Un dimanche dans les annales
Récit érotique écrit par Hotside [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un dimanche dans les annales
C'est la 3ème fois ce mois-ci que ma femme repousse mes avances et, sans mauvais jeu de mots, ça commence à me gonfler. Elle dit qu'elle est fatiguée mais quoi de plus normal lorsque l'on passe ses soirées à jouer sur internet et à se coucher à une heure avancée de la nuit. Son dernier refus a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Enervé, j'ai fait quelques recherches sur internet, naviguant sur des forums où des hommes étaient dans mon cas et ce qu'ils avaient fait pour remédier à ce problème. Un lien menait vers un site où plusieurs méthodes étaient préconisées dont celle que je choisis.
Comme tous les dimanches, je me suis levé le premier et, vers 9 heures, j'ai réveillé mon épouse qui a pris son café avant de passer sous la douche. Nous habitons un plain-pied où la salle de bains est à l'opposé de notre chambre et il faut traverser le salon pour se rendre de l'un à l'autre. Ma femme a pour habitude d'enfiler ses dessous dans la salle de bains et de traverser toute la maison vêtue de son peignoir pour s'habiller dans notre chambre. Aujourd'hui, tandis qu'elle est sous la douche, je lui subtilise son peignoir sans qu'elle s'en rende compte. Au bout d'un certain temps, je l'entends crier :
« Chéri, tu n'as pas pris mon peignoir, je l'avais posé sur le meuble ».
Comme je ne réponds pas, elle sort de la salle de bains et demande de nouveau :
« Dis, tu n'as pas vu mon peig... ».
La question reste en suspens lorsqu'elle arrive dans le salon. Là, debout devant elle, il y a 4 hommes qu'elle ne connaît pas. Sans voix, elle me cherche du regard.
« J'ai invité quelques amis, ça ne te dérange pas ».
« Non, non, mais tu aurais pu me prévenir » murmure-t-elle en se cachant la poitrine d'un bras et son slip d'une main.
« Mais je l'ai fait exprès ».
« Quoi, pourquoi »
« Parce que ça fait des semaines que l'on a pas fait l'amour et que tu dois être en manque, toi qui d'habitude aimes le sexe. Comme j'ai l'impression que je ne t'attire plus, j'ai demandé à mes nouveaux amis de venir s'occuper de toi et, comme tu vois, ils sont bien équipés ».
En effet, les 4 hommes avaient leurs pantalons et leurs caleçons sur leurs chevilles et le sexe de chacun d'eux était bien plus gros que le mien. Ma femme fixait leurs membres et avala sa salive ce qui, chez elle, était signe d'excitation. M'approchant, je lui prends la main :
« Viens, je vais faire les présentations. Sabine, je te présente Bob, Fred, Loulou et Dédé. Ils sont sympas et je pense que tu leur fais de l'effet, vu leurs sexes dressés. Tu ne devrais pas les laisser comme ça ».
Pendant qu'ils se rapprochent de Sabine, je vais m'asseoir dans un fauteuil pour jouir du spectacle qui va m'être offert. Inquiète, elle ne sait que faire. Une main, puis une deuxième se posent sur son corps et la caressent. D'autres mains enveloppent ses petits seins et les pelotent avec vigueur. Ses fesses sont malaxés si fermement que le tissu de son slip lui rentre dans la raie. L'un des hommes glisse un doigt sur le côté du slip et s'écrie :
Elle n'est pas rasée, c'est une vraie forêt vierge, les gars. Et en plus, elle est trempée. Elle a l'air d'aimer ça. Je suis sûr que c'est une bonne suceuse ».
Sur ces mots, il agenouille mon épouse devant lui et lui tend sa grosse queue bien dure. N'ouvrant pas la bouche, il lui prend la tête et force le passage entre ses lèvres pour enfoncer son engin si profondément qu'elle ne peut retenir un haut-le-cœur. Bob ne cache pas son plaisir et procède à des va-et-vient tandis que les 3 autres se rapprochent pour avoir leur part. Sabine ne se fait plus prier et je la vois lécher leurs couilles, mordiller leur glands, engloutir leurs sexes avec excitation. Je ne peux me retenir de sortir mon sexe et de me masturber à la vue de ce spectacle. Je ne croyais pas ma femme aussi gourmande et capable d'avaler de si gros braquemarts.
