Titre de l'histoire érotique : Un mariage plutôt sympa - 2
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Un mariage plutôt sympa - 2
Chapitre 2 : La nuit de noce.
Nous venions juste de laisser Marielle devant chez elle et Gisèle nous proposais de finir la nuit avec elle à notre hôtel… Que demander de plus le soir d’un si beau mariage, si bien commencé…
L’hôtel était à deux rues de la maison de Marielle et nous y arrivâmes très vite. Comme c’était un petit hôtel d’une petite ville de province, il n’y avait pas de gardien. Non, la propriétaire nous avait donné la clé de la porte d’entrée et celles de nos chambres respectives à Georges et à moi. Elle savait que nous rentrions tard et nous avait dit qu’ainsi, ce serait plus commode… Donc de ce côté-là tout allait pour le mieux : Gisèle nous avait demandé la discrétion la plus absolue sur son escapade, relativement à la petite ville où elle était évidemment très connue,… et mariée !
Nous sommes entrés dans bruit et avons monté l’escalier avec précaution. A 5h 30 du matin il fallait se faire le plus discret possible. En réalité, je crois que nous étions à peu près seuls dans l’hôtel… Nous entrons dans ma chambre. Si nous avons choisi la mienne, c’est qu’elle se trouve au bout du couloir et contigüe à celle de Georges, ainsi nous étions à peu près tranquilles concernant le bruit possible de nos ébats.
Sans perdre de temps, malgré l’heure tardive (ou avancée !) et surtout malgré la fatigue de nos ébats passés, nous enlaçons la belle Gisèle, la prenant debout, entre nous deux. Ces instants où l’on sent le corps d’une femme enlacé par deux hommes ensembles, sont des moments particuliers et passablement érotiques ! D’expérience, je savais que les femmes qui aiment l’amour apprécient tout particulièrement cette situation. Frottée, pelotée, embrassée, caressée, lutinée, par devant et par derrière en même temps, la femme se sent grisée, transportée, soulevée, envolée… C’est là une sensation forte à retrouver le plus souvent possible et à utiliser sans modération !
Cette position devait plaire à Gisèle car nous l’avons tenue ainsi un long moment debout entre nous deux. J’étais devant, plaqué à son corps souple et chaud, une main passée sous sa robe et dans son string, lui caressant d’un doigt le clitoris et le haut de la fente, tantôt lui roulant des pelles profondes, tantôt lui embrassant les seins que Georges par derrière, lui soutenait d’une main…
Derrière elle, Georges lui, la tenait embrassée dans ses bras, d’une main il lui pelotait les seins qu’il avait sortis du soutien gorge, de l’autre, passée sous sa robe et engagée dans le string, il lui caressait l’œillet. Il lui passait aussi sans doute un doigt dans le trou à baiser, car de temps à autres, ma main qui caressait le pubis et le clito de la belle, rencontrait celle de Georges. En alternance avec moi, il l’embrassait profondément lui aussi, quand elle renversait la tête et lorsque j’avais mes lèvres sur les siennes, il lui embrassait le cou, caresse qu’une femme adore lorsqu’elle est ainsi lutinée… Gisèle aimait l’amour, cela transpirait par toute sa peau et par tous ses gestes. Elle frottait ses superbes fesses sur le braquemart tendu de Georges, dont elle caressait, par derrière elle, la tige à travers le tissu. De sa main gauche, elle me pelotait le torse. Elle appliquait sa cuisse gauche sur le haut de ma jambe, et ainsi me bloquait la bite et les couilles contre elle. On la sentait commencer à fondre. C’est vrai que cette position est excellente pour l’érotisation des corps et des sens…
Dans son dos, Gisèle avait sorti la verge gonflée de Georges qu’elle branlait sur son côté droit avec de lents va-et-vient. Toujours dans notre position debout, elle avait monté son pied gauche sur une chaise, ce qui donnait un bien meilleur accès à sa longue fente. Je descendis ma main à sa foufoune pour la caresser et lui enfiler un doigt dans le trou. Sa vulve était déjà onctueuse de sa mouille qui commençait à couler du trou largement ouvert. J’y entrais deux doigts sans problème que je commençais à tourner et à faire aller et venir…
-" Ah oui… Branle-moi bien chéri… Tu sais que j’aime avoir mon joli trou bouché, coûte que coûte et par un beau calibre…" De sa main gauche, elle avait saisit mon engin et le pétrissait à travers le pantalon, dont je lâchais la ceinture. Le futal glissa doucement à mes pieds. Lestement, elle entra sa main dans mon slip et prit bien en main la bite dressée… Je vis que Georges faisait de même et laissait ainsi libre accès à la grande Gisèle, qui le prit en main immédiatement lui aussi Elle branlait donc les deux bites en même temps.
Je m’enhardis et mis un troisième doigt dans le trou ouvert. Cela ne la dérangea pas le moins du monde et même je dirais que cela lui fit apparemment peu d’effet… J’introduisis le quatrième. Et toute la pointe de ma main pénétra, le pouce restant appuyé sur le clitoris.
-" Oh, oui… Vas-y mon grand, ça me fait du bien… C’est bon, vas-y rentre tout… toute la main, je t’en prie ! Toute la main !!... " J’accédais à sa demande et retirant un peu ma main de l’orifice baveux, je réunis le pouce aux quatre doigts que je présentait au trou. La blonde fléchit un peu la jambe qui reposait par terre, remonta un peu le pied qui était sur la chaise et à ma grande surprise, toute ma main entra sans rencontrer aucune résistance, presque jusqu’au poignet. Geneviève était fistée !
La grande salope avait ce qu’elle souhaitait depuis le début de la soirée : se faire mettre une main entière dans son trou de coquine ! J’ouvris alors doucement ma main et commençais à la tourner dans la cavité, dont je touchais (enfin !) le fond du bout des doigts. Toujours très doucement pour ne pas la blesser, je fermais les doigts et les ouvrais alternativement tout en effectuant avec ma main une rotation d’un demi-tour. La garce commençait à jouir. C’était pour moi une sensation bizarre, j’avais l’impression que mes doigts manœuvraient dans une espèce de mélasse, fait de mucus assez consistant et de liquide plutôt visqueux. En avant et à l’entrée de la grotte, je sentais sur mon poignet commencer à couler une liqueur chaude de son pipi trou…
Comme pour la fister bien à fond, j’avais dû me pencher en avant la tête au niveau de son pubis, elle avait lâché ma bite. De ma main libre je me branlais doucement tant l’excitation était forte… Georges aussi avait modifié sa position : il s’était accroupi sous les cuisses ouvertes de la grande blonde et il lui avait mis un doigt dans le fion, tandis qu’il lui passait sa langue dans la raie des fesses, juste au-dessus de l’œillet enfilé. Là encore, cette caresse subtile de la langue sur le haut de la raie, faite à une femme qui a les trous bouchés, cela n’a l’air de rien, mais contribue grandement à la jouissance… D’ailleurs, la jolie garce jouissait maintenant. Dans l’antre, ma main naviguait dans un jus complexe et plus en plus onctueux, tandis que des jets brûlants de cyprine m’inondaient le bras d’où ils finissaient par goutter sur la moquette…
- " Ah, oui… Continuez petits salauds, vous me faites du bien… Ah putain que j’aime ça, qu’on s’occupe de mes trous… Ohhhh, ouiiii… Franck, mon joli, occupe-toi aussi de mon clito… Vas-y chéri, lèche-le ! Lèche-le, il en a tant envie !!... "
Vous l’aurez compris, Franck, c’est moi. Je me mettais à genoux devant elle et j’appliquais ma bouche au-dessus de ma main fisteuse, sur le haut de sa fente distendue. Le clito était sorti des nymphes et bandait énormément. Il est vrai, me dis-je, qu’il doit avoir besoin de quelque chose. Je l’ai déjà dit, elle a là un bouton plutôt énorme… Le nez appliqué sur sa toison peu abondante, j’aspirais entre mes lèvres le clito qui me paraissait bien plus gros qu’un noyau de cerise… De ses deux mains la coquine m’appuyais la tête sur son pubis… Mon menton frottait sur mon bras. Je sentais la liqueur chaude ruisseler sur la pointe de mon menton. A chaque coup de langue la cyprine remontait jusqu’à ma bouche. La salope déchargeait et en même temps fléchissait sur ses jambes. Georges avait enlevé son doigt de la rosette. De ses deux mains il lui écartait au maximum les fesses et dardait sa langue dans le trou du cul. La garce jouissait en blasphémant comme à son habitude :
- " Oh putain… Ca fait du bien !!... Il y a longtemps que je n’ai pas été enfilée et sucée de partout comme ça !... J’aurais voulu que le Bon Dieu me fasse putain ou bonne sœur… J’en ai connu une qui disait, que dans son couvent il y avait des parties de baise infernale avec les jeunes moinillons !!... Oui… Vas-y chéri, tourne bien ta main… Fais-moi décharger encore !!... Oh oui, oui… C’est bon !!... Vous allez me baiser après, hein… Vous allez me prendre ensemble que je puisse pisser mon foutre… Oh putain, allez-y !...allez-y !!... "
La grande blonde n’arrêtait pas de décharger. Au point que tout en la fistant à fond, je me demandais si elle aurait assez de foutre pour en sortir encore… En attendant elle n’arrêtait pas ! Georges s’était relevé de sa position et reprenant en main son braquemart très bandé, il lui passait le bout de sa bite dans la raie des fesses et sur le trou du cul. Je sentais son gland effleurer mon bras à chaque aller et retour du membre.
