Titre de l'histoire érotique : Roland l’amant de Katte 06 LA MÉTAMORPHOSE
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Roland l’amant de Katte 06 LA MÉTAMORPHOSE
Roland l’amant de Katte 06 LA MÉTAMORPHOSE
Angel, Franck et Katte se mélangent d’abord à trois, puis à quatre avec l’amant de passage qui prend Angel devant Franck comblé. Puis, les deux femmes s’occupent de Franck et se mélangent de nouveau en trio. Lorsque soudain, Roland, le jeune amant de Katte apparaît.
À tour de rôle nous découvrons l'homme qui regarde ébahi le spectacle lubrique qui se déroule sous ses yeux. Angel est morte de honte, tétanisée par la vue du jeune homme qu'elle a vu souvent avec son amie. Je suis un peu embarrassé, mais j'attends calmement la réaction de la maîtresse de maison. Celle-ci est la dernière à découvrir la présence de son jeune amant. Elle lui sourit et l'apostrophe sans aucune gêne.
• Eh Bien ! Mon chéri tu tombes bien. - Après tous ces en-cas, j'ai une envie folle que tu m'entres ta grosse verge dans la chatte. - Allez ! - Qu'attends-tu ? - Viens vite j'ai envie de toi. - Tout de suite, ne fais pas de manière devant nos amis. - Allez viens mon chéri, j'en ai trop envie !
Roland, qui a d'abord eu une légère hésitation, se décide soudainement. En un tour de main il se débarrasse de ses vêtements et c'est intégralement nu qu'il nous rejoint sur le lit, enfonçant prestement son dard dans la vulve de sa maîtresse. Celle-ci vocifère sa joie d'être autant garnie. Devant ce spectacle libidineux, je sens à mon grand étonnement ma verge qui durcit à nouveau.
Je ne perds pas de temps, de peur qu'elle ne perde sa rigidité, j'écarte les cuisses de mon épouse et j'introduis mon membre encore ferme dans sa chatte accueillante. Il y a plus de quatre ans que je n'ai pas copulé, aussi je m'enfonce avec délice dans la chair qui s'ouvre sous mon gland, glissant lentement jusqu'au fond de la matrice, puis je me retire doucement dans un va-et-vient délicieux.
Angel s'emboîte parfaitement contre mon vit qui nous rapproche. Elle n'a apparemment plus d'inhibition, excitée certainement par les corps si proches de nos amis qui en s'agitant l'un dans l'autre, nous effleurent de leurs membres, leurs corps se rapprochant, se frottant littéralement contre nous, électrisant nos sensations par ces contacts furtifs.
Angel se donne maintenant sans aucune retenue, criant des mots sans suite, projetant son ventre contre le mien, intensifiant encore ma propre jouissance mais accélérant aussi la sève que je sens monter irrémédiablement dans mon canal urétral. Angel a déjà ressenti plusieurs orgasmes lorsque je décharge mon sperme au fond de sa matrice et que je m'abats sur elle épuisé. Elle m'embrasse profondément en me lançant.
• Oh ! - Merci mon amour. - Merci. - Merci. - Je suis si heureuse. - Je t'aime. - Je t'aime.
Pendant ce temps, Roland avec toute la vigueur de sa jeunesse continue à pilonner la plantureuse Katte qui crie aussi sa joie de se faire aussi bien baiser. Angel regarde sans détourner les yeux le couple qui copule à côté de nous. Elle examine même avec attention le corps du beau Roland qui s'agite sur sa meilleure amie. Je suis sûr qu'elle pense à ce moment qu'elle ferait bien l'amour avec lui. Aussi pour la taquiner je lui glisse à l'oreille.
• Ma chérie ! - Je suis certain que tu penses en ce moment que tu te ferais bien le petit ami de ta copine. - Il a une belle queue, bien rigide qui te ferait un bien fou dans ton petit con, tu ne crois pas ?
Mon épouse est de toute évidence troublée par l'exhibition du couple qui fait l'amour sous ses yeux et par les propos obscènes que je viens de lui adresser. Elle me glisse d'abord offusquée.
