochés ainsi... Et encore une nouvelle salve plus bruyante et plus
longue, me sembla-t-il. Elle n'en pouvait plus de rire. Je ne craignais qu'une chose :
c'est qu'emportée par le rire et l'ivresse elle ne remonte sa robe à l'occasion de cet
accès de flatulence, et montre son joli cul ce qui aurait immédiatement averti le mari
de l'absence de son slip...
Pliée en deux, les mains enserrant le poteau, les bras tendus, penchée en
avant, le dos incliné et les fesses bien moulées par la robe noire, et malgré son
ivresse, ou à cause d'elle, elle était toujours aussi belle et désirable, enfantine et
touchante, sensuelle... Excitante, et portant si fragile...
Elle était agitée de soubresauts incontrôlables, le souffle coupé par les rires. Et
sous l'effet des rires sans doute, lâchant les derniers pets, elle pissa ainsi,
debout, dans sa robe et le long de ses jambes, qu'elle n'écarta qu'à peine un peu
plus, tant ce n'était pas son problème du moment.... Le liquide chaud arrivait sur le
carrelage avec un léger bruissement et de clapotis de fontaines alpestres et
s'étendait en nappes entre ses pieds. Elle riait de plus belle en disant
- " Voilà que je pisse maintenant !... Qu'est-ce que vous me faites faire là ! Ah !
Mais, vous êtes fou !... Retenez-moi, empêchez-moi !... Ah les salauds !! Regardez-
moi, je suis toute mouillée maintenant !... C'est comme ça que vous me vouliez ?! "
Son mari vint vers elle, plein de compréhension…
- " Voyons, Mireille arrête et tiens-toi tranquille, voyons !… Rentrons d’abord à la
maison aller viens, rentrons !... "
- " Ah non, salauds ! C'est ce que vous vouliez, hein, alors ne m'arrêtez pas !... Je
ne quitte rien et je ne bouge pas ! Dieu que c'est chaud ! C'est bon... " Et disant
cela, elle s'empoigne d'une main la cramouille à travers la robe et se frotte
énergiquement entre les jambes comme pour s'essuyer avec le tissu et s'astiquer
fortement. Son mari un moment interdit, s'approche d'elle vivement et l'empoignant aux
épaules et aux poignets lui dit sans ménagement :
- " Mais enfin Mireille tu es folle ? Te rends-tu compte de ce que tu fais ?
Je t'en prie, tiens-toi un peu ! Ca suffit maintenant !!... " Puis s'adressant à moi :
- " Faites-là entrer, s'il vous plaît… Je vais chercher de quoi nettoyer ça et de quoi
la couvrir."
Il disparaît dans la maison. Mireille qui riait toujours, un peu calmée il est
vrai, me passe les bras autour du cou me disant :
- " Ah mon chéri, j'ai le cul en feu ! J'ai la chatte qui me démange !... Passe-moi ta
main entre les cuisses, vite, j'ai besoin ! Et relevant sa robe devant, elle ajoute :
tiens, regarde ma chatte comme elle gonflée... Touche, elle est toute mouillée
maintenant qu'elle a pissé... Ah la salope !... Elle me démange, elle a très envie
d'être léchée et branlée !... Branle-là, je t'en prie, frotte-là moi fort ! "
Gardant la robe relevée, penchée en avant, elle regardait sa chatte,
s'écartant les lèvres d'une main de l'autre se caressant avec force et rapidité le
bord des petites lèvres, un doigt allant et venant dans la fente. Ce qu'elle se
faisait là, sur son perron à 5h 30 du matin, la faisait frémir de plaisir. Elle se
branlait fortement, me tendait sa langue pour que je lui suce...
Mais déjà j'entendais le mari revenir. Je lui rabaissais prestement le robe, et je mis
dans sa main son slip rouge et noir qu'elle n'avait pas dû avoir le temps de salir de
la soirée, pour faire comme si elle venait de le retirer après avoir pissé dedans.
Puis, la maintenant debout contre mon épaule, je la fis avancer doucement vers
l'entrée. Le mari lui passa un lourd manteau sur les épaules et alla mettre la
serpillière sur la flaque d'urine. Il nous rejoignit en disant :
- " Entrez, j'ai mis un café en route, je vais lui faire prendre un bain et
lui donner un café très fort ". Il l'entraîna vers la salle de bain, elle avait
toujours sa main droite qui pressait fortement son pubis à travers la robe et je suis
à peu près sûr qu'elle continuait à se branler à travers le tissu. Il poussa derrière
lui la porte de la salle de bain, j'entendis qu'il lui quittait sa robe, puis qu’il
faisait couler de l’eau dans la baignoire.
