Vive les réseaux sociaux !
Récit érotique écrit par Popple [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 114 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Vive les réseaux sociaux !
Ceci est une fiction inspirée par une situation réelle, mais fantasmée.
Détail : il y aura volontairement des fautes de français dans les dialogues que j'ai voulu aussi réalistes que possible (oralité). Si cela gêne votre lecture, n'hésitez pas à me le dire. Et si d'autres fautes subsistent dans le reste du texte, je vous prie de bien vouloir m'en excuser. Il n'est pas toujours possible d'être rigoureux quand votre esprit vagabonde dans l'excitation sexuelle et que l'une de vos mains doit s'activer autre part que sur le clavier...
Autre détail : ce récit est un pur fanstame et pas un compte-rendu ou une œuvre de bienséance ou politiquement correcte. Donc ne voyez pas dans les pratiques décrites ici de l'inconscience en cette période où les mœurs sexuelles souffrent de l'existence de MST/IST et de comportements parfois irresponsables. Pour ma part, j'utilise des préservatifs dans ma sexualité. Pour autant, vous n'en trouverez pas beaucoup ici. Ce n'est donc pas une incitation à en rejeter l'usage. Mais je ne cherche pas non plus à vous apprendre comment l'intégrer dans vos pratiques à vous. C'est votre affaire. Ne me le reprochez pas. Personne ne vous force à lire ce texte.
Dernier détail : ce récit comporte aussi de la bisexualité masculine. Vous êtes prévenus.
Et donc... voilà.
Samuel était un pote de fac. Mais nous nous étions perdus de vue dès nos diplômes en poche. Plus de vingt ans ont passé depuis.
Et puis un jour, inscrit sur le réseau « Facebible » depuis plusieurs années et sans que je m'y attende, je reçois un message me proposant d'accepter un certain SamBotte en copain. C'était un pseudo. Il n'affichait pas son visage et je n'avais pas d'idée de qui il s'agissait... Dans son message, il jouait aux devinettes et j'ai dû m'y reprendre à trois ou quatre reprises avant d'avoir un flash.
Merde ! Sam !
C'est ainsi que j'ai renoué virtuelllement avec mon vieux pote de fac avec qui j'avais passé des soirées mémorables de sorties ciné, de boissons, de fêtes entre amis... mais sans rien de libidineux. Nous étions des jeunes de bonnes familles qui vivions sans excès. Nous étions même carrément sages, en fait.
Alors que j'ai pour ma part perdu de vue tous nos potes de l'époque, lui est resté lié avec une grosse poignée d'entre eux. Il faut dire que nos études d'histoire ont conduit plusieurs d'entre eux à devenir profs, tandis que pour ma part, j'avais bifurqué vers la sociologie et que j'étais devenu journaliste. L'éducation nationale, outre ses périodes de congés consistantes, les a donc soudés, alors que de mon côté je m'investissais totalement dans un métier très prenant où je réussissais. La vie nous avait aussi éloignés géographiquement.
Ainsi, travaillant essentiellement chez moi, en lien avec mon journal parisien, j'habite en Normandie. De son côté, Sam a posé ses valises du côté de Montpellier. « Facebible » me laissait voir qu'il recevait régulièrement la visite de potes comme Nathalie, qui avait volé mon cœur à l'époque de la fac, mais avec qui je n'avais jamais réussi à conclure, et aussi quelques autres pour lesquels j'avais plus ou moins d'attachement. Il avait aussi mené sa vie : marié, père de trois enfants, propriétaire d'une résidence secondaire en Arriège, voyages...
De mon côté, deux échecs sentimentaux et un métier qui m'amenait à voyager beaucoup, mais sans pouvoir rien prévoir, m'ont laissé célibataire, occupant maintenant la vieille ferme héritée de ma famille. Il n'en reste que quelques bâtiments isolés, désaffectés hormis la maison, au milieu de quatre hectares de sous-bois. Seuls deux chats partagent avec moi ce hâvre de paix vieillissant. A quarante-cinq ans, je ne vis pas pour autant une vie monastique. Spécialiste en politique européenne et internationale, j'effectue de nombreux déplacements pour suivre des conférences et autres rencontres diverses, qui m'offrent le plaisir de rencontres variées. J'ai ainsi mes entrées dans différents milieux dans la plupart des grandes villes européennes, et une libido entousiasmante (il faut bien que je commence à évoquer la chose, puisque cette histoire va quand même parler de sexe !).
Bref. Je n'avais toujours pas eu l'occasion de revoir Sam en vrai. Nous n'avions que quelques échanges, pas nombreux en fait, via ce réseau social. Et puis un jour, il me lança une invitation à descendre en Arriège durant l'été, alors que mon agenda me laissait deux semaines de libre. Je saisi donc cette occasion de revoir mon vieux pote et Nathalie qui serait aussi de la fête, avec deux couple d'amis de Sam et son épouse Karine, que je ne connais pas. Les deux couples amis sont aussi profs. Je connais déjà l'un d'eux, Nicolas et Christelle, formé à l'époque de la fac, mais pas le second. Ils ont rencontré ces derniers au cours de l'une de leurs affectations successives. Je me réjouissais aussi d'un séjour à la campagne dans l'arrière-pays de Toulouse, ville que je connais seulement pour y être venu ponctuellement pour mon job.
