Trés beau souvenir
Récit érotique écrit par Badmax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trés beau souvenir
Et oui je me rappelle ce jour-là, il était 13h30 et je suis venu te chercher à la gare. On s’était donné rendez-vous, et je me trouvais sur le quai en train de t’attendre. Dans ma tête, plein d’idées à imaginer sur le comment j’allais passer l’après-midi et la nuit avec toi. Tu devais repartir le lendemain à la même heure approximative. Tu savais et je savais que nous allions faire l’amour ou peut être jouer à un de ces jeu sexuel que j’adore inventé, pour nous. Des jeux soit sado maso, soit sexuellement doux, soit simplement amoureux. Mais aujourd’hui cela faisait bien une semaine que je ne t’avais pas vu et mon sexe demandait son tribu. Je ne pouvais bien sûr le retenir.
Donc j’avais déjà pensé, à ton accueil, ta venue et j’ai voulu prendre les choses en main.
Pour ce fait, sur le quai, j’ai mis mon grand manteau qui me couvre jusqu’aux genoux et sous ce vêtements, j’ai mis des bas noir et un string de couleur rouge. En dehors de ces dessous, je suis nu et j’ai osé, me promener en voiture dans cette tenue. Maintenant je me trouve sur le quai, heureusement il n’y a personne pour me reluquer. De toute façon, mon manteau me couvre et il n’y aura que toi pour tout de suite voir ma tenue d’attaque.
J’ai fait encore une chose avant de partir te chercher, j’avoue qu’après avoir enduit le pourtour de mon anus de vaseline, j’ai introduit dans celui-ci, une balle de ping pong, qui maintenant se trouve dans mon intérieur sans que cela me gêne. Rien ne l’empêche de s’échapper à part la petite ficelle de tissu, qui me chatouille la fente de mes fesses. Je me suis entièrement rasé le sexe malgré que tu aimes mes poils, mais je voulais te montrer mon pénis dans son plus bel habit.
Ca y est le train est là et tu descends du wagon, cette fois-ci , tu ne risques pas de tomber de la marche, le niveau du quai est à la bonne hauteur. Tu portes un sac, et tu te diriges vers moi. Lorsque tu me vois de loin, j’aperçois un sourire malicieux et tes yeux me montrent que tu as tout de suite compris, l’appel vestimentaire. D’autres personnes se trouvent devant toi, ils me croisent sans se douter que mon pénis se trouve à l’air libre, que mon anus ne demande qu’à s’ouvrir. Mes yeux te montrent ma petite folie sexuelle et lorsque tu arrives à ma hauteur, tu poses tes lèvres contre les miennes, puis tu me regardes en me disant, « Tu es vraiment fou » mais « j’adore » et tu ris.
Je prends ton sac et je te conduis à ma voiture. A peine démarré, tu écartes de tes mains mon manteau pour confirmer tes pensées. Effectivement tu avais raison, je suis nu et tu admires mes bas. En roulant tu passes tes doigts dans mon string pour caresser mon gland, pour t’assurer qu’il est toujours là et qu’il n’a pas eu trop froid. Tu refuses toutefois de le prendre en bouche car tu répètes que ce n’est pas prudent au volant. Je n’insiste pas, sachant que j’ai tout mon temps pour te séduire au chaud dans mon appartement.
