Un bien joli secret (2) : étreintes urbaines 1

- Par l'auteur HDS Reveevasion -
Auteur femme.
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Récit libertin : Un bien joli secret (2) : étreintes urbaines 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un bien joli secret (2) : étreintes urbaines 1
Carnet des voluptés
La volupté est faite de désir, de perversité, de curiosité allègre, d'insistance libertine… Colette
"Carnet des voluptés" est une rubrique de récits érotiques dont les histoires sont indépendamment et simultanément écrites côté homme et côté femme comme une sonate à quatre mains.

Un bien joli secret
Sylvie Lebrun est une jeune femme de 35 ans, mariée et fidèle, elle vient enfin d'avoir un enfant et a repris depuis peu son emploi de coiffeuse après ses congés de maternité. Le salon est tenue par une femme de 60 ans, Alexandra que tout le monde appelle Alex.
Albert Jacquemart est lui aussi sexagénaire et porte beau son âge avec un physique avantageux : relativement mince, haut de taille, chevelure épaisse argentée, regard bleu inquisiteur et charmeur, bouche gourmande. Il a parfaitement réussi sa vie professionnelle en créant une entreprise prospère de lingerie chic et vintage dont les nombreux magasins franchisés portent l'enseigne "Lady frivole".
Dans le premier épisode, une étrange complicité s'installe entre les deux personnages pourtant si différents mais unis par la proximité nécessaire unissant une coiffeuse avec son client. Le contact, d'abord innocent du coude de l'homme contre la cuisse de la femme se transforme en un jeu troublant volontaire et dévastateur.


2- Etreintes urbaines - côté Albert
Le vendredi suivant, je reviens au salon de coiffure d'Alex pour ma visite hebdomadaire de fin d'après-midi. Je me régalais à l'avance de retrouver la pulpeuse Sylvie, mais aussitôt entré, je suis pris d'assaut par la patronne, ma vieille amie Alex, qui m'entraîne pour une séance rallongée par un verbiage intense où les coups de ciseaux sont réduits à l'état de simple ponctuation au milieu d'une avalanche de consonnes et voyelles qui m'assomment. Comme je suis beau joueur envers les femmes qui ont marqué ma mémoire de coureur de jupons, je me contente d'acquiescer lorsque cette "ex" de haute volée prend la peine de consulter mon avis qui doit bien sur nécessairement conforter ses assertions. A peine ai-je eu le temps, l'espace d'une ou deux secondes de jeter un regard vers la grassouillette Sylvie qui s'affaire sur une cliente et qui a, semble-t-il, ignoré dédaigneusement mon entrée rendue pourtant très indiscrète par l'accueil cérémonial d'Alex. Aurait-elle décidé d'oublier la séance troublante que mes coudes pernicieux avaient fait subir, la semaine dernière, à son entrecuisses aussi bulbeux que gargouilleux en sollicitant sa bienveillante mais coupable adhésion ?
Je n'ose détourner mon visage vers ma proie. Finalement son comportement rétif affiché me réjouit. Un sourire accueillant devant sa patronne aurait sans doute été plus trompeur qu'engageant. Finalement la distance qu'elle s'est probablement imposée au prix d'un supplice lourd de remords, après notre discret mais si coquin marivaudage, est un signe révélateur de fragilité. Une faille dans la cuirasse qu'elle a sans doute eu beaucoup de mal à construire pour résister aux appétits charnels révélés depuis cet égarement dont il semblerait qu'elle ait un mal fou à refermer ce qu'elle voudrait considérer comme une simple parenthèse.
Satisfait de mon analyse de la situation je retrouve cette jubilation du chasseur rassuré par son flair. Et ceci d'autant plus que la jeune coiffeuse est venue parler à Alex et que le regard d'azur pur qu'elle m'a jeté dans le miroir vient me prouver bien involontairement, malgré sa fugacité, que mes pressentiments ne sont donc pas que des élucubrations injustifiées. En prenant congé d'Alex, j'entends dans mon dos les talons précipités de la coiffeuse, signe d'un agacement révélateur d'une faiblesse qui n'attendrait plus qu'une opportunité pour s'ouvrir en une brèche dans laquelle il fallait s'enfourner. Et pour cela, il me fallait trouver cette occasion pour souffler sur ses braises.
J'emboîte donc le pas de ma grosse caille dont la détermination impétueuse me facilite la filature. Je vois que mes congénères masculins partagent la fascination que procure cette petite boule de laine rose perchée sur des escarpins visiblement faits pour la grandir et qui ne servent qu'à la rendre encore plus appétissante. J'ai l'impression de suivre un bonbon ou plutôt une pâtisserie gonflée par la levure et gorgée de beurre dans une enveloppe de sucre rose. Dans quel lieu de dégustation ses pas rythmés par les talons sonores vont-ils m'emmener ?
L'apparition de la fameuse enseigne rococo d'une station du métropolitain me réjouit, car le pas de cette poularde s'accélère dans cette direction qui offrirait les conditions d'une promiscuité tout à fait propice à l'aboutissement de mon projet. C'est en effet une véritable descente aux enfers à laquelle j'assiste lorsqu'elle emprunte l'escalier sournois qui l'oblige à tirer sans cesse sur la laine de la mini-robe rebelle au point de remonter immanquablement sur ses cuissots sans doute emprisonnés dans des collants couleur chair. Ces gestes qui se veulent pudiques produisent un effet contraire en se révélant très excitants d'autant plus qu'ils sont tout à fait inutiles, car le sac qu'elle porte à l'épaule droite, en tombant sur sa hanche, retrousse de façon continu le bord de la robe en découvrant très haut sa cuisse. Sans perdre une miette du spectacle, je me faufile dans la foule pour être au plus près de la belle au moment de monter dans le métro.

