Un couple normal ou presque (7)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un couple normal ou presque (7)
[Entre homme et femme] [trio] [sodomie] [travesti]
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Nous avons à nouveau repris une vie sexuelle moins intense mais début novembre des amis qui sont venus dîner nous ont fait l’éloge de l’échangisme et vanté les mérites d’un célèbre établissement lyonnais. À leur départ se fut notre sujet de conversation, j’étais très enthousiaste mais ma femme pas du tout. Ce n’est pas que je voulais la tromper juste une envie d’aventure. Je le voyais comme un jeu un peu dangereux, plein d’adrénaline et de suspens. À force d’instance je finis par la persuader mais elle posa une condition que je trouvais inacceptable, je devais m’habiller comme elle. Vous me connaissez, je n’ai pas résisté longtemps et rendez-vous fut pris pour le 18 novembre. Ma femme nous acheta deux ensembles identiques : jupe courte noire croisée sur le devant avec la veste assortie et chemisier blanc en satin blanc à manches longues. Il y avait également un manteau court beige clair et un foulard. Pour la lingerie il y avait un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string satinés beiges avec des liserés et motifs en dentelle noirs. Pour les bas, noirs, opaques et avec jarretière.
Nous avons pris un congé le vendredi pour pouvoir nous préparer et la séance habituelle de préparation du corps, d’habillage et de maquillage recommença. Comme il fallait sortir elle me fit quitter ma montre et me prêta un bracelet et un collier. Une fois de plus j’étais méconnaissable et ayant maintenant l’habitude des talons, tant qu’il ne faudra pas parler ça devrait passer. Mais comment faire une rencontre ? Peut-être une lesbienne qui serait très surprise à un moment ou à un autre ? Ou une femme qui partage les mêmes fantasmes que ma femme, ça existe ?
Vers 22H00 nous quittons le domicile, je laisse le volant à ma femme, je marche avec des talons mais de là à conduire, et nous nous rendons dans le club recommandé auprès duquel nous avions fait une réservation pour être certains de trouver de la place.
En arrivant nous avons trouvé un endroit très cosy et chic. Nous nous sommes rapidement installés dans une alcôve vide sans trop attirer les regards. Il y avait du monde mais pas trop, nos amis nous avaient prévenus que la direction limitait les entrées pour conserver un caractère intimiste. Nous commandâmes une bouteille de champagne. Mon cœur battait la chamade, je me sentais extrêmement mal à l’aise et un peu honteux. Je voulais partir et en fis part à mon épouse qui me proposa de finir tranquillement la bouteille et de voir ensuite. Tous en sirotant notre champagne nous observions l’assemblée et ne manquions pas quelques commentaires sur celui-ci ou celle-ci. Il y avait quelques belles femmes, court vêtu, sans vulgarité, qui attiraient mon regard. Je repérais aussi un travesti et quelques instants plus tard un second, ce qui me rassura quelque peu.
Nous en étions à notre dernière flute lorsque l’atmosphère changea sensiblement, quelques couples à 2, 3 ou 4 s’étaient formés et commençaient à s’embrasser. Des mains baladeuses ne tardèrent pas à se promener sur le corps des partenaires. S’était très excitant et lorsque je vis l’un des travestis embrasser goulument une femme je me dis qu’après tout j’avais peut-être une chance. Je fouillais la salle à la recherche d’une proie lorsque je sentis la main de ma femme sur ma cuisse qu’elle commença à caresser. « C’est très excitant tu ne trouves pas, embrasse-moi ! ». J’obtempérais avec joie et nos bouches se soudèrent pour un baiser très sensuel tandis que sa main continuait à me caresser la cuisse et que je commençais à faire de même.
Nous fîmes interrompus par un « Bonjour Mesdames. Excusez-moi de vous déranger mais je vois que votre bouteille est vide, voudriez-vous en partager une autre avec moi ? ». J’allais répondre au malotru d’aller jouer ailleurs mais je fus devancé par mon épouse qui y alla d’un « Mais bien, sur, avec grand plaisir ! » avec un sourire coquin que je lui connaissais si bien. L’inconnu s’installa et commanda une bouteille. Il était plutôt bel homme, la quarantaine passée, j’aurais parié pour 45 ans. Il devait mesurer un peu plus d’un mètre 80 et semblai sportif, les yeux marrons derrière des lunettes et des cheveux poivre et sel.