Je voyage peu en voiture à travers la France. Je suis donc assez ignorant des tours, détours, échangeurs, autoroutes, durées de voyage... Je suis aussi peu familier des GPS. Et donc, alors que j'avais prudemment annoncé mon arrivée vers dix-neuf heures en ce lundi de fin juillet, après avoir pris le départ au petit jour (j'apprécie de me lever aux aurores), j'avais finalement très bien roulé sous la chaleur, malgré d'épais nuages gris et des orages, et mon vieux Range-Rover diésel avait avalé les kilomètres (et les litres) sans fatiguer. Vers midi, je me voyais en fait arriver bien plus tôt que prévu, mais mon smartphone souffrait depuis trois jours d'une batterie capricieuse et je n'avais soudain plus de moyen d'appeler Sam ou de lui envoyer un SMS. Je me disais que je devrais régler cette histoire de téléphone au plus vite, car c'est un outil essentiel pour moi. Avec un temps d'avance, j'hésitais à m'arrêter à Toulouse pour résoudre le problème. Mais j'étais sous l'orage, je connaissais mal la ville, j'en avais pllein les bottes... et j'étais en vacances ! Bien que gêné de ne pas avoir prévenu, je reportais la question et je continuai mon chemin. J'étais heureux d'arriver peu avant dix-sept heures.
Sous les averses incessantes, le paysage était caché et les couleurs étaient voilées de gris. J'ai trouvé sans difficulté le vieux mas isolé dans les collines. Le portail était ouvert, je me suis avancé jusque dans la cour et je me suis garé. J'avais une inquiétude : à cette heure finalement précoce, les occupants n'étaient peut-être pas là, mais plutôt en promenade ou en train de faire quelques courses. Mais la présence de trois autres voitures m'a rassuré et j'ai atteint la maison à la recherche d'une sonnette... que je n'ai pas trouvée.
J'entendis un peu de musique venant du côté. Je me suis alors aventuré jusqu'à la façade donnant sur le jardin, après avoir franchi un portillon en bois qui n'était pas verrouillé. La pluie avait cessé et le soleil réapparaissait maintenant, déchirant quelques nuages. La lumière jaillissait de partout, mais tout dehors était encore trempé et une intense moiteur régnait. Tout autour de la maison, des rideaux d'arbre apportaient l'intimité. Parmi les nombreuses ouvertures de la maison, la plupart masquées par des volets rabattus, une petite porte vitrée était ouverte, donnant sur le salon. Je me suis doucement glissé dans l'encadrement avec l'idée de surprendre mon ami Sam et les autres invités. En réalité, c'est moi qui fut le plus surpris.
Au milieu du salon, je reconnus tout de suite Nathalie. Je ne l'avais pourtant plus revue depuis au moins vingt ans, et jamais nue comme elle l'était à cet instant. Je ne l'avais jamais vue non plus ainsi à genoux au sol avec une bouche déformée par une bite comme celle qu'elle suçait goulûment. C'était celle d'un mec que je ne connaissais pas, assis dans le canapé, nu lui aussi. Il s'agissait de Philippe, le mari de Anne, l'autre couple dont Sam m'avait annoncé la présence. Ils me furent présentés bien plus tard. Pour l'instant, derrière Nathalie, nu lui aussi, les mains ancrés sur ses hanches, Sam la remuait assez brutalement, lui labourant la chatte de sa queue. Je pris alors conscience des bruits de la pièce, des « floc-floc » caractéristiques des peaux en sueur qui claquent, et d'autres bruits de respiration, des grognements qui rappellent que les hommes et les femmes ne sont en fait que des animaux. Sur ma gauche, dans un deuxième canapé, je vis deux femmes que je ne connaissais pas et qui se gouinaient. L'une d'elle était assise dans l'angle, les cuisses écartées tandis que l'autre lui dévorait la foufoune. La première partageait son attention entre son propre plaisir et le téléphone avec lequel elle était en train de filmer tout ce qui se passait dans le salon.
Personne ne parlait. On n'entendait ainsi que les bruits de chair et la musique de fond, jusqu'à ce que Sam rompit le silence pour « complimenter » Nathalie :
« - Oh putain ! Salope ! T'es bien ouverte ! T'aimes ça, grosse pute ! On va te remplir de foutre et après on va te fister ! T'as toujours aimé ça, les bites, Hein ?! Comme la première fois avec Benjamin ! »
Du fond de ma mémoire jaillit un éclair : Benjamin ? C'était son petit ami en première année de fac ! Ils s'étaient séparés à ce moment-là et on ne l'a jamais revu. Je n'avais rien deviné de tout ça à l'époque. La complicité entre Sam et Nathalie allait donc déjà jusqu'au sexe ? Jamais Sam ne m'avait informé de quoi que ce soit, alors qu'il avait été le confident de mes sentiments pour elle... Et Sonia, la copine de Sam à l'époque, était-elle aussi dans le coup ?
J'étais un peu sonné, mais pas KO. J'ai sans doute vascillé. En tout cas, j'ai dû bouger dans la position discrète où je me trouvais. Sam s'en rendit compte, tourna la tête dans ma direction et découvrit ma présence imprévue.
