Triple A
Récit érotique écrit par Brimbelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 10 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 5.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 5.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Brimbelle ont reçu un total de 83 611 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2016 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 5 716 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Triple A
Les jouets (4/7).
Force était de reconnaître que j’aimais sentir des regards sur moi et je faisais ce qu’il fallait pour qu’on se retourne sur moi. Mais sortir nue sous une robe, je n’avais jamais fait. Andréa me sortit de mon indolence …
- Tu as quoi comme chaussures.
- Je n’ai que mes converses, tu m’avais dit : décontractée.
- Je sais ! Tiens mets ça.
Et elle me donna une paire de sandales, blanche, à talon qui se ferme par une bride de cheville. Elles étaient super mignonnes, mais la hauteur du talon me refroidit, car je n’avais jamais porté des talons aussi hauts.
- C’est un peu haut pour moi je n’ai jamais marché avec ça au pied.
- Tu ne serais pas un peu chiante aujourd’hui ?
- Ok je ne dis plus rien. J’obéis !
- Regarde-moi.
Adriana qui venait de fermer ses escarpins se mit debout et commença des allers-retours dans la chambre.
- N’essaie pas de courir, fais des petits pas. Marche le plus naturellement possible. Regarde droit devant toi. Imagine toi suivant une ligne droite. Déroule normalement ton pied, d’abord le talon puis les orteils. Garde une jolie posture, bien droite, la tête haute, les épaules légèrement en arrière. Croise tes pieds légèrement l’un devant l’autre. Roule délicatement des hanches, ça ajoutera à ta démarche un côté sexy.
Elle était divinement belle. J’étais admirative et silencieuse. Seul, le claquement des talons sur le carrelage résonnait dans la chambre. Le balancement imposé par sa démarche faisait onduler sa robe de manière divine. Je ne pouvais plus reculer.
Au moment où je me suis assise sur le lit, j’ai senti l’étranger bouger. Il s’est ensuite manifesté quand je me suis penchée en avant pour fermer mes chaussures. Je suis retournée dans le dressing pour me voir dans la glace. Les quelques pas que j’ai faits, en essayant de me souvenir des conseils d’Adriana, pour traverser la pièce m’ont montré que je n’étais pas si mal à l’aise, perchée sur ces chaussures. Ma démarche était plutôt assurée. Je tortillais un peu plus du popotin, ce qui ne manquait de me rappeler la présence de l’intrus entre mes fesses. Je commençais même, à trouver sa présence agréable.
Je me trouvais super belle, un brin sexy sans être provocatrice et surtout ravissante. Les talons hauts donnaient du galbe à mes mollets tout en allongeant la jambe. La robe à mi-cuisse contribuait à donner de la finesse à mes jambes même si je n’étais pas totalement à l’aise sur mes échasses. Quand je suis revenue dans la chambre, j’ai été accueillie par des sifflets admiratifs :
- Regarde comme elle est belle notre petite Alycia.
- Elle est tout simplement magnifique !
Je me suis arrêtée au milieu de la pièce pour faire deux tours sur moi-même en jouant avec mes cheveux et en prenant une attitude séductrice voire même aguicheuse. Mes deux amies s’adressant l’une à l’autre :
- Elle ne serait pas en train de nous provoquer ? Lança la première.
- Approche un peu, petite enculée ! Répondit l’autre.
J’ai parcouru les quelques mètres qui me séparaient d’elles en forçant légèrement mon balancement pour rester dans mon petit jeu de provocation. Le fait d’être haut perchée et de tortiller mon petit cul avait pour effet de rappeler l’étranger qui était en moi. Je sentais mon sexe s’humidifier.
Je me suis approchée d’elles en les prenant par la taille et j’ai échangé avec chacune d’elles un baiser brûlant puis nous avons fini par un baiser à trois langues. Je sentais leurs mains sur mes fesses et leurs doigts appuyer le Swarovski qui ornait maintenant la partie charnue de mon corps. Nous étions magnifiques toutes les trois. Le fin tissu ne faisait qu’un écran à notre nudité. Il n’empêchait pas de sentir nos tétons darder. On aurait dit que nous étions clonées. Nous ne pouvions pas dissimuler l’état de fébrilité dans lequel on était.