- Je m’appelle Sébastien. J’ai l’impression que vous vous amusiez bien et je n’espère ne pas interrompre quelque chose. Nous annonça-t-il.
- Non, pas du tout. Nous en étions aux mises en bouches si l’on peut dire. Lui répondit ma femme.
- Vous êtes copines, mariées peut être. Il est surprenant de vous voir habillées à l’identique.
- Nous sommes mariés. En fait je suis avec mon mari, Stéphane (oui c’est moi) et je suis Sandrine.
Il resta quelques instants sans voie avant de poursuivre.
- Enchanté de vous rencontrer Sandrine et Stéphane dit-il en me regardant d’un œil perçant.
- Vous êtes travesti Stéphane ? me demanda-t-il, très direct le gars.
Je n’ai à nouveau pas eu le temps de répondre, ma femme s’en chargea.
- Non, c’est juste un pari et une sorte de gage pour venir passer une soirée ici.
- C’est donc la première fois que vous venez ? Demanda-t-il en remplissant les flutes de champagne.
Cela allait faire beaucoup, j’avais déjà la tête qui tournait un peu après la première bouteille.
- Oui c’est notre première fois. J’avoue que nous sommes un peu perdus et surpris mais aussi très excités.
En effet, dans la salle les mains et les bouches avaient trouvé des chemins sous les vêtements et il y avait de plus en plus de peaux nues.
- C’est vrai, la première fois ça peut surprendre. Mais le but ici est de se faire plaisir, sans gènes et sans tabous. Nous sommes tous là pour ça, nous partageons tous le même objectif, nous faire plaisir et faire plaisir en retour au travers d’échanges sexuels.
- Oui je vois ça. Répondit ma femme en montrant la salle.
En effet, certains étaient passés à l’étape supérieure, il y avait quelques fellations et cunnilingus en cours. Je vis même le travesti, se robe remontée sur sa taille, se faire sucer par sa copine. Je m’abandonnais quelques instants dans la contemplation de ce tableau très érotique. Lorsque je me retournais vers ma femme et Sébastien, je les trouvais en train de s’embrasser goulument. Une main de Sébastien était très haute entre les cuisses de ma femme tandis qu’une des siennes était posée sur sa braguette. Sans voix je les observais un instant, je vis leurs langues se mélanger, leurs mains s’activer. Bien que très excité par la situation j’allais protester mais une fois de plus je fus pris de court, Sébastien s’arracha aux lèvres de ma femme et lui dit en la regardant intensément :
- J’ai réservé une chambre au cas où, ça te dirait que nous y allions ?
- Oh ! Oui ! S’il le souhaite mon mari peut-il venir, je ne voudrais l’abandonner.
- Bien sûr ! Plus on est de fous plus on rigole !
Et n’y une ni deux nous nous retrouvions dans une chambre spacieuse avec salle de bain et lit king size. À peine la porte franchie Sébastien s’était jeté sur ma femme et l’embrassait tout en lui plotant les fesses. Ma femme me fit signe de me rapprocher, ce que je fis. Elle quitta la bouche de Sébastien pour trouver la mienne et m’embrasser passionnément tandis que, par défaut, il lui embrassait le cou. Je sentis une main me caresser les fesses. Je pris conscience que c’était celle de Sébastien et je compris qu’il nous caressait Sandrine et moi. Trop excité par la situation je laissais faire et allais également sur les fesses ma femme. J’y rencontrais celle de Sébastien et nous nous sommes lancés dans un ballet à deux mains sur la piste de ses fesses. Je sentis une main de ma femme chercher et trouver mon sexe qu’elle commença à caresser. A la crispation de la main de Sébastien je compris qu’elle avait fait de même avec le sien. Nous poursuivîmes ainsi, ma femme alternant les bouches, mes fesses et celles de ma femme se faisant malaxées tandis qu’elle nous caressait.