Après les avoir bien chauffés, Fred couche ma femme à même le sol et écartant simplement le slip, la pénètre d'un coup sec, sans éprouver la moindre difficulté pour entrer. Loulou se met au-dessus de la tête de Sabine et lui enfonce son sexe dans la bouche. Dédé et Bob s'occupent chacun d'un sein en lui léchant et mordillant le téton. Toutes ces attentions et les grands coups de boutoir de Fred la pousse jusqu'à l'orgasme. Ses cris ne font qu'accroître l'excitation des hommes et chacun leur tour, ils lui défoncent la chatte en feu et ses cris se font de plus en plus fort.
« Elle adore ça cette salope. Attendez les mecs, on va la faire crier encore plus fort, dit Loulou en retirant le slip de ma femme et en la retournant pour la mettre à quatre pattes. Va chercher le lubrifiant ».
Complètement groggy, Sabine ne réagit pas mais je sais quel est le traitement qui l'attend. Elle m'a toujours refusé cette expérience et malgré quelques craintes, je suis tout émoustillé par ce que je vais voir. Dédé donne le tube à Loulou qui en asperge la rondelle de mon épouse. Après quelques passages pour le dilater, il enfonce un doigt puis 2 dans son cul. Elle cambre les reins pour offrir ses fesses et Loulou, doucement, y introduit, petit à petit, son membre jusqu'à ce que ses couilles touchent le cul. Cette progression a été accompagnée de petits cris mais c'est un hurlement qui a suivi lorsque qu'il s'est déchaîné dans son fion et ce, jusqu'à ce qu'il éjacule sur ses fesses. Les 3 autres ont suivi le même chemin, crachant leur semence également sur les fesses de Sabine. A la fin Bob me dit que si je veux je peux en profiter, le cul est grand-ouvert. Je ne peux y résister, moi qui ai toujours voulu l'enculer. Mon sexe, bien moins gros que ceux qui m'ont précédé, entre facilement dans son anus et après plusieurs passages, je me vide dans son cul, ce que j'ai toujours rêver de faire.
Aujourd'hui, mon épouse est fatiguée, toujours à cause d'internet mais j'y suis pour quelque chose. C'est un dimanche qui restera dans les annales.
Comme tous les dimanches, je me suis levé le premier et, vers 9 heures, j'ai réveillé mon épouse qui a pris son café avant de passer sous la douche. Nous habitons un plain-pied où la salle de bains est à l'opposé de notre chambre et il faut traverser le salon pour se rendre de l'un à l'autre. Ma femme a pour habitude d'enfiler ses dessous dans la salle de bains et de traverser toute la maison vêtue de son peignoir pour s'habiller dans notre chambre. Aujourd'hui, tandis qu'elle est sous la douche, je lui subtilise son peignoir sans qu'elle s'en rende compte. Au bout d'un certain temps, je l'entends crier :
« Chéri, tu n'as pas pris mon peignoir, je l'avais posé sur le meuble ».
Comme je ne réponds pas, elle sort de la salle de bains et demande de nouveau :
« Dis, tu n'as pas vu mon peig... ».
La question reste en suspens lorsqu'elle arrive dans le salon. Là, debout devant elle, il y a 4 hommes qu'elle ne connaît pas. Sans voix, elle me cherche du regard.
« J'ai invité quelques amis, ça ne te dérange pas ».
« Non, non, mais tu aurais pu me prévenir » murmure-t-elle en se cachant la poitrine d'un bras et son slip d'une main.
« Mais je l'ai fait exprès ».
« Quoi, pourquoi »
« Parce que ça fait des semaines que l'on a pas fait l'amour et que tu dois être en manque, toi qui d'habitude aimes le sexe. Comme j'ai l'impression que je ne t'attire plus, j'ai demandé à mes nouveaux amis de venir s'occuper de toi et, comme tu vois, ils sont bien équipés ».