Et oui, maintenant tu viens d’entrer et tu te diriges directement dans la chambre pour te mettre comme à ton habitude à l’aise, les volets sont fermés. Immédiatement après que tu es enlevé ton soutien-gorge, ton pantalon, immédiatement après que tu sois nue, je ferme la porte de la chambre où maintenant l’obscurité règne, et je t’enlace dans mon manteau, ton corps contre le mien, et ma bouche se colle à la tienne sans aucune mesure. Ma langue est rentrée dans ta bouche et fait des cercles avec la tienne, mes mains caressent ton dos pour descendre ensuite sur tes fesses. Mon pénis à travers le string touche ton pubis, mon corps retrouve la chaleur qu’il avait perdue sur le quai de la gare. Alors que ta main droite est entrée dans cette petite culotte sur ma demande, tes doigts touchent mon anus et s’aperçoive qu’une petite balle toute dure vient de s’échapper de mon anus. Je sens à ton baiser la surprise, mais tu ne t’effraies pas et tu repousses cette balle dans son logement. Plusieurs fois j’expulserai cet objet que tu remettras dans sa cache. Mes doigts eux, caressent en même temps les poils de ton sexe, le pourtour de ton anus, il y a même un doigt qui a réussi à lui seul, à écarter tes lèvres. Voyant l’envie monter en nous, j’arrête immédiatement, les attouchements, de sorte que nos envies durent et redurent encore. J’ai compris à mon relâchement que tu aurais préféré le contraire. Je rouvre la porte et la lumière est a nouveau là. Je te laisse mettre ton pyjama et en même temps je me précipite sur ton sac, pour confirmer que tu as ramenés, les objets que j’avais demandé. Une paire de ciseaux, un thermomètre, une cuillère de bois. Tout y est. De mon côté sur le rebord de cuisine, ont été déposé par moi, de l’huile, du beurre, des épingles à linge, deux sex toys, et de la corde. Tu es sûre maintenant que nous allons tous les deux passer au moins une après-midi agréable, et bien sûr j’ai le sourire aux lèvres. Mais tout d’abord nous avons décidé de boire un café au poivre, sucré bien sûr. Nous fumons une cigarette, à goutant à ce nectar piquant.
Quand ce petit goûter sexuel est avalé, je t’allonge sur mon canapé et je passe une main sous le haut de ton pyjama pour pouvoir caresser l’un de tes mamelons. Je découvre ensuite ton sein que j’embrasse longuement et je me mets à téter comme un petit bébé qui voudrait du lait pour rassasier sa faim. Je te suce longuement tendrement et tes deux tétons enflent. En main temps une de mes mains est entrée dans ton pantalon, toi tu es sur le dos, couché sur le canapé, moi je suis sur le côté à genoux, ma bouche emprisonne ton téton gauche et ma main gauche dessine des cercles sur les poils de ton sexe. Tu fermes les yeux et tu apprécies ces caresses, en me disant bien sûr que tu as envie de me sucer, mon pénis qui maintenant vient de sortir de mon string. Tes yeux l’ont vu et cela t’as donné cette envie. Avaler ce gland dressé contre l’élastique de ma culotte.
Je refuse bien entendu et je t’abandonne un petit moment, là, couchée sur le canapé. Je viens d’aller chercher une cordelette, pour te lier. Tout d’abord je t’enlève le bas de ton pantalon, et après avoir passé ma langue chaude sur ton sexe plusieurs fois et avoir humifié, cette partie de ton corps, je commence à attacher tes chevilles à chaque pied du canapé. Tu es maintenant nue, je viens de t’enlever le haut, tu as les jambes liées et écartées, tes bras sont également attachés vers le haut de ton corps. Tu es prisonnière de ma personne, j’ai toute puissance sur toi, je vais soit te faire souffrir soit te faire l’amour, soit tu faires patienter comme j’adore te donner envie de jouir. Tu sais déjà laquelle solution je choisis. Te voilà à ma merci, je viens de pincer tes deux tétons, avec des pinces à linge, ils deviennent par cette souffrance, des tétines que j’aime sucer, goûter, pincer. Je laisse en place des épingles, pour en mettre d’autre sut tes lèvres sexuelles de chaque côté et de ce fait ton sexe est ouvert à tout assaillant, voulant visiter ta grotte, qui commence à devenir humide. Le capuchon de ton clitoris est maintenant à ma merci, et de cette vision, mon pénis est en parfaite érection. J’enlève mon string qui commence à gêner cette évasion sexuelle. Maintenant que je suis libre, je me mets à califourchon sur ton corps, ma langue lèche et relèche ton clito, mes