Soudain elle est tombée à genoux et en un rien de temps elle avait ouvert le pantalon de Sébastien, fait tomber ma jupe et mon string. Nos deux sexes pontaient vers elle. Elle les prit en main tous les deux et commença à les caresser. C’était étrange de voir une autre queue que mienne et encore plus dans la main de ma femme. Mais le plus choquant fut quand elle remplaça sa main par sa bouche. Alcoolisé et excité par sa main sur mon sexe et celle de Sébastien qui me caressait les fesses, je laissais faire. Bientôt elle quitta sa queue pour prendre la mienne. Je ne réussis pas à contenir et gémissement de plaisir. Je sentis alors la main de Sébastien me prendre le coup et m’attirer à lui pour m’embrasser. Je tentais de m’éloigner mais sa poigne était ferme et sa langue aventureuse. Je tentais de le repousser des deux mains mais son étreinte trop rigide et ma queue maintenue fermement par ma femme ne me laissaient que peu de champ. Finalement sa langue réussie à me pénétrer la bouche et à trouver ma langue. Je me débattais encore un peu, pour la forme car son baiser m’électrisait et je m’y abandonnais bientôt tandis que ma femme, qui avait tout vu et fait en sorte que je ne puisse pas trop me débattre en m’emprisonnant le sexe, reprenait sa fellation.
Sébastien quitta mes lèvres et avec un clin d’œil m’annonça « Au fait, j’aime autant les femmes que les hommes et si ta femme est très jolie, tu es très mignon également et ton côté féminin ainsi travesti est très attirant. ». Mon dieu ! Dans quel guêpier étions-nous tombé, il voulait baiser qui ma femme ou moi ? Je lui posais la question et il répondit en riant « Mais les deux mon capitaine ! ». Là-dessus il m’attrapa les joues et m’attira à lui pour reprendre son baiser tandis que ma femme me quittait pour sa queue, sa main remplaçant sa bouche.
Ma femme finit par remonter et nous lança « Eh les mecs, je peux jouer avec vous ? ». Aussitôt Sébastien libéra ma bouche et s’empara de la sienne. Un peu délaissé je m’occupais de ma femme, je commençais à lui hotter son chemisier, bouton par bouton, ma bouche embrassant chaque centimètre de peau découverte. Je m’attardais sur ses seins que je laissais dans le soutien-gorge mais que je malaxais doucement tout en parcourant les surfaces découvertes du bout de la langue. J’arrivais finalement à la jupe que je dégrafais et descendais à ses pieds. En remontant doucement je lui caressais les jambes et lorsque ma bouche arriva à hauteur de son sexe, je l’embrassais. Elle écarta un peu les jambes et j’alternais bisous et caresses du bout des doigts finalement je descendis aussi son string. Mes mains sur ses fesses, je parcourais sa chatte du bout de la langue avant de la manger. Je fus sorti de mon application buccale par de petits coups sur ma joue, un peu agacé, je tournais la tête pour voir ce qui se passait et découvris le sexe tendu de Sébastien qui, profitant de ce que j’avais la bouche ouverte s’y engouffra. Je sentis alors 4 mains sur ma tête qui m’empêchèrent de me relever et de reculer tandis que sa queue commençait à aller en venir dans ma bouche.
Mais j’avais lâché prise depuis qu’il m’avait embrassé alors j’acceptais cette nouvelle épreuve qui au final n’en était pas une. Ils le comprirent et les mains disparurent tandis que j’imprimais de moi-même un mouvement de va et vient sur cette queue tendue. C’était finalement très excitant de sucer une queue et j’essayais de m’appliquer, de faire ce que Sandrine me fait, ce que j’aime particulièrement. Et puis j’ai commencé à alterner entre sa chatte et sa queue tandis qu’ils continuaient à s’embrasser et à se caresser. Je finis par me relever et Sébastien nous poussa sur le lit où Sandrine et moi tombions allongés sur le dos. « Quelle vue magnifique ! » nous annonça Sébastien et il se jeta entre les jambes de ma femme pour lui manger la chatte tandis qu’une main attrapais mon sexe. Il fit comme moi un peu plus tôt et alterna ses caresses buccales entre nos sexes. Sa deuxième main ne resta pas longtemps inactive, lorsqu’il prenait ma queue dans sa bouche il en profitait pour passer entre mes fasse et me masser l’œillet, j’imaginais sans mal qu’il faisait de même à ma femme. À ce rythme je n’allais pas tenir encore longtemps, je sentais poindre la jouissance. C’est à cet instant qu’il annonça « Mes chéris, vous être prêts ! Sandrine, veux-tu bien venir chevaucher ton homme ? ».
