Tout simplement : Salope ! (2)

- Par l'auteur HDS Popple -
Récit érotique écrit par Popple [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Tout simplement : Salope ! (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2020 dans la catégorie Plus on est
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Tout simplement : Salope ! (2)
Ce texte est le chapitre 2. Je vous invite à lire le premier chapitre avant ce qui va suivre.

Rappel des personnages :Philippe, moi-même, 19 ans, nouvel étudiant BTS électroniqueCharlotte, ma copine, 18 ans, nouvelle étudiante en lettres modernesOn est ensemble depuis 5 ans.
Fred, 19 ans, mon meilleur pote depuis l'école élémentaire, membre de notre bande de copains qui a partagé notre découverte de la sexualité.
Jean-Michel, 46 ans, le voisin derrière le mur de notre petit appartement.
Couple inconnu : voyeurs dans l'immeuble d'en face
Résumé :Jeunes bacheliers, nous allons commencer nos études. Nos parents nous soutiennent financièrement. Fin juillet 1983, nous emménageons dans un studio sous les toits dans la première couronne au Sud de Paris. Le premier soir, après un dîner en famille au resto, nous rentrons chez nous pour la première nuit. Nous tombons sur Fred. La partie à trois se transforme en partie carré quand notre voisin Jean-Michel se retrouve invité à nous rejoindre. Un couple de voyeurs se fait connaître dans l'immeuble d'en face. Fatigués, satisfaits, nous tombons de sommeil.

Chapitre 2 : à la découverte du voisinage
Après cette première soirée inattendue, notre installation s'est déroulée de manière anodine. Après un grasse matinée à dormir, nous avons pris toute la journée pour déballer nos cartons. Il n'y avait pas grand chose, d'autant que nombre de nos affaires étaient encore chez nos parents. Nous avions tout le temps. Nous les ramènerions progressivement.

Nous avons aussi exploré un peu notre voisinage, découvert les magasins où nous ferions nos courses, vérifié les lignes de bus et métro que nous allions pouvoir utiliser... Il faisait très beau et nous avons aussi profité de ce temps libre pour flâner dans la capitale que nous connaissions déjà un peu. Paris est une très belle ville pour les amoureux, quand on a toute liberté pour explorer ses recoins.

Fred avait un boulot pour l'été, comme plusieurs de nos amis. D'autres s'étaient éloignés en vacances. Nous étions donc tous les deux, Charlotte et moi, seuls pour la première fois. Je veux dire que, pour la première fois, nous avions une vie de couple. Nous allions devoir reconstruire notre intimité. Nous partagions quasiment chacun de nos instants avec l'autre. C'était nouveau, vivifiant... mais un peu perturbant. Dès les premiers jours, nous avons réalisé que nous allions devoir faire attention à préserver des temps personnels. Il faut aussi avoir des moments seuls pour pouvoir penser à l'autre, et à soi. Mais nous étions heureux et globalement insouciants.

Pleins de la sève de nos jeunes années, nous étions aussi débordant d'affection et de désir. Nous étions donc souvent nus à copuler dans les draps.

Quelques jours après notre arrivée, ayant un peu perdu le décompte de la semaine, nous étions en train de faire l'amour au milieu de l'après-midi. Il faisait chaud. Les fenêtres étaient ouvertes. Nous avions installé les rideaux à la fenêtre. Le courant d'air agitait ces voilages rouges qui se révélaient plutôt translucides. Avec le soleil qui tapait dessus, cela donnait des jeux de lumière dans toute la pièce. Les bruits de la rue, agitée, couvraient nos gémissements. Nous nous sommes ainsi donnés l'un à l'autre avec espièglerie, jusqu'à l'ultime satisfaction.

Presque à bout de souffle, nous avions fini allongés sur le matelas. Le besoin de nous rafraîchir nous a conduits jusqu'à la fenêtre avec une bouteille d'eau extraite du frigo et déjà couverte de condensation. C'est là que nous avons réalisé que l'un des pans des rideaux s'était coincé dans la fenêtre et que nos voisins d'en face étaient à nouveau en position de jouer les voyeurs. Notre situation au dernier étage nous libérait de l'obligation de couvrir notre nudité. Peu de gens risquaient de nous voir. Le couple de voyeurs était aussi appuyé à sa fenêtre et nous regardait. Ils mimèrent un applaudissement, nous laissant comprendre qu'ils avaient à nouveau assisté à nos bats. Nous en avons ri, sachant que nous n'avions déjà plus de secrets pour eux.