fesses font face à tes yeux, qui regarde mon anus s’agrandir de lui-même à lâchant sur ton visage ma balle de ping pong. Celle-ci contrairement à ce que l’on pourrait croire est propre et imbibé d’huile. Mon anus est ouvert et ta langue est déjà sortie de ta bouche pour pouvoir me lécher son intérieur. Ce qui me donne une sensation terrible, un frisson parcourt mes testicules, tire sur la peau de mes bourses, et ma verge se tend de plus en plus vers le ciel. Pendant ce temps, mes dents craquellent le capuchon de ton clitoris, qui lui est devenu écarlate. De ta gorge, un petit râle se fait entendre, ce qui me donne l’ordre de freiner, l’envie que j’ai de te pénétrer. J’arrête donc là ces simples préliminaires que j’adore et qui te donne également des envies folles de baiser. Je me dégage de ton corps pour venir me mettre à genoux face à tes pieds. A cet endroit ma vision est simple, je suis en face de ton sexe et je vais commencer à faire couler un filet de cyprine et tout cela grâce à mes caresses. D’une main et à l’aide des poils d’un petit pinceau que je t’avais caché, je chatouille ton clitoris de bas en haut en effectuant des tourbillons sur le haut de ce bouton. De l’autre main, avec un sex-toy à forme recourbée, avec une petite boule à sa tête, je glisse dans ton intérieur, que je fais vibrer à l’aide d’une pile. Cette petite boule vient percuter ton point « G », qui lui, n’hésite pas à faire couler entre tes cuisses ce petit « ru » de jouissance. Cela dure très peu de temps car je ne veux pas l’explosion immédiate, je veux être en toi à ce moment-là. Je veux également t’avaler. Je détache donc, simplement qu’une seule jambe que je remonte vers mon épaule côté droit. Là ton sexe est à moi, les lèvres de celui-ci sont en opposition, la première celle de gauche est replié, et celle de droite est tendue. Un super pli, où je vais pouvoir introduire mon gland puis ma verge toute entière. Mais avant cela, j’enlève les pinces de tes tétons enfin qu’ils respirent au fur à mesure de mes pénétrations. Ton sexe me fait envie et je te fais attendre comme moi j’attends, je ne peux m’empêcher encore une fois de lécher ces gouttes qui sortent et qui glissent le long de tes lèvres. Je suis à nouveau en train de les lécher et tu gémis de plus en plus. Maintenant je sais que tu veux que tu désires ma verge toute entière en toi. Pour ma part je veux sentir cette chaleur, cette pression que tu vas me donner. Je veux sentir l’impact de ta profondeur sur mon gland, te sentir toute entière à moi. Je place donc mon gland à l’entrée ta grotte et je le frotte contre toi, de haut en bas, de temps temps je donne une petite poussée, pour que mon gland s’introduise, puis je le retire d’un coup sec. Et puis cela arrive, tout doucement et j’essaye le plus longuement possible, je viens te pénétrer, mon gland est introduit, je sens tes lèvres envahir ma verge qui durcit encore, elle est droite et chaude. Je commence l’aller et venue, le va et vient de mon bâton contre ton sexe intérieur, tu me sens, je te sens, je ne veux pas éjaculer tout de suite, car cela est trop bon, il faut que ça dure. Toi tu mouilles, tu lubrifies mon pénis, tu l’aspires. Je te donne des coups soit brutal, soit doux, tu continues à gémir à me dire des oui, des encore, moi c’est le silence, je te veux, je t’ai, je t’envahie.
Non je ne peux me retenir, mes coups sont de plus en plus rapide, tes cris de plus en plus fort, nous partons tous les deux, dans un monde de rêve de plaisir, je te percute, tu m’accueilles, tu avales cette verge tendue vers toi. J’ai détaché l’autre jambe qui maintenant vient de rejoindre l’autre sur mes épaules, je suis complètement en toi. Un liquide chaud, coule dans ma verge et s’éjecte de mon gland en toi, tu ressens la chaleur de celui-ci en même qu’une cascade sont de ton corps. Mes testicules se mouillent à chaque culbute qu’elles font sur ton sexe…Je rugis d’amour, tu jouis de plaisir. Encore une fois, j’ai fait trop vite, mais c’était si bon, que nous nous retrouvons enlacé, ma tête sur tes seins, moi riant comme un fou, toi les yeux fermés, me serrant très fort dans tes bras…..Et je te promets, ce n’est que le début de ton arrivée. Ce soir tu mouilleras, mon lit, mon fauteuil, mon corps….C’est beau le sexe
Donc j’avais déjà pensé, à ton accueil, ta venue et j’ai voulu prendre les choses en main.
