Un couple normal ou presque (4)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un couple normal ou presque (4)
[Entre homme et femme] [sodomie] [travesti]
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Les jours passèrent et nous évitions dorénavant les caresses anales y compris la sodomie. Mais un jour ma femme a remis le sujet sur la table en me disant qu’elle aimerait essayer la double pénétration. Puisque nous avions un god, autant s’en servir. J’ai accepté de bon cœur car l’idée de la sodomisée avec le god tout en lui fourrant la chatte avec ma queue m’excitait plutôt bien. Nous avons convenu de nous y mettre dès le soir venu. J’y serai bien aller tout de suite mais nous avions quelques rendez-vous à honorer. Elle a dû deviner mon excitation car elle a posé une condition : « tu devras être maquillé et porter une perruque. ». C’était hors de question, porter de la lingerie, ok mais me travestir, pas question ! Et donc plus de sexe. Pourtant elle m’aguichait joyeusement, portait ses tenues les plus sexy, dormait systématiquement en nuisette légère et n’hésitait pas à se servir du god pour se faire plaisir nui et jour. Tant et si bien que j’ai craqué, j’avais trop envie de lui faire l’amour.
Dès que je le lui annonçais elle jubila et m’annonça qu’elle le savait et avait tout prévu, y compris mon gage pour ne pas avoir accepté tout de suite. Elle me demanda d’aller me doucher, de m’épiler consciencieusement, de me raser et de porter ce qu’elle avait déposé dans la salle de bain. Je me pliais à sa volonté de bon gré en pensant à la soirée débridée qui nous attendait. Après l’épilation, la douche et le rasage je cherchais la lingerie qu’elle m’avait préparée. Bien sûr je n’étais pas au bout de mes surprises, sous celle-ci se trouvait une robe ainsi que des escarpins à ma taille. Je maugréais mais bon, que ne ferais-je pas pour satisfaire les fantasmes de ma femme ? J’enfilais la lingerie, un serre taille satin et dentelle couleur taupe et crème, très joli, les bas noirs, le tanga et le soutien-gorge assortis. Plutôt pas mal, le serre taille m’affinait indéniablement. Je passais ensuite la robe noire courte, moulante mais pas trop, évasée et à manches longues. La ceinture qui allait avec et chaussais les escarpins noirs avec des talons d’au moins 5 cm. En me regardant dans la glace, je trouvais le résultat plutôt pas mal, jusqu’au cou. J’étais plutôt bandant comme ça, ce qui ne manqua pas de se produire et retarda ma sortie de la salle de bain.
Calmé je me dirigeais vers le salon où ma femme m’attendait pour la séance maquillage. Lorsqu’elle m’entendit elle se leva et je découvris qu’elle était habillée comme moi et je vis de l’excitation dans son regard. « Tu es superbe mon chéri » me lança-t-elle avec un sourire espiègle, « Viens d’assoir ici, nous allons en voir pour un moment ». Effectivement, j’eu le droit à la totale, perruque, faux ongles, faux cils, épilation de sourcils mais pas trop, fond de teint, … Lorsqu’elle eut fini et que je pu me regarder dans la glace, je n’en revenais pas, le résultat était bluffant, on aurait dit une femme. Mis à part ma voix et mon allure on aurait pu s’y tromper. « Aller mon chéri, maintenant que tu es tout beau, offre-moi un verre, le champagne est au frais. ».
En me dirigeant vers le frigo maladroitement sur mes talons je ne pus m’empêcher d’éprouver un vif plaisir. Non par le fait d’être travesti mais par celui du changement. Enfiler cette robe sur des dessous féminins fut une révélation, comme de revêtir une nouvelle peau pour changer de personnage et vivre une nouvelle vie. À cet instant il ne me semblait pas que ce soit le travestissement en femme qui soit à l’origine de ce plaisir mais le travestissement en lui-même, cela aurait pu être tout autre chose comme porter une toison de la préhistoire ou une tenue de la Renaissance mais les fantasmes de ma femme en ont décidé ainsi.