- Ça aussi vous l’aviez programmé ?
- Absolument ! Nous avons acheté le tien cette semaine sur Internet.
- Dis-toi bien une chose tout est prévu pour toi ce week-end. Je peux te le dire maintenant, tu rentreras chez toi comblée et impatiente de nous retrouver le week-end prochain.
Andréa qui venait de prononcer ces paroles continua en me précisant :
«On t’a expliqué hier que nous souhaitions, non seulement te faire partager notre secret mais aussi t’y faire participer. On t’a dit également que nous avions exploré différentes manières de sublimer notre plaisir. On ne les connaît pas encore toutes, et heureusement car, à même pas vingt ans ce serait un peu triste. On s’était promis, si tu pénétrais notre intimité, de te faire découvrir tout ce que nous avions nous-mêmes découvert pour te permettre de nous rejoindre rapidement. Alors oui, on prend notre pied avec nos bouches, nos doigts, nos jouets.
Oui, nous nous sommes initiées à la sodomie entre nous et crois-moi, on y prend plaisir. Toutes les femmes aiment ça à condition toutefois qu’elle soit voulue et pratiquée avec tendresse, délicatesse. On ne savait pas comment te présenter la chose sans te heurter, on ne voulait surtout pas te perdre. On voulait te le dire, te mettre dans la confidence. Mais vu ton comportement depuis ton arrivée, on pourrait presque avoir des regrets de ne pas te l’avoir dit plus tôt. C’est tout cela que nous voulons te faire découvrir».
- Je crois avoir compris mais avouez quand même que ça fait beaucoup pour moi en moins de vingt-quatre heures.
- On ne voudrait surtout pas te heurter. On peut ralentir si tu veux et avancer à ton rythme.
- Non, surtout pas ! Je veux pouvoir encore jouir comme tout à l’heure et hier. Je veux pouvoir continuer à boire vos nectars.
- Il est temps d’y aller, on pourra continuer notre discussion dans la voiture.
La maison jusque-là silencieuse se mit à retentir du bruit de nos talons aiguilles qui martelaient le sol à chacun de nos pas. Nous avons marqué une courte pause en passant devant le grand miroir situé dans l’entrée : Nous étions vraiment à croquer.
Les parents d’Andréa lui avaient offert une coccinelle Volkswagen pour sa majorité, il y a quelques mois. Elle est superbe, bicolore, bordeaux et noir, des sièges en cuir, une vraie petite voiture de nana. Seul petit problème, elle n’a que deux portes et il faut faire un peu de gymnastique pour monter à l’arrière. C’est moi qui m’y colle.
Au moment où je me suis penchée en avant pour rentrer dans la voiture, ma robe est remontée et j’ai senti une main sur la peau des fesses :
- Oh ! cochonne, elle n’a pas de culotte. S’exclama Adriana.
- Cochonne toi-même !
Nous sommes parties dans un fou rire et nous avons pris la route de Nîmes, Andréa n’aime pas les autoroutes. Nous nous sommes garées au parking du centre commercial «La Coupole» en plein centre-ville pas très loin des arènes. Si être nue sous ma robe, même en présence de mes amies, ne m’avait posé aucun problème lorsque nous étions dans la maison; il en était tout autrement en étant en public. J’avais toujours le sentiment de me sentir observée par des regards indiscrets quand nous déambulions dans cette galerie marchande. Je sentais en permanence des regards indiscrets sur moi, comme si j’étais nue au milieu de cette foule. J’étais troublée et ça me donnait l’étrange sentiment d’être exposée de façon indécente. Je ne pouvais m’empêcher d’épier mes reflets dans les vitrines afin de savoir qui pouvait poser un regard obscène sur moi. D’un autre côté je me disais qu’il ne pouvait y avoir que moi qui connaissais l’indécence de ma tenue. Mon trouble était tel que mes amies à plusieurs reprises s’inquiétèrent de mon silence et de la manière avec laquelle je tirais sans arrêt sur ma petite robe :
- Alycia, ça ne va pas ? Tu es comme pétrifiée ?