Pour ce fait, sur le quai, j’ai mis mon grand manteau qui me couvre jusqu’aux genoux et sous ce vêtements, j’ai mis des bas noir et un string de couleur rouge. En dehors de ces dessous, je suis nu et j’ai osé, me promener en voiture dans cette tenue. Maintenant je me trouve sur le quai, heureusement il n’y a personne pour me reluquer. De toute façon, mon manteau me couvre et il n’y aura que toi pour tout de suite voir ma tenue d’attaque.
J’ai fait encore une chose avant de partir te chercher, j’avoue qu’après avoir enduit le pourtour de mon anus de vaseline, j’ai introduit dans celui-ci, une balle de ping pong, qui maintenant se trouve dans mon intérieur sans que cela me gêne. Rien ne l’empêche de s’échapper à part la petite ficelle de tissu, qui me chatouille la fente de mes fesses. Je me suis entièrement rasé le sexe malgré que tu aimes mes poils, mais je voulais te montrer mon pénis dans son plus bel habit.
Ca y est le train est là et tu descends du wagon, cette fois-ci , tu ne risques pas de tomber de la marche, le niveau du quai est à la bonne hauteur. Tu portes un sac, et tu te diriges vers moi. Lorsque tu me vois de loin, j’aperçois un sourire malicieux et tes yeux me montrent que tu as tout de suite compris, l’appel vestimentaire. D’autres personnes se trouvent devant toi, ils me croisent sans se douter que mon pénis se trouve à l’air libre, que mon anus ne demande qu’à s’ouvrir. Mes yeux te montrent ma petite folie sexuelle et lorsque tu arrives à ma hauteur, tu poses tes lèvres contre les miennes, puis tu me regardes en me disant, « Tu es vraiment fou » mais « j’adore » et tu ris.
Je prends ton sac et je te conduis à ma voiture. A peine démarré, tu écartes de tes mains mon manteau pour confirmer tes pensées. Effectivement tu avais raison, je suis nu et tu admires mes bas. En roulant tu passes tes doigts dans mon string pour caresser mon gland, pour t’assurer qu’il est toujours là et qu’il n’a pas eu trop froid. Tu refuses toutefois de le prendre en bouche car tu répètes que ce n’est pas prudent au volant. Je n’insiste pas, sachant que j’ai tout mon temps pour te séduire au chaud dans mon appartement.
Et oui, maintenant tu viens d’entrer et tu te diriges directement dans la chambre pour te mettre comme à ton habitude à l’aise, les volets sont fermés. Immédiatement après que tu es enlevé ton soutien-gorge, ton pantalon, immédiatement après que tu sois nue, je ferme la porte de la chambre où maintenant l’obscurité règne, et je t’enlace dans mon manteau, ton corps contre le mien, et ma bouche se colle à la tienne sans aucune mesure. Ma langue est rentrée dans ta bouche et fait des cercles avec la tienne, mes mains caressent ton dos pour descendre ensuite sur tes fesses. Mon pénis à travers le string touche ton pubis, mon corps retrouve la chaleur qu’il avait perdue sur le quai de la gare. Alors que ta main droite est entrée dans cette petite culotte sur ma demande, tes doigts touchent mon anus et s’aperçoive qu’une petite balle toute dure vient de s’échapper de mon anus. Je sens à ton baiser la surprise, mais tu ne t’effraies pas et tu repousses cette balle dans son logement. Plusieurs fois j’expulserai cet objet que tu remettras dans sa cache. Mes doigts eux, caressent en même temps les poils de ton sexe, le pourtour de ton anus, il y a même un doigt qui a réussi à lui seul, à écarter tes lèvres. Voyant l’envie monter en nous, j’arrête immédiatement, les attouchements, de sorte que nos envies durent et redurent encore. J’ai compris à mon relâchement que tu aurais préféré le contraire. Je rouvre la porte et la lumière est a nouveau là. Je te laisse mettre ton pyjama et en même temps je me précipite sur ton sac, pour confirmer que tu as ramenés, les objets que j’avais demandé. Une paire de ciseaux, un thermomètre, une cuillère de bois. Tout y est. De mon côté sur le rebord de cuisine, ont été déposé par moi, de l’huile, du beurre, des épingles à linge, deux sex toys, et de la corde. Tu es sûre maintenant que nous allons tous les deux passer au moins une après-midi agréable, et bien sûr j’ai le sourire aux lèvres. Mais tout d’abord nous avons décidé de boire un café au poivre, sucré bien sûr. Nous fumons une cigarette, à goutant à ce nectar piquant.