Je me disais pourvu qu'il ne remarque pas les marques sur les hanches et aux épaules
faites sur sa jolie peau fine et fragile de rousse, par ceux dont je fus, qui la
baisant par derrière, surtout en levrette, l'avaient empoignée vigoureusement aux
épaules et aux hanches.
Pour bien la connaître (j’étais son amant depuis de nombreux mois), je savais que sa
chatte était caractéristique de son état d'excitation. Là, au cours de la soirée,
masturbée, léchée, écartée, branlée, sucée, engodée, enfilée, baisée..., pendant une
bonne partie de la nuit, la chatte était rouge, très ouverte avec les grandes lèvres,
déjà bien épaisses et larges, devenues très turgescentes et gonflées. Ses petites
lèvres d'ordinaire très discrètes, roses et peu marquées chez elle, sont dans ces
moments là très pendantes, faisant saillie entre les grandes lèvres, très ridées et
d'un rose violacé dû à l’afflux de sang. Le clitoris, lui aussi très bandé, était
magnifiquement érectile sous mes pointes de langue, et ce soir là, je m'en étais pas
privé. Quand elle est excitée ainsi et un peu " allumée " par le champagne, son "
clito " fait très nettement sailli hors du capuchon, la hampe très relevée, pointant
très haut, nettement hors des poils qu'il dépasse largement dans ces occasions. Les
poils de rousse, sont eux aussi très caractéristiques : très fins et peu fournis, ils
deviennent sous l'effet des frottements divers, des mouillages, des décharges de bites
ou de cyprine et des léchages variés, soyeux, beaucoup plus souples et bouclés,
rejetés largement sur les côtés des cuisses et du pubis, dégageant bien alors la
fente, le trou du cul et l'entrée du con.... Oui, pas besoin d'être un grand expert,
il faut seulement bien connaître Mireille, pour s'apercevoir qu'elle n'avait pas fait
que boire et danser cette nuit là !...
J'entendais qu'il la douchait et la frictionnait au gant de crin. Ce
traitement, sans doute donné avec attention mais très fermement, la rendait tour à
tour hilare et gémissante... Deux ou trois fois, elle entrecoupa ses rires de chansons
du style de : " Il était un petit navire " et " C'est la danse des canards "... Je
craignais qu'elle n'entonne : " Le curé de Camaret" ou " Jeanneton " chanson de corps
de garde, qui avaient animé une bonne partie de notre soirée. Non pour mes chastes
oreilles, mais parce que cela aurait trop donné le ton de notre équipée nocturne à son
mari. Il faut dire que nos soirées d’entreprise sont toujours très corsées. Nous
sommes une bonne douzaine de collègues hommes et femmes qui s’entendent bien pour
organiser de temps en temps ce genre de soirée, où la baise et la partouse, sous
toutes ses formes, est toujours au rendez-vous…
Je remarquais alors, que Bernard, son mari donc, avait posé la robe du soir de
Mireille à la porte de la salle de bain, dans le couloir, puis avait repoussé la
porte. Je me souvins que vers l’heure du départ, j’avais ramassé sous une table le
slip et le soutien-gorge de la belle Mireille. Il me revint à cet instant que j’avais
gardé sur moi le soutien-gorge. Je le sortis de la poche intérieure de mon veston et
allais rapidement le poser sous la robe, espérant que le mari ne se souviendrait pas
qu'il ne le lui avait pas enlevé...
D'avoir dans la main ce soutien-gorge me fit quelque chose et je me remémorais le
moment où un grand gaillard de mes collègues, qui se tenait dans son dos, lui avait
dégrafé, libérant ses deux très jolis seins dont elle est très fière... Avant de
dissimuler le soutien-gorge sous la robe, je le portais furtivement à mes lèvres. Les
effluves du parfum subtil de Mireille m'enivrèrent un instant, et mes sens
chavirèrent. Je fus violemment transporté deux ou trois heures auparavant : au moment
précis où j'avais mon visage dans son cou et qu'elle, allongée sur moi, son dos sur
mon corps, je la prenais avec vigueur dans sa jolie fente, tandis que la Duval, lui
léchait et lui titillait le clitoris de la pointe de sa langue. Elle avait joui très
fortement à ce moment là, de façon presque obscène, en proférant et criant des mots
crus et très osés comme elle en avait l’habitude, renversant sa tête en arrière vers
moi, me donnant sa bouche et sa langue, m'embrassant fougueusement, agitée de
soubresauts... Les trois autres collègues en face la regardaient jouir et décharger,
empalée sur mon sexe, qu'elle inondait de flots de cyprine qu'elle lâchait sans
regret, les cuisses bien relevées et maintenues haut par la Duval…
La garce aimait tellement être matée dans ces moments là, que souvent la situation
seule suffisait à lui donner des orgasmes... Le visage enfoui dans le soutien gorge,
imprégné de l'odeur merveilleuse de Mireille, je revivais toute la scène... Y compris
le moment où à la fin de la jouissance de Mireille, la Duval, sentant venir mon heure,
sortit prestement ma bite du con ruisselant de la belle rousse, et la déconnant ainsi,
elle lui mit immédiatement trois doigts dans le trou pour remplacer mon engin. Mais
surtout la Duval, se plaçant entre les jambes de Mireille me pris le sexe en bouche,
et le branla avec une légèreté et une sensualité que j’avais rarement vues, puis elle
me suça complètement tout aussi divinement... Je ne fus pas long à partir et à lancer
alentour de longues giclées qui atteignait la Duval, tantôt dans les cheveux, sur le
visage, le cou, les seins, au fur et à mesure de la diminution de la puissance des
jets successifs... Elle reprit le gland en bouche et finit de le pomper en aspirant le
foutre qui s'échappait aux commissures de ses lèvres... Dieu quel pied, ce fut !