Je me sentais un peu coupable : arrivé plus tôt sans prévenir, jouant les voyeurs, je n'étais pas en position de les juger ou de les condamner. Les condamner pour quoi d'ailleurs ? C'est moi qui était l'intrus. Et d'un point de vue moral, tout cela n'était finalement que du sexe. Je ne suis pas un vieux réac' et je n'étais pas le dernier à apprécier une partouze, même si je n'avais pratiqué qu'à une petite poignée d'occasions au cours de mes évolutions dans ces milieux d'influences diverses (non, ce n'est pas un cliché : fréquentez le pouvoir et vous verrez pointer le sexe).
Tout le monde se figea progressivement après que Sam eut exprimé sa surprise !
« - Putain, Paul ! T'es déjà là ? »
Je ne me défilai pas. Je restai à ma place, mais je lui décrochai un grand sourire :
« - Je suis désolé. Sincèrement. Je n'avais pas du tout pensé... »
De son côté, sous le coup de l'excitation et de la nervosité déclenchée par la situation, Nathalie explosa de rire. Elle m'expliqua plus tard qu'elle était arrivée au bord de l'orgasme quand j'ai débarqué et que je l'en avais privée. Elle avait aussi un peu bu, comme les autres. Et du coup, sans plus un mot, comme un réflexe, elle se remit à sucer Philippe qui, lui, était un peu perturbé par mon arrivée inopportune.
Sam surprit le geste pourtant discret que je fis malgré moi : j'ai réajusté ma bite, maintenant à l'étroit dans mon slip tant je bandais devant ce spectacle. Surtout que je découvrais tant de révélations ! Et surtout cela concernait Nathalie, la femme que j'avais tant idéalisée, tout en fanstamant sur elle, et Sam, mon meilleur pote que je croyais si bien connaître à l'époque !!! Mais jamais je n'avais imaginé... sauf peut-être ? ... Mais cela je vous en parlerai plus tard.
« - Ca te chauffe ? »
Je n'osais plus ouvrir la bouche. Je ne savais pas quoi répondre.
« - Tu... » Sam hésitait.
Il consulta du regard les autres, notamment la fille au téléphone qui était en train de filmer les coussins, perturbée par mon arrivée.
Sam fit une sorte de geste d'insinuation avec les épaules, les mains toujours rivées aux hanches de Nathalie et la bite toujours plongée dans sa chatte, mais sans bouger :
« - On peut l'inviter à se joindre à nous, non ? ... Si ça te choque pas ? » finit-il en me regardant droit dans les yeux avec un sourire gêné.
« - Je suis pas choqué. Je suis surtout gêné. J'ai l'impression de m'imposer... Maintenant, si je refuse, je vais bousiller l'ambiance... qui est plutôt... chaude... et vous pourrez m'en vouloir. Mais c'est gênant, surtout pour les femmes. Elles ne doivent pas se sentir forcées de m'accepter. »
« - Moi, je me sens pas forcée... »
Anne, la femme qui broutait le minou de sa copine, mais dont je ne connaissais pas encore le prénom, se redressa en me regardant avec un sourire gourmand. Je m'en rends compte maintenant qu'elle se relève : Anne est une très belle femme, assez grande, aux formes généreuses. D'origine martiniquaise, elle a la peau couleur café au lait et de grands yeux châtains avec des reflets dorés.
J'avais encore un scrupule (une connerie) :
« - Je crois juste que je pue un peu après dix heures de voiture... »
« - Si tu crois qu'on sent pas la sueur... On baise depuis des heures... » répondit-elle.
« - Tu déconnes... On vient juste de commencer... » rétorqua Karine, toujours assise dans le coin de son canapé, et reprenant sa vidéo. Elle avait aussi retrouvé le sourire, ce qui continuait de me rassurer.
Philippe prit aussi part à la conversation :
« - On a baisé toute la matinée, mais on a quand même pris le temps de la pause méridienne. »
« - La « pause méridienne » ? Pffff ! Ha ha ha ! Putain de prof de français ! »
Nathalie n'avait pu s'empêcher de s'interrompre et les rires fusèrent de partout.
« - Oh ta gueule ! Tais-toi et suce ! » intima Philippe en lui attrapant la tête et en la ramenant vers sa queue qui avait repris de la vigueur.
Pour Nathalie, reprendre son œuvre n'était pas si évident, car Sam s'était remis à lui pilonner la chatte sans retenue,
« - Oui, ferme ta gueule et occupe-toi des bites, grosse pute ! »
Je restais surpris par le vocabulaire de Sam et, dans une certaine mesure, par la soumission de Nathalie qui ne releva pas le propos. Ces mots-là n'étaient pas dans mes habitudes. Tout ça ne m'empêcha pas de me déshabiller rapidement.
Me retrouvant à poil pour la première fois devant ces personnes, j'étais gagné par l'excitation et n'éprouvais aucune gêne. Tout était devenu bestial : oubliée la pudeur, oubliée la moiteur, oubliées les circonstances, oubliées les odeurs musquées... Mon esprit était tout tourné vers le sexe, mais je ne savais pas trop par où commencer. Instinctivement, j'avais envie de Nathalie maintenant, alors que, de nombreuses années auparavant, je l'avais désirée sans rien en obtenir.
Sam s'en rendit compte. Il se souvint sûrement de mes sentiments passés. Il me fit un énorme clin d'oeil et se retira de la chatte de Nathalie.
« - Viens là. Prends ma place... »
Une dernière barrière humaine amena une question de ma part :
« - Les capotes ? »
« - T'as des saloperies sur toi ? » répondit Sam.
