Un couple normal ou presque (3)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un couple normal ou presque (3)
Un couple normal ou presque (3)
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseil fortement. Bonne lecture]
Au bout de 4 mois et la première expérience en guêpière, nous semblions avoir trouvé un équilibre. Il n’y eu plus de nouvelles commandes si ce n’est un maillot de bain une pièce qui nous a offert un moment très agréable. Notre libido était remontée à bloc et nous faisions l’amour quasiment tous les jours, toujours en lingerie. Et puis, fin mai, ma femme a voulu que je m’épile, au moins du haut des jambes au haut des hanches et puis sous les bras. Comme toujours elle a obtenu gain de cause et nous avons passé quelques heures « épilation ». Elle s’est improvisée esthéticienne et après une première passe à la tondeuse, pour dégrossir, j’ai eu le droit à la crème épilatoire. J’en suis ressorti tout doux des fesses et mon sexe sans ses broussailles était méconnaissable et quelle sensation ! Je ne saurais pas la décrire mais tout ce que je portais me laissait une sensation spéciale sur les zones épilées, comme si j’étais nu même habillé.
Lorsque nous avons opté pour une soirée guêpière, j’ai été vraiment surpris par le résultat, si au premier essai je m’étais trouvé ridicule avec tous ces poils, la zone épilée entre les bas et la guêpière était beaucoup plus sexy et je n’ai pas pu contenir une érection que je suis allé calmer dans les bras de mon épouse ou plus exactement entre ses jambes.
Nous en sommes restés là jusqu’à fin aout, nos ébats pendant les vacances ayant eu lieu exclusivement en maillot de bain. Mais au retour, il s’est passé quelque chose de nouveau. Alors que j’étais sur le dos en bas et porte-jarretelles, que ma femme me prodiguait une lente et délicieuse fellation, elle m’a demandé de replier les jambes et a entrepris de descendre sous mes bourses pour me caresser le périnée du bout de langue, caresse nouvelle qui m’a fait ressentir comme des décharges électriques. Un peu surpris, je me suis abandonné à cette nouvelle sensation qui a pris en ampleur lorsqu’elle a repris sa fellation en poursuivant la caresse avec ses doigts. Ceux-ci se rapprochaient parfois de mon anus et la sensation était très agréable aussi lorsqu’un doigt vint le frôler je ne dis rien, espérant même que cela recommence. Et cela se produisit, les décharges électriques étaient plus fortes je m’y abandonnais.
Tout mon bassin n’était plus qu’une zone de plaisir et si je pris conscience que les doigts s’attardaient maintenant régulièrement sur mon anus qu’ils massaient doucement, je ne m’y attardais pas. C’est lorsqu’un doigt a forcé l’entrée de mon œillet que j’ai compris ce qui se passait. J’ai voulu protester mais j’ai été submergé par une vague de plaisir et j’ai joui longuement dans la bouche de mon épouse. J’ai eu l’impression que je ne m’arrêterais jamais. Toute fière d’elle elle s’est relevée avec un grand sourire et un peu de sperme au coin des lèvres pour m’annoncer que s’était à mon tour de m’occuper d’elle.
Après un temps de récupération je me suis mis à l’ouvrage avec l’idée de lui rendre la pareille. Et c’est ainsi qu’elle eut un orgasme violent tandis que je lui mangeais la chatte en lui caressant l’œillet que je pénétrais de temps en temps. Cette pratique devint l’une de nos préférées et elle réussit à plusieurs reprises à me donner des orgasmes prostatiques.
Un jour de fin aout alors que nous avions tiré au sort pour connaitre notre jeu sexuel du soir, celui-ci est tombé. Je lui ai demandé ce qu’elle aimerait que je porte pour l’occasion et elle m’a dit qu’elle avait un cadeau pour moi. C’était une nouvelle guêpière, toute blanche en satin avec des broderies sur le devant, magnifique. Je me suis empressé d’aller l’essayer, il y avait même les bas blancs et le string assorti. Jusqu’à mi-corps je me trouvais superbe (pour le haut du corps, poitrine et visage, je ne peux rien faire).