Le mouvement collectif imprimé par l'affluence me projette aussitôt avec bonheur contre le corps moelleux de ma petite coiffeuse sans que cela ne paraisse l'effrayer. Je juge néanmoins préférable de tenir un minimum de distance. Mais son trajet est peut-être court et je dois donc intervenir le plus rapidement possible sans paraître grossièrement vulgaire. Sa main agrippée à la barre m'ouvre une perspective que je saisis immédiatement. Je fixe cette petite menotte aux doigts un peu boudinés et marqués par les effets secondaires des produits capillaires, ce qui la rend encore plus digne de subir des manoeuvres précautionneuses. C'est donc avec le maximum de délicatesse que j'y pose une main qui se veut plus protectrice que provocante. L'effet est immédiat : tension d'un corps qui se fige ; visage retourné avec vivacité ; oeil écarquillé traduisant la détresse ; retour échappatoire à la position initiale… Le tremblement de sa main dans la mienne m'indique que ma manoeuvre a fait mouche. Ne voulant pas perdre l'avantage de l'effet de surprise, je me penche vers son oreille pour lui rappeler qui je suis et, par dessus son épaule, je découvre sa poitrine qui se soulève, modelant la laine mohair qui par sa souplesse docile devient mon alliée en trahissant l'état de trouble qui envahit ma proie. Je me délecte en voyant les mouvements saccadés de ses deux globes volumineux rangés dans des armatures qui paraissent beaucoup plus sombres à travers le rose laineux de la robe encore plus ajustée à cet endroit stratégique. Les deux hémisphères semblent monter comme des miches de pâte pétries avec soin. J'injecte dans son oreille des mots graveleux qui se répandent en elle comme un poison paralysant. J'insiste sur nos échanges de la semaine précédente en lui rappelant que c'est elle qui est venue coller sa motte enflée par le désir contre mon coude. J'essaie de la culpabiliser en me présentant comme la victime de son appétit.
Je glisse ma main libre sous son sac qui cache ainsi ma prise de position sur sa hanche droite. Sous l'effet de cet avantage que je m'approprie elle se cambre, ce que je prends pour un encouragement involontaire à la saisir plus fermement à travers l'ambiguë protection vestimentaire constituée de la douceur de la laine et la raideur des collants. Mes mots suivent dans un flot désordonné que j'imagine créateur de coulées intimes chez ma partenaire prisonnière de son désir : "vos tétons montrent du doigt votre soif de sexe ; vos frissons trahissent votre implacable volonté de jouir ; votre abricot doit juter en se remémorant l'audace de mes coudes ; ma main droite agrippe vos chairs généreuses ; ma queue bande contre la majesté de vos fesses…" Jusqu'à ce que la rame s'arrête et que je comprenne qu'elle va descendre, je lui demande de me laisser seulement la suivre jusque devant chez elle. Son silence me réjouit et je lui laisse prendre quelques longueurs d'avance qu'elle utilise avec un empressement que la petite robe trop ajustée ne peut suivre qu'en remontant sur ses cuissots pour mieux souligner les rondeurs aguichantes de son fabuleux cul. Arrivée au bas de l'escalier elle m'offre le spectacle de son ascension impudique, leste, et vive comme si une impatience de femme coupable la portait. Il me semble, en retrouvant l'air libre, que son visage a furtivement opéré une oscillation à peine perceptible pour s'assurer de ma présence. D'un pas plus vif, elle vogue sur le trottoir martelé par ses talons tandis que les plis et les glissements de la laine sur son fessier lui donnent une allure de navire aux voiles tendues et gonflées par l'approche de la tempête. La petite rue de son domicile arrive trop vite. J'ai juste le temps de la voir disparaître derrière la porte cochère d'un immeuble bourgeois classiquement désuet. Je m'avance néanmoins jusqu'au porche refermé lorsque je découvre son sésame : la lourde porte est restée entrouverte…Je m'interroge : est-ce volontaire ou pas ? Si c'est volontaire, c'est une excellente surprise. Sinon c'est peut-être encore plus excitant. Je vérifie sur les plaques qu'il y a bien ici une famille Lebrun au 3ème étage. Je décide donc d'entrer et de monter à l'appartement pour tenter de profaner le nids conjugal. Je pousse la porte et la referme pour plus de sécurité. C'est alors que je découvre ma petite coiffeuse collée au mur dans une position de femelle vaincue. Le manque d'éclairage me permet néanmoins d'apprécier le tableau touchant : la lourde poitrine comprimée qui se soulève par saccades ; le visage renversé en arrière ; la bouche cherchant de l'air incertain ; le regard masqué sous les paupières bleutées ; les jambes chancelantes… Je m'approche d'elle en silence jusqu'à ce que mon visage la touche presque et qu'un son rauque s'échappe de sa bouche tremblante et me demande de l'embrasser.