Un moment, le va-et-vient s’arrêta, il était en train de lui mettre sa bite dans le petit trou. D’une main, elle s’écartait une fesse et faisait des mouvements du bassin pour faciliter la pénétration du bout. Georges dut humecter son vit de salive à plusieurs reprises. Enfin il parvint à enter dans l’anus qui goba le gland d’un coup. Le reste du mandrin mit plus de temps à entrer complètement. Enfin il fut dans la place. Georges pliait un peu les genoux pour donner à sa bite le bon angle pour pénétrer. Il commençait un va-et-vient dans le cul de la grande Gisèle, que ses coups de reins envoyaient sur moi ce qui augmentait la profondeur du fistage. Sous les coups de bélier de Georges, il me devenait impossible de continuer à sucer le gros clito de la coquine. Me reculant, je pouvais voir par-dessous la chatte ouverte de Gisèle, les couilles de mon copain se balancer à contretemps des poussées. Je sentais à travers les parois intimes de la grande salope le bout de la bite de Georges passer et repasser au niveau de mon poignet et pistonner les entrailles. La jolie femelle était enculée. De temps à autre, approchant ma bouche de sa chatte, je donnais quelques coups de langue subtils au clitoris qui bandait à fond. Cela la faisait décharger de plus bel sur mon bras… Entre deux râles elle dit à Georges :
- " Mon grand, ne décharge pas maintenant… Je voudrais tant que vous me baisiez bien à fond tous les deux ensembles… Oh oui, putain ! Je n’ai pas eu mon compte de bites… Surtout en ce moment j’ai besoin d’en avoir ! Et vous êtes là à deux ! C’est super ! Baisez-moi !… Baisez-moi bien !!... "
Très doucement elle commença à se relever de sa position cuisses très écartées et fléchies en poussant sur ses jambes. Georges la décula et je sortis très lentement ma poing et mon poignet de son vagin. Du trou ouvert qui restait béant, des gouttes et quelques filets de mouille s’échappaient. Mon bras était englué dans un manchon translucide de mucus blanchâtre, mêlé à de la cyprine plus liquide et transparente. De ma vie je n’avais jamais vu cela. Baissant la jambe qu’elle avait sur la chaise, elle se pencha sur mon avant-bras qu’elle prit et qu’elle me lécha avec délectation. Cela non plus je ne l’avais jamais vu faire à une femme. Sucer et déguster ses propres sécrétions ! Puis elle se retourna et prit en bouche la bite de Georges qui sortait toute chaude de son cul. Elle la suça et la pompa se délectant là encore de son propre jus. La garce décidément insatiable, continuait en même temps de se branler d’une main. Je filais rapidement à la salle de main me débarrasser de mon manchon de cyprine sous le robinet du lavabo…
Lorsque je revins dans la chambre, Gisèle faisait allonger Georges sur le lit, le dos sur le couvre-lit, la bite bien dressée. Elle l’enjamba à l’envers, ses fesses sur le ventre de Georges pour avoir la bite devant elle au milieu de ses cuisses ouvertes. Elle prit le membre bandé et le passa à plusieurs reprises dans sa fente mouillée. Puis du bout du gland, elle se lustra l’œillet et se l’enfila rapidement dans le cul. La bite entra presque complètement sans aucune résistance. Enfilée au cul, a salope fit elle-même quelques va-et-vient sur le pieu.
-" Oh putain, c’est toujours aussi bon !… Une pine dans le cul, c’est merveilleux ! Les femmes qui ne connaissent pas ça, ne savent pas ce qu’elles perdent, les salopes ! Rien n’est aussi bon ! Et toi mon chéri, tu encules superbement ! ". Puis me faisant signe, elle ajouta :
- " Viens mon chéri… Franck, viens me baiser ! J’aime aussi ça tu sais !!… " Tandis que j’obéissais et que je présentais ma verge toujours bandée à son trou de femme, je me demandais si après lui avoir mis mon bras elle allait encore pouvoir sentir ma bite ! Elle se la passa quelques instants dans la fente, depuis le niveau de la hampe de Georges, jusqu’à son clitoris. Surtout son clitoris, qu’elle prit bien le temps de faire reluire. Puis elle s’enfila elle-même mon membre dans son trou à bites, me demandant de pousser bien à fond. J’eus l’impression que mon sexe se noyait dans une cavité trop vaste pour lui… A coups sûrs, je ne devais pas toucher pas les parois. Pourtant lorsque Georges commença ses va-et-vient dans le cul de la belle, je sentais son braquemart bouter la paroi que ma propre bite frottait de son côté. La blonde Gisèle geignait :
-" Ah mes salauds… Allez-y doucement mais fermement que je sente bien vos bites ensemble passer et repasser sur mes parois !... Là comme ça… Ralentissez maintenant et appuyez bien fort vos pines !! Oh putain, je voudrais que ça ne s’arrête jamais !!... Je bande… Je bande et je jouis !… Oh c’est bon c’est bon !!..." En effet la salope déchargeait et me mouillait abondamment la racine de la bite. Je sentais que j’allais rendre les armes et lâcher mon foutre moi aussi. Gisèle avait dû le sentir car elle s’écria :
-" Arrêtez ne déchargez pas !! Pas déjà !... Ce n’est pas cela que je veux !… C’est vos deux bites dans le trou fait pour ça !! ". Et disant cela d’un brusque coup de rein elle se décule du vit de Georges dont elle se saisit prestement et se l’enfonce dans le con, juste en dessous de ma bite à moi… La coquine se prend les deux bites dans le même trou !
-" Ah, oui !! Oui ! C’est que j’aime par-dessus tout ! Deux bites ensemble !... Il n’y a rien de meilleur !! Allez-y mes salauds bougez !! L’un sort quand l’autre rentre ! Oh j’aime ça ! Allez-y bien à fond !! Ouiiii… Maintenant entrez les deux ensemble !! Oui, comme ça !... "
La cochonne jouissait… Et moi, allumé par les frottements tant sur des parois du vagin que sur la bite de Georges, je ne puis tenir plus longtemps et je lui crépissais la matrice d’une longue décharge en trois ou 4 jets, la bite tendue à l’extrême…
-" Salaud, préviens quand tu décharges !! Tu sais que je ne veux pas en laisser perdre !!... Et toi ne décharge pas maintenant, dit-elle à Georges, prends moi vite derrière que je sente ton sperme chaud couler dans mon cul !... " Disant cela, elle se désenconna de la bite de Georges qu’elle s’enfila prestement dans le cul. Le vit entra à fond et y déchargea longuement avec des soubresauts. Il était temps !...