Petite variante ce soir, c’est moi qui commence et excité par ma nouvelle tenue je me jette sur elle comme un affamé. Lorsqu’elle est très excitée j’ai très envie de la prendre mais ce n’est pas le jeu et je poursuis jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. En attendant qu’elle se remette de ses émotions j’ôte mon string, m’allonge sur le dos et replie les jambes, je suis prêt. « Pas comme ça mon chéri, je veux que tu te mette en levrette ». Tien donc, quelle drôle d’idée, je proteste un peu, j’aime bien cette position mais bon, comme d’habitude ma femme a le dernier mot. Je m’exécute donc, me mets à quatre pattes la tête sur l’oreille et je me sens un peu ridicule les fesses en l’air, la queue ayant perdu de sa superbe pendouillant entre mes cuisses. « Tu vas voir, je pense que tu vas aimer » me susurra-t-elle en commençant à caresser mon sexe flageolant qui ne tarda pas à reprendre vigueur. Elle le tire alors en arrière et commence à le sucer. Drôle de sensation, les caresses de sa langue ne sont pas aux mêmes endroits, la position n’est pas très confortable mais ce n’est pas désagréable. Je sens sa bouche lâcher mon sexe quelle garde en position avec sa main tandis que sa langue remonte sur mon périnée qu’elle masse un moment avant de monter vers mon anus.
C’est nouveau ça aussi mais lorsqu’elle l’atteint, quelle douceur, quel plaisir ! Elle joue ainsi tout en me caressant le sexe. Je sens bientôt un doigt remplacer sa langue et passer mon œillet sans réelle résistance. Elle trouve ma prostate et je frissonne de tout mon corps. Je sens son doigt quitter mon antre à grand regret et je sens qu’elle met un peu de lubrifiant avant de me pénétrer avec deux doigts qui vont et viennent en me procurant des ondes de chaleurs à chaque mouvement. Lorsque les mouvements s’arrêtent et que les doigts me quittent je sens comme un vide et je suis un peu frustré mais je sens rapidement une nouvelle dose de gel et attends avec impatience la nouvelle pénétration.
« Ohhh ! » Il doit y avoir 3 ou quatre doigts là, ça force un peu mais après quelques mouvements ça rentre et je me sens rempli, tous ces doigts, c’est trop bon ! Ils restent un petit moment à l’entrée, faisant quelques allers-retours rapides qui m’arrachent quelques hoquets de plaisir puis ils progressent entre mes reins. C’est trop bon. Je repense à la vision que j’ai de ma femme lorsqu’elle est dans cette position et que je la sodomise, est-ce que la vue est si plaisante pour elle ? Après l’avoir imaginé, je me sens un peu à sa place. Mais ces pensées sont vite balayées par le plaisir qui monte entre mes reins, ses doigts vont en viennent de plus en plus profond. Les ondes de plaisir qui parcourent mon corps sont incontrôlables et je jouis dans un cri alors que ses doigts semblent s’enfoncer au plus profond de moi.
Je m’écroule sur le lit et je sens ses doigts me quitter mais ils semblent extraordinairement longs et se bloquent à la sortie qu’une traction plus forte permet de libérer. Je me sens vide tout à coup. Ma femme s’allonge sur moi et me susurre « Alors, tu as aimé cette nouvelle position ? ». Dans mon état de béatitude, je ne peux qu’acquiescer. « Et la pénétration ça a été, tu n’as pas eu mal ? ». Je lui réponds par la négative en lui indiquant que 4 doigts c’est quand même beaucoup. « Ho ! Mais ce n’étaient pas mes doigts mon chéri. » et elle me montre un god en forme de pénis qui doit avoir la même taille que le mien. « Tu sais maintenant ce que ça me fait lorsque tu me prends le cul » me dit-elle avec un grand sourire. Un peu mal à l’aise, car il y a une différence entre se prendre le doigt de sa femme dans le cul et se faire baiser par un vit, je lui fais remarquer qu’elle aurait pu m’en parler avant.
Un peu fâché, ce soir-là je quittais ma tenue pour dormir mais le sommeil fut long à venir et il fut peuplé de sexes géants qui me sodomisaient sans fin.