- Je me sens nue en public et ça me gêne !
- Ne t’en fais pas, personne d’autre que nous ne le sait. Tu n’as pas à t’angoisser de la sorte. Regarde-nous.
Je dois aussi avouer que malgré ma gêne je commençais à en éprouver un certain plaisir. C’était un peu paradoxal de penser que ce qui me troublait le plus, pouvait en même temps produire cet effet sur moi. Mes amies s’amusaient de cet enchevêtrement de sentiments. Adriana me sortit de ma torpeur en disant :
- Rentrons dans cette boutique je voudrais essayer cette robe.
Elle désignait une petite robe en mousseline noire de toute beauté. Nous sommes entrées et après avoir fait le tour de la boutique elle se dirigea vers les cabines d’essayage avec plusieurs modèles. Nous étions derrière elle en allant vers un recoin dans le fond du magasin, là où se trouvaient les cabines d’essayage. J’étais un peu en retrait et Andréa tenait les vêtements sur son bras en attendant de les passer. Si pour la première elle a pris soin de bien tirer le rideau, il en fut tout autrement lorsqu’elle voulut essayer la suivante. De l’endroit où j’étais je pouvais clairement voir qu’elle était nue. Et si je la voyais d’autres aussi pouvaient le voir. Elle était belle et désirable, mais selon sa position on pouvait voir que son fondement n’était pas libre et, qu’avec l’éclairage, des scintillements étaient perceptibles entre ses fesses. Elle se décida pour le modèle qui était en vitrine. Quand nous sommes sorties du magasin, je ne pus m’interdire de lui dire :
- Tu étais consciente que tout le monde pouvait te voir nue ?
- Oui bien sûr ! Et alors ?
- Mais c’est totalement déplacé !
- Le bon Dieu ne nous a-t-il pas fait des yeux pour voir ce qui est beau ?
J’étais interloquée par sa réponse.
- Ne t’en fais pas, toi aussi tu apprécieras, et dans pas longtemps.
D’un seul coup la phrase d’Andréa me revint en tête : tout est prévu !
À cet instant je m’attendais au pire. Le pire que je redoutais arriva peu de temps après où sans me méfier, nous sommes entrées dans une autre boutique où Andréa voulut essayer de la lingerie. Inconsciemment je restais en retrait pendant notre vagabondage entre les rayons. Je regardais et touchais différents modèles qui me plaisaient sans me rendre compte que derrière moi elles s’en saisissaient. Quand nous sommes arrivées au fond du magasin Adriana qui était dans mon dos me poussa dans une cabine en me disant :
- Entre et essaye ça !
Elle me tendit une parure toute en dentelle transparente. Je n’ai pas pu me dérober. J’étais à peine à l’intérieur, juste le temps pour moi de retirer ma robe que le rideau s’ouvrit et resta grand ouvert :
- Alors ? demanda Andréa.
Dans un réflexe de pudeur j’ai mis un bras pour couvrir ma poitrine et une main sur mon pubis pour couvrir mon intimité.
- Arrête de faire ta mijaurée, tu es magnifique.
J’ai croisé quelques regards dont celui d’un quinquagénaire qui attendait sûrement sa moitié. Il a été surpris, mais il a eu la courtoisie de détourner son regard même s’il a pris le temps de me sourire. Cela me rassura quelque peu et presque inconsciemment j’ai abandonné cette attitude pudique dans laquelle je m’étais réfugiée. Elle referma la tenture occultante sans prendre la peine de rendre la cabine totalement hermétique aux regards. J’ai enfilé la première parure composée d’un string minimaliste et d’un soutien gorge balconnet qui dissimulait à peine l’aréole de mes seins. Je me trouvais ravissante, mais j’ai constaté que les marques de bronzage étaient discordantes entre ma peau mate et la blancheur de l’ensemble. Le bronzage intégral s’imposait. Le rideau s’ouvrit à nouveau :
- Tu nous montres !