- " Et toi, viens dans ma bouche que je te suce et que je pompe le reste de ton jus… " Ce que je fis. Ma verge commençait déjà à se ramollir… Je me remontais sur elle et je lui mon chibre sur ses lèvres. Elle l’enfourna et la pompa avec avidité.
- " Oh oui… J’aime je retrouve le goût de ma chatte en même temps que ton jus de mâle ! C’est bon ! Oh, oui, c’est bon !!… " La garce se délectait et se barbouillait de nos sécrétions. Le vit de Georges lui aussi devenait de plus en plus flasque. Il était sorti du cul de la grande blonde et reposait, inerte sur le côté près la cuisse de la femme. Sentant que la bite avait quitté son cul, tout en continuant à me pomper, elle descendit une main à sa rosette. Elle prit au bout de ses doigts du sperme de Georges mêlé à son propre jus ; elle remonta sa main à sa bouche et laissant ma bite, elle suça ses doigts se régalant une nouvelle fois des substances odorantes !
Puis la belle salope se dégageant de Georges, me prit la tête dans ses deux mains et se mit en rouler des patins mouillés et profonds. J’en eu presqu’un haut-le-cœur tant je suis allergique à toutes les sécrétions venant de la baise… Surtout les miennes et celles de mes congénères mâles ! Je me dégageais rapidement à mon tour et filais à la salle de bain où je bus directement au lavabo, une grande goulée d’eau claire qui me fit du bien.
Gisèle, était en train de s’occuper de Georges ou plutôt de sa verge. En vain car celle-ci restait désespérément flasque et particulièrement résistante à tout relèvement de sa part ! Même s’il était 5 heures du matin et que la nuit avait été longue, la belle garce en voulait encore :
-" Mais vous n’allez pas me laisser tomber... Ce n’est pas tous les jours que je peux avoir deux beaux mecs correctement montés pour me faire du bien !! Alors on en profite, hein !!… " Elle me signe de revenir sur le lit. Elle s’allongea sur le dos, remonta ses jambes en ouvrant bien grand ses cuisses et nous montra sa moule très longue et très large, aux belles lèvres, grandes et petites, bien développées, comme j’ai eu l’occasion d’en parler plus haut… Elle nous fit mettre de chaque côté de ses hanches. J’étais à sa droite et Georges à sa gauche. Elle voulait voir nos bites pendant qu’elle se masturberait.
-" Franck chéri, me dit-elle, va chercher dans mon sac à main, mon dong… Regarde bien, il est tout au fond, dans la doublure du fond… C’est mon plus fidèle compagnon…" J’allais effectivement chercher l’objet. Le sac à main était immense, un peu à l’image de sa propriétaire. Comme dans tous les sacs des femmes, il y avait de multiples objets et choses dont je me suis toujours demandé à quoi tout cela pouvait être utile ! Je trouvais enfin dans une petite poche ménagée dans la doublure, une sorte de gros plug, pas très souple, assez lourd et dont une extrémité était bien renflée. L’objet avait la forme d’une grosse matraque. Je l’apportais à Gisèle, toujours écartée sur le lit
- " C’est ma matraque !... J’ai fait croire à mon mari que c’était une matraque pour me défendre comme il me laisse souvent seule. Mais en réalité, c’est un gros gode… Tenez regardez ! " Elle prit en main l’objet par le petit bout et commença à se caresser le clitoris et l’entrée du con avec le bout renflé… La belle garce se branlait doucement en prenant un grand plaisir à le faire et à faire monter sa jouissance de façon calculée…
- " Ah, putain… Vous ne pouvez pas savoir comme c’est bon !... J’ai besoin de vous voir vous branler juste à côté de moi comme ça !... Même si vous ne bandez pas bien, branlez-vous j’ai besoin de ça pour m’accompagner… J’en ai marre de me faire ça toute seule tous les jours devant des films pornos… Aujourd’hui j’en profite… J’en profite pour me faire baiser partout et me branler aussi !... Oh oui, ça c’est bon … C’est bon… " Elle s’était enfilé le gode dans le trou à bites où il avait presque complètement disparu. D’une main, elle le faisait aller et venir dans sa matrice et de l’autre elle frottait et se titillait le clitoris… Elle se branlait bien à fond devant des hommes qui en faisaient autant. Pour elle c’était le pied suprême…
- " Viens mon joli, me dit-elle viens te branler et mettre le bout de la bite sur mon téton… Là oui comme ça… Que je puisse aussi sucer ton gland de temps en temps… Cela me fait du bien de voir et de sucer pendant que je me branle comme une salope !... " Je voyais sa liqueur commencer à s’épancher au-dessus du gode qu’elle manœuvrait de plus en plus rapidement. Je recommençais à bander en doutant cependant de la tenue et de la dureté de mon membre. Je lui massais le téton droit avec mon gland. De temps à autre, elle gobait le bout de mon vit et l’aspirait vivement en grognant de plaisir… Je sentais son orgasme monter. Je me disais qu’elle ne pourrait aller au bout après une nuit pareille et autant de décharges à son actif depuis hier soir ! Et pourtant je voyais son bassin se soulever doucement au rythme de son godage. Elle appela Georges :
- " Viens mon grand, mets-moi ta bite sur le clito… Juste là où j’écarte mes lèvres… Oh, oui… Oui, là comme ça ! Frotte-moi le bouton d’amour, chéri… Oh putain, je ne vais pas tenir longtemps… je sens que je vais venir !... Je sens que oui !!... " Elle se cambrait et s’arcboutait sur ses pieds et ses épaules, les fesses et les reins décollés du lit, s’enfonçant à fond le gode au fond de la matrice…
-" Mets moi ton doigt dans le cul, dit-elle à Georges… Vas-y vite ! Prends le cul ! Je viens !!… Je viens !!… Déchargez aussi !!... "
Dans un dernier soubresaut son corps se tendit comme on bande un arc, son vagin expulsa le dong et elle déchargea deux ou trois jets énormes et violents qui allèrent bien au-delà du pied du lit ! Après 3 secondes où elle resta ainsi suspendue et tendue, la salope retomba le dos sur le lit, vaincue par sa propre jouissance. En même temps qu’elle ou presque, je déchargeais un mince filet de foutre sur la pointe de son téton… Il faut dire que je n’avais plus de jus dans la lampe. Georges aussi y alla de son reliquat de décharge et n’en mis pas beaucoup plus que moi sur le pubis de la belle. Les cuisses toujours ouvertes sa chatte ruisselait de mouille qui s’épanchait désormais en nappes peu abondantes mais continues. La grande Gisèle restait affalée, l’intérieur des cuisses encore frémissant des spasmes de sa jouissance. Nous restâmes ainsi deux ou trois minutes sans bouger à regarder son trou béant dégoulinant de mouille.
Le jour était maintenant en train de se lever. Il était 6 heures du matin. Nous étions Georges et moi, rompus et vidés, et pourtant, malgré la fatigue pas question de se coucher. Trop tard ! Ou top tôt !... Nous sommes allés tous les trois ensembles sous la douche Ce fut encore autre grand moment fait de langottages des seins de la grande Gisèle et d’attouchements de clito, de fion et de bites. Elle avait demandé à ce que nous la tenions chacun sous une jambe dans la douche, les fesses très écartées au-dessus du vide. Et là dans cette position, elle a uriné longuement. Sa vulve présentait des lèvres turgescentes et rouges de nos attouchements de la nuit. Dans l’ouverture de sa moule très ouverte elle nous donnait à voir la papille de son pipi-trou très dilatée et large d’où s’échappait l’ondée dorée.