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseil fortement. Bonne lecture]
Au bout de 4 mois et la première expérience en guêpière, nous semblions avoir trouvé un équilibre. Il n’y eu plus de nouvelles commandes si ce n’est un maillot de bain une pièce qui nous a offert un moment très agréable. Notre libido était remontée à bloc et nous faisions l’amour quasiment tous les jours, toujours en lingerie. Et puis, fin mai, ma femme a voulu que je m’épile, au moins du haut des jambes au haut des hanches et puis sous les bras. Comme toujours elle a obtenu gain de cause et nous avons passé quelques heures « épilation ». Elle s’est improvisée esthéticienne et après une première passe à la tondeuse, pour dégrossir, j’ai eu le droit à la crème épilatoire. J’en suis ressorti tout doux des fesses et mon sexe sans ses broussailles était méconnaissable et quelle sensation ! Je ne saurais pas la décrire mais tout ce que je portais me laissait une sensation spéciale sur les zones épilées, comme si j’étais nu même habillé.
Lorsque nous avons opté pour une soirée guêpière, j’ai été vraiment surpris par le résultat, si au premier essai je m’étais trouvé ridicule avec tous ces poils, la zone épilée entre les bas et la guêpière était beaucoup plus sexy et je n’ai pas pu contenir une érection que je suis allé calmer dans les bras de mon épouse ou plus exactement entre ses jambes.
Nous en sommes restés là jusqu’à fin aout, nos ébats pendant les vacances ayant eu lieu exclusivement en maillot de bain. Mais au retour, il s’est passé quelque chose de nouveau. Alors que j’étais sur le dos en bas et porte-jarretelles, que ma femme me prodiguait une lente et délicieuse fellation, elle m’a demandé de replier les jambes et a entrepris de descendre sous mes bourses pour me caresser le périnée du bout de langue, caresse nouvelle qui m’a fait ressentir comme des décharges électriques. Un peu surpris, je me suis abandonné à cette nouvelle sensation qui a pris en ampleur lorsqu’elle a repris sa fellation en poursuivant la caresse avec ses doigts. Ceux-ci se rapprochaient parfois de mon anus et la sensation était très agréable aussi lorsqu’un doigt vint le frôler je ne dis rien, espérant même que cela recommence. Et cela se produisit, les décharges électriques étaient plus fortes je m’y abandonnais.
Tout mon bassin n’était plus qu’une zone de plaisir et si je pris conscience que les doigts s’attardaient maintenant régulièrement sur mon anus qu’ils massaient doucement, je ne m’y attardais pas. C’est lorsqu’un doigt a forcé l’entrée de mon œillet que j’ai compris ce qui se passait. J’ai voulu protester mais j’ai été submergé par une vague de plaisir et j’ai joui longuement dans la bouche de mon épouse. J’ai eu l’impression que je ne m’arrêterais jamais. Toute fière d’elle elle s’est relevée avec un grand sourire et un peu de sperme au coin des lèvres pour m’annoncer que s’était à mon tour de m’occuper d’elle.
Après un temps de récupération je me suis mis à l’ouvrage avec l’idée de lui rendre la pareille. Et c’est ainsi qu’elle eut un orgasme violent tandis que je lui mangeais la chatte en lui caressant l’œillet que je pénétrais de temps en temps. Cette pratique devint l’une de nos préférées et elle réussit à plusieurs reprises à me donner des orgasmes prostatiques.
Un jour de fin aout alors que nous avions tiré au sort pour connaitre notre jeu sexuel du soir, celui-ci est tombé. Je lui ai demandé ce qu’elle aimerait que je porte pour l’occasion et elle m’a dit qu’elle avait un cadeau pour moi. C’était une nouvelle guêpière, toute blanche en satin avec des broderies sur le devant, magnifique. Je me suis empressé d’aller l’essayer, il y avait même les bas blancs et le string assorti. Jusqu’à mi-corps je me trouvais superbe (pour le haut du corps, poitrine et visage, je ne peux rien faire).