De retour au salon avec toujours autant de difficultés à marcher, en plus des talons j’ai mal aux pieds, je sers le champagne sous le regard moqueur de mon épouse et prends place en face d’elle et nous papotons comme nous avons coutume de le faire lorsque nous prenons l’apéritif. Finalement, à la fin de la bouteille, je lui pose la question qui me taraude : « Tu me travestis en femme parce que tu as des fantasmes lesbiens ? ». Après un grand éclat de rire elle ne me répond « Absolument pas ! J’aime les hommes, j’aime leur corps, j’aime leur sexe, j’aime jouer avec et le sentir en moi. Un corps de femme, même si je peux le trouver joli, ne m’excite absolument pas. En revanche, j’ai trouvé que le port de lingerie t’allait très bien et était très excitant autant pour moi que pour toi. Le travestissement d’aujourd’hui confirme ce que je pensais, comme pour une femme, cela te met en valeur. Moi qui sait ce qui se cache sous cette tenue, j’ai très envie de t’effeuiller depuis le début de l’apéritif. ».
Sur ce elle se lève et vient s’assoir à côté de moi. Elle me prend le visage et m’embrasse tendrement. Ses mains quittent doucement mes joues pour descendre le long de mon coup jusqu’à mes épaules tandis que sa bouche quitte la mienne pour m’embrasser le cou. Ne voulant pas être en reste je commençais également à parcourir son corps mais dans un ronronnement elle me dit « Non, laisse-toi faire ». Je me laissais donc complètement aller à ses caresses. Une de ses mains était arrivée sur mon torse qu’elle caressait doucement. Malgré ou peut être grâce à la robe et au soutien-gorge, la sensation fut enivrante et je senti mes tétons se durcir. Elle poursuivit ainsi, faisant monter mon excitation tandis que sa bouche remontait le long de mon cou pour venir agacer mon oreille.
Mon dieu, c’était divin à me donner de petits frissons. Tellement que je n’ai pas senti sa main descendre et je fus surpris de la sentir me caresser les cuisses gainées de nylon. Surtout lorsqu’elle est remontée doucement sous le bas de ma robe pour atteindre la lisière des bas où elle alterna caresse de ma peau fraichement épilée et le nylon. Je n’en pouvais plus de plaisir, mon souffle était court, mon corps était bouillant et chacune de ses fibres semblait vouloir exploser de bonheur. Je sentais mon membre pulsé à l’étroit sous le tanga. Finalement, gênée par ma robe, elle me la fit remonter jusqu’à la taille et repris son exploration manuelle, caressant doucement le haut de mes cuisses, remontant vers mon sexe mais ne faisant que s’en approcher.
Quel supplice de Tantale ! À chaque fois qu’elle s’en approchait j’attendais qu’elle y arrive, qu’elle le caresse à son tour mais non, elle faisait durer le supplice et j’en avait presque mal jusque dans les testicules. Inconsciemment j’écartais les cuisses et elle en profita pour en caresser l’intérieur poursuivant sa torture. Finalement, alors que je n’y croyais plus, un doigt qui se promenais sur l’intérieur d’une cuisse, remonta le long des testicules puis de ma queue pour s’attarder sur le gland qu’elle flatta toujours du bout du doigt. J’ai cru que j’allais jouir tellement j’attendais cette caresse mais je teins bon. Elle entreprit de poursuivre ses caresses en parcourant mon membre tendu à l’extrême.
Mon cœur s’était emballé, mon corps était un brasier et mon sexe un volcan qui ne demandait qu’à entrer en éruption. Lorsque sa main remonta sur mon ventre pour passer sous le fin tissu et saisir mon sexe, je poussais un long soupir. Elle changea alors de position et vint se placer entre mes cuisses en me regardant l’œil pétillant, elle descendit le tanga, libérant mon sexe qui jailli comme un diable de sa boite et entrepris une lente fellation. Très vite je sentis que j’allais exploser et lui demandais d’arrêter mais elle poursuivit et je ne tardais pas à entrer en éruption. Cette éruption fut libératrice et à chaque spasme je sentais la tension de mon corps retomber pour s’enfoncer dans du coton. Elle poursuivi encore un peu la fellation, m’arrachant quelques spasmes qui finirent par me plonger dans un état semi comateux de plénitude heureuse.
Finalement elle revint se placer à mes côtés et m’embrassa. Le gout étrange de son baiser me fit comprendre que nous partagions mon sperme et tandis que nous prolongions se baiser sa main me caressait doucement le sexe. Finalement elle quitta mes lèvres et mon sexe pour me dire avec un grand sourire « Si tu te souviens bien, ce n’était pas ce qui était prévu mais j’ai craqué. Alors maintenant c’est à toi de me faire ma gâterie. Remet toi, je t’attends dans la chambre. ».
