Un rêve

- Par l'auteur HDS Badmax -
Récit érotique écrit par Badmax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un rêve Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un rêve
LE REVE
Nous sommes tous deux de vrais amis, de longue date, mais aujourd’hui nous nous voyons moins souvent. La distance entre nos deux domiciles s’est agrandie et lorsque nous faisons l’amour ce n’est que par téléphone. Même à distance notre plaisir à tous deux est intense et merveilleux. Nous aimons nous faire l’amour. J’ai décidé avec ton accord de nous rencontrer une nouvelle fois pour goûter encore et encore aux plaisirs de notre chair. Cela va se passer dans un hôtel et nous allons nous caresser, nous exciter, nous tripoter, nous baiser, nous aimer, nous faire l’amour.
En toute discrétion je réserve une chambre et je t’invite à y venir m’y rejoindre. Comme la vie ne nous a pas laissé le choix, nous avons dû nous séparer et ces rencontres qui étaient devenues habituelles se sont espacées. Notre envie est grande à tous deux, nos corps, nos sexes, veulent et désirent cette union, même sommaire.
J’arrive donc avant toi au lieu de rendez-vous et je commence à installer la chambre. Un grand lit a été bien sûr retenu.
J’ai amené avec moi nos objets préférés et aussi des nouveaux que j’ai acheté durant mon voyage. Tu les connais bien, ces outils de l’amour, un foulard de soie de couleur noir, Hercule, ce sextoy appelé comme cela, vu son épaisseur, sa grandeur, sa rigidité, terminé par d’énormes boules ressemblant à des testicules. Il y a aussi le petit vibreur, dont la pointe affinée peut se glisser dans ton capuchon pour venir chercher ton tendre clitoris. J’ai aussi des gants latex, des cordes, des épingles, tout l’attirail du technicien de l’amour. Je n’ai pas oublié non plus ce plug anal, que tu aimes utiliser, pour ouvrir et dilater mon anus. Il est de couleur noir et d’un diamètre de plus de huit centimètres pour te permettre de me fister après son utilisation et selon tes envies. Mais pour l’instant j’attends ta venue, j’ai placé des bougies allumées un peu partout, salle d’eau, tables de chevet. Les rideaux de la chambre sont tirés. Mes sens sont en éveil. Rien de la façon que nous allons nous aimer n’a été prévu. J’espère seulement que je vais être apte à te rendre folle de plaisir.
J'entends des pas dans le couloir... mon cœur se met à battre plus vite...
Comment va se passer cette rencontre ? Comment es-tu habillée ? Ai-je vais être à la hauteur ?
Tu ouvres la porte de la chambre, plongée dans la pénombre... la porte se referme... Je suis derrière toi... Je passe un foulard sur tes yeux... Je me penche sur ton oreille pour te dire quelques mots tendres et rassurants... Mes mains se posent sur ta taille et commencent parcourir un gestuel minutieux. Elles cherchent à reconnaître à travers tes vêtements la sensualité de ta peau. Je t'embrasse tendrement le cou. Mes lèvres glissent jusqu'à ton oreille et je te demande si tu es prête à m'obéir.
Tu creuses tes reins et tu viens plaquer tes fesses contre le bas de mon ventre avant de me répondre un "oui" dans un profond soupir de contentement. Je sais maintenant que tu as envie de moi.
J’immobilise tes mains avant qu'elles ne me touchent... je décide de te tester encore un peu etje te fais avancer au centre de la pièce. Je retire ta veste, enlève ta chemise, je ressens immédiatement la chaleur de ton corps. En enlevant ton soutien-gorge je ne peux m’empêcher d’attraper vigoureusement tes seins pour les prendre dans mes mains. Mes lèvres, mordillent ton épaule. Je viens de descendre ta jupe, je sais maintenant que tu portes des bas, mes doigts ont trouvé ton porte-jarretelles et ton string, ils s’attardent sur cette dentelle, douce, chaude, moulée pour toi. Je te fais mettre à genoux sur un fauteuil et je tourne autour de toi. D’une voix accusatrice Je te pose les questions auxquelles tu dois répondre franchement sans aucune arrière-pensée.
Comment te sens-tu en ce moment ? Es-tu heureuse d’être là ?