Nous les avons vraiment découverts ainsi pour la première fois, puisque nous ne les avions tout juste aperçus dans la pénombre l'autre soir. C'était un couple au physique classique, ni beaux gosses, ni laids. Tous les deux de taille moyenne, tous les deux le cheveux châtain. Lui, un peu grisonnant. Ils étaient souriants et avaient l'air sympas. Charlotte les salua de la main et se réfugia dans le cabinet de toilette en me disant : « - Il faut faire des courses maintenant, sinon on aura rien à manger ce week-end ! »
Merde ! On était effectivement samedi après-midi et le frigo était vide.

Charlotte : « - Tu veux pas y aller tout seul ? J'ai pas envie de m'habiller et de sortir... »
Elle me forçais un peu la main. Mais bon, pourquoi pas ?

Nous avons fait rapidement une liste. Et nous avons réalisé que j'allais devoir passer chez mes parents, à 20 minutes de bus, pour chercher quelques ustensiles de cuisine qui nous y attendaient encore dans un petit carton. Je ferai les achats sur le chemin du retour. Je m'habillai vite fait, bermuda, t-shirt, sandales, et je filai.

Presque une heure plus tard, de retour de mon expédition au domicile parental, j'entrai dans l'épicerie du coin avec mon petit carton sous le bras. Je passai rapidement d'allée en allée pour cueillir nos victuailles. Arrivé à la caisse unique sans tapis roulant, j'avais les bras encombrés, si bien que j'ai renversé mon carton en déposant mes courses sur le comptoir. La cliente arrivée derrière moi m'aida à tout ramasser. Nous nous sommes tout de suite reconnus : la voisine d'en face !

Nous avons tous deux été saisis d'un large sourire, sans avoir à ressentir aucune pudeur. J'avais quand même un scrupule, que je voulais lever. Je lui posai donc la question, profitant que la caissière n'était pas encore arrivée.

Moi : « - J'espère que notre spectacle ne choquera pas vos enfants... »Voisine : « - Ils sont en vacances en Bretagne chez leurs grands-parents... Décidément, la vie à Paris réserve son lot de surprises... agréables. »Elle avait achevé sa phrase en me déshabillant du regard, se retenant d'éclater de rire.
Moi : « - Charlotte est effectivement très jolie. »Voisine : « - Oui... Henri et moi, on se disait qu'il faudrait qu'on vous invite à prendre l'apéritif... Si vous ne trouvez pas ça un peu... cavalier. »
Habillée simplement, elle portait des bijoux légers et élégants. Avec son vocabulaire et ses manière, elle montrait un très bon niveau d'éducation. Elle avait une voix douce.

Voisine : « - Nous avons un grand appartement avec une terrasse qui donne de l'autre côté par rapport à la rue. Il n'y a pas de vis-à-vis après, c'est très agréable en été. »
Je ne savais pas comment réagir. Elle devait avoir 35 ans, son compagnon 40. Charlotte et mois n'avions que 18 et 19 ans. Nous n'avions encore jamais envisagé de nous lier avec des gens plus proche de l'âge de nos parents. Jean-Michel était presque le seul homme mûr qui ait profité des charmes de Charlotte. Je me voyais mal accepter cette invitation sans en parler d'abord à Chacha.

Voisine : « - Donnez-moi votre numéro de téléphone et on vous appellera, si vous voulez. »Moi : « - Nous n'avons pas de téléphone. Juste des cartes. On est étudiants. On est... »Voisine : « - Alors venez tout à l'heure ! On dit sept heures et demie ? Venez comme vous êtes ! C'est au n°37. Il y a un interphone. Vous sonnez. C'est l'appartement du dernier étage. Sabine et Henri Maréchal. Surtout, n'amenez rien. »
La caissière étant arrivée depuis à son poste, Sabine se permit de passer devant moi, toujours avec le sourire. Elle paya rapidement ses achats et s'éclipsa, sans m'avoir laissé le temps de réaliser, tout en m'adressant un dernier sourire ravageur. Je passai en caisse à mon tour, remballai mes affaires et je regagnai notre 6e étage. En chemin, je me demandais comment j'allais annoncer l'invitation à Charlotte.

En fait, la soirée ne s'est pas tout à fait passée selon le scénario de Sabine.

En refermant la porte du studio derrière moi, j'entendis un gémissement suggestif de Charlotte provenant de la pièce principale. Il était accompagné d'autres bruits que je n'arrivais pas à identifier.
Je pris quand même le temps de poser tout mon fourbis dans la kitchenette et de ranger nos victuailles au frigo. C'est seulement à ce moment-là, en entrant dans la pièce, que je compris.