« - Non... Mais... »
« - Alors ça ira. Hein, Nathalie ? T'aime ça le sperme ? »
Nathalie ne pouvait pas ne pas entendre. Mais elle ne répondit pas. Elle ne tourna même pas la tête, consacrant tous ses soins à la bite qu'elle suçait. Philippe ne lui laissait pas non plus beaucoup de liberté, forçant un peu le passage de sa bouche en appuyant sur sa tête de ses deux mains. Nathalie ne refusait pas ce geste que je trouvais un peu violent. Elle s'efforça même d'avaler la plus grande longueur possible de cette bite. Elle finit par écraser son nez sur le pubis rasé de Philippe, la bite ayant alors complètement disparu dans sa bouche.
« - Putain ! Vingt-cinq centimètres ! Faut qu'elle aime cette bite, la salope ! » réagit Sam.
« - Vingt-cinq ? Nan... Sérieux ? » je n'en revenait pas, avec mes cent quatre vingt millimètres qui me semblent bien suffisants.
« - Ouais... » Philippe retira sa bite de la bouche de Nathalie pour me permettre de réaliser que, effectivement, sa bite était énorme !
Étant bisexuel, mais ayant une sexualité principalement hétéro, et ayant aussi goût pour la pornographie, j'en ai déjà vu d'aussi grosses, et j'en ai même déjà goûté... Mais je restais surpris par la situation. Tout cela dépassait tellement l'ordre établi des choses entre Sam, Nathalie et moi...
J'éprouvais donc une forme de fascination en voyant maintenant Nathalie reprendre volontairement ce chibre monstrueux pour se l'enfoncer encore une fois jusqu'à la garde, son menton venant s'enfoncer dans les couilles de Philippe. Elle s'étouffait à moitié et dut rapidement libérer sa bouche pour reprendre son souffle. Mais, de toute évidence, elle aimait montrer sa capacité à le faire. Est-ce qu'elle souhaitait se le prouver à elle-même ? En tout cas, elle le refit plusieurs fois avec toujours autant d'entrain, sous nos regards libidineux. Nous en bavions presque autant qu'elle.
Je ne restais pas pour autant inactif : je me positionnai derrière la belle brune et je la pénétrai sans ménagement, chauffé à blanc par la situation. Je ne lui laissait pas réagir et je repris là où Sam l'avait laissée en lui ramonant la chatte à grands coups de rein. Je me demandais si elle en éprouvait vraiment de sensations, car sa chatte m'a surpris par le fait qu'elle était très large en plus d'être trempée et brûlante.
« - Oh la vache ! Y a de la place ! Je flotte presque dedans ! » ce qui ne m'empêchait pas d'y aller franchement, bien au contraire. Mais j'avais peur d'arriver bien trop vite, tellement j'étais sous le feu de l'excitation.
Sur le côté, dans le divan, Karine suçait maintenant son mari, Sam, tandis que Anne s'affairait toujours entre ses cuisses. En face de moi, Philippe se faisait toujours sucer par Nathalie, mais il était maintenant penché en avant et je devinais que, de ses mains, il jouait avec ses seins.
« - Après ce qu'on lui a mis ce matin, normal qu'elle soit encore bien large... Elle adooore ça ! Hein, salope ? »
Mon cerveau bouillonnait du choc des circonstances : je n'avais pas vu Sam et Nathalie depuis plus de vingt ans, je ne connais pas les trois autres personnes, je suis arrivé depuis peut-être deux ou trois minutes, on ne s'est ni salués, ni présentés et je me retrouve à poil au milieu de tout ce petit monde en train de baiser la nana qui me faisait fantasmer quand j'ai débarqué en fac ! Et je n'éprouvais aucun scrupule.
« - Qu'est-ce que vous lui avez fait pour qu'elle soit si large ? Putain... Jamais j'aurais pensé... Nathalie, la jolie brune si calme... Une fille modèle, cultivée... » continuais-je, assailli par l'image que j'avais eu d'elle dans notre jeunesse.
« - Qu'est-ce qu'on lui a fait ? Ben depuis deux jours on la baise dans tous les sens et dans tous les trous, ta sainte-nitouche ! On lui a bien rempli la chatte, avec tout le foutre qu'on pouvait, avec des bites, avec des mains... Elle adoooooore ça, je te dis ! Et c'est pas nouveau ! Avant même que tu tombes amoureux d'elle en fac, j'ai jamais osé te dire, mais on était quelques uns à la baiser, souvent à plusieurs... Quasiment tous tes potes lui sont passés dessus ! »
Les précisions de Sam ne faisaient qu'augmenter la puissance avec laquelle je baisais Nathalie.
Pendant qu'il parlait, Sam s'était approché de la tête de Nathalie. En fait, non. S'il s'était approché, c'était de Philippe. Je fus scotché. Sam lui releva la tête et lui roula une pelle très virile à laquelle son copain répondait avec énergie. Sous mes yeux toujours plus étonnés, j'ai alors vu Philippe attraper la bite de Sam et la pomper tout en lui caressant les couilles et le cul.
- - -
Je sais, je semble vous laisser tomber en arrêtant là.
Je m'explique : écrire tout ça, c'est long. J'y ai passé toute une après-midi.
J'ai très envie de continuer. Mais je ne le fais pas pour moi.
Je continuerai si ça vous plaît. Sinon, à quoi bon ?
Je vous promets que je ne vous laisserai pas sur votre faim.