- " Il n’y a rien que j’aime comme ça : donner à voir à des hommes qui bandent, ma chatte bien ouverte qui pisse ! C’est comme quand je me branle le seul fait de savoir que je suis regardé m’excite énormément et me fait bander… Penchez-vous et regardez bien : je pisse pour vous !… "
C’était vrai que la grande garce prenait du plaisir à cette exhibition, car pendant cette miction longue et interrompue, le clito était bien ressorti et se rengorgeait constamment, alors qu’un liquide un peu blanchâtre, qui n’était pas de l’urine, sortait à la base de son trou et tombait goutte à goutte de son con ouvert. Elle pissa ainsi un long moment, puis les jets faiblirent. Il y en eut encore 2 ou 3 en rappel plus brefs et moins intenses, puis les dernières gouttes se dissipèrent dans les lèvres et le trou. Reposant ses pieds dans la douche, elle me fit accroupir à ses pieds, puis relevant une jambe, elle me coiffa de son entrejambe ruisselant d’eau en me demandant :
- " Suce-moi mon joli, viens me pomper le reste de pisse… J’adore être léchée quand j’ai pissé… Ta langue est bonne, vas-y, entre la bien dans le trou de ma chatte… Huuummm c’est bon !... Et toi Georges passe-moi le bout ta bite sur le petit trou de mon cul… Ah, oui… Comme ça… Mets-le juste à l’entrée de mon cul… Juste là, à la porte du ciel !… Oh, oui !... ".
Je léchais la putain bien à fond, le nez frottant son clito, ma langue bien enfoncée dans le trou à bites. Mon menton frottait la hampe de l’engin de Georges, qui lui passait son gland sur la rosette. Georges lui tenait la jambe levée de sorte que j’avais la tête dans le compas de ses cuisses. J’entendais à ses râles et ses soupirs que la grande coquine appréciait nos caresses… Je sentais son plaisir monter. De ses deux mains elle m’appliquait plus fortement sur sa connasse ouverte et elle se frottait de plus en plus fort en tournant son bassin et ses fesses sur mon visage mais aussi sur la bite de Georges. D’une pierre deux coups !
- " Ah, mes salauds, vous savez faire reluire une femme vous !... Ah, putain continuez !… N’arrêtez pas !… Frottez-moi bien le cul et la fente… Oh, oui, comme ça… Oui !!...
Là maintenant, toi mets-moi ta bite dans le cul … Oui, dans le cul… Encule-moi mon joli !... Vas-y enfonce-toi bien !!... " Elle fit un mouvement vers le haut pour avaler le membre dans son cul. Mouvement par lequel sa fente m’échappa un instant. Puis elle se plaqua de nouveau sur ma bouche et mon nez. Je happais son clito entre mes lèvres et le suçais, tandis que je lui mettais deux doigts dans le trou du con, là où ma langue l’avait fouillée… La pute éclata et ce fut un déluge de liqueur et d’insanités dans ses propos. Elle déchargeait comme une folle. En dessous j’étais couvert de son foutre chaud. Elle s’enculait elle-même sur le pieu de Georges et dans les mouvements qu’elle faisait, elle se frottait plus encore sur ma face inondée, ce qui redoublait sa jouissance et sa décharge de cyprine… Enfin, je sentis que juste au-dessus de mon menton, Georges à son tour larguait son foutre dans le cul de la belle, où il devait lui envoyer de longues et bonnes giclées…
Mais nous n’en avions pas fini ! Il lui en fallut encore ! C’était sans compter avec l’insatiabilité de Gisèle. Quand Georges eut déchargé, et qu’il se soit retiré de son cul, elle s’est accroupie dans la douche. Elle a poussé sur son cul pour expulser le foutre de son enculeur et a voulu s’en régaler… Elle recueillait au bout de ses doigts, qu’ensuite elle suçait avec application et gourmandise. Puis pour terminer, alors qu’elle était encore accroupie, elle a voulu qu’on lui urine dessus :
- " Oh oui, dit-elle, j’aime beaucoup voir les hommes pisser ! J’aime voir le trou par où ils déchargent quand ils me pissent dessus !... J’aime que leur pisse me coule sur les seins, entre les seins, coule sur ma chatte aussi !... Je me branle avec leur pisse… Il m’arrive même d’en boire un peu pour retrouver le goût de chaque mec… Franck, pisse-moi bien dans le bec ! Là comme ça… Putain que c’est bon ! C’est chaud… J’avale… A toi Georges !… C’est super, il y a un peu de ton foutre encore avec !… Les femmes qui n’osent pas ça, manquent beaucoup de choses !!... "
Nous nous sommes remis un moment sous la douche pour nous laver de tout…
A 10 heures du matin, je me pris à penser que, sans doute, mon neveu n’avait pas dû avoir une nuit de noces aussi belle et aussi agitée que la mienne !!
Epilogue.
Lorsque tous les trois, nous sommes revenus au mariage, il devait être près de 13 heures. Il faut vous expliquer que dans les mariages traditionnels et un peu huppés de province, les festivités de la noce durent 2 à 3 jours. La plupart des invités reviennent le lendemain pour, comme le veut la tradition, "manger les restes" !
Il y avait là de nouveau la belle Marielle, mais cette fois avec son mari. Lorsque je l’aperçus, mon cœur se serra. Je devais avoir eu le coup de foudre pour cette jolie femme rousse dont je vous ai parlé plus haut ! Lors de nos frasques à l’hôtel avec la grande Gisèle j’avais à plusieurs reprises, beaucoup regretté qu’elle ne soit pas des nôtres…
La revoyant ici, si belle encore et tellement désirable, je sentis ma bite se mettre à bander. Une magnifique érection que je ne pouvais en rien réprimer, et ce malgré la nuit que j’avais passée ! Lorsque je m’approchais d’elle pour la saluer, je vis furtivement qu’elle avait remarqué la bosse dans mon pantalon. Elle m’adressa un signe plein de sous entendus. Puis, lorsqu’elle se tourna pour embrasser Gisèle qui arrivait à sa hauteur, adroitement elle se frotta les fesses à ma protubérance, à travers le tissu. L’effet fut immédiat : je larguais dans le slip ce qui me restait de foutre de la nuit ! Hélas, j’avais un pantalon clair et très vite un cerne humide se forma au niveau de ma braguette. Je dus en vitesse ramener ma veste devant pour dissimuler la bosse mouillée aux regards des convives… Je remarquais que la belle Marielle, par contre n’était pas dupe, car je surpris son regard amusé sur mon geste. Elle m’adressa un sourire et un clin d’œil discret, qui scellèrent notre complicité…
Un peu avant le repas, elle s’arrangea pour glisser dans ma poche une petite carte. Elle y avait écrit de sa main :
" Mon chéri, j’ai vraiment beaucoup aimé ces moments trop courts avec toi… Je te donne l’adresse de l’hôtel où je descends à Paris. J’y vais assez souvent, seule ou en compagnie de Gisèle. Donne-moi ton téléphone et je t’appellerai lors de mon prochain voyage. Je t’embrasse partout.
Marielle."
Je m’arrangeais pour lui glisser mon téléphone…
Je l’ai revue, la belle Marielle et assez souvent je dois dire… Avec beaucoup de plaisir… Et je l’ai revue aussi avec la grande Gisèle ; toutes les deux ensembles… Ce fut là encore super !
Et là, lors d’une de ces rencontres, notre intimité grandissant, la rousse et belle Marielle, me fit une confidence. C’était une ancienne "fille de l’Est", comme on les appelle, elle avait "professé" à Milan, puis à Marseille, où lors d’une passe, elle avait rencontré son mari, un haut fonctionnaire qui s’était donné bonne conscience en voulant la sortir de là… Il n’empêche elle n’avait pu rompre complètement avec son ancienne vie. Elle avait besoin de temps à autres… d’autre chose ! "Chassez le naturel, il revient au galop…" et ce pour notre plus grand plaisir !