Sans répondre, l’œil étincelant elle se positionna sur moi et elle était tellement excitée qu’elle s’assit sur mon pubis en elle seul mouvement. Je poussais un gémissement de satisfaction en sentant mon sexe entrer dans ce fourreau chaud et humide. Elle commença quelques mouvements de hanches, se soulevant et redescendant, comme une cavalière sur son cheval. Mais Sébastien l’arrêta « Belle Sandrine, voudrais-tu te coucher sur ton mari ? ». Se quelle fit et nous en profitâmes pour nous embrasser, sa bouche avait le gout caractéristique du plaisir. Je commençais quelques mouvements de bassins quand soudain elle quitta ma bouche et lança un « Ohh ! » tandis que je sentis quelque chose avancer sur ma queue toujours en elle. Je compris qu’il venait de la sodomiser. C’est alors lui qui donna le rythme de la chevauchée, ma femme prise en sandwich gémissait et râlait de plaisir. Je sentais sa queue frotter la mienne à l’intérieur de ma femme et je tentais de donner un rythme coordonné aux siens. S’était tellement bon que j’allais exploser quand ma femme cria sa jouissance et Sébastien et moi rallâmes de concert en nous vidant en elle.
Je sentis Sébastien quitter ma femme que j’enlaçais, toujours en elle. Nous sommes restés un moment ainsi dans une douce béatitude qui fut brisée par Sébastien qui annonça « Merci les tourtereaux, j’ai passé un très agréable moment. Si vous repassez par-là faites-moi signe, il y a encore plein d’autres plaisirs à découvrir. Je vous ai laissé ma carte sur le guéridon. Bonne fin de soirée. » et, sur ces paroles un peu énigmatiques, il est parti. Il nous a fallu plus de temps pour sortir de notre torpeur et nous rajuster. Sur la route du retour nous avons beaucoup parler de cette soirée et des plaisirs que nous avions eu. A ces questions quant au baiser et à la fellation, je lui ai avoué que j’avais finalement aimé ça. Je n’étais pas prêt à le refaire, car cela ne m’attire pas mais sur le moment ce n’était pas désagréable.
Ce soir-là ou plutôt ce matin-là nous nous sommes endormis sagement, ne nous doutant pas que de nouvelles aventures nous attendaient.
[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]
Nous avons à nouveau repris une vie sexuelle moins intense mais début novembre des amis qui sont venus dîner nous ont fait l’éloge de l’échangisme et vanté les mérites d’un célèbre établissement lyonnais. À leur départ se fut notre sujet de conversation, j’étais très enthousiaste mais ma femme pas du tout. Ce n’est pas que je voulais la tromper juste une envie d’aventure. Je le voyais comme un jeu un peu dangereux, plein d’adrénaline et de suspens. À force d’instance je finis par la persuader mais elle posa une condition que je trouvais inacceptable, je devais m’habiller comme elle. Vous me connaissez, je n’ai pas résisté longtemps et rendez-vous fut pris pour le 18 novembre. Ma femme nous acheta deux ensembles identiques : jupe courte noire croisée sur le devant avec la veste assortie et chemisier blanc en satin blanc à manches longues. Il y avait également un manteau court beige clair et un foulard. Pour la lingerie il y avait un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string satinés beiges avec des liserés et motifs en dentelle noirs. Pour les bas, noirs, opaques et avec jarretière.
Nous avons pris un congé le vendredi pour pouvoir nous préparer et la séance habituelle de préparation du corps, d’habillage et de maquillage recommença. Comme il fallait sortir elle me fit quitter ma montre et me prêta un bracelet et un collier. Une fois de plus j’étais méconnaissable et ayant maintenant l’habitude des talons, tant qu’il ne faudra pas parler ça devrait passer. Mais comment faire une rencontre ? Peut-être une lesbienne qui serait très surprise à un moment ou à un autre ? Ou une femme qui partage les mêmes fantasmes que ma femme, ça existe ?
Vers 22H00 nous quittons le domicile, je laisse le volant à ma femme, je marche avec des talons mais de là à conduire, et nous nous rendons dans le club recommandé auprès duquel nous avions fait une réservation pour être certains de trouver de la place.