Charlotte était allongée sur le lit, sur le dos, les jambes largement écartées. Entre ses jambes, l'immense Jean-Michel se démenait. Il la recouvrait presque entièrement et la secouait assez brutalement. Je devinais qu'il lui ramonait la chatte avec son énorme pénis.

Jean-Michel : « - Ah ! Putain, t'es bonne ! Donne-moi ta langue ! »
Charlotte, qui ne m'avait pas encore vu, l'enlaça de tout ce qu'elle put. Elle referma ses jambes sur les cuisses du géant, ses bras autour de son cou. Elle l'embrassa fougueusement. Les yeux fermés, elle lui roulait une pelle magistrale tout en se déhanchant sous lui. Il s'était calmé un instant, puis, ayant rompu leur baiser, se remis à la besogner.

Jean-Michel : « - Ah ! Putain ! Salope !... »
Il continua de lui servir tout ce délicieux vocabulaire du sexe le plus vulgaire, lorsqu'il n'est question que d'exciter tout ce qui peut l'être.

C'est à ce moment-là que Charlotte remarqua mon retour. Elle était en nage, complètement décoiffée, dans une attitude que je lui connaissais bien et qui ne manquait jamais de me chauffer. Devant ses yeux à la pupille dilatée par l'excitation, je me suis déshabillé. Je bandais, bien entendu. Chacha me sourit tout en respirant profondément, la bouche grande ouverte.

Je réalisai que, ouverte, la fenêtre l'était toujours elle aussi, et le rideau toujours coincé. Je vis Henri appuyé sur le garde-corps en face, regardant directement dans notre direction. Sabine était à peine visible dans l'ombre, un peu derrière lui. Elle semblait se caresser à travers ses vêtements. Je restai quelques instants à les observer en me rapprochant de la fenêtre, écartant encore un peu plus les rideaux pour leur offrir une meilleure vue sur le spectacle de mon côté. Henri se recula à l'abri de l'ombre. Je ne pouvais pas bien voir, un peu ébloui par le soleil, mais je devinai qu'il était en train de baisser son pantalon. Lorsqu'il se mit de profil, je vis plus nettement qu'il bandait lui aussi, lorsque Sabine se baissa pour prendre la queue de son mari en bouche.

J'abandonnai la vision de ce qui se passait en face pour rejoindre ma bien-aimée qui se faisait toujours démonter la chatte par notre voisin.

Mes mouvement dans la pièce avaient alerté Jean-Michel qui avait enfin noté ma présence.

Jean-Michel : « - Tu veux la prendre un peu ? J'ai envie de prendre mon temps ! »Moi : « - Ah ouais ! Je veux ! »
Après que Jean-Michel se soit relevé, j'ai rejoins Charlotte, toujours demandeuse, qui m'accueillit à mon tour les cuisses largement écartées. Je me suis immédiatement glissé en elle. Elle était brûlante, trempée et... bien ouverte !

Charlotte : « - Oui, viens, mon amour ! Baise-moi ! J'en peux plus ! C'est bon ! »
Toutes mes pensées se cristallisèrent.

Moi : « - T'es une vrai pute ! Tu baises avec le voisin dès que j'ai le dos tourné ! ... Ben tu sais quoi ? Le voisin d'en face aussi va te baiser ! Il demande que ça ! Sa femme nous a invités ! ... Regarde, ils nous matent encore ! »
Charlotte tendit le cou pour essayer de voir, mais je la chahutais un peu trop pour qu'elle puisse apercevoir ce qui se passait. Jean-Michel, lui, avait une vue directe sur le couple d'en face.

Jean-Michel : « - Ah, putain. Ils baisent aussi... »
Charlotte me regardait maintenant dans les yeux, un peu incrédule, tout en n'arrêtant pas d'aller au devant de mes coups de reins. Je ne pouvais pas me retenir et je la ramonais aussi brutalement que possible.

Jean-Michel se branlait doucement en regardant alternativement les deux shows qui lui étaient offerts.

Je ne voyais pas grand chose de l'autre couple, cherchant surtout à faire exploser un orgasme chez Charlotte.

Moi : « - Tu veux qu'il t'explose aussi la chatte, le vieux d'en face ? Tu les veux, nos trois bites ? »
Charlotte : « - Oui ! Fais le venir ! Démontez-moi la chatte ! ... Et puis le cul aussi ! »
C'était bien lancé.

Jean-Michel pris les choses en main. Il fit des grands signes au couple en face pour leur dire de venir. J'ai juste aperçu ses derniers gestes. Je me suis figé un instant, regardant de l'autre coté de la rue. Visiblement, Henri se rhabillait et s'enfonça dans l'ombre de leur appartement, entraînant Sabine avec lui.