Je suis aussi disposé à modifier le style, si vous le trouvez utile.
Exprimez-vous.
Détail : il y aura volontairement des fautes de français dans les dialogues que j'ai voulu aussi réalistes que possible (oralité). Si cela gêne votre lecture, n'hésitez pas à me le dire. Et si d'autres fautes subsistent dans le reste du texte, je vous prie de bien vouloir m'en excuser. Il n'est pas toujours possible d'être rigoureux quand votre esprit vagabonde dans l'excitation sexuelle et que l'une de vos mains doit s'activer autre part que sur le clavier...
Autre détail : ce récit est un pur fanstame et pas un compte-rendu ou une œuvre de bienséance ou politiquement correcte. Donc ne voyez pas dans les pratiques décrites ici de l'inconscience en cette période où les mœurs sexuelles souffrent de l'existence de MST/IST et de comportements parfois irresponsables. Pour ma part, j'utilise des préservatifs dans ma sexualité. Pour autant, vous n'en trouverez pas beaucoup ici. Ce n'est donc pas une incitation à en rejeter l'usage. Mais je ne cherche pas non plus à vous apprendre comment l'intégrer dans vos pratiques à vous. C'est votre affaire. Ne me le reprochez pas. Personne ne vous force à lire ce texte.
Dernier détail : ce récit comporte aussi de la bisexualité masculine. Vous êtes prévenus.
Et donc... voilà.
Samuel était un pote de fac. Mais nous nous étions perdus de vue dès nos diplômes en poche. Plus de vingt ans ont passé depuis.
Et puis un jour, inscrit sur le réseau « Facebible » depuis plusieurs années et sans que je m'y attende, je reçois un message me proposant d'accepter un certain SamBotte en copain. C'était un pseudo. Il n'affichait pas son visage et je n'avais pas d'idée de qui il s'agissait... Dans son message, il jouait aux devinettes et j'ai dû m'y reprendre à trois ou quatre reprises avant d'avoir un flash.
Merde ! Sam !
C'est ainsi que j'ai renoué virtuelllement avec mon vieux pote de fac avec qui j'avais passé des soirées mémorables de sorties ciné, de boissons, de fêtes entre amis... mais sans rien de libidineux. Nous étions des jeunes de bonnes familles qui vivions sans excès. Nous étions même carrément sages, en fait.
Alors que j'ai pour ma part perdu de vue tous nos potes de l'époque, lui est resté lié avec une grosse poignée d'entre eux. Il faut dire que nos études d'histoire ont conduit plusieurs d'entre eux à devenir profs, tandis que pour ma part, j'avais bifurqué vers la sociologie et que j'étais devenu journaliste. L'éducation nationale, outre ses périodes de congés consistantes, les a donc soudés, alors que de mon côté je m'investissais totalement dans un métier très prenant où je réussissais. La vie nous avait aussi éloignés géographiquement.
Ainsi, travaillant essentiellement chez moi, en lien avec mon journal parisien, j'habite en Normandie. De son côté, Sam a posé ses valises du côté de Montpellier. « Facebible » me laissait voir qu'il recevait régulièrement la visite de potes comme Nathalie, qui avait volé mon cœur à l'époque de la fac, mais avec qui je n'avais jamais réussi à conclure, et aussi quelques autres pour lesquels j'avais plus ou moins d'attachement. Il avait aussi mené sa vie : marié, père de trois enfants, propriétaire d'une résidence secondaire en Arriège, voyages...
De mon côté, deux échecs sentimentaux et un métier qui m'amenait à voyager beaucoup, mais sans pouvoir rien prévoir, m'ont laissé célibataire, occupant maintenant la vieille ferme héritée de ma famille. Il n'en reste que quelques bâtiments isolés, désaffectés hormis la maison, au milieu de quatre hectares de sous-bois. Seuls deux chats partagent avec moi ce hâvre de paix vieillissant. A quarante-cinq ans, je ne vis pas pour autant une vie monastique. Spécialiste en politique européenne et internationale, j'effectue de nombreux déplacements pour suivre des conférences et autres rencontres diverses, qui m'offrent le plaisir de rencontres variées. J'ai ainsi mes entrées dans différents milieux dans la plupart des grandes villes européennes, et une libido entousiasmante (il faut bien que je commence à évoquer la chose, puisque cette histoire va quand même parler de sexe !).
Bref. Je n'avais toujours pas eu l'occasion de revoir Sam en vrai. Nous n'avions que quelques échanges, pas nombreux en fait, via ce réseau social. Et puis un jour, il me lança une invitation à descendre en Arriège durant l'été, alors que mon agenda me laissait deux semaines de libre. Je saisi donc cette occasion de revoir mon vieux pote et Nathalie qui serait aussi de la fête, avec deux couple d'amis de Sam et son épouse Karine, que je ne connais pas. Les deux couples amis sont aussi profs. Je connais déjà l'un d'eux, Nicolas et Christelle, formé à l'époque de la fac, mais pas le second. Ils ont rencontré ces derniers au cours de l'une de leurs affectations successives. Je me réjouissais aussi d'un séjour à la campagne dans l'arrière-pays de Toulouse, ville que je connais seulement pour y être venu ponctuellement pour mon job.