Mais ça, c’est une autre histoire
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Les jours passèrent et nous évitions dorénavant les caresses anales y compris la sodomie. Mais un jour ma femme a remis le sujet sur la table en me disant qu’elle aimerait essayer la double pénétration. Puisque nous avions un god, autant s’en servir. J’ai accepté de bon cœur car l’idée de la sodomisée avec le god tout en lui fourrant la chatte avec ma queue m’excitait plutôt bien. Nous avons convenu de nous y mettre dès le soir venu. J’y serai bien aller tout de suite mais nous avions quelques rendez-vous à honorer. Elle a dû deviner mon excitation car elle a posé une condition : « tu devras être maquillé et porter une perruque. ». C’était hors de question, porter de la lingerie, ok mais me travestir, pas question ! Et donc plus de sexe. Pourtant elle m’aguichait joyeusement, portait ses tenues les plus sexy, dormait systématiquement en nuisette légère et n’hésitait pas à se servir du god pour se faire plaisir nui et jour. Tant et si bien que j’ai craqué, j’avais trop envie de lui faire l’amour.
Dès que je le lui annonçais elle jubila et m’annonça qu’elle le savait et avait tout prévu, y compris mon gage pour ne pas avoir accepté tout de suite. Elle me demanda d’aller me doucher, de m’épiler consciencieusement, de me raser et de porter ce qu’elle avait déposé dans la salle de bain. Je me pliais à sa volonté de bon gré en pensant à la soirée débridée qui nous attendait. Après l’épilation, la douche et le rasage je cherchais la lingerie qu’elle m’avait préparée. Bien sûr je n’étais pas au bout de mes surprises, sous celle-ci se trouvait une robe ainsi que des escarpins à ma taille. Je maugréais mais bon, que ne ferais-je pas pour satisfaire les fantasmes de ma femme ? J’enfilais la lingerie, un serre taille satin et dentelle couleur taupe et crème, très joli, les bas noirs, le tanga et le soutien-gorge assortis. Plutôt pas mal, le serre taille m’affinait indéniablement. Je passais ensuite la robe noire courte, moulante mais pas trop, évasée et à manches longues. La ceinture qui allait avec et chaussais les escarpins noirs avec des talons d’au moins 5 cm. En me regardant dans la glace, je trouvais le résultat plutôt pas mal, jusqu’au cou. J’étais plutôt bandant comme ça, ce qui ne manqua pas de se produire et retarda ma sortie de la salle de bain.
Calmé je me dirigeais vers le salon où ma femme m’attendait pour la séance maquillage. Lorsqu’elle m’entendit elle se leva et je découvris qu’elle était habillée comme moi et je vis de l’excitation dans son regard. « Tu es superbe mon chéri » me lança-t-elle avec un sourire espiègle, « Viens d’assoir ici, nous allons en voir pour un moment ». Effectivement, j’eu le droit à la totale, perruque, faux ongles, faux cils, épilation de sourcils mais pas trop, fond de teint, … Lorsqu’elle eut fini et que je pu me regarder dans la glace, je n’en revenais pas, le résultat était bluffant, on aurait dit une femme. Mis à part ma voix et mon allure on aurait pu s’y tromper. « Aller mon chéri, maintenant que tu es tout beau, offre-moi un verre, le champagne est au frais. ».
En me dirigeant vers le frigo maladroitement sur mes talons je ne pus m’empêcher d’éprouver un vif plaisir. Non par le fait d’être travesti mais par celui du changement. Enfiler cette robe sur des dessous féminins fut une révélation, comme de revêtir une nouvelle peau pour changer de personnage et vivre une nouvelle vie. À cet instant il ne me semblait pas que ce soit le travestissement en femme qui soit à l’origine de ce plaisir mais le travestissement en lui-même, cela aurait pu être tout autre chose comme porter une toison de la préhistoire ou une tenue de la Renaissance mais les fantasmes de ma femme en ont décidé ainsi.