Jean-Michel : « - Bon, ben je crois qu'ils arrivent. »
Décidément, les choses avaient tendance à m'échapper. Fred avait invité Jean-Michel. Jean-Michel invitait les voisins d'en face. Je me dis soudainement que la France entière allait finir par baiser Charlotte !

Cette pensée me redonna de la vigueur et je repris quelques instants mes coups de piston, avant d'amener Chacha à changer de position. Je la plaçai en levrette et repris de la défoncer aussi fort que je pouvais. Je ne lui demandais pas son avis. Mais elle se soumettait sans discuter. Avait-elle même une pensée, ou bien était-elle en train de se donner totalement à son plaisir ? Elle était tellement trempée que je ne savais pas si elle jouissait.

A un moment, elle se figea et me força à m'extraire de sa chatte, s'allongeant sur le dos en serrant les cuisses. Elle était à bout de souffle.

Charlotte : « - Attends ! Attends ! J'en peux plus ! Attends... »Moi : « - Tu as joui ? »Charlotte : « - J'ai pas arrêté ! »
Elle se ressaisit.

Charlotte : « - Ils arrivent ? T'es sérieux ? »Jean-Michel : « - Ils sont en train de traverser la rue. »Charlotte : « - Mais on les connaît même pas ! »Moi : « - Tu ne connaissais pas Jean-Michel non plus quand il t'a baisé la première fois... »Charlotte : « - Mais c'est pas pareil... C'est... »Jean-Michel : « - Mais si, c'est pareil ! » lui dit le géant qui, après avoir quitté la fenêtre, était monté sur le lit et lui attrapait maintenant les chevilles.

Il lui écarta les jambes et, s'étant agenouillé, il la ramena vers lui vivement. Lui ayant glissé à nouveau son gland dans la chatte, il se pencha vers elle pour s'enfoncer complètement dans son vagin. Il lui coupa l'envie de discuter en plaquant sa bouche sur la sienne pour une nouvelle salade de langues que Chacha accepta plutôt passivement. Jean-Michel se mit alors à nouveau à la ramoner avec des mouvements amples, si bien que sa bite s'échappait parfois de ce fourreau.

La sonnette de l'entrée retentit, comme un vieux téléphone frappé d'une angine. J'allai ouvrir, toujours à poil. De toute façon, je savais ce qui attendait derrière. J'ouvris donc la porte.

Henri me toisa rapidement, jetant un oeil derrière moi, essayant de deviner Charlotte en action. Mais on ne pouvait rien voir depuis le couloir. Sabine se tenait derrière lui, hésitante.

Moi : « - Tu es Henri, je crois ? Moi, c'est Philippe. » lui dis-je en lui tendant la main.
Henri : « - Oui, c'est bien. Elle est là, ta petite pute ? Tu permets ? » répondit-il sans répondre à ma main tendue et se glissant directement jusqu'au séjour.
Sabine : « - Excuse-le. Quand il est question de sexe et qu'il est excité, il ne sait pas se tenir. » tenta de justifier Sabine.

Depuis le couloir, Sabine et moi avons entendu qu'Henri ne perdait pas de temps.

Henri : « - C'est joli, ça ! T'arrête pas, mec ! Vas-y, baise-là fort ! Elle va me sucer, la petite pute... »
Sabine était entrée en refermant la porte derrière elle. J'étais un peu décontenancé. Je m'étais quand même rapproché de l'encadrement de la porte du séjour. Henri finissait d'enlever son pantalon et son slip kangourou, laissant déjà dépasser sa queue bandée. C'est alors que je sentis que Sabine se baissait, passant une main dans mon dos, puis sur mes fesses. Pendant que je regardais Henri qui montait sur le lit, le bas du corps nu, enlevant sa chemise, pour présenter sa bite à la bouche de Charlotte, la deuxième main de Sabine attrapa mon sexe un peu dégonflé. La chaleur de son corps le long du mien fut renforcée par la chaleur de son visage près de ma bite, puis le contact humide de sa bouche sur mon gland. Sabine commença à me sucer avec gourmandise.

De son côté, Charlotte restait passive. Elle regardait Henri, un presque inconnu, qui approchait son sexe d'elle, pendant que Jean-Michel, un autre homme mûr, la maintenait fermement tout en faisant des aller-retours avec sa grosse bite dans sa petite chatte en feu. Il semble qu'elle n'éprouvait pas vraiment de plaisir à cet instant. En tout cas, elle était troublée et je n'arrivais pas bien à comprendre ce qu'elle ressentait. Son regard était un peu perdu. Je m'en souviens très bien de cette sensation soudaine : j'ai eu peur que la situation tourne au drame. Pas question que Charlotte soit violée, du fait de l'emballement collectif !