As-tu déjà vécu une telle expérience ?
As-tu envie ?, es-tu mouillée? Ta culotte est-elle humide?, car je vais y mettre un doigt pour vérifier.
Quand as-tu fait l'amour la dernière fois ?
A quoi penses-tu quand tu te caresses ? Chez toi toute seule.
Quelles sont tes préférences sexuelles ? Où mes caresses doivent elles commencer ?
Est-ce que tu vas vraiment céder à tous mes caprices ?
Je sens ton envie dans tes yeux, une envie d’être bousculer.
Tu me réponds que tu es complètement à moi, la seule chose que tu désires pour l’instant, c'est de la douceur. Bien au contraire, d’un ton autoritaire je te fais savoir que je vais décider moi-même du sort que je te réserve. Je te demande de cambrer davantage tes reins. J'attache tes poignets aux accoudoirs du fauteuil. Lentement je passe mes mains sur ton dos… Sur tes hanches...Sur ton ventre... Je remonte vers tes seins que je prends par en dessous à pleines mains... je les masse longuement en tirant quelques fois sur tes mamelons, tu sens mon sexe à travers mon pantalon contre tes reins... Je mordille tes oreilles... Une de mes mains se pose sur tes fesses... Elles sont superbes, décorées de ce string noir, épousant la forme de ta fente... Ma main glisse entre tes cuisses... C'est chaud...C’est tendre. C'est le moment de vérifier si tu mouilles...
J'aime te faire languir... Je ne résiste pas à l'envie de retirer ta culotte à dentelle qui me semble être déjà humide de quelques gouttes d’envie. Je m'agenouille derrière toi. D’un coup sec et violent, j’arrache ce tissu qui me gêne, et tu paniques à cette violence car ton string vient d’être écarté de nous, il vient de disparaître. Sa texture, lors de son éjection a largement ouvert ton sexe. J’ai le visage à hauteur de tes fesses. Mes doigts caressent les lèvres de ton minou en les écartant tendrement... Tu es belle dans cette posture indécente... Je pose mes lèvres et ma langue sur ton anus...
Je te savoure... Ton odeur m'enivre...Ma tête est maintenant plongée entre tes cuisses largement écartées, la pointe de ma langue entre en contact avec tes lèvres les plus intimes... J'en dessine le contour... Mes doigts massent tes grandes lèvres... ma bouche contourne lentement ton clitoris... puis l'emprisonne entre mes lèvres... l'aspire tout doucement... En même temps je saisis tes fesses à pleine main en les massant fortement... Tu ne vois rien de ce qui se passe... Tu devines seulement mes gestes... pour toi c'est un mélange d'excitation et d'appréhension... tu ne sais pas à quoi t'attendre...
J'ai très envie de toi, tu es complètement ouverte et offerte... Je fais néanmoins durer le plaisir... ma langue s'infiltre dans ton ventre... le plus loin possible... puis elle ressort pour se réenfoncer davantage en toi.... Elle redescend puis entame des va et vient sur ton clitoris... je remonte entre tes fesses... Je les mordille... Je me redresse derrière toi et dégrafe mon pantalon. Mon pénis est au plus beau de son érection, son gland est gonflé, d’une couleur rose vif, sa peau n’a pas une ride, elle est tendu prête à se déchirer. Ma verge est raide et droite et dirigé vers le ciel, mes testicules sont serrées et soumises à l’oppression de leur peau. Mon pénis, mon phallus veut me diriger et prendre les commandes de ce corps qui se trouve devant lui. Je résiste et je caresse ton sexe avec le mien... Je fais semblant de te pénétrer... pour te faire languir...
Je passe mon gland sur tes lèvres... Ces sensations t'excitent... tu me demandes de te pénétrer de te prendre, j'écarte tes lèvres du bout des doigts... Lentement, très lentement mon sexe s'enfonce dans le tien... Tu es brûlante et chaude. Je ne rentre pas complètement. Je ressors et passe ma verge longuement sur ton clitoris puis entre tes fesses. Tu as peur... Tu me dis que tu n'as pas envie comme ça. Tu ne veux pas tout de suite d’une sodomie, mais ce n'était pas mon intention, alors je retourne dans ton ventre jusqu'au fond cette fois...