Je voyage peu en voiture à travers la France. Je suis donc assez ignorant des tours, détours, échangeurs, autoroutes, durées de voyage... Je suis aussi peu familier des GPS. Et donc, alors que j'avais prudemment annoncé mon arrivée vers dix-neuf heures en ce lundi de fin juillet, après avoir pris le départ au petit jour (j'apprécie de me lever aux aurores), j'avais finalement très bien roulé sous la chaleur, malgré d'épais nuages gris et des orages, et mon vieux Range-Rover diésel avait avalé les kilomètres (et les litres) sans fatiguer. Vers midi, je me voyais en fait arriver bien plus tôt que prévu, mais mon smartphone souffrait depuis trois jours d'une batterie capricieuse et je n'avais soudain plus de moyen d'appeler Sam ou de lui envoyer un SMS. Je me disais que je devrais régler cette histoire de téléphone au plus vite, car c'est un outil essentiel pour moi. Avec un temps d'avance, j'hésitais à m'arrêter à Toulouse pour résoudre le problème. Mais j'étais sous l'orage, je connaissais mal la ville, j'en avais pllein les bottes... et j'étais en vacances ! Bien que gêné de ne pas avoir prévenu, je reportais la question et je continuai mon chemin. J'étais heureux d'arriver peu avant dix-sept heures.
Sous les averses incessantes, le paysage était caché et les couleurs étaient voilées de gris. J'ai trouvé sans difficulté le vieux mas isolé dans les collines. Le portail était ouvert, je me suis avancé jusque dans la cour et je me suis garé. J'avais une inquiétude : à cette heure finalement précoce, les occupants n'étaient peut-être pas là, mais plutôt en promenade ou en train de faire quelques courses. Mais la présence de trois autres voitures m'a rassuré et j'ai atteint la maison à la recherche d'une sonnette... que je n'ai pas trouvée.
J'entendis un peu de musique venant du côté. Je me suis alors aventuré jusqu'à la façade donnant sur le jardin, après avoir franchi un portillon en bois qui n'était pas verrouillé. La pluie avait cessé et le soleil réapparaissait maintenant, déchirant quelques nuages. La lumière jaillissait de partout, mais tout dehors était encore trempé et une intense moiteur régnait. Tout autour de la maison, des rideaux d'arbre apportaient l'intimité. Parmi les nombreuses ouvertures de la maison, la plupart masquées par des volets rabattus, une petite porte vitrée était ouverte, donnant sur le salon. Je me suis doucement glissé dans l'encadrement avec l'idée de surprendre mon ami Sam et les autres invités. En réalité, c'est moi qui fut le plus surpris.
Au milieu du salon, je reconnus tout de suite Nathalie. Je ne l'avais pourtant plus revue depuis au moins vingt ans, et jamais nue comme elle l'était à cet instant. Je ne l'avais jamais vue non plus ainsi à genoux au sol avec une bouche déformée par une bite comme celle qu'elle suçait goulûment. C'était celle d'un mec que je ne connaissais pas, assis dans le canapé, nu lui aussi. Il s'agissait de Philippe, le mari de Anne, l'autre couple dont Sam m'avait annoncé la présence. Ils me furent présentés bien plus tard. Pour l'instant, derrière Nathalie, nu lui aussi, les mains ancrés sur ses hanches, Sam la remuait assez brutalement, lui labourant la chatte de sa queue. Je pris alors conscience des bruits de la pièce, des « floc-floc » caractéristiques des peaux en sueur qui claquent, et d'autres bruits de respiration, des grognements qui rappellent que les hommes et les femmes ne sont en fait que des animaux. Sur ma gauche, dans un deuxième canapé, je vis deux femmes que je ne connaissais pas et qui se gouinaient. L'une d'elle était assise dans l'angle, les cuisses écartées tandis que l'autre lui dévorait la foufoune. La première partageait son attention entre son propre plaisir et le téléphone avec lequel elle était en train de filmer tout ce qui se passait dans le salon.
Personne ne parlait. On n'entendait ainsi que les bruits de chair et la musique de fond, jusqu'à ce que Sam rompit le silence pour « complimenter » Nathalie :
« - Oh putain ! Salope ! T'es bien ouverte ! T'aimes ça, grosse pute ! On va te remplir de foutre et après on va te fister ! T'as toujours aimé ça, les bites, Hein ?! Comme la première fois avec Benjamin ! »
Du fond de ma mémoire jaillit un éclair : Benjamin ? C'était son petit ami en première année de fac ! Ils s'étaient séparés à ce moment-là et on ne l'a jamais revu. Je n'avais rien deviné de tout ça à l'époque. La complicité entre Sam et Nathalie allait donc déjà jusqu'au sexe ? Jamais Sam ne m'avait informé de quoi que ce soit, alors qu'il avait été le confident de mes sentiments pour elle... Et Sonia, la copine de Sam à l'époque, était-elle aussi dans le coup ?
J'étais un peu sonné, mais pas KO. J'ai sans doute vascillé. En tout cas, j'ai dû bouger dans la position discrète où je me trouvais. Sam s'en rendit compte, tourna la tête dans ma direction et découvrit ma présence imprévue.
Je me sentais un peu coupable : arrivé plus tôt sans prévenir, jouant les voyeurs, je n'étais pas en position de les juger ou de les condamner. Les condamner pour quoi d'ailleurs ? C'est moi qui était l'intrus. Et d'un point de vue moral, tout cela n'était finalement que du sexe. Je ne suis pas un vieux réac' et je n'étais pas le dernier à apprécier une partouze, même si je n'avais pratiqué qu'à une petite poignée d'occasions au cours de mes évolutions dans ces milieux d'influences diverses (non, ce n'est pas un cliché : fréquentez le pouvoir et vous verrez pointer le sexe).