- Tu es sublime, ça te fait une magnifique poitrine.
- Peut-être mais les marques de bronzage gâchent tout.
- Ne t’en fais pas, deux week-ends chez moi et elles auront disparu.
- Tiens essaye ce coordonné, noir ou blanc ?
- Noir.
Je me saisis du combiné qu’Adriana me tendait et je tirai sur le tissu masquant l’intérieur, mais je fus arrêtée :
- Laisse-le comme ça qu’on puisse te voir.
Je me suis changée pour revêtir un ensemble Lola-Luna composé d’un mini-string et d’un soutien-gorge seins nus. Je fus emballée de suite. Le noir atténuait les empreintes de mon maillot de bain. Je me trouvais tellement belle que je suis sortie de la cabine.:
- À votre avis ?
- Ouahhhhhhhhhhhhh
S’ésclama Adriana si fort que tous les yeux présents dans le magasin se sont tournés vers moi.
- Tourne-toi.
Je me suis mise de dos.
- Tu es magnifique là-dedans, puis s’approchant de moi.
- Et le ruban noir sur la pierre rouge te fait un cul d’enfer.
Force était de reconnaître que j’aimais sentir des regards sur moi et je faisais ce qu’il fallait pour qu’on se retourne sur moi. Mais sortir nue sous une robe, je n’avais jamais fait. Andréa me sortit de mon indolence …
- Tu as quoi comme chaussures.
- Je n’ai que mes converses, tu m’avais dit : décontractée.
- Je sais ! Tiens mets ça.
Et elle me donna une paire de sandales, blanche, à talon qui se ferme par une bride de cheville. Elles étaient super mignonnes, mais la hauteur du talon me refroidit, car je n’avais jamais porté des talons aussi hauts.
- C’est un peu haut pour moi je n’ai jamais marché avec ça au pied.
- Tu ne serais pas un peu chiante aujourd’hui ?
- Ok je ne dis plus rien. J’obéis !
- Regarde-moi.
Adriana qui venait de fermer ses escarpins se mit debout et commença des allers-retours dans la chambre.
- N’essaie pas de courir, fais des petits pas. Marche le plus naturellement possible. Regarde droit devant toi. Imagine toi suivant une ligne droite. Déroule normalement ton pied, d’abord le talon puis les orteils. Garde une jolie posture, bien droite, la tête haute, les épaules légèrement en arrière. Croise tes pieds légèrement l’un devant l’autre. Roule délicatement des hanches, ça ajoutera à ta démarche un côté sexy.
Elle était divinement belle. J’étais admirative et silencieuse. Seul, le claquement des talons sur le carrelage résonnait dans la chambre. Le balancement imposé par sa démarche faisait onduler sa robe de manière divine. Je ne pouvais plus reculer.
Au moment où je me suis assise sur le lit, j’ai senti l’étranger bouger. Il s’est ensuite manifesté quand je me suis penchée en avant pour fermer mes chaussures. Je suis retournée dans le dressing pour me voir dans la glace. Les quelques pas que j’ai faits, en essayant de me souvenir des conseils d’Adriana, pour traverser la pièce m’ont montré que je n’étais pas si mal à l’aise, perchée sur ces chaussures. Ma démarche était plutôt assurée. Je tortillais un peu plus du popotin, ce qui ne manquait de me rappeler la présence de l’intrus entre mes fesses. Je commençais même, à trouver sa présence agréable.
Je me trouvais super belle, un brin sexy sans être provocatrice et surtout ravissante. Les talons hauts donnaient du galbe à mes mollets tout en allongeant la jambe. La robe à mi-cuisse contribuait à donner de la finesse à mes jambes même si je n’étais pas totalement à l’aise sur mes échasses. Quand je suis revenue dans la chambre, j’ai été accueillie par des sifflets admiratifs :
- Regarde comme elle est belle notre petite Alycia.
