Triple A

- Par l'auteur HDS Brimbelle -
Récit érotique écrit par Brimbelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Triple A Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Triple A
Les jouets (5/7).

J’avais presque oublié l’intrus qui occultait mon anus et instinctivement j’ai fait demi-tour et on est parties toutes les trois dans un fou rire, un de plus. Indiscutablement on mettait de l’ambiance dans ce magasin. Je me suis déshabillée et j’ai tendu les deux pièces à mes amies.

- Je prends celui-là !

Lorsque je suis sortie de la zone d’essayage, une femme super jolie s’est approchée de moi et discrètement me glissa à l’oreille :

- Qu’avez-vous entre les fesses, je trouve ça très joli?
- C’est un bijou anal.

Elle prit un air offusqué, mais s’est vite reprise.

- Vous avez acheté ça où ?
- Je ne peux pas vous le dire, on me l’a offert.
- Ah ! Avec une pointe de déception.
- Et l’utilité d’un tel bijou ?

Une voix derrière moi, celle d’Adriana que je n’avais pas vue arriver, répondit :

- Ça sert à dilater l’anus afin de faciliter la sodomie.
- Ah ! Vous êtes superbement belles toutes les trois. Profitez bien de votre jeunesse. Bonne après-midi.

Elle tourna les talons et elle est sortie du magasin. Adriana me tendit un sachet, marron et rose au sigle de la marque de lingerie :

- Tiens, c’est pour toi !
- Je ne peux pas accepter.
- Mais si ! On a même rajouté un porte-jarretelles et des bas noirs.
- Et en quel honneur ?
- Pour te remercier et fêter notre nouvelle complicité, pour ne pas dire notre union.

Sans réfléchir je les ai remerciées avec un vrai baiser, j’avais juste oublié que nous étions au milieu de la boutique. Quand nous sommes sorties, on a été saluées par une vendeuse qui nous souhaitait une bonne soirée avec un petit sourire malicieux. Une fois dans la rue je me suis adressée à mes copines :

- Je suis morte de honte !
- Pourquoi ?
- D’avoir été vue nue et en plus avec ce truc dans mon troufignon.
- Tu as bien vu tout à l’heure quand j’ai essayé ma robe. Je trouve même ça excitant. Pas toi ?
- Je ne dirais pas excitant, du moins pas encore, mais plutôt troublant.
- Ne me dis pas que ta petite chatte n’est pas humide.
- C’est vrai ! Quand j’ai remis ma robe, j’ai passé mes doigts sur mon sexe et je les ai léchés.
- Tu vois bien, petite vicieuse !
- Tu es encore mouillée ?
- Je me suis essuyée avec un mouchoir en papier que je viens de jeter. Vous ne pourrez pas en profiter.

Je commençais à entrevoir le plaisir qu’on pouvait avoir en s’exhibant. Nous sommes sorties de cette galerie, car il y faisait vraiment chaud et on avait besoin d’un peu d’air frais. Quand j’ai senti l’air frais remonter le long de mes jambes pour venir caresser ma petite chatte, ça m’a fait un bien fou. Je commençais à prendre du plaisir à ma tenue. Petit à petit, la pensée que tout le monde pouvait le voir disparaissait. Je prenais de l’assurance.

Nous remontions maintenant dans le centre-ville en direction des arènes pour aller à la boutique San Marina où Andréa se rendait pour des chaussures. Nous avons fait le tour chacune de notre côté pour voir ce qu’il y avait. J’ai vu plein de belles choses et je me suis dit qu’il faudrait que je revienne avec ma grand-mère pour me faire gâter. Je suis sa seule petite fille et elle ne sait pas quoi faire pour me faire plaisir. Je n’ai qu’à lui dire, j’ai vu ça et hop elle me l’achète ou elle me donne de quoi l’acheter. Je me demande ce qu’elle va dire quand je vais lui parler de ma nouvelle lingerie. Je me suis rapprochée des filles qui étaient assises, devant une glace, au fond du magasin où Andréa essayait des chaussures :

- Tu les trouves, comment me demanda elle ?

Elle avait aux pieds des sandales à bout rond et talon aiguille, d’au moins dix centimètres, fermées par une boucle sur une bride de cheville elle-même reliée par une autre descendant sur le coup de pied jusqu’à celle maintenant la pointe du pied. Elles étaient rouges et s’harmonisaient parfaitement avec sa robe.

- Elles sont parfaites, mais tu n’as pas peur que le talon soit trop haut ?
- A peine deux centimètres de plus, que celles qu’on porte.