Mais cela, c’est une autre histoire…
Nous venions juste de laisser Marielle devant chez elle et Gisèle nous proposais de finir la nuit avec elle à notre hôtel… Que demander de plus le soir d’un si beau mariage, si bien commencé…
L’hôtel était à deux rues de la maison de Marielle et nous y arrivâmes très vite. Comme c’était un petit hôtel d’une petite ville de province, il n’y avait pas de gardien. Non, la propriétaire nous avait donné la clé de la porte d’entrée et celles de nos chambres respectives à Georges et à moi. Elle savait que nous rentrions tard et nous avait dit qu’ainsi, ce serait plus commode… Donc de ce côté-là tout allait pour le mieux : Gisèle nous avait demandé la discrétion la plus absolue sur son escapade, relativement à la petite ville où elle était évidemment très connue,… et mariée !
Nous sommes entrés dans bruit et avons monté l’escalier avec précaution. A 5h 30 du matin il fallait se faire le plus discret possible. En réalité, je crois que nous étions à peu près seuls dans l’hôtel… Nous entrons dans ma chambre. Si nous avons choisi la mienne, c’est qu’elle se trouve au bout du couloir et contigüe à celle de Georges, ainsi nous étions à peu près tranquilles concernant le bruit possible de nos ébats.
Sans perdre de temps, malgré l’heure tardive (ou avancée !) et surtout malgré la fatigue de nos ébats passés, nous enlaçons la belle Gisèle, la prenant debout, entre nous deux. Ces instants où l’on sent le corps d’une femme enlacé par deux hommes ensembles, sont des moments particuliers et passablement érotiques ! D’expérience, je savais que les femmes qui aiment l’amour apprécient tout particulièrement cette situation. Frottée, pelotée, embrassée, caressée, lutinée, par devant et par derrière en même temps, la femme se sent grisée, transportée, soulevée, envolée… C’est là une sensation forte à retrouver le plus souvent possible et à utiliser sans modération !
Cette position devait plaire à Gisèle car nous l’avons tenue ainsi un long moment debout entre nous deux. J’étais devant, plaqué à son corps souple et chaud, une main passée sous sa robe et dans son string, lui caressant d’un doigt le clitoris et le haut de la fente, tantôt lui roulant des pelles profondes, tantôt lui embrassant les seins que Georges par derrière, lui soutenait d’une main…
Derrière elle, Georges lui, la tenait embrassée dans ses bras, d’une main il lui pelotait les seins qu’il avait sortis du soutien gorge, de l’autre, passée sous sa robe et engagée dans le string, il lui caressait l’œillet. Il lui passait aussi sans doute un doigt dans le trou à baiser, car de temps à autres, ma main qui caressait le pubis et le clito de la belle, rencontrait celle de Georges. En alternance avec moi, il l’embrassait profondément lui aussi, quand elle renversait la tête et lorsque j’avais mes lèvres sur les siennes, il lui embrassait le cou, caresse qu’une femme adore lorsqu’elle est ainsi lutinée… Gisèle aimait l’amour, cela transpirait par toute sa peau et par tous ses gestes. Elle frottait ses superbes fesses sur le braquemart tendu de Georges, dont elle caressait, par derrière elle, la tige à travers le tissu. De sa main gauche, elle me pelotait le torse. Elle appliquait sa cuisse gauche sur le haut de ma jambe, et ainsi me bloquait la bite et les couilles contre elle. On la sentait commencer à fondre. C’est vrai que cette position est excellente pour l’érotisation des corps et des sens…
Dans son dos, Gisèle avait sorti la verge gonflée de Georges qu’elle branlait sur son côté droit avec de lents va-et-vient. Toujours dans notre position debout, elle avait monté son pied gauche sur une chaise, ce qui donnait un bien meilleur accès à sa longue fente. Je descendis ma main à sa foufoune pour la caresser et lui enfiler un doigt dans le trou. Sa vulve était déjà onctueuse de sa mouille qui commençait à couler du trou largement ouvert. J’y entrais deux doigts sans problème que je commençais à tourner et à faire aller et venir…
-" Ah oui… Branle-moi bien chéri… Tu sais que j’aime avoir mon joli trou bouché, coûte que coûte et par un beau calibre…" De sa main gauche, elle avait saisit mon engin et le pétrissait à travers le pantalon, dont je lâchais la ceinture. Le futal glissa doucement à mes pieds. Lestement, elle entra sa main dans mon slip et prit bien en main la bite dressée… Je vis que Georges faisait de même et laissait ainsi libre accès à la grande Gisèle, qui le prit en main immédiatement lui aussi Elle branlait donc les deux bites en même temps.
Je m’enhardis et mis un troisième doigt dans le trou ouvert. Cela ne la dérangea pas le moins du monde et même je dirais que cela lui fit apparemment peu d’effet… J’introduisis le quatrième. Et toute la pointe de ma main pénétra, le pouce restant appuyé sur le clitoris.
-" Oh, oui… Vas-y mon grand, ça me fait du bien… C’est bon, vas-y rentre tout… toute la main, je t’en prie ! Toute la main !!... " J’accédais à sa demande et retirant un peu ma main de l’orifice baveux, je réunis le pouce aux quatre doigts que je présentait au trou. La blonde fléchit un peu la jambe qui reposait par terre, remonta un peu le pied qui était sur la chaise et à ma grande surprise, toute ma main entra sans rencontrer aucune résistance, presque jusqu’au poignet. Geneviève était fistée !
La grande salope avait ce qu’elle souhaitait depuis le début de la soirée : se faire mettre une main entière dans son trou de coquine ! J’ouvris alors doucement ma main et commençais à la tourner dans la cavité, dont je touchais (enfin !) le fond du bout des doigts. Toujours très doucement pour ne pas la blesser, je fermais les doigts et les ouvrais alternativement tout en effectuant avec ma main une rotation d’un demi-tour. La garce commençait à jouir. C’était pour moi une sensation bizarre, j’avais l’impression que mes doigts manœuvraient dans une espèce de mélasse, fait de mucus assez consistant et de liquide plutôt visqueux. En avant et à l’entrée de la grotte, je sentais sur mon poignet commencer à couler une liqueur chaude de son pipi trou…
Comme pour la fister bien à fond, j’avais dû me pencher en avant la tête au niveau de son pubis, elle avait lâché ma bite. De ma main libre je me branlais doucement tant l’excitation était forte… Georges aussi avait modifié sa position : il s’était accroupi sous les cuisses ouvertes de la grande blonde et il lui avait mis un doigt dans le fion, tandis qu’il lui passait sa langue dans la raie des fesses, juste au-dessus de l’œillet enfilé. Là encore, cette caresse subtile de la langue sur le haut de la raie, faite à une femme qui a les trous bouchés, cela n’a l’air de rien, mais contribue grandement à la jouissance… D’ailleurs, la jolie garce jouissait maintenant. Dans l’antre, ma main naviguait dans un jus complexe et plus en plus onctueux, tandis que des jets brûlants de cyprine m’inondaient le bras d’où ils finissaient par goutter sur la moquette…
- " Ah, oui… Continuez petits salauds, vous me faites du bien… Ah putain que j’aime ça, qu’on s’occupe de mes trous… Ohhhh, ouiiii… Franck, mon joli, occupe-toi aussi de mon clito… Vas-y chéri, lèche-le ! Lèche-le, il en a tant envie !!... "
Vous l’aurez compris, Franck, c’est moi. Je me mettais à genoux devant elle et j’appliquais ma bouche au-dessus de ma main fisteuse, sur le haut de sa fente distendue. Le clito était sorti des nymphes et bandait énormément. Il est vrai, me dis-je, qu’il doit avoir besoin de quelque chose. Je l’ai déjà dit, elle a là un bouton plutôt énorme… Le nez appliqué sur sa toison peu abondante, j’aspirais entre mes lèvres le clito qui me paraissait bien plus gros qu’un noyau de cerise… De ses deux mains la coquine m’appuyais la tête sur son pubis… Mon menton frottait sur mon bras. Je sentais la liqueur chaude ruisseler sur la pointe de mon menton. A chaque coup de langue la cyprine remontait jusqu’à ma bouche. La salope déchargeait et en même temps fléchissait sur ses jambes. Georges avait enlevé son doigt de la rosette. De ses deux mains il lui écartait au maximum les fesses et dardait sa langue dans le trou du cul. La garce jouissait en blasphémant comme à son habitude :
- " Oh putain… Ca fait du bien !!... Il y a longtemps que je n’ai pas été enfilée et sucée de partout comme ça !... J’aurais voulu que le Bon Dieu me fasse putain ou bonne sœur… J’en ai connu une qui disait, que dans son couvent il y avait des parties de baise infernale avec les jeunes moinillons !!... Oui… Vas-y chéri, tourne bien ta main… Fais-moi décharger encore !!... Oh oui, oui… C’est bon !!... Vous allez me baiser après, hein… Vous allez me prendre ensemble que je puisse pisser mon foutre… Oh putain, allez-y !...allez-y !!... "
La grande blonde n’arrêtait pas de décharger. Au point que tout en la fistant à fond, je me demandais si elle aurait assez de foutre pour en sortir encore… En attendant elle n’arrêtait pas ! Georges s’était relevé de sa position et reprenant en main son braquemart très bandé, il lui passait le bout de sa bite dans la raie des fesses et sur le trou du cul. Je sentais son gland effleurer mon bras à chaque aller et retour du membre.