Je comprends que cet appel est celui du désespoir et un élan que je ne maîtrise plus projette ma bouche contre la sienne que je mords plus que je ne l'embrasse. Ma surprise est totale lorsque je sens ses lèvres enfiévrées répondre à mon assaut brutal. Sa tête heurte le mur et je la maintiens par mon baiser coincée sans que nos corps se touchent. C'est une double ventouse qui nous unit comme deux bêtes affamées. Nos lèvres se meurtrissent avec une gourmandise sauvage. Nos langues combattent pour imposer leurs lois. Nos salives se mêlent dans un débordement féroce jusqu'à la bave coulante sur nos mentons… Je ne sais combien de temps dura ce premier choc. Surpris par sa réaction, je la sens bouleversée et lui refuse pourtant l'apaisement en m'interdisant toute tendresse. J'écrase alors tout son corps contre le mur frottant ma queue tendue contre son large bassin. Un gémissement étouffé vient se perdre dans ma bouche qui ne lâche pas sa proie. Mes mains saisissent ses grosses mamelles avec brutalité. Je les pétris sans vergogne, les écrase, les malaxe en recueillant ses cris qui se perdent dans les gargouillis de nos salives. Agrippant le col de la robe en laine je la déchire et la belle se retrouve toute dépoitraillée. Sans lui donner le temps de réagir et en maintenant mon étreinte buccale mes mains s'affairent sur le soutien-gorge où mes doigts lisent les petits débordements graisseux de seins trop volumineux pour leurs coquilles de dentelle. Je presse les globes dans leur écrin de dentelle satinée. Lorsque je juge le désordre suffisant pour m'occuper des tétons qui n'en finissent pas de de rouler sur mes paumes je sens sur mes pouces l'humidité laiteuse des résidus de maternité. Emu par cette découverte inattendue, je lâche la bouche meurtrie par le baiser démesuré et où le rouge à lèvres a débordé de façon grotesque et me penche sur les mamelles qui me paraissent énormes sous l'effet du désir. Alors je me mets à lécher un à un les tétons pour y recueillir les perles de lait. J'y prends un plaisir incroyable car je n'avais jamais fait cela avec aucune femme. Ses gémissements, bien sonores cette fois, m'encouragent à téter chacun des bouts jusqu'à ce que je recueille quelques gouttes égarées du nectar. Cest à ce moment que Sylvie hurle et glisse au sol, sonnée par l'excès de plaisir.