- Elle est tout simplement magnifique !
Je me suis arrêtée au milieu de la pièce pour faire deux tours sur moi-même en jouant avec mes cheveux et en prenant une attitude séductrice voire même aguicheuse. Mes deux amies s’adressant l’une à l’autre :
- Elle ne serait pas en train de nous provoquer ? Lança la première.
- Approche un peu, petite enculée ! Répondit l’autre.
J’ai parcouru les quelques mètres qui me séparaient d’elles en forçant légèrement mon balancement pour rester dans mon petit jeu de provocation. Le fait d’être haut perchée et de tortiller mon petit cul avait pour effet de rappeler l’étranger qui était en moi. Je sentais mon sexe s’humidifier.
Je me suis approchée d’elles en les prenant par la taille et j’ai échangé avec chacune d’elles un baiser brûlant puis nous avons fini par un baiser à trois langues. Je sentais leurs mains sur mes fesses et leurs doigts appuyer le Swarovski qui ornait maintenant la partie charnue de mon corps. Nous étions magnifiques toutes les trois. Le fin tissu ne faisait qu’un écran à notre nudité. Il n’empêchait pas de sentir nos tétons darder. On aurait dit que nous étions clonées. Nous ne pouvions pas dissimuler l’état de fébrilité dans lequel on était.
- Ça aussi vous l’aviez programmé ?
- Absolument ! Nous avons acheté le tien cette semaine sur Internet.
- Dis-toi bien une chose tout est prévu pour toi ce week-end. Je peux te le dire maintenant, tu rentreras chez toi comblée et impatiente de nous retrouver le week-end prochain.
Andréa qui venait de prononcer ces paroles continua en me précisant :
«On t’a expliqué hier que nous souhaitions, non seulement te faire partager notre secret mais aussi t’y faire participer. On t’a dit également que nous avions exploré différentes manières de sublimer notre plaisir. On ne les connaît pas encore toutes, et heureusement car, à même pas vingt ans ce serait un peu triste. On s’était promis, si tu pénétrais notre intimité, de te faire découvrir tout ce que nous avions nous-mêmes découvert pour te permettre de nous rejoindre rapidement. Alors oui, on prend notre pied avec nos bouches, nos doigts, nos jouets.
Oui, nous nous sommes initiées à la sodomie entre nous et crois-moi, on y prend plaisir. Toutes les femmes aiment ça à condition toutefois qu’elle soit voulue et pratiquée avec tendresse, délicatesse. On ne savait pas comment te présenter la chose sans te heurter, on ne voulait surtout pas te perdre. On voulait te le dire, te mettre dans la confidence. Mais vu ton comportement depuis ton arrivée, on pourrait presque avoir des regrets de ne pas te l’avoir dit plus tôt. C’est tout cela que nous voulons te faire découvrir».
- Je crois avoir compris mais avouez quand même que ça fait beaucoup pour moi en moins de vingt-quatre heures.
- On ne voudrait surtout pas te heurter. On peut ralentir si tu veux et avancer à ton rythme.
- Non, surtout pas ! Je veux pouvoir encore jouir comme tout à l’heure et hier. Je veux pouvoir continuer à boire vos nectars.
- Il est temps d’y aller, on pourra continuer notre discussion dans la voiture.
La maison jusque-là silencieuse se mit à retentir du bruit de nos talons aiguilles qui martelaient le sol à chacun de nos pas. Nous avons marqué une courte pause en passant devant le grand miroir situé dans l’entrée : Nous étions vraiment à croquer.
Les parents d’Andréa lui avaient offert une coccinelle Volkswagen pour sa majorité, il y a quelques mois. Elle est superbe, bicolore, bordeaux et noir, des sièges en cuir, une vraie petite voiture de nana. Seul petit problème, elle n’a que deux portes et il faut faire un peu de gymnastique pour monter à l’arrière. C’est moi qui m’y colle.