Tout le monde se figea progressivement après que Sam eut exprimé sa surprise !
« - Putain, Paul ! T'es déjà là ? »
Je ne me défilai pas. Je restai à ma place, mais je lui décrochai un grand sourire :
« - Je suis désolé. Sincèrement. Je n'avais pas du tout pensé... »
De son côté, sous le coup de l'excitation et de la nervosité déclenchée par la situation, Nathalie explosa de rire. Elle m'expliqua plus tard qu'elle était arrivée au bord de l'orgasme quand j'ai débarqué et que je l'en avais privée. Elle avait aussi un peu bu, comme les autres. Et du coup, sans plus un mot, comme un réflexe, elle se remit à sucer Philippe qui, lui, était un peu perturbé par mon arrivée inopportune.
Sam surprit le geste pourtant discret que je fis malgré moi : j'ai réajusté ma bite, maintenant à l'étroit dans mon slip tant je bandais devant ce spectacle. Surtout que je découvrais tant de révélations ! Et surtout cela concernait Nathalie, la femme que j'avais tant idéalisée, tout en fanstamant sur elle, et Sam, mon meilleur pote que je croyais si bien connaître à l'époque !!! Mais jamais je n'avais imaginé... sauf peut-être ? ... Mais cela je vous en parlerai plus tard.
« - Ca te chauffe ? »
Je n'osais plus ouvrir la bouche. Je ne savais pas quoi répondre.
« - Tu... » Sam hésitait.
Il consulta du regard les autres, notamment la fille au téléphone qui était en train de filmer les coussins, perturbée par mon arrivée.
Sam fit une sorte de geste d'insinuation avec les épaules, les mains toujours rivées aux hanches de Nathalie et la bite toujours plongée dans sa chatte, mais sans bouger :
« - On peut l'inviter à se joindre à nous, non ? ... Si ça te choque pas ? » finit-il en me regardant droit dans les yeux avec un sourire gêné.
« - Je suis pas choqué. Je suis surtout gêné. J'ai l'impression de m'imposer... Maintenant, si je refuse, je vais bousiller l'ambiance... qui est plutôt... chaude... et vous pourrez m'en vouloir. Mais c'est gênant, surtout pour les femmes. Elles ne doivent pas se sentir forcées de m'accepter. »
« - Moi, je me sens pas forcée... »
Anne, la femme qui broutait le minou de sa copine, mais dont je ne connaissais pas encore le prénom, se redressa en me regardant avec un sourire gourmand. Je m'en rends compte maintenant qu'elle se relève : Anne est une très belle femme, assez grande, aux formes généreuses. D'origine martiniquaise, elle a la peau couleur café au lait et de grands yeux châtains avec des reflets dorés.
J'avais encore un scrupule (une connerie) :
« - Je crois juste que je pue un peu après dix heures de voiture... »
« - Si tu crois qu'on sent pas la sueur... On baise depuis des heures... » répondit-elle.
« - Tu déconnes... On vient juste de commencer... » rétorqua Karine, toujours assise dans le coin de son canapé, et reprenant sa vidéo. Elle avait aussi retrouvé le sourire, ce qui continuait de me rassurer.
Philippe prit aussi part à la conversation :
« - On a baisé toute la matinée, mais on a quand même pris le temps de la pause méridienne. »
« - La « pause méridienne » ? Pffff ! Ha ha ha ! Putain de prof de français ! »
Nathalie n'avait pu s'empêcher de s'interrompre et les rires fusèrent de partout.
« - Oh ta gueule ! Tais-toi et suce ! » intima Philippe en lui attrapant la tête et en la ramenant vers sa queue qui avait repris de la vigueur.
Pour Nathalie, reprendre son œuvre n'était pas si évident, car Sam s'était remis à lui pilonner la chatte sans retenue,
« - Oui, ferme ta gueule et occupe-toi des bites, grosse pute ! »
Je restais surpris par le vocabulaire de Sam et, dans une certaine mesure, par la soumission de Nathalie qui ne releva pas le propos. Ces mots-là n'étaient pas dans mes habitudes. Tout ça ne m'empêcha pas de me déshabiller rapidement.
Me retrouvant à poil pour la première fois devant ces personnes, j'étais gagné par l'excitation et n'éprouvais aucune gêne. Tout était devenu bestial : oubliée la pudeur, oubliée la moiteur, oubliées les circonstances, oubliées les odeurs musquées... Mon esprit était tout tourné vers le sexe, mais je ne savais pas trop par où commencer. Instinctivement, j'avais envie de Nathalie maintenant, alors que, de nombreuses années auparavant, je l'avais désirée sans rien en obtenir.
Sam s'en rendit compte. Il se souvint sûrement de mes sentiments passés. Il me fit un énorme clin d'oeil et se retira de la chatte de Nathalie.
« - Viens là. Prends ma place... »
Une dernière barrière humaine amena une question de ma part :
« - Les capotes ? »
« - T'as des saloperies sur toi ? » répondit Sam.