Je reste un moment au fond de ta grotte sans bouger puis je commence des petits mouvements circulaires en t'agrippant par les fesses... Je les malaxe doucement et sans que tu t'y attendes, je commence des va et vient très puissants. Je te tiens par les épaules. Tu frissonnes de plaisir. Tu as le souffle coupé. Tu ne vas pas tarder à jouir. Je le sens. Mais je ne veux pas, pas maintenant, je veux retarder le plaisir, faire durer l’excitation, arriver à exploser ensemble le plus tard possible, une explosion dont son champignon envahira nos deux esprits, nos deux cerveaux, nos deux corps. Je ralentie mes coups de butoirs, je passe mes mains sous ton ventre pour emprisonner ta vulve. Tu sens mon sexe très dur en toi. Il m’arrive aussi de lâcher des gémissements profonds qui t'excitent encore plus. Alors je te laisse partir seule vers l’extase et je te frappe intérieurement de mon gland pour que je t’entende crier de plaisir, évacuer une coulée de cyprine où mon sexe va se baigner immédiatement.
Je te détache et je t'allonge sur le lit, tu as toujours le foulard sur les yeux, je m'approche de toi et je passe et repasse mon sexe sur tes joues sur tes lèvres. J’ai maintenant envie que tu me lèches que tu me suce, que tu m’avales "suce-moi" »suce-moi »Hummmm c'est délicieux... Je sens le plaisir monter, j'ai envie de me laisser aller complètement... je ne sais quelle sera ta réaction... je décide de ne pas tenir compte de ton avis... après tout tu es ma soumise maintenant. Le plaisir monte de mon bas-ventre. Je ressens comme un picotement au fond de ma verge qui tape sur la garde de ma bite, de mon sexe et toi tu accélères ta lèche. J’en déduis que tu es prête à recevoir mon jus. Mon liquide, ma crème, mon sperme. Je ne me retiens plus et le picotement explose, un bouchon que je sens partir, passe à toute vitesse dans toute la longueur de ma verge, pour sortir avec une violence de la bouche de mon gland. Je jouis et gicle dans ta bouche, au plus profond, puis sur tes lèvres et toi tu m'aspires, tu m’avales et tu me pompes toute ma semence. Je ne regrette rien.
Mais je t'ai laissé un peu trop de liberté et le bourreau que je suis a été un gentil tortionnaire. Maintenant je décide que tu es ma chose, je vais faire ce que je veux de toi. J'enlève le foulard de tes yeux, tu ne te cache pas que tu aimes, ce qui vient de se passer. Mais je reprends immédiatement mon air de méchant et à l'aide de toutes sortes de liens, du foulard, je t'attache entièrement... tes mains sont attachées aux montants du lit, en position de levrette, tes jambes sont repliées sous toi contre ta poitrine. Bien sûr tu te laisses faire, sachant que tu ne perds jamais devant toutes mes tortures. Je t'entortillonne avec des liens de manière à ce que tu ne puisses absolument plus bouger. Tu es complètement offerte à mes exigences et cela ne t'inquiète pas trop, à voir ton visage et tes yeux.
Je passe ma main sur tes fesses. Je les caresse puis je descends sur tes cuisses. Je te décris la vision que j'ai en ce moment. Ton sexe est offert et ruisselant. Tes fesses légèrement écartées m'attirent. Je passe un doigt tout le long de ta fente puis entre tes fesses. Mon doigt est trempé de ton plaisir. Je me penche en avant pour passer ma langue tout le long de ta fente et entre tes fesses... Je laisse couler un peu de salive puis je l'étale lentement avec mon doigt. Tu commences à deviner mes intentions.