En arrivant nous avons trouvé un endroit très cosy et chic. Nous nous sommes rapidement installés dans une alcôve vide sans trop attirer les regards. Il y avait du monde mais pas trop, nos amis nous avaient prévenus que la direction limitait les entrées pour conserver un caractère intimiste. Nous commandâmes une bouteille de champagne. Mon cœur battait la chamade, je me sentais extrêmement mal à l’aise et un peu honteux. Je voulais partir et en fis part à mon épouse qui me proposa de finir tranquillement la bouteille et de voir ensuite. Tous en sirotant notre champagne nous observions l’assemblée et ne manquions pas quelques commentaires sur celui-ci ou celle-ci. Il y avait quelques belles femmes, court vêtu, sans vulgarité, qui attiraient mon regard. Je repérais aussi un travesti et quelques instants plus tard un second, ce qui me rassura quelque peu.
Nous en étions à notre dernière flute lorsque l’atmosphère changea sensiblement, quelques couples à 2, 3 ou 4 s’étaient formés et commençaient à s’embrasser. Des mains baladeuses ne tardèrent pas à se promener sur le corps des partenaires. S’était très excitant et lorsque je vis l’un des travestis embrasser goulument une femme je me dis qu’après tout j’avais peut-être une chance. Je fouillais la salle à la recherche d’une proie lorsque je sentis la main de ma femme sur ma cuisse qu’elle commença à caresser. « C’est très excitant tu ne trouves pas, embrasse-moi ! ». J’obtempérais avec joie et nos bouches se soudèrent pour un baiser très sensuel tandis que sa main continuait à me caresser la cuisse et que je commençais à faire de même.
Nous fîmes interrompus par un « Bonjour Mesdames. Excusez-moi de vous déranger mais je vois que votre bouteille est vide, voudriez-vous en partager une autre avec moi ? ». J’allais répondre au malotru d’aller jouer ailleurs mais je fus devancé par mon épouse qui y alla d’un « Mais bien, sur, avec grand plaisir ! » avec un sourire coquin que je lui connaissais si bien. L’inconnu s’installa et commanda une bouteille. Il était plutôt bel homme, la quarantaine passée, j’aurais parié pour 45 ans. Il devait mesurer un peu plus d’un mètre 80 et semblai sportif, les yeux marrons derrière des lunettes et des cheveux poivre et sel.
- Je m’appelle Sébastien. J’ai l’impression que vous vous amusiez bien et je n’espère ne pas interrompre quelque chose. Nous annonça-t-il.
- Non, pas du tout. Nous en étions aux mises en bouches si l’on peut dire. Lui répondit ma femme.
- Vous êtes copines, mariées peut être. Il est surprenant de vous voir habillées à l’identique.
- Nous sommes mariés. En fait je suis avec mon mari, Stéphane (oui c’est moi) et je suis Sandrine.
Il resta quelques instants sans voie avant de poursuivre.
- Enchanté de vous rencontrer Sandrine et Stéphane dit-il en me regardant d’un œil perçant.
- Vous êtes travesti Stéphane ? me demanda-t-il, très direct le gars.
Je n’ai à nouveau pas eu le temps de répondre, ma femme s’en chargea.
- Non, c’est juste un pari et une sorte de gage pour venir passer une soirée ici.
- C’est donc la première fois que vous venez ? Demanda-t-il en remplissant les flutes de champagne.
Cela allait faire beaucoup, j’avais déjà la tête qui tournait un peu après la première bouteille.
- Oui c’est notre première fois. J’avoue que nous sommes un peu perdus et surpris mais aussi très excités.
En effet, dans la salle les mains et les bouches avaient trouvé des chemins sous les vêtements et il y avait de plus en plus de peaux nues.
- C’est vrai, la première fois ça peut surprendre. Mais le but ici est de se faire plaisir, sans gènes et sans tabous. Nous sommes tous là pour ça, nous partageons tous le même objectif, nous faire plaisir et faire plaisir en retour au travers d’échanges sexuels.
- Oui je vois ça. Répondit ma femme en montrant la salle.
En effet, certains étaient passés à l’étape supérieure, il y avait quelques fellations et cunnilingus en cours. Je vis même le travesti, se robe remontée sur sa taille, se faire sucer par sa copine. Je m’abandonnais quelques instants dans la contemplation de ce tableau très érotique. Lorsque je me retournais vers ma femme et Sébastien, je les trouvais en train de s’embrasser goulument. Une main de Sébastien était très haute entre les cuisses de ma femme tandis qu’une des siennes était posée sur sa braguette. Sans voix je les observais un instant, je vis leurs langues se mélanger, leurs mains s’activer. Bien que très excité par la situation j’allais protester mais une fois de plus je fus pris de court, Sébastien s’arracha aux lèvres de ma femme et lui dit en la regardant intensément :
- J’ai réservé une chambre au cas où, ça te dirait que nous y allions ?