Un moment, le va-et-vient s’arrêta, il était en train de lui mettre sa bite dans le petit trou. D’une main, elle s’écartait une fesse et faisait des mouvements du bassin pour faciliter la pénétration du bout. Georges dut humecter son vit de salive à plusieurs reprises. Enfin il parvint à enter dans l’anus qui goba le gland d’un coup. Le reste du mandrin mit plus de temps à entrer complètement. Enfin il fut dans la place. Georges pliait un peu les genoux pour donner à sa bite le bon angle pour pénétrer. Il commençait un va-et-vient dans le cul de la grande Gisèle, que ses coups de reins envoyaient sur moi ce qui augmentait la profondeur du fistage. Sous les coups de bélier de Georges, il me devenait impossible de continuer à sucer le gros clito de la coquine. Me reculant, je pouvais voir par-dessous la chatte ouverte de Gisèle, les couilles de mon copain se balancer à contretemps des poussées. Je sentais à travers les parois intimes de la grande salope le bout de la bite de Georges passer et repasser au niveau de mon poignet et pistonner les entrailles. La jolie femelle était enculée. De temps à autre, approchant ma bouche de sa chatte, je donnais quelques coups de langue subtils au clitoris qui bandait à fond. Cela la faisait décharger de plus bel sur mon bras… Entre deux râles elle dit à Georges :
- " Mon grand, ne décharge pas maintenant… Je voudrais tant que vous me baisiez bien à fond tous les deux ensembles… Oh oui, putain ! Je n’ai pas eu mon compte de bites… Surtout en ce moment j’ai besoin d’en avoir ! Et vous êtes là à deux ! C’est super ! Baisez-moi !… Baisez-moi bien !!... "
Très doucement elle commença à se relever de sa position cuisses très écartées et fléchies en poussant sur ses jambes. Georges la décula et je sortis très lentement ma poing et mon poignet de son vagin. Du trou ouvert qui restait béant, des gouttes et quelques filets de mouille s’échappaient. Mon bras était englué dans un manchon translucide de mucus blanchâtre, mêlé à de la cyprine plus liquide et transparente. De ma vie je n’avais jamais vu cela. Baissant la jambe qu’elle avait sur la chaise, elle se pencha sur mon avant-bras qu’elle prit et qu’elle me lécha avec délectation. Cela non plus je ne l’avais jamais vu faire à une femme. Sucer et déguster ses propres sécrétions ! Puis elle se retourna et prit en bouche la bite de Georges qui sortait toute chaude de son cul. Elle la suça et la pompa se délectant là encore de son propre jus. La garce décidément insatiable, continuait en même temps de se branler d’une main. Je filais rapidement à la salle de main me débarrasser de mon manchon de cyprine sous le robinet du lavabo…
Lorsque je revins dans la chambre, Gisèle faisait allonger Georges sur le lit, le dos sur le couvre-lit, la bite bien dressée. Elle l’enjamba à l’envers, ses fesses sur le ventre de Georges pour avoir la bite devant elle au milieu de ses cuisses ouvertes. Elle prit le membre bandé et le passa à plusieurs reprises dans sa fente mouillée. Puis du bout du gland, elle se lustra l’œillet et se l’enfila rapidement dans le cul. La bite entra presque complètement sans aucune résistance. Enfilée au cul, a salope fit elle-même quelques va-et-vient sur le pieu.
-" Oh putain, c’est toujours aussi bon !… Une pine dans le cul, c’est merveilleux ! Les femmes qui ne connaissent pas ça, ne savent pas ce qu’elles perdent, les salopes ! Rien n’est aussi bon ! Et toi mon chéri, tu encules superbement ! ". Puis me faisant signe, elle ajouta :
- " Viens mon chéri… Franck, viens me baiser ! J’aime aussi ça tu sais !!… " Tandis que j’obéissais et que je présentais ma verge toujours bandée à son trou de femme, je me demandais si après lui avoir mis mon bras elle allait encore pouvoir sentir ma bite ! Elle se la passa quelques instants dans la fente, depuis le niveau de la hampe de Georges, jusqu’à son clitoris. Surtout son clitoris, qu’elle prit bien le temps de faire reluire. Puis elle s’enfila elle-même mon membre dans son trou à bites, me demandant de pousser bien à fond. J’eus l’impression que mon sexe se noyait dans une cavité trop vaste pour lui… A coups sûrs, je ne devais pas toucher pas les parois. Pourtant lorsque Georges commença ses va-et-vient dans le cul de la belle, je sentais son braquemart bouter la paroi que ma propre bite frottait de son côté. La blonde Gisèle geignait :
-" Ah mes salauds… Allez-y doucement mais fermement que je sente bien vos bites ensemble passer et repasser sur mes parois !... Là comme ça… Ralentissez maintenant et appuyez bien fort vos pines !! Oh putain, je voudrais que ça ne s’arrête jamais !!... Je bande… Je bande et je jouis !… Oh c’est bon c’est bon !!..." En effet la salope déchargeait et me mouillait abondamment la racine de la bite. Je sentais que j’allais rendre les armes et lâcher mon foutre moi aussi. Gisèle avait dû le sentir car elle s’écria :
-" Arrêtez ne déchargez pas !! Pas déjà !... Ce n’est pas cela que je veux !… C’est vos deux bites dans le trou fait pour ça !! ". Et disant cela d’un brusque coup de rein elle se décule du vit de Georges dont elle se saisit prestement et se l’enfonce dans le con, juste en dessous de ma bite à moi… La coquine se prend les deux bites dans le même trou !
-" Ah, oui !! Oui ! C’est que j’aime par-dessus tout ! Deux bites ensemble !... Il n’y a rien de meilleur !! Allez-y mes salauds bougez !! L’un sort quand l’autre rentre ! Oh j’aime ça ! Allez-y bien à fond !! Ouiiii… Maintenant entrez les deux ensemble !! Oui, comme ça !... "
La cochonne jouissait… Et moi, allumé par les frottements tant sur des parois du vagin que sur la bite de Georges, je ne puis tenir plus longtemps et je lui crépissais la matrice d’une longue décharge en trois ou 4 jets, la bite tendue à l’extrême…
-" Salaud, préviens quand tu décharges !! Tu sais que je ne veux pas en laisser perdre !!... Et toi ne décharge pas maintenant, dit-elle à Georges, prends moi vite derrière que je sente ton sperme chaud couler dans mon cul !... " Disant cela, elle se désenconna de la bite de Georges qu’elle s’enfila prestement dans le cul. Le vit entra à fond et y déchargea longuement avec des soubresauts. Il était temps !...