Elle s’est mise debout pour juger son apparence chaussures aux pieds.

- Je les prends !

Avant de se rasseoir, elle se pencha en avant ce qui fit remonter sa robe sur les fesses. Quand elle s’est assise le tissu était bien haut sur les cuisses et de là où je me trouvais, j’avais le reflet de sa chatte dans la glace. Je me suis penchée vers elle :

- Ta robe Andréa !

Elle tourna la tête vers moi :
- Oui, je sais ! Elle n’est pas belle ma petite chatte ?

Une fois de plus j’aurais dû me taire. Mais ce qui me surprit le plus c’est qu’en se baissant pour retirer les chaussures elle passa brièvement, d’un geste rapide et presque imperceptible, ses doigts sur son intimité et qu’elle me les tendit :

- Suce me dit elle !

Je me suis exécutée :

- Moi je partage mon plaisir me, dit-elle.

Nous nous sommes assises à la terrasse d’un café, à l’ombre des platanes juste en face des arènes. Par cette après-midi d’été la chaleur était forte et la terrasse était bondée, mais nous avons trouvé une place. Après nous être désaltérées, nous avons pris un chemin différent pour rejoindre la voiture. En passant rue de la Trésorerie nous sommes tombées sur un sex-shop. Je savais que cela existait, mais je n’en avais jamais vu, mes amies non plus, car elles avaient toujours fait leurs achats sur le net. Adriana, curieuse comme pas deux :

- Je ne suis jamais entrée dans un tel magasin, on rentre, je voudrais voir.
- Je veux bien, dis-je, mais je ne suis pas majeur.
- On verra bien !

Adriana poussa la porte et j’entrai la dernière. À la caisse située à l’entrée du magasin il y avait un couple derrière le comptoir qui nous salua. Nous commencions à déambuler entre les différents rayons quand une voix féminine nous interpella :
- Excusez-moi mesdemoiselles, puis-je voir vos cartes d’identité.

Si pour mes deux camarades, cela ne posait aucun problème, il n’en était pas de même pour moi. Je ne savais plus où me mettre quand je lui ai tendu ce qu’elle demandait.

- Vous êtes mineure ?
- Oui, mais j’aurai dix-huit ans dans quelques jours.
- Vous savez que je dois vous demander de sortir ?
- Ne pouvez-vous pas faire preuve de tolérance ? Quelle différence faites-vous entre majorité et maturité ? Vous croyez que si j’étais encore une oie blanche, je m’achèterais ce type de lingerie.

Et là j’ai ouvert en grand la pochette de marque, que j’avais dans les mains. Elle jeta un regard à l’intérieur avant de dire :

- Bon d’accord j’accepte, vous êtes tellement mignonnes toutes les trois. Voulez-vous un conseil, je suis à votre disposition?

Andréa lui répondit :
- C’est vrai que nous sommes encore bien jeunes, mais ne dit-on pas que la valeur n’attend pas le nombre des années. Nous avons encore énormément de choses à découvrir. Nous n’en sommes qu’à nos débuts. Nous ne sommes plus vierges et nous faisons l’amour ensemble. Nous avons découvert pas mal de choses sur le net, mais nous ne les avons pas encore toutes explorées. Je pense aussi qu’une personne comme vous peut nous apporter son expérience et son vécu. Une dernière chose nous avons toutes les trois un plug dans les fesses.

- Je constate qu’effectivement vous faites preuve d’une remarquable maturité d’esprit pour votre âge. Que vais-je vous proposer ?

Je restais silencieuse et en retrait par respect pour cette dame qui s’était montrée magnanime à mon égard mais aussi parce que je ne connaissais pas les intentions de mes complices. Je voyais des choses que je n’avais jamais vues. Je connaissais l’existence de certaines pour en avoir entendu parler ou vu sur Internet, mais je n’avais jamais eu l’opportunité de les regarder de si près, de les toucher. On était arrêtées devant des gondoles remplies de gode, de taille, de couleur, de forme, de texture et de grosseurs différentes.

- Je peux vous proposer ce type de jouet, à moins que vous n’en ayez déjà ?

Moi qui étais restée sur la réserve je lui ai répondu :

- Mes amies m’en ont offert un hier au soir, mais je ne l’ai pas encore essayé.

Joignant le geste à la parole je lui montre le modèle sur l’étagère.

- Excellent choix pour des débutantes et pour découvrir son corps. Regardez.