- Oh ! Oui ! S’il le souhaite mon mari peut-il venir, je ne voudrais l’abandonner.
- Bien sûr ! Plus on est de fous plus on rigole !
Et n’y une ni deux nous nous retrouvions dans une chambre spacieuse avec salle de bain et lit king size. À peine la porte franchie Sébastien s’était jeté sur ma femme et l’embrassait tout en lui plotant les fesses. Ma femme me fit signe de me rapprocher, ce que je fis. Elle quitta la bouche de Sébastien pour trouver la mienne et m’embrasser passionnément tandis que, par défaut, il lui embrassait le cou. Je sentis une main me caresser les fesses. Je pris conscience que c’était celle de Sébastien et je compris qu’il nous caressait Sandrine et moi. Trop excité par la situation je laissais faire et allais également sur les fesses ma femme. J’y rencontrais celle de Sébastien et nous nous sommes lancés dans un ballet à deux mains sur la piste de ses fesses. Je sentis une main de ma femme chercher et trouver mon sexe qu’elle commença à caresser. A la crispation de la main de Sébastien je compris qu’elle avait fait de même avec le sien. Nous poursuivîmes ainsi, ma femme alternant les bouches, mes fesses et celles de ma femme se faisant malaxées tandis qu’elle nous caressait.
Soudain elle est tombée à genoux et en un rien de temps elle avait ouvert le pantalon de Sébastien, fait tomber ma jupe et mon string. Nos deux sexes pontaient vers elle. Elle les prit en main tous les deux et commença à les caresser. C’était étrange de voir une autre queue que mienne et encore plus dans la main de ma femme. Mais le plus choquant fut quand elle remplaça sa main par sa bouche. Alcoolisé et excité par sa main sur mon sexe et celle de Sébastien qui me caressait les fesses, je laissais faire. Bientôt elle quitta sa queue pour prendre la mienne. Je ne réussis pas à contenir et gémissement de plaisir. Je sentis alors la main de Sébastien me prendre le coup et m’attirer à lui pour m’embrasser. Je tentais de m’éloigner mais sa poigne était ferme et sa langue aventureuse. Je tentais de le repousser des deux mains mais son étreinte trop rigide et ma queue maintenue fermement par ma femme ne me laissaient que peu de champ. Finalement sa langue réussie à me pénétrer la bouche et à trouver ma langue. Je me débattais encore un peu, pour la forme car son baiser m’électrisait et je m’y abandonnais bientôt tandis que ma femme, qui avait tout vu et fait en sorte que je ne puisse pas trop me débattre en m’emprisonnant le sexe, reprenait sa fellation.
Sébastien quitta mes lèvres et avec un clin d’œil m’annonça « Au fait, j’aime autant les femmes que les hommes et si ta femme est très jolie, tu es très mignon également et ton côté féminin ainsi travesti est très attirant. ». Mon dieu ! Dans quel guêpier étions-nous tombé, il voulait baiser qui ma femme ou moi ? Je lui posais la question et il répondit en riant « Mais les deux mon capitaine ! ». Là-dessus il m’attrapa les joues et m’attira à lui pour reprendre son baiser tandis que ma femme me quittait pour sa queue, sa main remplaçant sa bouche.
Ma femme finit par remonter et nous lança « Eh les mecs, je peux jouer avec vous ? ». Aussitôt Sébastien libéra ma bouche et s’empara de la sienne. Un peu délaissé je m’occupais de ma femme, je commençais à lui hotter son chemisier, bouton par bouton, ma bouche embrassant chaque centimètre de peau découverte. Je m’attardais sur ses seins que je laissais dans le soutien-gorge mais que je malaxais doucement tout en parcourant les surfaces découvertes du bout de la langue. J’arrivais finalement à la jupe que je dégrafais et descendais à ses pieds. En remontant doucement je lui caressais les jambes et lorsque ma bouche arriva à hauteur de son sexe, je l’embrassais. Elle écarta un peu les jambes et j’alternais bisous et caresses du bout des doigts finalement je descendis aussi son string. Mes mains sur ses fesses, je parcourais sa chatte du bout de la langue avant de la manger. Je fus sorti de mon application buccale par de petits coups sur ma joue, un peu agacé, je tournais la tête pour voir ce qui se passait et découvris le sexe tendu de Sébastien qui, profitant de ce que j’avais la bouche ouverte s’y engouffra. Je sentis alors 4 mains sur ma tête qui m’empêchèrent de me relever et de reculer tandis que sa queue commençait à aller en venir dans ma bouche.