J'en étais là de mes pensées et détachant péniblement mon visage de ce tissu
odorant, je me penchais pour glisser le soutien-gorge sous la robe, la porte s'ouvrit
à ce moment là. Bernard, me voyant à demi baissé, le soutien-gorge à la main, me dit :
- " Mais non laissez ! Laissez !, je rangerai tout cela bientôt, ne vous
donnez pas cette peine, et puis, tout est sale, alors par terre où ailleurs, cela n'a
plus d'importance. Venez, elle va prendre un café très fort ".
Mireille était là derrière lui, les cheveux défaits cette fois, dans un
peignoir rouge, très ouvert sur le haut des cuisses et très décolleté sur ces jolis
seins... Elle était un peu calmée, mais moi qui la connaissais bien, je voyais qu'elle
était encore dans les vapeurs de l'ivresse. La soutenant chacun sous un bras nous
l'amenons jusqu'à la cuisine où nous la faisons asseoir au bout de la table.
Le jour pointait par la fenêtre. Nous prîmes ensemble le café. Mireille
semblait un peu abattue, comme assommée sans doute par le bain très chaud. D’ailleurs
malgré le café fort, elle s’endormit rapidement sur le bout de la table de la cuisine,
la tête posée sur son bras. Bernard se releva de sa chaise et me fit signe de lui
prendre les pieds. Il la prit lui-même sous les aisselles et nous allâmes la poser
délicatement, endormie, sur le canapé du salon… Durant ce court trajet le peignoir
s’était ouvert en haut laissant passer un sein magnifique dont le téton était toujours
bien dressé. Le peignoir s’était aussi ouvert en bas et j’aperçus furtivement, pour la
dernière fois de la soirée, la touffe couleur fauve de la belle Mireille, avec au
milieu, la naissance de sa fente…
Il était juste 6 heures du matin quand nous remontâmes dans ma voiture. Comme
convenu, je conduisis Bernard jusqu’à celle de Mireille où nous fûmes 10 minutes plus
tard. Je lui devais bien cela ! Avant de descendre et de prendre congé, il me remercia
vivement :
- " Vraiment merci, me dit-il, heureusement que vous avez été là pour vous
occuper d’elle… Et merci d’avoir veillé sur elle pour qu’il ne lui arrive rien… Je ne
sais comment vous remercier… ". Je n’eu que l’aplomb d’ajouter :
- " Laisser, ce n’est rien… Rien que de très normal ! Vous savez, cela ne m’a
pas coûté… L’essentiel c’est que tout ce soit bien passé…"
Et je ne mentais pas ! Mais non, en disant cela, je ne mentais pas !... Qu’auriez-
vous dit, vous, à ma place… ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jolie histoire très bien racontée par ce côté subtil de commencer, en quelque sorte,
par la fin. Et de plus écrite sans faute d'orthographe, ce qui mérite d'être souligné,
car trop rare. Merci.
par la fin. Et de plus écrite sans faute d'orthographe, ce qui mérite d'être souligné,
car trop rare. Merci.
Les femmes mariées sont des proies de choix. Et quand elles se libèrent de tous leurs
tabous et contraintes, en particulier sous l'effet de l'alcool, elles deviennent des
déesses que chacun meurt d'envie de baiser.
Pauvres maris, pauvres cocus !
tabous et contraintes, en particulier sous l'effet de l'alcool, elles deviennent des
déesses que chacun meurt d'envie de baiser.
Pauvres maris, pauvres cocus !