Au moment où je me suis penchée en avant pour rentrer dans la voiture, ma robe est remontée et j’ai senti une main sur la peau des fesses :
- Oh ! cochonne, elle n’a pas de culotte. S’exclama Adriana.
- Cochonne toi-même !
Nous sommes parties dans un fou rire et nous avons pris la route de Nîmes, Andréa n’aime pas les autoroutes. Nous nous sommes garées au parking du centre commercial «La Coupole» en plein centre-ville pas très loin des arènes. Si être nue sous ma robe, même en présence de mes amies, ne m’avait posé aucun problème lorsque nous étions dans la maison; il en était tout autrement en étant en public. J’avais toujours le sentiment de me sentir observée par des regards indiscrets quand nous déambulions dans cette galerie marchande. Je sentais en permanence des regards indiscrets sur moi, comme si j’étais nue au milieu de cette foule. J’étais troublée et ça me donnait l’étrange sentiment d’être exposée de façon indécente. Je ne pouvais m’empêcher d’épier mes reflets dans les vitrines afin de savoir qui pouvait poser un regard obscène sur moi. D’un autre côté je me disais qu’il ne pouvait y avoir que moi qui connaissais l’indécence de ma tenue. Mon trouble était tel que mes amies à plusieurs reprises s’inquiétèrent de mon silence et de la manière avec laquelle je tirais sans arrêt sur ma petite robe :
- Alycia, ça ne va pas ? Tu es comme pétrifiée ?
- Je me sens nue en public et ça me gêne !
- Ne t’en fais pas, personne d’autre que nous ne le sait. Tu n’as pas à t’angoisser de la sorte. Regarde-nous.
Je dois aussi avouer que malgré ma gêne je commençais à en éprouver un certain plaisir. C’était un peu paradoxal de penser que ce qui me troublait le plus, pouvait en même temps produire cet effet sur moi. Mes amies s’amusaient de cet enchevêtrement de sentiments. Adriana me sortit de ma torpeur en disant :
- Rentrons dans cette boutique je voudrais essayer cette robe.
Elle désignait une petite robe en mousseline noire de toute beauté. Nous sommes entrées et après avoir fait le tour de la boutique elle se dirigea vers les cabines d’essayage avec plusieurs modèles. Nous étions derrière elle en allant vers un recoin dans le fond du magasin, là où se trouvaient les cabines d’essayage. J’étais un peu en retrait et Andréa tenait les vêtements sur son bras en attendant de les passer. Si pour la première elle a pris soin de bien tirer le rideau, il en fut tout autrement lorsqu’elle voulut essayer la suivante. De l’endroit où j’étais je pouvais clairement voir qu’elle était nue. Et si je la voyais d’autres aussi pouvaient le voir. Elle était belle et désirable, mais selon sa position on pouvait voir que son fondement n’était pas libre et, qu’avec l’éclairage, des scintillements étaient perceptibles entre ses fesses. Elle se décida pour le modèle qui était en vitrine. Quand nous sommes sorties du magasin, je ne pus m’interdire de lui dire :
- Tu étais consciente que tout le monde pouvait te voir nue ?
- Oui bien sûr ! Et alors ?
- Mais c’est totalement déplacé !
- Le bon Dieu ne nous a-t-il pas fait des yeux pour voir ce qui est beau ?
J’étais interloquée par sa réponse.
- Ne t’en fais pas, toi aussi tu apprécieras, et dans pas longtemps.
D’un seul coup la phrase d’Andréa me revint en tête : tout est prévu !
À cet instant je m’attendais au pire. Le pire que je redoutais arriva peu de temps après où sans me méfier, nous sommes entrées dans une autre boutique où Andréa voulut essayer de la lingerie. Inconsciemment je restais en retrait pendant notre vagabondage entre les rayons. Je regardais et touchais différents modèles qui me plaisaient sans me rendre compte que derrière moi elles s’en saisissaient. Quand nous sommes arrivées au fond du magasin Adriana qui était dans mon dos me poussa dans une cabine en me disant :
- Entre et essaye ça !