- " Et toi, viens dans ma bouche que je te suce et que je pompe le reste de ton jus… " Ce que je fis. Ma verge commençait déjà à se ramollir… Je me remontais sur elle et je lui mon chibre sur ses lèvres. Elle l’enfourna et la pompa avec avidité.
- " Oh oui… J’aime je retrouve le goût de ma chatte en même temps que ton jus de mâle ! C’est bon ! Oh, oui, c’est bon !!… " La garce se délectait et se barbouillait de nos sécrétions. Le vit de Georges lui aussi devenait de plus en plus flasque. Il était sorti du cul de la grande blonde et reposait, inerte sur le côté près la cuisse de la femme. Sentant que la bite avait quitté son cul, tout en continuant à me pomper, elle descendit une main à sa rosette. Elle prit au bout de ses doigts du sperme de Georges mêlé à son propre jus ; elle remonta sa main à sa bouche et laissant ma bite, elle suça ses doigts se régalant une nouvelle fois des substances odorantes !
Puis la belle salope se dégageant de Georges, me prit la tête dans ses deux mains et se mit en rouler des patins mouillés et profonds. J’en eu presqu’un haut-le-cœur tant je suis allergique à toutes les sécrétions venant de la baise… Surtout les miennes et celles de mes congénères mâles ! Je me dégageais rapidement à mon tour et filais à la salle de bain où je bus directement au lavabo, une grande goulée d’eau claire qui me fit du bien.
Gisèle, était en train de s’occuper de Georges ou plutôt de sa verge. En vain car celle-ci restait désespérément flasque et particulièrement résistante à tout relèvement de sa part ! Même s’il était 5 heures du matin et que la nuit avait été longue, la belle garce en voulait encore :
-" Mais vous n’allez pas me laisser tomber... Ce n’est pas tous les jours que je peux avoir deux beaux mecs correctement montés pour me faire du bien !! Alors on en profite, hein !!… " Elle me signe de revenir sur le lit. Elle s’allongea sur le dos, remonta ses jambes en ouvrant bien grand ses cuisses et nous montra sa moule très longue et très large, aux belles lèvres, grandes et petites, bien développées, comme j’ai eu l’occasion d’en parler plus haut… Elle nous fit mettre de chaque côté de ses hanches. J’étais à sa droite et Georges à sa gauche. Elle voulait voir nos bites pendant qu’elle se masturberait.
-" Franck chéri, me dit-elle, va chercher dans mon sac à main, mon dong… Regarde bien, il est tout au fond, dans la doublure du fond… C’est mon plus fidèle compagnon…" J’allais effectivement chercher l’objet. Le sac à main était immense, un peu à l’image de sa propriétaire. Comme dans tous les sacs des femmes, il y avait de multiples objets et choses dont je me suis toujours demandé à quoi tout cela pouvait être utile ! Je trouvais enfin dans une petite poche ménagée dans la doublure, une sorte de gros plug, pas très souple, assez lourd et dont une extrémité était bien renflée. L’objet avait la forme d’une grosse matraque. Je l’apportais à Gisèle, toujours écartée sur le lit
- " C’est ma matraque !... J’ai fait croire à mon mari que c’était une matraque pour me défendre comme il me laisse souvent seule. Mais en réalité, c’est un gros gode… Tenez regardez ! " Elle prit en main l’objet par le petit bout et commença à se caresser le clitoris et l’entrée du con avec le bout renflé… La belle garce se branlait doucement en prenant un grand plaisir à le faire et à faire monter sa jouissance de façon calculée…
- " Ah, putain… Vous ne pouvez pas savoir comme c’est bon !... J’ai besoin de vous voir vous branler juste à côté de moi comme ça !... Même si vous ne bandez pas bien, branlez-vous j’ai besoin de ça pour m’accompagner… J’en ai marre de me faire ça toute seule tous les jours devant des films pornos… Aujourd’hui j’en profite… J’en profite pour me faire baiser partout et me branler aussi !... Oh oui, ça c’est bon … C’est bon… " Elle s’était enfilé le gode dans le trou à bites où il avait presque complètement disparu. D’une main, elle le faisait aller et venir dans sa matrice et de l’autre elle frottait et se titillait le clitoris… Elle se branlait bien à fond devant des hommes qui en faisaient autant. Pour elle c’était le pied suprême…
- " Viens mon joli, me dit-elle viens te branler et mettre le bout de la bite sur mon téton… Là oui comme ça… Que je puisse aussi sucer ton gland de temps en temps… Cela me fait du bien de voir et de sucer pendant que je me branle comme une salope !... " Je voyais sa liqueur commencer à s’épancher au-dessus du gode qu’elle manœuvrait de plus en plus rapidement. Je recommençais à bander en doutant cependant de la tenue et de la dureté de mon membre. Je lui massais le téton droit avec mon gland. De temps à autre, elle gobait le bout de mon vit et l’aspirait vivement en grognant de plaisir… Je sentais son orgasme monter. Je me disais qu’elle ne pourrait aller au bout après une nuit pareille et autant de décharges à son actif depuis hier soir ! Et pourtant je voyais son bassin se soulever doucement au rythme de son godage. Elle appela Georges :
- " Viens mon grand, mets-moi ta bite sur le clito… Juste là où j’écarte mes lèvres… Oh, oui… Oui, là comme ça ! Frotte-moi le bouton d’amour, chéri… Oh putain, je ne vais pas tenir longtemps… je sens que je vais venir !... Je sens que oui !!... " Elle se cambrait et s’arcboutait sur ses pieds et ses épaules, les fesses et les reins décollés du lit, s’enfonçant à fond le gode au fond de la matrice…
-" Mets moi ton doigt dans le cul, dit-elle à Georges… Vas-y vite ! Prends le cul ! Je viens !!… Je viens !!… Déchargez aussi !!... "
Dans un dernier soubresaut son corps se tendit comme on bande un arc, son vagin expulsa le dong et elle déchargea deux ou trois jets énormes et violents qui allèrent bien au-delà du pied du lit ! Après 3 secondes où elle resta ainsi suspendue et tendue, la salope retomba le dos sur le lit, vaincue par sa propre jouissance. En même temps qu’elle ou presque, je déchargeais un mince filet de foutre sur la pointe de son téton… Il faut dire que je n’avais plus de jus dans la lampe. Georges aussi y alla de son reliquat de décharge et n’en mis pas beaucoup plus que moi sur le pubis de la belle. Les cuisses toujours ouvertes sa chatte ruisselait de mouille qui s’épanchait désormais en nappes peu abondantes mais continues. La grande Gisèle restait affalée, l’intérieur des cuisses encore frémissant des spasmes de sa jouissance. Nous restâmes ainsi deux ou trois minutes sans bouger à regarder son trou béant dégoulinant de mouille.
Le jour était maintenant en train de se lever. Il était 6 heures du matin. Nous étions Georges et moi, rompus et vidés, et pourtant, malgré la fatigue pas question de se coucher. Trop tard ! Ou top tôt !... Nous sommes allés tous les trois ensembles sous la douche Ce fut encore autre grand moment fait de langottages des seins de la grande Gisèle et d’attouchements de clito, de fion et de bites. Elle avait demandé à ce que nous la tenions chacun sous une jambe dans la douche, les fesses très écartées au-dessus du vide. Et là dans cette position, elle a uriné longuement. Sa vulve présentait des lèvres turgescentes et rouges de nos attouchements de la nuit. Dans l’ouverture de sa moule très ouverte elle nous donnait à voir la papille de son pipi-trou très dilatée et large d’où s’échappait l’ondée dorée.