Quand ce petit goûter sexuel est avalé, je t’allonge sur mon canapé et je passe une main sous le haut de ton pyjama pour pouvoir caresser l’un de tes mamelons. Je découvre ensuite ton sein que j’embrasse longuement et je me mets à téter comme un petit bébé qui voudrait du lait pour rassasier sa faim. Je te suce longuement tendrement et tes deux tétons enflent. En main temps une de mes mains est entrée dans ton pantalon, toi tu es sur le dos, couché sur le canapé, moi je suis sur le côté à genoux, ma bouche emprisonne ton téton gauche et ma main gauche dessine des cercles sur les poils de ton sexe. Tu fermes les yeux et tu apprécies ces caresses, en me disant bien sûr que tu as envie de me sucer, mon pénis qui maintenant vient de sortir de mon string. Tes yeux l’ont vu et cela t’as donné cette envie. Avaler ce gland dressé contre l’élastique de ma culotte.
Je refuse bien entendu et je t’abandonne un petit moment, là, couchée sur le canapé. Je viens d’aller chercher une cordelette, pour te lier. Tout d’abord je t’enlève le bas de ton pantalon, et après avoir passé ma langue chaude sur ton sexe plusieurs fois et avoir humifié, cette partie de ton corps, je commence à attacher tes chevilles à chaque pied du canapé. Tu es maintenant nue, je viens de t’enlever le haut, tu as les jambes liées et écartées, tes bras sont également attachés vers le haut de ton corps. Tu es prisonnière de ma personne, j’ai toute puissance sur toi, je vais soit te faire souffrir soit te faire l’amour, soit tu faires patienter comme j’adore te donner envie de jouir. Tu sais déjà laquelle solution je choisis. Te voilà à ma merci, je viens de pincer tes deux tétons, avec des pinces à linge, ils deviennent par cette souffrance, des tétines que j’aime sucer, goûter, pincer. Je laisse en place des épingles, pour en mettre d’autre sut tes lèvres sexuelles de chaque côté et de ce fait ton sexe est ouvert à tout assaillant, voulant visiter ta grotte, qui commence à devenir humide. Le capuchon de ton clitoris est maintenant à ma merci, et de cette vision, mon pénis est en parfaite érection. J’enlève mon string qui commence à gêner cette évasion sexuelle. Maintenant que je suis libre, je me mets à califourchon sur ton corps, ma langue lèche et relèche ton clito, mes fesses font face à tes yeux, qui regarde mon anus s’agrandir de lui-même à lâchant sur ton visage ma balle de ping pong. Celle-ci contrairement à ce que l’on pourrait croire est propre et imbibé d’huile. Mon anus est ouvert et ta langue est déjà sortie de ta bouche pour pouvoir me lécher son intérieur. Ce qui me donne une sensation terrible, un frisson parcourt mes testicules, tire sur la peau de mes bourses, et ma verge se tend de plus en plus vers le ciel. Pendant ce temps, mes dents craquellent le capuchon de ton clitoris, qui lui est devenu écarlate. De ta gorge, un petit râle se fait entendre, ce qui me donne l’ordre de freiner, l’envie que j’ai de te pénétrer. J’arrête donc là ces simples préliminaires que j’adore et qui te donne également des envies folles de baiser. Je me dégage de ton corps pour venir me mettre à genoux face à tes pieds. A cet endroit ma vision est simple, je suis en face de ton sexe et je vais commencer à faire couler un filet de cyprine et tout cela grâce à mes caresses. D’une main