Petite variante ce soir, c’est moi qui commence et excité par ma nouvelle tenue je me jette sur elle comme un affamé. Lorsqu’elle est très excitée j’ai très envie de la prendre mais ce n’est pas le jeu et je poursuis jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. En attendant qu’elle se remette de ses émotions j’ôte mon string, m’allonge sur le dos et replie les jambes, je suis prêt. « Pas comme ça mon chéri, je veux que tu te mette en levrette ». Tien donc, quelle drôle d’idée, je proteste un peu, j’aime bien cette position mais bon, comme d’habitude ma femme a le dernier mot. Je m’exécute donc, me mets à quatre pattes la tête sur l’oreille et je me sens un peu ridicule les fesses en l’air, la queue ayant perdu de sa superbe pendouillant entre mes cuisses. « Tu vas voir, je pense que tu vas aimer » me susurra-t-elle en commençant à caresser mon sexe flageolant qui ne tarda pas à reprendre vigueur. Elle le tire alors en arrière et commence à le sucer. Drôle de sensation, les caresses de sa langue ne sont pas aux mêmes endroits, la position n’est pas très confortable mais ce n’est pas désagréable. Je sens sa bouche lâcher mon sexe quelle garde en position avec sa main tandis que sa langue remonte sur mon périnée qu’elle masse un moment avant de monter vers mon anus.
C’est nouveau ça aussi mais lorsqu’elle l’atteint, quelle douceur, quel plaisir ! Elle joue ainsi tout en me caressant le sexe. Je sens bientôt un doigt remplacer sa langue et passer mon œillet sans réelle résistance. Elle trouve ma prostate et je frissonne de tout mon corps. Je sens son doigt quitter mon antre à grand regret et je sens qu’elle met un peu de lubrifiant avant de me pénétrer avec deux doigts qui vont et viennent en me procurant des ondes de chaleurs à chaque mouvement. Lorsque les mouvements s’arrêtent et que les doigts me quittent je sens comme un vide et je suis un peu frustré mais je sens rapidement une nouvelle dose de gel et attends avec impatience la nouvelle pénétration.
« Ohhh ! » Il doit y avoir 3 ou quatre doigts là, ça force un peu mais après quelques mouvements ça rentre et je me sens rempli, tous ces doigts, c’est trop bon ! Ils restent un petit moment à l’entrée, faisant quelques allers-retours rapides qui m’arrachent quelques hoquets de plaisir puis ils progressent entre mes reins. C’est trop bon. Je repense à la vision que j’ai de ma femme lorsqu’elle est dans cette position et que je la sodomise, est-ce que la vue est si plaisante pour elle ? Après l’avoir imaginé, je me sens un peu à sa place. Mais ces pensées sont vite balayées par le plaisir qui monte entre mes reins, ses doigts vont en viennent de plus en plus profond. Les ondes de plaisir qui parcourent mon corps sont incontrôlables et je jouis dans un cri alors que ses doigts semblent s’enfoncer au plus profond de moi.
Je m’écroule sur le lit et je sens ses doigts me quitter mais ils semblent extraordinairement longs et se bloquent à la sortie qu’une traction plus forte permet de libérer. Je me sens vide tout à coup. Ma femme s’allonge sur moi et me susurre « Alors, tu as aimé cette nouvelle position ? ». Dans mon état de béatitude, je ne peux qu’acquiescer. « Et la pénétration ça a été, tu n’as pas eu mal ? ». Je lui réponds par la négative en lui indiquant que 4 doigts c’est quand même beaucoup. « Ho ! Mais ce n’étaient pas mes doigts mon chéri. » et elle me montre un god en forme de pénis qui doit avoir la même taille que le mien. « Tu sais maintenant ce que ça me fait lorsque tu me prends le cul » me dit-elle avec un grand sourire. Un peu mal à l’aise, car il y a une différence entre se prendre le doigt de sa femme dans le cul et se faire baiser par un vit, je lui fais remarquer qu’elle aurait pu m’en parler avant.
Un peu fâché, ce soir-là je quittais ma tenue pour dormir mais le sommeil fut long à venir et il fut peuplé de sexes géants qui me sodomisaient sans fin.
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