Mais j’avais lâché prise depuis qu’il m’avait embrassé alors j’acceptais cette nouvelle épreuve qui au final n’en était pas une. Ils le comprirent et les mains disparurent tandis que j’imprimais de moi-même un mouvement de va et vient sur cette queue tendue. C’était finalement très excitant de sucer une queue et j’essayais de m’appliquer, de faire ce que Sandrine me fait, ce que j’aime particulièrement. Et puis j’ai commencé à alterner entre sa chatte et sa queue tandis qu’ils continuaient à s’embrasser et à se caresser. Je finis par me relever et Sébastien nous poussa sur le lit où Sandrine et moi tombions allongés sur le dos. « Quelle vue magnifique ! » nous annonça Sébastien et il se jeta entre les jambes de ma femme pour lui manger la chatte tandis qu’une main attrapais mon sexe. Il fit comme moi un peu plus tôt et alterna ses caresses buccales entre nos sexes. Sa deuxième main ne resta pas longtemps inactive, lorsqu’il prenait ma queue dans sa bouche il en profitait pour passer entre mes fasse et me masser l’œillet, j’imaginais sans mal qu’il faisait de même à ma femme. À ce rythme je n’allais pas tenir encore longtemps, je sentais poindre la jouissance. C’est à cet instant qu’il annonça « Mes chéris, vous être prêts ! Sandrine, veux-tu bien venir chevaucher ton homme ? ».
Sans répondre, l’œil étincelant elle se positionna sur moi et elle était tellement excitée qu’elle s’assit sur mon pubis en elle seul mouvement. Je poussais un gémissement de satisfaction en sentant mon sexe entrer dans ce fourreau chaud et humide. Elle commença quelques mouvements de hanches, se soulevant et redescendant, comme une cavalière sur son cheval. Mais Sébastien l’arrêta « Belle Sandrine, voudrais-tu te coucher sur ton mari ? ». Se quelle fit et nous en profitâmes pour nous embrasser, sa bouche avait le gout caractéristique du plaisir. Je commençais quelques mouvements de bassins quand soudain elle quitta ma bouche et lança un « Ohh ! » tandis que je sentis quelque chose avancer sur ma queue toujours en elle. Je compris qu’il venait de la sodomiser. C’est alors lui qui donna le rythme de la chevauchée, ma femme prise en sandwich gémissait et râlait de plaisir. Je sentais sa queue frotter la mienne à l’intérieur de ma femme et je tentais de donner un rythme coordonné aux siens. S’était tellement bon que j’allais exploser quand ma femme cria sa jouissance et Sébastien et moi rallâmes de concert en nous vidant en elle.
Je sentis Sébastien quitter ma femme que j’enlaçais, toujours en elle. Nous sommes restés un moment ainsi dans une douce béatitude qui fut brisée par Sébastien qui annonça « Merci les tourtereaux, j’ai passé un très agréable moment. Si vous repassez par-là faites-moi signe, il y a encore plein d’autres plaisirs à découvrir. Je vous ai laissé ma carte sur le guéridon. Bonne fin de soirée. » et, sur ces paroles un peu énigmatiques, il est parti. Il nous a fallu plus de temps pour sortir de notre torpeur et nous rajuster. Sur la route du retour nous avons beaucoup parler de cette soirée et des plaisirs que nous avions eu. A ces questions quant au baiser et à la fellation, je lui ai avoué que j’avais finalement aimé ça. Je n’étais pas prêt à le refaire, car cela ne m’attire pas mais sur le moment ce n’était pas désagréable.
Ce soir-là ou plutôt ce matin-là nous nous sommes endormis sagement, ne nous doutant pas que de nouvelles aventures nous attendaient.
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