Visite au salon de l'érostime (1) - histoire érotique

Vous connaissez ma femme, grande amatrice de pluralité masculine, ce qui, pour tout vous dire, m'étonne encore. Ce côté « grosse cochonne » a révélé un aspect de sa personnalité que je ne soupçconnais pas. En vérité, je ne connais pas ma femme. C'est pourquoi, je lui laisse la place aujourd'hui.
Avant de vous raconter mon aventure, je vais me présenter : j'ai 46 ans, brune aux cheveux mi-longs. Je mesure 1,60 m pour 58 kilos, de corpulence normale avec un tour de poitrine de 95 B. J'aurais aimer que mes seins soient plus gros mais je fais avec ce que l'on m'a donné. D'ailleurs, en premier lieu, ce que les hommes remarquent chez moi, ce n'est pas ma poitrine mais mes fesses. Mon mari dit toujours que j'ai un cul fait pour être pénétré. J'en doutais jusqu'à ce que mes petites expériences me fassent découvrir un plaisir insoupçonné. Puis, il y a la partie cachée que l'on découvre une fois que je suis nue : ma chatte que je rase très rarement. Un gros buisson qui peut recevoir d'énormes braquemarts. Ca je le savais car mon mari prend son pied lorsqu'il y enfonce sa main entière et me fait jouir de façon insensée. En un mot, je suis Eléonore.
Avec les gens, mon côté réservé me fait passer pour quelqu'un de timide, voire de coincée. D'ailleurs, parler de sexe me met mal à l'aise, je préfère le geste à la parole. Mais, tous ces cadeaux offerts par mon mari m'ont, si je puis dire, ouverte et, un jour, je lui demande de m'emmener au salon de l'érotisme qui doit se dérouler dans 15 jours. Il hésite un moment avant de me dire que ça pourrait être agréable et encore plus amusant si on y invitait quelques amis.
Le jour J est arrivé et, accompagnés d'un couple d'amis, nous sommes devant l'entrée où 2 phallus géants disposés de chaque côté de la porte donnent le ton du salon. Leur vue entraîne bien entendu des plaisanteries plus ou moins douteuses de nos hommes. A l'intérieur, il y a beaucoup de monde, avec autant d'hommes que de femmes, des jeunes, des moins jeunes. Les stands de films pornos succèdent aux stands de revues classées X qui succèdent aux stands de gadgets en tout genre.
Une partie de la salle est réservée aux strip-teases féminin et masculin. Il va s'en dire que les filles sont des canons et que les hommes sont jeunes, beaux, musclés et bien montés, ce qui a le don de faire monter en moi une certaine chaleur en pensant à tout ce que je pourrais faire avec de tels engins.
Dans une autre pièce est installé le clou du salon. Un show vivant où des acteurs de films X dévoilent tous leurs talents devant les yeux brillants d'envie des spectateurs. Certains hommes se caressent le sexe où pelotent leurs compagnes en jouissant du spectacle. D'ailleurs, Jean-Claude, notre ami, bien qu'il filme la scène avec son caméscope, en profite pour masser les fesses de Catherine, sa femme et ma meilleure amie, qui, certainement excitée par ce qu'elle voit, se laisse faire à la vue de tout le monde.
Je suis si émoustillée par tout ça que prétextant un besoin pressant, je me mets en quête d'un coin tranquille où je pourrai faire passer mon envie. Une porte cède devant mes sollicitations et je me retrouve dans une pièce qui sert de lieu de stockage où s'empilent des matelas, des DVDs, et foule d'autres choses. Refermant la porte, je m'allonge sur la pile de matelas, je soulève ma jupe et j'écarte le tissu de mon string puis je me mets à titiller mon clitoris, doucement puis de plus en plus vite jusqu'à ce que je jouisse. Ouvrant les yeux, je vois devant moi une femme d'une trentaine d'années qui, tout en me regardant, se pince les tétons de ses gros seins et lèche, comme une glace, un sex-toy de belle longueur.
« Ben dites donc, ça a été rapide » me fait-elle.
Me redressant sur mes genoux, rougissante de honte, je lui dit que j'étais tellement excitée que je n'ai pas pu me retenir. Elle sourit tout en se baissant et, sans avoir eu le temps de faire un geste, ses lèvres se posent sur les miennes et sa main emprisonne mon sexe. Là, je sens ses doigts entrer dans ma fente humide et dégoulinante de jus. Je suis tétanisée mais les va-et-vient dans ma chatte me procurent un tel plaisir que je me mets à gémir. Tout à coup, l'inconnue s'arrête et écartant les lèvres de mon sexe, y plonge sa tête et du bout de la langue joue avec mon clitoris. Je prends alors sa tête dans mes mains et je l'engage à aller plus loin. Je n'ai jamais rien ressenti de pareil même avec plusieurs hommes. Se levant, elle retire son leggin sur son sexe rasé et m'invite à lui lécher. Je n'ai jamais fait ça mais je m'exécute. Quelques soubresauts de son bassin et de petits cris m'indiquent que je suis douée aussi pour ça.
« Attends, on va changer de position » me dit-elle
Nous voilà en 69, sa chatte au-dessus de ma tête. Elle a retiré mon string et m'écarte les cuisses. Je sens à l'entrée de mon vagin quelque chose de dur qui veut forcer le passage et qui finit par passer. Elle me pénètre avec son sex-toy tout en jouant avec mon petit bouton du bout de sa langue. Ce traitement me fait pousser des cris de plus en plus forts jusqu'à ce que j'atteigne un orgasme incroyable. Epuisée, je me remets à peine de mes émotions que je vois la porte se refermer sur mon inconnue. Qui est-elle et que faisait-elle là ?
La suite bientôt.