Elle attrapa celui de démonstration et nous expliqua :
«Il est constitué de deux parties, une longue et large pour stimuler le vagin, une courte, en forme d’oreilles de lapin, pour stimuler le clitoris en plaçant les oreilles de part et d’autre du clitoris. Pour la partie interne, l’extrémité est recourbée afin d’atteindre le fond de la cavité, un mécanisme la fait frétiller. Cette partie-ci est destinée à masser l’entrée vaginale, elle agit comme un soufflet qui se contracte et se relâche. Les billes qui sont à l’intérieur roulent sur elle-même à chaque mouvement. De plus, il est à trois vitesses pour vous permettre de contrôler votre plaisir. Pour l’introduction, gardez sur arrêt, une fois en place, faites en sorte que les deux oreilles du lapin prennent place de chaque côté du clitoris. Mettez-le en marche doucement pour commencer. Après, c’est à vous de voir. Il convient pour des excitations plus au moins profondes, il permet de stimuler les points «G» et «P». Je vous garantis l’orgasme à tous les coups».

Je lisais dans les pensées de mes amies :

- On essayera ça ce soir dis-je avec un petit sourire évocateur.
- Je vous crois assez coquines pour le faire ensemble, surtout ne vous en privez pas.
- Je peux vous le promettre ajouta Adriana.
- Je vais vous montrer autre chose qui pourrait peut-être vous intéresser.

On fit le tour du présentoir pour arriver devant des boules de différentes couleurs.

- Voilà ce sont des boules de geisha.
- Ça sert à quoi ?

- C’est un jouet, pour fille, mais c’est aussi un accessoire issu du milieu médical. Il sert à rééduquer, le plancher pelvien après un accouchement par exemple, et à muscler le vagin. Le principe est on ne peut plus simple, vous introduisez les boules dans le vagin, instinctivement vous allez vous contracter pour les conserver en vous, puis vous relâchez, c’est ce qui va tonifier le plancher pelvien. Et si en même temps vous adoptez une respiration abdominale ce n’en est que mieux.
- Ça paraît bien compliqué.
- Pas du tout s’est comme si vous serriez les fesses pour vous retenir.
- Ne vous en faites pas les filles je vous montrerai, ma grand-mère m’a expliqué comment faire.
- Il va falloir que tu nous la présentes, renchérit Adriana.
- Vous êtes intéressées ?

Adriana se lança à son tour.

- Comment ça se met, comment on les enlève, combien de temps les garder?

Et la maîtresse des lieux reprit ses explications.

- D’abord, il faut savoir qu’il y en a deux sortes, avec et sans lien. Ce lien sert à les extraire en tirant dessus, mais il peut être gênant voire irritant quand il est dans le vagin. Personnellement je vous conseillerais sans. Je vous rassure, on peut toujours les sortir. Les premières fois prenez un lubrifiant, mais évitez, les lubrifiants à l’eau, ils ont tendance à sécher et à coller ce qui devient vite désagréable. Celui-là est très bien mais un peu de salive peut suffire.

- Lesquelles nous conseillez-vous demanda Andréa ?
- Pour des jeunes filles comme vous, prenez celles-ci, elles ont une forme ovoïde, plus anatomique et ne sont pas trop lourdes.
- Comment ça lourdes ?
- Oui, j’ai oublié de vous dire, qu’à l’intérieur il y avait une bille, en acier, qui se met en mouvement quand vous bougez. C’est ce qui provoque ce côté excitant qui peut aller jusqu’à l’orgasme quelquefois.
- Je les prends !
- Un dernier conseil les premières fois que vous les porterez, mettez-les dans un préservatif vous aurez ainsi plus de facilité à les sortir. Par la suite quand vous aurez appris à maîtriser votre ventre vous pourrez les expulser sans problème.
- Pouvez-vous m’aider à les mettre maintenant ?
- Bien sûr. Je reviens de suite.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Même remarque que l'avis précédent. Ecrivez nous une suite aussi plaisante.

Histoire Erotique
A quand la suite??

De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.
Nos trois jeunes coquines ont su avoir un traitement de faveur dans cette boutique, et la suite sera sûrement aussi excitante... pour notre plus grand plaisir.

Délicieuse la suite des jeunes dévergondées qui découvrent une boutique sexy. Elles vont pouvoir essayer leurs nouveaux achats. Dommage que la vendeuse n'ait pas proposé un modèle vibrant avec télécommande, mais je compte sur elles pour le découvrir et nous faire couler avec délices.



Texte coquin : Triple A
Histoire sexe : Une rose rouge
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