« - Non... Mais... »
« - Alors ça ira. Hein, Nathalie ? T'aime ça le sperme ? »
Nathalie ne pouvait pas ne pas entendre. Mais elle ne répondit pas. Elle ne tourna même pas la tête, consacrant tous ses soins à la bite qu'elle suçait. Philippe ne lui laissait pas non plus beaucoup de liberté, forçant un peu le passage de sa bouche en appuyant sur sa tête de ses deux mains. Nathalie ne refusait pas ce geste que je trouvais un peu violent. Elle s'efforça même d'avaler la plus grande longueur possible de cette bite. Elle finit par écraser son nez sur le pubis rasé de Philippe, la bite ayant alors complètement disparu dans sa bouche.
« - Putain ! Vingt-cinq centimètres ! Faut qu'elle aime cette bite, la salope ! » réagit Sam.
« - Vingt-cinq ? Nan... Sérieux ? » je n'en revenait pas, avec mes cent quatre vingt millimètres qui me semblent bien suffisants.
« - Ouais... » Philippe retira sa bite de la bouche de Nathalie pour me permettre de réaliser que, effectivement, sa bite était énorme !
Étant bisexuel, mais ayant une sexualité principalement hétéro, et ayant aussi goût pour la pornographie, j'en ai déjà vu d'aussi grosses, et j'en ai même déjà goûté... Mais je restais surpris par la situation. Tout cela dépassait tellement l'ordre établi des choses entre Sam, Nathalie et moi...
J'éprouvais donc une forme de fascination en voyant maintenant Nathalie reprendre volontairement ce chibre monstrueux pour se l'enfoncer encore une fois jusqu'à la garde, son menton venant s'enfoncer dans les couilles de Philippe. Elle s'étouffait à moitié et dut rapidement libérer sa bouche pour reprendre son souffle. Mais, de toute évidence, elle aimait montrer sa capacité à le faire. Est-ce qu'elle souhaitait se le prouver à elle-même ? En tout cas, elle le refit plusieurs fois avec toujours autant d'entrain, sous nos regards libidineux. Nous en bavions presque autant qu'elle.
Je ne restais pas pour autant inactif : je me positionnai derrière la belle brune et je la pénétrai sans ménagement, chauffé à blanc par la situation. Je ne lui laissait pas réagir et je repris là où Sam l'avait laissée en lui ramonant la chatte à grands coups de rein. Je me demandais si elle en éprouvait vraiment de sensations, car sa chatte m'a surpris par le fait qu'elle était très large en plus d'être trempée et brûlante.
« - Oh la vache ! Y a de la place ! Je flotte presque dedans ! » ce qui ne m'empêchait pas d'y aller franchement, bien au contraire. Mais j'avais peur d'arriver bien trop vite, tellement j'étais sous le feu de l'excitation.
Sur le côté, dans le divan, Karine suçait maintenant son mari, Sam, tandis que Anne s'affairait toujours entre ses cuisses. En face de moi, Philippe se faisait toujours sucer par Nathalie, mais il était maintenant penché en avant et je devinais que, de ses mains, il jouait avec ses seins.
« - Après ce qu'on lui a mis ce matin, normal qu'elle soit encore bien large... Elle adooore ça ! Hein, salope ? »
Mon cerveau bouillonnait du choc des circonstances : je n'avais pas vu Sam et Nathalie depuis plus de vingt ans, je ne connais pas les trois autres personnes, je suis arrivé depuis peut-être deux ou trois minutes, on ne s'est ni salués, ni présentés et je me retrouve à poil au milieu de tout ce petit monde en train de baiser la nana qui me faisait fantasmer quand j'ai débarqué en fac ! Et je n'éprouvais aucun scrupule.
« - Qu'est-ce que vous lui avez fait pour qu'elle soit si large ? Putain... Jamais j'aurais pensé... Nathalie, la jolie brune si calme... Une fille modèle, cultivée... » continuais-je, assailli par l'image que j'avais eu d'elle dans notre jeunesse.
« - Qu'est-ce qu'on lui a fait ? Ben depuis deux jours on la baise dans tous les sens et dans tous les trous, ta sainte-nitouche ! On lui a bien rempli la chatte, avec tout le foutre qu'on pouvait, avec des bites, avec des mains... Elle adoooooore ça, je te dis ! Et c'est pas nouveau ! Avant même que tu tombes amoureux d'elle en fac, j'ai jamais osé te dire, mais on était quelques uns à la baiser, souvent à plusieurs... Quasiment tous tes potes lui sont passés dessus ! »
Les précisions de Sam ne faisaient qu'augmenter la puissance avec laquelle je baisais Nathalie.
Pendant qu'il parlait, Sam s'était approché de la tête de Nathalie. En fait, non. S'il s'était approché, c'était de Philippe. Je fus scotché. Sam lui releva la tête et lui roula une pelle très virile à laquelle son copain répondait avec énergie. Sous mes yeux toujours plus étonnés, j'ai alors vu Philippe attraper la bite de Sam et la pomper tout en lui caressant les couilles et le cul.
- - -
Je sais, je semble vous laisser tomber en arrêtant là.
Je m'explique : écrire tout ça, c'est long. J'y ai passé toute une après-midi.
J'ai très envie de continuer. Mais je ne le fais pas pour moi.
Je continuerai si ça vous plaît. Sinon, à quoi bon ?
Je vous promets que je ne vous laisserai pas sur votre faim.
Je suis aussi disposé à modifier le style, si vous le trouvez utile.
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