• Tu es vraiment vicieux, tu crois que je veux faire l'amour avec l'ami de Katte, tu me connais mal. - Oh ! - Eh ! - Puis zut ! - Bien sûr que j'en ai envie. - Après m'avoir entraînée dans ta débauche et dans la dépravation la plus complète, avec en plus toutes les horreurs que tu m'as fait découvrir, je suis en train de devenir une femme indigne et immorale. - Mais mon Amour ! - J'avoue ! Oui j'ai encore envie de jouir, de jouir encore et encore. - Il y a trop longtemps que tu me prives d'amour, tant pis pour toi, je ne vais plus pouvoir m'en passer maintenant.
À ce moment, des applaudissements retentissent au grand émoi d'Angel qui ne s'est pas aperçue que nos deux amis écoutaient de toutes leurs oreilles les propos enflammés de la nouvelle révélée. Mais Katte la rassure rapidement en la prenant dans ses bras alors que Roland est toujours enfoui en elle.
• Allons ma chérie ! - N'aie aucune honte à désirer un autre homme, d'ailleurs je ne suis pas jalouse et Roland se retient encore, tu vas pouvoir en profiter.
• Non ! Pas ça, tu es folle. Pas comme ça. Oh ! Non. Nooooon !..... Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaahh !.. Ooooh ! Oui ! Ooooh ! Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
Roland a dégagé sa verge de la vulve de sa maîtresse et aussitôt, alors que Katte et moi tenions fermement les cuisses d'Angel bien écartées, il s'est frayé un passage dans l'ouverture bavante de mouille, plongeant son gros mandrin jusqu'à l'utérus, arrachant à mon épouse un feulement de douleur et de plaisir confondus. Il s'est mis à genoux et tout en relevant les cuisses de sa partenaire, il entre son dard avec vigueur, pilonnant le vagin qui n'a pas été à pareille fête depuis longtemps.
Katte s'est accroupie au-dessus du visage de son amie lui offrant sa chatte à gouiner. Angèle sort sa langue et lèche le vagin ainsi que la liqueur qui ruisselle pendant que Katte lui agace ses bouts de seins. Je me sens un peu délaissé, aussi me disposant derrière Roland, je regarde le mandrin entrer et sortir de la vulve de mon épouse. Son cul est bien dégagé et je ne peux m'empêcher, après avoir enduit deux de mes doigts de salive de creuser un cratère dans la rosace qui d'abord se rétracte alors qu'Angel crie.
• Non ! Pas ça. Je t'en supplie. Pas dans mes fesses. Non ! Non ! Aaarrrrrrrr! ...Nooooooooooonn.... aarrrrrrrr !...! Aaaaarrrrrrrrrr......
Il est trop tard, car j'ai percé l'anneau du sphincter avec l'index et le majeur réunis. Mes deux doigts viennent racler son conduit rectal, tâtant à travers la mince paroi le pénis de l'homme qui s'engouffre méthodiquement dans le vagin marital.
Angel après quelques sanglots s'est tue, elle accepte maintenant sans déplaisir cette double intromission, car elle feule de nouveau de contentement, alors que tout son corps se tend à la rencontre de la bite et des doigts qui fouillent ses deux orifices. Pendant de longues minutes, nos quatre corps ne font qu'un, se frottant, se baisant, s'enculant et se gouinant pour se donner le maximum de plaisir.
Lorsque Roland décharge son foutre dans le vagin de ma femme, je sens presque, sous les trois doigts que j'ai introduit maintenant dans son cul, les secousses du jus qui jaillit à flots continus dans la matrice comblée. Angel est restée consciente jusqu'au dernier moment, prenant véritablement un pied comme elle n'en a jamais connu de sa vie.
Je suis heureux de pouvoir lui faire découvrir ce bonheur charnel, que pendant très longtemps, j'ai rêvé de lui procurer. Mais nous sommes tous fatigués par la course que nous venons de mener et nous nous endormons enchevêtrés les uns dans les autres, nos mains indistinctement posées sur des seins, des verges ou enfouies dans un vagin…
À suivre…
Angel, Franck et Katte se mélangent d’abord à trois, puis à quatre avec l’amant de passage qui prend Angel devant Franck comblé. Puis, les deux femmes s’occupent de Franck et se mélangent de nouveau en trio. Lorsque soudain, Roland, le jeune amant de Katte apparaît.