Je me redresse derrière toi. Tu me demandes de faire attention. Tu n'as pas à t'inquiéter, je serais très doux, seul ton plaisir m'intéresse. Je pose mon sexe à l'entrée de ton vagin puis te pénètre doucement. Je vais très lentement dans ton ventre. Ton visage est tout rouge, de fines gouttelettes de sueur apparaissent au bas de ton dos. J'écarte ton fessier avec mes mains et te dis que j'ai très envie de te sodomiser. Tu le savais depuis le début et tu me réponds que tu es prête mais que cela te fait un peu peur. Du bout du doigt je caresse ton orifice le plus secret. Petit à petit tu te détends. Je parviens à faire pénétrer mon doigt lentement. Tu es très serrée mais tu me fais confiance. Maintenant j'arrive à entrer mon doigt complètement en toi. Tu gémis mais pas de douleur et j'ai décidé d'aller jusqu'au bout de ma démarche sans te laisser le choix. D'ailleurs tu ne peux pas bouger et rien que cette idée t'excite. L'effet conjugué de mon doigt et de mon sexe dans ton ventre te fait perdre pied. Tu ne sais plus trop ce qu'il t'arrive. Tu n'as plus peur et jamais honte. Tu commences à te dire que finalement ça peut être bon et que ce n'est qu'une question de confiance. Mais tu sais entre nous que ce n’est pas la première expérience de sodomie. Tu te demandes ce que j'attends pour entrer pour de bon dans ce trou que tu as si soigneusement laver ce matin. Ma verge toujours tendue, sors de sa loge et remonte entre tes fesses. Je te frotte avec le bout de mon gland rougi ton trou anal, ton ouverture la plus étroite qui ne demande qu’à s’ouvrir. A chaque instant tu t'attends à une pénétration mais je fais durer la chose, la peur. Puis je recommence ce petit manège plusieurs fois de suite. Au fur et à mesure tu t'ouvres à mes caresses. Enfin je te sens prête... mon sexe est trempé de ta jouissance. Je le fais glisser une dernière fois dans la fente de tes fesses que je trouve ravissantes. Ta posture est très excitante, je te le fais remarquer. Tu détournes ton regard et tu te vois dans une glace placée près du lit. Tu me vois saisir mon sexe dans ma main et le guider contre l'entrée de ton anus. J’introduis mon gland, en forme de petit chapeau pointu dans cette ouverture en prenant soin de ne pas te faire le moindre mal. Doucement tu écartes inconsciemment le pourtour de ton anus pour laisser passer la pointe de mon gland à l’intérieur de ta cache gloutonne. Ca y est je suis entré partiellement. Tu es très serrée. Je te fais remarquer que tu n'as pas dû te faire prendre souvent de cette façon. Tu rougis un peu n'osant pas m'avouer qu’il y a longtemps depuis mon départ que tu avais envie de cela et que cela fait partie de tes fantasmes nocturnes. Ma progression entre tes fesses est lente, très lente. Je te donne des petits coups légers pour te pénétrer davantage. Ca y est j’ai enfin conquis la place et je suis entré dans ton anus complètement. Ma verge est prise dans un étau. Je me penche sur toi pour caresser tes seins gonflés et t'embrasser dans le cou pour te rassurer. En tant que méchant bourreau, Je te demande si tout va bien et si tu es prête à continuer. Apparemment oui, car c’est toi maintenant qui me donne des petits coups de reins pour me faire comprendre que je peux commencer mes allez et venues dans ton postérieur. Je te sens t'ouvrir de plus en plus à chaque coup de phallus que je te donne. Tu es tellement offerte qu'il n'y a presque plus de différences de sensations pour moi entre ton sexe et ton anus. Tu commences à gémir et marmonner des choses incompréhensibles. Tu as complètement perdu la tête. La situation t'excite totalement. Je t'annonce que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps mais tu me demandes d'accélérer le rythme car toi aussi tu es sur le point de jouir. Nos mouvements sont de plus en plus rapides. Tu me dis que tu vas venir tout de suite, que l'orgasme est imminent. Je me laisse aller complétement et notre explosion à tous les deux se fait ressentir dans toutes les parties de notre corps. Nous jouissons, nous rugissons, collé l’un à l’autre, bite à cul, empalés, assemblés, pour ce plaisir intense. C'est délicieux. Nous finissons couchés, sur le côté l’un dans l’autre, mon pénis se retirant tout lentement de ta grotte qui m’a fait encore une fois rêvé. La journée ni la nuit sont fini, j’ai encore plein de jouet, pour reposer mon arbre, pour qu’ensuite nous nous explosions encore et encore, avant mon départ, pour le futur……

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