De retour au salon avec toujours autant de difficultés à marcher, en plus des talons j’ai mal aux pieds, je sers le champagne sous le regard moqueur de mon épouse et prends place en face d’elle et nous papotons comme nous avons coutume de le faire lorsque nous prenons l’apéritif. Finalement, à la fin de la bouteille, je lui pose la question qui me taraude : « Tu me travestis en femme parce que tu as des fantasmes lesbiens ? ». Après un grand éclat de rire elle ne me répond « Absolument pas ! J’aime les hommes, j’aime leur corps, j’aime leur sexe, j’aime jouer avec et le sentir en moi. Un corps de femme, même si je peux le trouver joli, ne m’excite absolument pas. En revanche, j’ai trouvé que le port de lingerie t’allait très bien et était très excitant autant pour moi que pour toi. Le travestissement d’aujourd’hui confirme ce que je pensais, comme pour une femme, cela te met en valeur. Moi qui sait ce qui se cache sous cette tenue, j’ai très envie de t’effeuiller depuis le début de l’apéritif. ».
Sur ce elle se lève et vient s’assoir à côté de moi. Elle me prend le visage et m’embrasse tendrement. Ses mains quittent doucement mes joues pour descendre le long de mon coup jusqu’à mes épaules tandis que sa bouche quitte la mienne pour m’embrasser le cou. Ne voulant pas être en reste je commençais également à parcourir son corps mais dans un ronronnement elle me dit « Non, laisse-toi faire ». Je me laissais donc complètement aller à ses caresses. Une de ses mains était arrivée sur mon torse qu’elle caressait doucement. Malgré ou peut être grâce à la robe et au soutien-gorge, la sensation fut enivrante et je senti mes tétons se durcir. Elle poursuivit ainsi, faisant monter mon excitation tandis que sa bouche remontait le long de mon cou pour venir agacer mon oreille.
Mon dieu, c’était divin à me donner de petits frissons. Tellement que je n’ai pas senti sa main descendre et je fus surpris de la sentir me caresser les cuisses gainées de nylon. Surtout lorsqu’elle est remontée doucement sous le bas de ma robe pour atteindre la lisière des bas où elle alterna caresse de ma peau fraichement épilée et le nylon. Je n’en pouvais plus de plaisir, mon souffle était court, mon corps était bouillant et chacune de ses fibres semblait vouloir exploser de bonheur. Je sentais mon membre pulsé à l’étroit sous le tanga. Finalement, gênée par ma robe, elle me la fit remonter jusqu’à la taille et repris son exploration manuelle, caressant doucement le haut de mes cuisses, remontant vers mon sexe mais ne faisant que s’en approcher.
Quel supplice de Tantale ! À chaque fois qu’elle s’en approchait j’attendais qu’elle y arrive, qu’elle le caresse à son tour mais non, elle faisait durer le supplice et j’en avait presque mal jusque dans les testicules. Inconsciemment j’écartais les cuisses et elle en profita pour en caresser l’intérieur poursuivant sa torture. Finalement, alors que je n’y croyais plus, un doigt qui se promenais sur l’intérieur d’une cuisse, remonta le long des testicules puis de ma queue pour s’attarder sur le gland qu’elle flatta toujours du bout du doigt. J’ai cru que j’allais jouir tellement j’attendais cette caresse mais je teins bon. Elle entreprit de poursuivre ses caresses en parcourant mon membre tendu à l’extrême.
Mon cœur s’était emballé, mon corps était un brasier et mon sexe un volcan qui ne demandait qu’à entrer en éruption. Lorsque sa main remonta sur mon ventre pour passer sous le fin tissu et saisir mon sexe, je poussais un long soupir. Elle changea alors de position et vint se placer entre mes cuisses en me regardant l’œil pétillant, elle descendit le tanga, libérant mon sexe qui jailli comme un diable de sa boite et entrepris une lente fellation. Très vite je sentis que j’allais exploser et lui demandais d’arrêter mais elle poursuivit et je ne tardais pas à entrer en éruption. Cette éruption fut libératrice et à chaque spasme je sentais la tension de mon corps retomber pour s’enfoncer dans du coton. Elle poursuivi encore un peu la fellation, m’arrachant quelques spasmes qui finirent par me plonger dans un état semi comateux de plénitude heureuse.
Finalement elle revint se placer à mes côtés et m’embrassa. Le gout étrange de son baiser me fit comprendre que nous partagions mon sperme et tandis que nous prolongions se baiser sa main me caressait doucement le sexe. Finalement elle quitta mes lèvres et mon sexe pour me dire avec un grand sourire « Si tu te souviens bien, ce n’était pas ce qui était prévu mais j’ai craqué. Alors maintenant c’est à toi de me faire ma gâterie. Remet toi, je t’attends dans la chambre. ».
Mais ça, c’est une autre histoire
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