Je gardai mon calme. J'arrêtai Sabine dans le plaisir qu'elle s'efforçait de me donner. Je lui dis simplement : « - Attends... Juste un instant... »
Puis je m'approchai de Charlotte pour pouvoir lui parler. Henri était en train de lui glisser la bite dans la bouche. Je me glissai entre lui et Jean-Michel, de sorte de pouvoir regarder Chacha dans les yeux, et je lui demandai doucement : « - Ca va ? »
Elle repoussa la bite d'Henri, le dévisagea un bref instant, puis regarda aussi Jean-Michel dans les yeux. Elle respirait rapidement. Elle tourna enfin à nouveau son regard vers moi et, dans un léger sourire, me répondit : « - Oui, ça va... Attendez un peu... »
Tout le monde compris qu'il lui fallait un temps de respiration.

Jean-Michel se retira, tout en restant allongé sur elle. Henri s'assit, mais continuait de lui caresser les cheveux.

Henri : « - Tu veux pas ? J'te plais pas ? »
Il fallut un instant avant que la réponse tombe.

Charlotte : « - Si ! Tu vas me baiser... Mais attends juste un peu... Je viens de jouir encore... J'ai besoin de redescendre un peu... »
La tensions descendit d'un cran.

C (à Henri) : "- Embrasse-moi."
Henri se pencha jusqu'à ses lèvres et lui roula à son tour un patin, leur langues tournoyant longuement.

Sabine, derrière moi, se glissa à nouveau vers mon sexe qui avait perdu l'essentiel de sa fierté. Mais ce faisant, elle s'était aussi glissée près de Jean-Michel, qui bandait encore pas mal, et dont la bite, je vous le rappelle, est d'une dimension impressionnante. Elle remarqua ce trésor et changea de proie. Elle l'attrapa de la main en regardant Jean-Michel.

Sabine : « - Salut, toi ! On s'est déjà aperçus plusieurs fois, mais on n'a pas encore fait connaissance ! ... Et je vois que j'ai failli passer à côté de quelque chose... »Jean-Michel : « - Tu la veux ? »
Pour toute réponse, Sabine se mit à le sucer, tandis que Jean-Michel pivotait pour lui laisser une large accès à sa bite. La pipe devint plus énergique. De son côté, Henri se montrait plus tendre avec Charlotte. Il lui caressait les seins, les cheveux, les épaules, sans débander. Moi-même, rassuré par l'attitude de Chacha et réchauffé par l'image de cette femme suçant un chibre énorme à moins d'un mètre de moi, je retrouvais doucement forme. Tous, nous les regardions.

Je ne me rendis pas tout de suite compte que Charlotte avait aussi commencé à administrer une pipe à Henri, qui continuait de la caresser délicatement. Il passait sa main sur son ventre, descendant vers son clitoris, sans toutefois le toucher.

Pour ma part, j'avais commencé à déshabiller Sabine, qui était encore la seule à ne pas être nue. J'en profitais pour lui caresser les seins, titiller ses tétons, passer mes mains sur son cul et ses cuisses. Pour finir, bien sûr, j'arrivai jusqu'aux lèvres de son vagin, humides. Je ne les voyais pas dans notre position, elle étaient bien épaisses...

Sans parole, simplement par des gestes appuyés, je l'amenai à changer de position. Sabine se retrouva allongée sur le côté tout en continuant de sucer Jean-Michel. En lui relevant la jambe, je pouvais enfin accéder à la vue de son sexe. Ses grandes lèvres étaient surprenantes : en tirant doucement dessus, je découvrais un immense papillon de chair chaude. Je ne pus retenir un réflexe d'admiration.

Moi : « - Vache ! C'est quoi ça ? Elles sont immenses, tes... trucs... machins... là ! »Henri : « - Ses grandes lèvres... Oui, elles sont énormes. Elle se les fait 'tirer. »Moi : « - Hein ? Elle se les fait tirer ? C'est quoi ça ? »Henri : « - Elle se les fait ETIRER ! Avec des pinces et des poids... »
Le sujet intéressa tout le monde, si bien que Charlotte et Sabine arrêtèrent de sucer les bites devant elles. Sabine se mit sur le dos, les jambes écartées, et nous nous sommes rassemblés pour observer et manipuler ce joyau. Henri nous expliqua,
Henri : « - Sabine doit porter des petites pinces, une dizaine, qui tirent sur les grandes lèvres. On attache des poids aux pinces. »Charlotte : « - Tu fais juste que tirer dessus ? Je ne comprends pas... »Sabine : « - C'est un travail très long. On a vu ça dans un film porno un peu... confidentiel... C'était il y a 15 ans chez des copains à Londres... C'est là qu'on a commencé. Il y a 15 ans... Mais il faut aussi faire ça sur des séances longues... Pour être complètement sincères, Henri et moi nous pratiquons le SM. Henri est bien gentil et discret dans la vie, mais question sexe, c'est un Maître. Et moi... »
Elle regardait son mari avec un air étrange tout en nous parlant.