À tour de rôle nous découvrons l'homme qui regarde ébahi le spectacle lubrique qui se déroule sous ses yeux. Angel est morte de honte, tétanisée par la vue du jeune homme qu'elle a vu souvent avec son amie. Je suis un peu embarrassé, mais j'attends calmement la réaction de la maîtresse de maison. Celle-ci est la dernière à découvrir la présence de son jeune amant. Elle lui sourit et l'apostrophe sans aucune gêne.
• Eh Bien ! Mon chéri tu tombes bien. - Après tous ces en-cas, j'ai une envie folle que tu m'entres ta grosse verge dans la chatte. - Allez ! - Qu'attends-tu ? - Viens vite j'ai envie de toi. - Tout de suite, ne fais pas de manière devant nos amis. - Allez viens mon chéri, j'en ai trop envie !
Roland, qui a d'abord eu une légère hésitation, se décide soudainement. En un tour de main il se débarrasse de ses vêtements et c'est intégralement nu qu'il nous rejoint sur le lit, enfonçant prestement son dard dans la vulve de sa maîtresse. Celle-ci vocifère sa joie d'être autant garnie. Devant ce spectacle libidineux, je sens à mon grand étonnement ma verge qui durcit à nouveau.
Je ne perds pas de temps, de peur qu'elle ne perde sa rigidité, j'écarte les cuisses de mon épouse et j'introduis mon membre encore ferme dans sa chatte accueillante. Il y a plus de quatre ans que je n'ai pas copulé, aussi je m'enfonce avec délice dans la chair qui s'ouvre sous mon gland, glissant lentement jusqu'au fond de la matrice, puis je me retire doucement dans un va-et-vient délicieux.
Angel s'emboîte parfaitement contre mon vit qui nous rapproche. Elle n'a apparemment plus d'inhibition, excitée certainement par les corps si proches de nos amis qui en s'agitant l'un dans l'autre, nous effleurent de leurs membres, leurs corps se rapprochant, se frottant littéralement contre nous, électrisant nos sensations par ces contacts furtifs.
Angel se donne maintenant sans aucune retenue, criant des mots sans suite, projetant son ventre contre le mien, intensifiant encore ma propre jouissance mais accélérant aussi la sève que je sens monter irrémédiablement dans mon canal urétral. Angel a déjà ressenti plusieurs orgasmes lorsque je décharge mon sperme au fond de sa matrice et que je m'abats sur elle épuisé. Elle m'embrasse profondément en me lançant.
• Oh ! - Merci mon amour. - Merci. - Merci. - Je suis si heureuse. - Je t'aime. - Je t'aime.
Pendant ce temps, Roland avec toute la vigueur de sa jeunesse continue à pilonner la plantureuse Katte qui crie aussi sa joie de se faire aussi bien baiser. Angel regarde sans détourner les yeux le couple qui copule à côté de nous. Elle examine même avec attention le corps du beau Roland qui s'agite sur sa meilleure amie. Je suis sûr qu'elle pense à ce moment qu'elle ferait bien l'amour avec lui. Aussi pour la taquiner je lui glisse à l'oreille.
• Ma chérie ! - Je suis certain que tu penses en ce moment que tu te ferais bien le petit ami de ta copine. - Il a une belle queue, bien rigide qui te ferait un bien fou dans ton petit con, tu ne crois pas ?
Mon épouse est de toute évidence troublée par l'exhibition du couple qui fait l'amour sous ses yeux et par les propos obscènes que je viens de lui adresser. Elle me glisse d'abord offusquée.