En effet, les 4 hommes avaient leurs pantalons et leurs caleçons sur leurs chevilles et le sexe de chacun d'eux était bien plus gros que le mien. Ma femme fixait leurs membres et avala sa salive ce qui, chez elle, était signe d'excitation. M'approchant, je lui prends la main :
« Viens, je vais faire les présentations. Sabine, je te présente Bob, Fred, Loulou et Dédé. Ils sont sympas et je pense que tu leur fais de l'effet, vu leurs sexes dressés. Tu ne devrais pas les laisser comme ça ».
Pendant qu'ils se rapprochent de Sabine, je vais m'asseoir dans un fauteuil pour jouir du spectacle qui va m'être offert. Inquiète, elle ne sait que faire. Une main, puis une deuxième se posent sur son corps et la caressent. D'autres mains enveloppent ses petits seins et les pelotent avec vigueur. Ses fesses sont malaxés si fermement que le tissu de son slip lui rentre dans la raie. L'un des hommes glisse un doigt sur le côté du slip et s'écrie :
Elle n'est pas rasée, c'est une vraie forêt vierge, les gars. Et en plus, elle est trempée. Elle a l'air d'aimer ça. Je suis sûr que c'est une bonne suceuse ».
Sur ces mots, il agenouille mon épouse devant lui et lui tend sa grosse queue bien dure. N'ouvrant pas la bouche, il lui prend la tête et force le passage entre ses lèvres pour enfoncer son engin si profondément qu'elle ne peut retenir un haut-le-cœur. Bob ne cache pas son plaisir et procède à des va-et-vient tandis que les 3 autres se rapprochent pour avoir leur part. Sabine ne se fait plus prier et je la vois lécher leurs couilles, mordiller leur glands, engloutir leurs sexes avec excitation. Je ne peux me retenir de sortir mon sexe et de me masturber à la vue de ce spectacle. Je ne croyais pas ma femme aussi gourmande et capable d'avaler de si gros braquemarts.
Après les avoir bien chauffés, Fred couche ma femme à même le sol et écartant simplement le slip, la pénètre d'un coup sec, sans éprouver la moindre difficulté pour entrer. Loulou se met au-dessus de la tête de Sabine et lui enfonce son sexe dans la bouche. Dédé et Bob s'occupent chacun d'un sein en lui léchant et mordillant le téton. Toutes ces attentions et les grands coups de boutoir de Fred la pousse jusqu'à l'orgasme. Ses cris ne font qu'accroître l'excitation des hommes et chacun leur tour, ils lui défoncent la chatte en feu et ses cris se font de plus en plus fort.
« Elle adore ça cette salope. Attendez les mecs, on va la faire crier encore plus fort, dit Loulou en retirant le slip de ma femme et en la retournant pour la mettre à quatre pattes. Va chercher le lubrifiant ».
Complètement groggy, Sabine ne réagit pas mais je sais quel est le traitement qui l'attend. Elle m'a toujours refusé cette expérience et malgré quelques craintes, je suis tout émoustillé par ce que je vais voir. Dédé donne le tube à Loulou qui en asperge la rondelle de mon épouse. Après quelques passages pour le dilater, il enfonce un doigt puis 2 dans son cul. Elle cambre les reins pour offrir ses fesses et Loulou, doucement, y introduit, petit à petit, son membre jusqu'à ce que ses couilles touchent le cul. Cette progression a été accompagnée de petits cris mais c'est un hurlement qui a suivi lorsque qu'il s'est déchaîné dans son fion et ce, jusqu'à ce qu'il éjacule sur ses fesses. Les 3 autres ont suivi le même chemin, crachant leur semence également sur les fesses de Sabine. A la fin Bob me dit que si je veux je peux en profiter, le cul est grand-ouvert. Je ne peux y résister, moi qui ai toujours voulu l'enculer. Mon sexe, bien moins gros que ceux qui m'ont précédé, entre facilement dans son anus et après plusieurs passages, je me vide dans son cul, ce que j'ai toujours rêver de faire.
Aujourd'hui, mon épouse est fatiguée, toujours à cause d'internet mais j'y suis pour quelque chose. C'est un dimanche qui restera dans les annales.
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c'est vraiment exitant.