Henri : « - Vas-y, continue. Explique. »Sabine : « - Je suis sa soumise. Enfin l'une de ses soumises... Et donc Henri m'attache... Ca dure parfois des heures... Enfin parfois... Souvent, en fait ! Et pendant ce temps, il m'attache des poids aux grandes lèvres pour les étirer. »Charlotte : « - Avec des menottes ? C'est pas clair, ton truc... »Sabine : « - Non. Je suis attachée à une croix, debout. Comme ça, les poids pendent entre mes jambes. »Charlotte : « - T'es crucifiée ? »Sabine : « - Pas vraiment. C'est en forme de « X » et j'ai les pieds au sol. Les mains attachées. Les hanches attachées. Les chevilles attachées. La croix est un peu penchée en arrière, comme ça je peux tenir des heures. »Charlotte : « - Et tu fais ça souvent ? »Sabine : « - Deux à trois fois par semaine... Parfois plus pendant les vacances. »Charlotte : « - Et tu fais ça depuis 15 ans ? »
Charlotte avait les yeux brillants. Pour ma part, je n'étais pas emballé, même si je trouve ces deux immenses lèvres très excitantes.

Sabine : « - Ca et d'autres choses... »Charlotte : « - D'autres choses ? Hey ! »
Charlotte sursauta, car Henri venait de lui enfoncer par surprise deux doigts dans la chatte.

Henri : « - Désolé ! Je t'ai fait mal ? Ce n'était pas l'effet recherché. Je voulais juste savoir si ça t'excitait... Et j'ai l'impression que oui. Mais on n'est pas venus pour vous faire une conférence. Moi, je suis là parce que j'ai très envie de te baiser. Ca fait une semaine que vous avez débarqué devant la fenêtre de mon bureau. Je suis chauffé à blanc. Faut que je te fourre ! »
Charlotte était troublée. Mais de manière positive. Ses yeux brillaient toujours et elle se mit à sourire.

Charlotte : « - Ok. Ben vas-y, fourre-moi. Pendant ce temps-là, Sabine va tout nous dire... »Henri : « - C'est bien ça. Bonne attitude. Pas très « soumise », mais j'aime bien... Attends, mets toi comme ça... »
Henri positionna Charlotte appuyée sur l'angle du lit, les cuisses descendant de chaque côté, les jambes au sol. Puis Henri caressa doucement son clitoris et l'entrée de sa chatte. La tête de Chacha donnait directement sur l'entrejambe de Sabine. Au bout de quelques instants, Henri se plaça derrière Charlotte et l'embrocha. Elle émit un faible gémissement qui disait son plaisir.

Sabine invita Chacha : « - Tu veux toucher ? N'aie pas peur. Vas-y. Tu aimes les femmes ? »
Charlotte : « - Oui, j'aime bien. Mais là, tu es trop loin. »
Sabine rapprocha son pubis de la bouche de Charlotte qui commença a tirer délicatement avec ses doigts sur les grandes lèvres qui se présentent à elle. Elle joua un peu, lui mit un, puis deux doigts dans la chatte. Henri commença des aller-retours plus vifs. Chacha réagissait par des « Oui ! ».

Sabine branlait la grosse bite de Jean-Michel, allongé tout contre elle, et qui lui malaxait les seins, l'embrassait... J'étais réduit au rôle de simple spectateur. Sabine s'en aperçut.

Sabine : « - Philippe, tu t'ennuies ? Tu ne voudrais pas prendre quelques photos ? J'ai toujours un petit insta dans mon sac, là... »
J'attrapai l'instamatic, ce petit appareil basique en plastique et sa petit lentille fixe, avec son bloc de pellicule 24 poses. J'hésitai, mais je me résolus finalement à prendre quelques clichés. Sabine me guidait, pour ne pas gâcher la pellicule.