Elle me tendit une parure toute en dentelle transparente. Je n’ai pas pu me dérober. J’étais à peine à l’intérieur, juste le temps pour moi de retirer ma robe que le rideau s’ouvrit et resta grand ouvert :
- Alors ? demanda Andréa.
Dans un réflexe de pudeur j’ai mis un bras pour couvrir ma poitrine et une main sur mon pubis pour couvrir mon intimité.
- Arrête de faire ta mijaurée, tu es magnifique.
J’ai croisé quelques regards dont celui d’un quinquagénaire qui attendait sûrement sa moitié. Il a été surpris, mais il a eu la courtoisie de détourner son regard même s’il a pris le temps de me sourire. Cela me rassura quelque peu et presque inconsciemment j’ai abandonné cette attitude pudique dans laquelle je m’étais réfugiée. Elle referma la tenture occultante sans prendre la peine de rendre la cabine totalement hermétique aux regards. J’ai enfilé la première parure composée d’un string minimaliste et d’un soutien gorge balconnet qui dissimulait à peine l’aréole de mes seins. Je me trouvais ravissante, mais j’ai constaté que les marques de bronzage étaient discordantes entre ma peau mate et la blancheur de l’ensemble. Le bronzage intégral s’imposait. Le rideau s’ouvrit à nouveau :
- Tu nous montres !
- Tu es sublime, ça te fait une magnifique poitrine.
- Peut-être mais les marques de bronzage gâchent tout.
- Ne t’en fais pas, deux week-ends chez moi et elles auront disparu.
- Tiens essaye ce coordonné, noir ou blanc ?
- Noir.
Je me saisis du combiné qu’Adriana me tendait et je tirai sur le tissu masquant l’intérieur, mais je fus arrêtée :
- Laisse-le comme ça qu’on puisse te voir.
Je me suis changée pour revêtir un ensemble Lola-Luna composé d’un mini-string et d’un soutien-gorge seins nus. Je fus emballée de suite. Le noir atténuait les empreintes de mon maillot de bain. Je me trouvais tellement belle que je suis sortie de la cabine.:
- À votre avis ?
- Ouahhhhhhhhhhhhh
S’ésclama Adriana si fort que tous les yeux présents dans le magasin se sont tournés vers moi.
- Tourne-toi.
Je me suis mise de dos.
- Tu es magnifique là-dedans, puis s’approchant de moi.
- Et le ruban noir sur la pierre rouge te fait un cul d’enfer.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Brimbelle
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dans son style toujours si fluide et qui prouve sa connaissance de la langue française, Brimbelle nous livre un moment d'anthologie sur les dessous féminins dans un magasin de lingerie avec de jolis petits culs ornés de plugs. Alycia découvre les plaisirs d'être nue sous se vêtement et de se promener ainsi. Je salive et mouille de lire la suite.
De jolies jeunes femmes sensuelles et coquines, amatrices de belle lingerie mais aussi de bijoux intimes .... Tout ce que j'aime.
Ce n'est que du bonheur surtout lorsque c'est aussi bien décrit.
J'ai découvert Brimbelle ce soir mais il me tarde de lire la suite de ses aventures.
Et comme le dit si bien Adriana, le Bon Dieu nous a donné des yeux pour voir ce qui est beau.
Ce n'est que du bonheur surtout lorsque c'est aussi bien décrit.
J'ai découvert Brimbelle ce soir mais il me tarde de lire la suite de ses aventures.
Et comme le dit si bien Adriana, le Bon Dieu nous a donné des yeux pour voir ce qui est beau.
Nos trois coquines délurées ont de moins en moins froid aux yeux. Ce nouveau chapitre les lance dans une nouvelle aventure dans un récit toujours aussi vivant et toujours aussi excitant.