- " Il n’y a rien que j’aime comme ça : donner à voir à des hommes qui bandent, ma chatte bien ouverte qui pisse ! C’est comme quand je me branle le seul fait de savoir que je suis regardé m’excite énormément et me fait bander… Penchez-vous et regardez bien : je pisse pour vous !… "
C’était vrai que la grande garce prenait du plaisir à cette exhibition, car pendant cette miction longue et interrompue, le clito était bien ressorti et se rengorgeait constamment, alors qu’un liquide un peu blanchâtre, qui n’était pas de l’urine, sortait à la base de son trou et tombait goutte à goutte de son con ouvert. Elle pissa ainsi un long moment, puis les jets faiblirent. Il y en eut encore 2 ou 3 en rappel plus brefs et moins intenses, puis les dernières gouttes se dissipèrent dans les lèvres et le trou. Reposant ses pieds dans la douche, elle me fit accroupir à ses pieds, puis relevant une jambe, elle me coiffa de son entrejambe ruisselant d’eau en me demandant :
- " Suce-moi mon joli, viens me pomper le reste de pisse… J’adore être léchée quand j’ai pissé… Ta langue est bonne, vas-y, entre la bien dans le trou de ma chatte… Huuummm c’est bon !... Et toi Georges passe-moi le bout ta bite sur le petit trou de mon cul… Ah, oui… Comme ça… Mets-le juste à l’entrée de mon cul… Juste là, à la porte du ciel !… Oh, oui !... ".
Je léchais la putain bien à fond, le nez frottant son clito, ma langue bien enfoncée dans le trou à bites. Mon menton frottait la hampe de l’engin de Georges, qui lui passait son gland sur la rosette. Georges lui tenait la jambe levée de sorte que j’avais la tête dans le compas de ses cuisses. J’entendais à ses râles et ses soupirs que la grande coquine appréciait nos caresses… Je sentais son plaisir monter. De ses deux mains elle m’appliquait plus fortement sur sa connasse ouverte et elle se frottait de plus en plus fort en tournant son bassin et ses fesses sur mon visage mais aussi sur la bite de Georges. D’une pierre deux coups !
- " Ah, mes salauds, vous savez faire reluire une femme vous !... Ah, putain continuez !… N’arrêtez pas !… Frottez-moi bien le cul et la fente… Oh, oui, comme ça… Oui !!...
Là maintenant, toi mets-moi ta bite dans le cul … Oui, dans le cul… Encule-moi mon joli !... Vas-y enfonce-toi bien !!... " Elle fit un mouvement vers le haut pour avaler le membre dans son cul. Mouvement par lequel sa fente m’échappa un instant. Puis elle se plaqua de nouveau sur ma bouche et mon nez. Je happais son clito entre mes lèvres et le suçais, tandis que je lui mettais deux doigts dans le trou du con, là où ma langue l’avait fouillée… La pute éclata et ce fut un déluge de liqueur et d’insanités dans ses propos. Elle déchargeait comme une folle. En dessous j’étais couvert de son foutre chaud. Elle s’enculait elle-même sur le pieu de Georges et dans les mouvements qu’elle faisait, elle se frottait plus encore sur ma face inondée, ce qui redoublait sa jouissance et sa décharge de cyprine… Enfin, je sentis que juste au-dessus de mon menton, Georges à son tour larguait son foutre dans le cul de la belle, où il devait lui envoyer de longues et bonnes giclées…
Mais nous n’en avions pas fini ! Il lui en fallut encore ! C’était sans compter avec l’insatiabilité de Gisèle. Quand Georges eut déchargé, et qu’il se soit retiré de son cul, elle s’est accroupie dans la douche. Elle a poussé sur son cul pour expulser le foutre de son enculeur et a voulu s’en régaler… Elle recueillait au bout de ses doigts, qu’ensuite elle suçait avec application et gourmandise. Puis pour terminer, alors qu’elle était encore accroupie, elle a voulu qu’on lui urine dessus :
- " Oh oui, dit-elle, j’aime beaucoup voir les hommes pisser ! J’aime voir le trou par où ils déchargent quand ils me pissent dessus !... J’aime que leur pisse me coule sur les seins, entre les seins, coule sur ma chatte aussi !... Je me branle avec leur pisse… Il m’arrive même d’en boire un peu pour retrouver le goût de chaque mec… Franck, pisse-moi bien dans le bec ! Là comme ça… Putain que c’est bon ! C’est chaud… J’avale… A toi Georges !… C’est super, il y a un peu de ton foutre encore avec !… Les femmes qui n’osent pas ça, manquent beaucoup de choses !!... "
Nous nous sommes remis un moment sous la douche pour nous laver de tout…
A 10 heures du matin, je me pris à penser que, sans doute, mon neveu n’avait pas dû avoir une nuit de noces aussi belle et aussi agitée que la mienne !!
Epilogue.
Lorsque tous les trois, nous sommes revenus au mariage, il devait être près de 13 heures. Il faut vous expliquer que dans les mariages traditionnels et un peu huppés de province, les festivités de la noce durent 2 à 3 jours. La plupart des invités reviennent le lendemain pour, comme le veut la tradition, "manger les restes" !
Il y avait là de nouveau la belle Marielle, mais cette fois avec son mari. Lorsque je l’aperçus, mon cœur se serra. Je devais avoir eu le coup de foudre pour cette jolie femme rousse dont je vous ai parlé plus haut ! Lors de nos frasques à l’hôtel avec la grande Gisèle j’avais à plusieurs reprises, beaucoup regretté qu’elle ne soit pas des nôtres…
La revoyant ici, si belle encore et tellement désirable, je sentis ma bite se mettre à bander. Une magnifique érection que je ne pouvais en rien réprimer, et ce malgré la nuit que j’avais passée ! Lorsque je m’approchais d’elle pour la saluer, je vis furtivement qu’elle avait remarqué la bosse dans mon pantalon. Elle m’adressa un signe plein de sous entendus. Puis, lorsqu’elle se tourna pour embrasser Gisèle qui arrivait à sa hauteur, adroitement elle se frotta les fesses à ma protubérance, à travers le tissu. L’effet fut immédiat : je larguais dans le slip ce qui me restait de foutre de la nuit ! Hélas, j’avais un pantalon clair et très vite un cerne humide se forma au niveau de ma braguette. Je dus en vitesse ramener ma veste devant pour dissimuler la bosse mouillée aux regards des convives… Je remarquais que la belle Marielle, par contre n’était pas dupe, car je surpris son regard amusé sur mon geste. Elle m’adressa un sourire et un clin d’œil discret, qui scellèrent notre complicité…
Un peu avant le repas, elle s’arrangea pour glisser dans ma poche une petite carte. Elle y avait écrit de sa main :
" Mon chéri, j’ai vraiment beaucoup aimé ces moments trop courts avec toi… Je te donne l’adresse de l’hôtel où je descends à Paris. J’y vais assez souvent, seule ou en compagnie de Gisèle. Donne-moi ton téléphone et je t’appellerai lors de mon prochain voyage. Je t’embrasse partout.
Marielle."
Je m’arrangeais pour lui glisser mon téléphone…
Je l’ai revue, la belle Marielle et assez souvent je dois dire… Avec beaucoup de plaisir… Et je l’ai revue aussi avec la grande Gisèle ; toutes les deux ensembles… Ce fut là encore super !
Et là, lors d’une de ces rencontres, notre intimité grandissant, la rousse et belle Marielle, me fit une confidence. C’était une ancienne "fille de l’Est", comme on les appelle, elle avait "professé" à Milan, puis à Marseille, où lors d’une passe, elle avait rencontré son mari, un haut fonctionnaire qui s’était donné bonne conscience en voulant la sortir de là… Il n’empêche elle n’avait pu rompre complètement avec son ancienne vie. Elle avait besoin de temps à autres… d’autre chose ! "Chassez le naturel, il revient au galop…" et ce pour notre plus grand plaisir !
Mais cela, c’est une autre histoire…
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