• Tu es vraiment vicieux, tu crois que je veux faire l'amour avec l'ami de Katte, tu me connais mal. - Oh ! - Eh ! - Puis zut ! - Bien sûr que j'en ai envie. - Après m'avoir entraînée dans ta débauche et dans la dépravation la plus complète, avec en plus toutes les horreurs que tu m'as fait découvrir, je suis en train de devenir une femme indigne et immorale. - Mais mon Amour ! - J'avoue ! Oui j'ai encore envie de jouir, de jouir encore et encore. - Il y a trop longtemps que tu me prives d'amour, tant pis pour toi, je ne vais plus pouvoir m'en passer maintenant.
À ce moment, des applaudissements retentissent au grand émoi d'Angel qui ne s'est pas aperçue que nos deux amis écoutaient de toutes leurs oreilles les propos enflammés de la nouvelle révélée. Mais Katte la rassure rapidement en la prenant dans ses bras alors que Roland est toujours enfoui en elle.
• Allons ma chérie ! - N'aie aucune honte à désirer un autre homme, d'ailleurs je ne suis pas jalouse et Roland se retient encore, tu vas pouvoir en profiter.
• Non ! Pas ça, tu es folle. Pas comme ça. Oh ! Non. Nooooon !..... Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaahh !.. Ooooh ! Oui ! Ooooh ! Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
Roland a dégagé sa verge de la vulve de sa maîtresse et aussitôt, alors que Katte et moi tenions fermement les cuisses d'Angel bien écartées, il s'est frayé un passage dans l'ouverture bavante de mouille, plongeant son gros mandrin jusqu'à l'utérus, arrachant à mon épouse un feulement de douleur et de plaisir confondus. Il s'est mis à genoux et tout en relevant les cuisses de sa partenaire, il entre son dard avec vigueur, pilonnant le vagin qui n'a pas été à pareille fête depuis longtemps.
Katte s'est accroupie au-dessus du visage de son amie lui offrant sa chatte à gouiner. Angèle sort sa langue et lèche le vagin ainsi que la liqueur qui ruisselle pendant que Katte lui agace ses bouts de seins. Je me sens un peu délaissé, aussi me disposant derrière Roland, je regarde le mandrin entrer et sortir de la vulve de mon épouse. Son cul est bien dégagé et je ne peux m'empêcher, après avoir enduit deux de mes doigts de salive de creuser un cratère dans la rosace qui d'abord se rétracte alors qu'Angel crie.
• Non ! Pas ça. Je t'en supplie. Pas dans mes fesses. Non ! Non ! Aaarrrrrrrr! ...Nooooooooooonn.... aarrrrrrrr !...! Aaaaarrrrrrrrrr......
Il est trop tard, car j'ai percé l'anneau du sphincter avec l'index et le majeur réunis. Mes deux doigts viennent racler son conduit rectal, tâtant à travers la mince paroi le pénis de l'homme qui s'engouffre méthodiquement dans le vagin marital.
Angel après quelques sanglots s'est tue, elle accepte maintenant sans déplaisir cette double intromission, car elle feule de nouveau de contentement, alors que tout son corps se tend à la rencontre de la bite et des doigts qui fouillent ses deux orifices. Pendant de longues minutes, nos quatre corps ne font qu'un, se frottant, se baisant, s'enculant et se gouinant pour se donner le maximum de plaisir.
Lorsque Roland décharge son foutre dans le vagin de ma femme, je sens presque, sous les trois doigts que j'ai introduit maintenant dans son cul, les secousses du jus qui jaillit à flots continus dans la matrice comblée. Angel est restée consciente jusqu'au dernier moment, prenant véritablement un pied comme elle n'en a jamais connu de sa vie.
Je suis heureux de pouvoir lui faire découvrir ce bonheur charnel, que pendant très longtemps, j'ai rêvé de lui procurer. Mais nous sommes tous fatigués par la course que nous venons de mener et nous nous endormons enchevêtrés les uns dans les autres, nos mains indistinctement posées sur des seins, des verges ou enfouies dans un vagin…
À suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Impossible pour moi de ne pas rêver une telle situation. Merci Vieulou
E
E
ça se corse pour Angel, c'est toujours un véritable plaisir de lire un texte de Vieulou.
Galona
Galona
Une merveille VieuLou pas d'autres mots à ajouter
B.
B.