et à l’aide des poils d’un petit pinceau que je t’avais caché, je chatouille ton clitoris de bas en haut en effectuant des tourbillons sur le haut de ce bouton. De l’autre main, avec un sex-toy à forme recourbée, avec une petite boule à sa tête, je glisse dans ton intérieur, que je fais vibrer à l’aide d’une pile. Cette petite boule vient percuter ton point « G », qui lui, n’hésite pas à faire couler entre tes cuisses ce petit « ru » de jouissance. Cela dure très peu de temps car je ne veux pas l’explosion immédiate, je veux être en toi à ce moment-là. Je veux également t’avaler. Je détache donc, simplement qu’une seule jambe que je remonte vers mon épaule côté droit. Là ton sexe est à moi, les lèvres de celui-ci sont en opposition, la première celle de gauche est replié, et celle de droite est tendue. Un super pli, où je vais pouvoir introduire mon gland puis ma verge toute entière. Mais avant cela, j’enlève les pinces de tes tétons enfin qu’ils respirent au fur à mesure de mes pénétrations. Ton sexe me fait envie et je te fais attendre comme moi j’attends, je ne peux m’empêcher encore une fois de lécher ces gouttes qui sortent et qui glissent le long de tes lèvres. Je suis à nouveau en train de les lécher et tu gémis de plus en plus. Maintenant je sais que tu veux que tu désires ma verge toute entière en toi. Pour ma part je veux sentir cette chaleur, cette pression que tu vas me donner. Je veux sentir l’impact de ta profondeur sur mon gland, te sentir toute entière à moi. Je place donc mon gland à l’entrée ta grotte et je le frotte contre toi, de haut en bas, de temps temps je donne une petite poussée, pour que mon gland s’introduise, puis je le retire d’un coup sec. Et puis cela arrive, tout doucement et j’essaye le plus longuement possible, je viens te pénétrer, mon gland est introduit, je sens tes lèvres envahir ma verge qui durcit encore, elle est droite et chaude. Je commence l’aller et venue, le va et vient de mon bâton contre ton sexe intérieur, tu me sens, je te sens, je ne veux pas éjaculer tout de suite, car cela est trop bon, il faut que ça dure. Toi tu mouilles, tu lubrifies mon pénis, tu l’aspires. Je te donne des coups soit brutal, soit doux, tu continues à gémir à me dire des oui, des encore, moi c’est le silence, je te veux, je t’ai, je t’envahie.
Non je ne peux me retenir, mes coups sont de plus en plus rapide, tes cris de plus en plus fort, nous partons tous les deux, dans un monde de rêve de plaisir, je te percute, tu m’accueilles, tu avales cette verge tendue vers toi. J’ai détaché l’autre jambe qui maintenant vient de rejoindre l’autre sur mes épaules, je suis complètement en toi. Un liquide chaud, coule dans ma verge et s’éjecte de mon gland en toi, tu ressens la chaleur de celui-ci en même qu’une cascade sont de ton corps. Mes testicules se mouillent à chaque culbute qu’elles font sur ton sexe…Je rugis d’amour, tu jouis de plaisir. Encore une fois, j’ai fait trop vite, mais c’était si bon, que nous nous retrouvons enlacé, ma tête sur tes seins, moi riant comme un fou, toi les yeux fermés, me serrant très fort dans tes bras…..Et je te promets, ce n’est que le début de ton arrivée. Ce soir tu mouilleras, mon lit, mon fauteuil, mon corps….C’est beau le sexe
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