Je regarde le spectacle fabuleux que m'offre la petite dodue : les cheveux blonds ébouriffés ; le regard bleu vaporeux ; la poitrine laiteuse échappée de la robe déchirée et retroussée sur ses gros cuissots gainés de nylon. Elle revient à la réalité en regardant la porte qui risque à chaque instant de laisser entrer des voisins. Je la relève sans tendresse et la pousse dans le réduit sous l'escalier. Seul son regard semble protester. Evitant de reproduire l'interminable baiser, je la colle au mur mais cette fois de face et je l'étreins par derrière. Je la couvre de suçons dans le cou qui la font glousser comme une poule en chaleur tandis que mes mains reprennent possession des deux énormes joyaux que sont ses seins volumineux. J'ai la satisfaction alors de sentir que c'est son gros cul qui recherche le contact de ma bite que je dégage de ma braguette avec un empressement non feint. De tout mon poids je broie son corps moelleux et dodu contre le mur en offrant un rôle privilégié à ma pine tendue et affamée. Délaissant ses nichons, je trousse sa robe jusqu'au dessus de ses gigantesques fesses. Le vêtement de laine ne lui sert plus maintenant que de ceinture. Pétrissant son gros cul, je joue avec mon gland en le promenant partout où je la sens se pâmer : le bas de ses reins qu'elle remue avec des petits cris de pucelle ; sur l'élastique des collants devenus encombrants ; sur le nylon tendu des fesses qui se trémoussent ; entre les cuisses où je frotte mon chibre qui découvre le renfort des collants imbibé de son jus féminin. Je me mets alors à glisser ma queue sous les collants entre ses cuisses et à la limer ainsi "à blanc" ce qui lui arrache des plaintes de plaisir frustré terriblement excitantes. Je fais durer ce moment jusqu'à ce que ma propre excitation me porte au bord de l'éjaculation. Enfin, écartant ses fesses, j'appuie mon noeud sur le nylon tendu comme si je voulais le percer jusqu'à solliciter l'impatience de la belle qui me propose de le quitter elle-même. Alors pour toutes réponses j'empoigne les collants et les déchire d'un coup. Son cri de stupéfaction accompagne celui de la rupture du nylon.
La retournant à nouveau, je la porte sur un vieux bahut qui séjournait sous l'escalier. Le spectacle de corps dodu dont les chairs exagérées débordaient de partout entre tissus retroussés, soutien-gorge baissé, collants déchirés, augmente ma précipitation et je saisis ses jambes pour les poser sur mes épaules. Sa vulve baveuse et enflée apparaît dénudée dans l'oeil des collants déchirés avec les volutes des boucles blondes de sa toison. Je ne peux résister plus longtemps à l'impatience d'y plonger ma bite en feu. Saisissant fermement ses hanches, j'approche mon gland et je m'enfonce jusqu'à la garde dans cette chatte qui, lubrifiée par l'attente, me reçoit sans aucune difficulté. Je la regarde et découvre ses yeux exorbités qui signalent la profondeur de sa stupeur tandis que je sens au bout de ma bite la dernière paroi m'indiquant que je touche le fond du calice. Triomphant je me retire et redonne un coup encore plus puissant qui, cette fois, fait enclencher à ma petite grosse une litanie de cris de toutes espèces. Je me retire à nouveau et l'enfile tout aussi brutalement pour ressortir sans lui donner le temps de se remettre. Je la pilonne maintenant sans vergogne, prenant un malin plaisir à voir ma bite luisante de sa mouille s'engouffrer entre ses lèvres enduites du jus visqueux qu'elle sécrète comme si son vagin était une source intarissable. Je recommence l'opération en plantant mon chibre sans retenue au moins une vingtaine de fois et je dois m'interrompre pour ne pas gâcher ce plaisir en éjaculant prématurément. Ses plaintes ne s'interrompent pourtant pas quand j'utilise cette pose pour regarder vivre sa vulve qui réclame. Mon regard se pause maintenant sur sa petite rondelle enfouie entre le gras de ses fesses. Avec mes pouces , je satisfais ma curiosité en écartant l'oeillet qui me révèle la petite étoile de son oeillet bien refermé. J'ignore ses protestations en accentuant ma pression qui ouvre en grand la porte de ce passage interdit. Profitant de sa surprise, j'approche mon gland maculé de cyprine et l'enfourne dans la corolle étroite mais suffisamment ouverte. J'appuie fort, puis très fort et millimètres par millimètres ma progression déclenche chez la belle des cris stridents qui me stimulent. Une dernière poussée appuyée me propulse dans son cul jusque là resté probablement vierge. Je la possède maintenant totalement. Il me reste à l'achever. La queue serrée par ce trou aussi sec que son vagin était inondé, je penche mon visage vers elle et l'embrasse tendrement. Je devine que la douleur l'empêche de participer et elle subit ma manoeuvre tendre d'apaisement. La sentant se détendre je me retire doucement de son cul pour pénétrer délicatement sa chatte toujours aussi reconnaissante. Je me retire et reviens dans son petit trou qui accepte maintenant sa fonction de réceptacle. Les cris de Sylvie se transforment en chuchotements inaudibles mais parfaitement compréhensibles. J'alterne les va-et-vient entre sa vulve et son trou du cul. Et cela monte. En moi. En elle. Je sens que je ne peux plus me retenir surtout quand une énième fois ma pine, enduite de sa mouille sort de son vagin béant pour revenir dans son cul étroit, ne résiste pas à la pression des parois resserrées du conduit pour que je lâche mon jus entre ses grosses fesses, avec un grognement de félin qui se mêle à ce que je prends pour des sortes de glapissements.
Je la libère enfin lorsque ma queue ramollie sorte naturellement de ce petit trou endolori suivie des coulées de mon sperme blanchâtre qui se perdent sur le carrelage de ce lieu qui retrouve sa tristesse glauque.

Vidé, je sors dans la rue en prenant soin de bien refermer la porte. Jamais je ne revis la petite coiffeuse dodue…

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