Sabine : « - Mets un doigt de plus... Même deux ! Vas-y, n'aie pas peur ! »
Charlotte, qui se faisait remuer par Henri aux bruits de « floc-floc » de son vagin, avait maintenant quatre doigts dans la chatte de Sabine et lui faisait faire des va-et-vient rapides. Appliquée, Charlotte tournait aussi sa main dans tous les sens.

Sabine : « - Ah oui ! C'est bon ! Continue ! »Henri : « - C'est qu'elle est douée, la petite pute ! Et puis elle est bien chaude... »Charlotte : « - Tu veux toute la main ? »Sabine : « -Ah oui ! Vas-y ! Fiste-moi ! »Jean-Michel : « - Quoi ? Fi... ? Quoi ? »Henri : « - Fiste... Tu connais pas ? »Charlotte+Jean-Michel+Moi (presque ensemble) : « - Non... » (à l'époque, la culture porno n'était pas celle d'aujourd'hui)Henri : « - C'est de l'anglais. Fist, c'est le poing en anglais. Fister, c'est mettre toute la main, ou le poing. Dans la chatte ou dans le cul. Vous avez pas vu le film Caligula ? »
Charlotte entra toute sa main dans la chatte de Sabine jusqu'au poignet, devant nos regards figés. Puis elle se mit à la baiser avec sa main. Jean-Michel fut submergé par cette scène et éjacula finalement. Le premier jet atteint directement Henri, qui se contenta de sourire, et les cheveux de Charlotte. Un filament les reliait. Les autres jets atterrirent sur le ventre de Sabine. Cela fit une jolie photo.

Henri continuait à baiser Charlotte.

Henri : « - Tu lui donnes du plaisir ! Vas-y ! … Tu veux essayer aussi, petite pute ? Je suis sûr que tu peux ! T'es pas serrée du tout ! Si j'y vais doucement, je suis sûr que je peux te mettre la main en entier dans la chatte. »Charlotte : « - Ah, mais je l'ai déjà fait ! Mais je ne connaissais pas le nom, c'est tout... »Henri : « - Oh, putain ! Elle s'est déjà fait fister ! La petite salope ! Elle est incroyable, ta nana ! Tu veux pas me la confier ? Je vais t'en faire la plus grande pute de Paris ! »Moi : «  - Hein ? Attends... Non ! La prostitution, c'est pas du tout... »Henri : « - Non ! C'est pas ça... Je t'expliquerai... Putain la salope ! »
La tension augmentait chez Henri, tandis que Charlotte s'acharnait sur Sabine, tout en lui titillant le clitoris avec la langue par moments. Henri n'allait pas tarder à partir. Jean-Michel s'était redressé pour mieux voir la main de Chacha distendre la chatte de Sabine. Moi, tout en m'astiquant régulièrement, je continuais à prendre une photo de temps en temps, dirigé par Sabine pour le cadrage.

Sabine : « - Tu l'as bien ? On voit bien son visage et puis sa main dans ma chatte et Henri ? On voit bien sa bite qui sort derrière ? »
Ce cliché est toujours l'un de nos préférés parmi toute notre collection aujourd'hui ! Henri et Sabine nous ont fait des copies de toute cette série... et de celles qui ont suivi.

Pour le moment, Sabine fut saisie d'un orgasme, projetant un petit jet au visage de Charlotte. Peu après, Henri finit lui aussi par jouir, se vidant longuement les couilles dans la chatte de ma bien-aimée, qui le rejoint dans le plaisir, soudainement saisie de frissons. Ils se désunirent tous les trois. Henri s'affaissant sur Charlotte pour lui relever le menton et lui donner un profond baiser auquel elle répondit en se lovant contre lui.

Il ne restait que moi, la bite à l'équerre. Henri s'en rendit compte.

Henri : « - Alors ? Toujours d'attaque, toi ? On fait quoi pour le petit jeune ? Sabine, tu veux pas le pomper ? Tu vas voir, si tu la laisses faire, c'est une championne... »
Sabine n'attendit pas et descendit du lit pour venir à genoux devant moi et me sucer. Je restai debout, un peu fébrile. Elle était tantôt très énergique, tantôt lente, mais toujours ferme. Lorsque Sabine commença à me titiller l'anus avec un doigt, je ne pus me retenir et je lui remplis la bouche avec mon sperme. Elle avala tout, aspirant tout ce qu'elle pouvait et jouant de la langue avec le méat. Sabine était effectivement une championne de la fellation. Jusqu'au bout !

Repus de sexe pour l'instant, nous nous sommes assis. J'ai proposé un verre à tout le monde. L'impression de chaleur en cette toute fin d'après-midi nous est tombée dessus à ce moment-là. Sabine regarda sa montre-bracelet.

Sabine : « - 19h30, c'est l'heure de l'apéro. C'est l'heure de mon invitation. Qu'est-ce qu'on fait ? On va chez nous ? »Charlotte : « - Non. Moi j'en peux plus. Je suis lessivée. »Moi : « - On va peut-être reporter à un autre jour ? »Henri : « - On est à Paris toute la semaine. Après on rejoint nos enfants en Bretagne. Et après les enfants reviennent avec nous. Vous êtes libre dans la semaine ? »Jean-Michel : « - Moi, je serai pas là. Je bosse ce soir et je serai en déplacement pour un moment après. »Sabine : « - Tu fais quoi dans la vie ? »Jean-Michel : « - Je suis roadie. Je travaille sur des spectacles. La manipulation du matériel de scène. D'ailleurs, j'en ai un demain après-midi et je commence vers 5h, au lever du soleil. Faut que j'aille ! »
Jean-Michel se leva et commença à se rhabiller.

Charlotte : « - Et vous, vous faites quoi ans la vie ? »Henri : « - Je suis consultant en ressources humaines. Des entreprises me paient pour évaluer leurs employés, en particulier quand elles ont un gros projet ou qu'elles rencontrent des difficultés. C'est assez nouveau comme métier, mais ça marche très bien. Et je voyage beaucoup. Sabine assure mon secrétariat et ma comptabilité. »Moi : « - Et nous on est étudiants. »Henri : « - Sabine me l'avait dit... »
Jean-Michel vint faire la bise à Charlotte et salua rapidement Henri et Sabine.

Jean-Michel : « - Euh... Merci pour... ce petit moment sympa... »Sabine : « - C'était un plaisir. Mais il faudra que j'essaie ta bite un de ce jours. Dans le secteur, je n'en connais pas d'aussi belles... Il faut que tu me donnes ton numéro de téléphone. »
Il prit le temps de le noter sur un bout de papier sur l'un des meubles et le lui donna, avant de se retirer.

Henri : « - Bon. Et notre invitation, alors ? Vous êtes sûrs que vous ne voulez pas venir ce soir ? »Charlotte : « - C'était bien, mais je dois discuter avec Philippe. On va dire : pas ce soir... »Henri : « - Dans la semaine, alors ? On peut même se faire ça en journée. Je n'ai pas de mission cette semaine. On fait comment ? »Sabine : « - Ils n'ont pas de téléphone. »Henri : « - Ah... Et puis je ne veux pas vous mettre la pression. Pour casser ça, je propose un café à chez nous mardi midi, vers 14h00. Pas de sexe. On discute. Et comme ça, ça vous laisse deux jours pour décanter... Ok ? »
Aujourd'hui, presque 40 ans plus tard, je me dis qu'Henri était un vrai négociateur. Presque dangereux.

Nous avons accepté.

Avant qu'ils ne nous quittent, tandis que nous nous sommes tous rhabillés, j'ai quand même interrogé Henri à l'écart de Charlotte
Moi : « - Tout à l'heure, tu parlais de faire de Charlotte la plus grande pute de Paris. Qu'est-ce que tu voulais dire ? »Henri : « - Ah... Rien à voir avec l'argent et la prostitution. Je connais vraiment beaucoup de monde à Paris dans les milieux libertins. Charlotte est une bête de sexe. Mais ce n'est pas vraiment une soumise. Elle aurait beaucoup de succès. Beaucoup de plaisir. Et des relations ! »
Je me doutais de ce qu'il voulait dire avec les termes « libertins » et « soumise », même si ma culture du sexe n'allait pas jusque là à l'époque. Il semblait très sûr de lui.

Henri : « - Tu connais la différence entre une salope et une pute ? »Moi : « - Heu... Vas-y, dis. »Henri : « - La salope baise dans toutes les positions. La pute baise avec n'importe qui. »Moi : « - Ah... Ouais. C'est logique. N'importe qui, c'est un peu excessif, quand même... »Henri : « - C'est un peu une boutade. C'est surtout pour comprendre. Tu vois, Sabine est plutôt une salope... Mais c'est une soumise, donc c'est un peu spécial. Charlotte, elle... »Moi : « - Tu pense que c'est plutôt une pute ? »Henri : « - En fait, non... »
Il prit un temps avant de conclure, tout en rejoignant Sabine qui l'attendait maintenant dans le couloir. Charlotte l'avait salué de la main depuis la cuisine.

Henri : « - Vu son âge et ses réactions, potentiellement, je pense que ta Charlotte est un oiseau rare. Elle pourrait être la reine des putes... et aussi une salope de compétition ! »
A suivre.

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