Un jour, j’ai vraiment eu le sentiment d’avoir été comblé et pourtant je n’ai pas eu d’enculades à l

- Par l'auteur HDS Jolasuce -
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un jour, j’ai vraiment eu le sentiment d’avoir été comblé et pourtant je n’ai pas eu d’enculades à l Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Un jour, j’ai vraiment eu le sentiment d’avoir été comblé et pourtant je n’ai pas eu d’enculades à l
Aujourd’hui, je vais relater mes aventures sexuelles que j’ai vécues dans sex-shop où j’avais coutume de sévir. Ce lieu est réparti sur deux étages avec divers cabines égrainées le long d’un couloir sombre où se croisent les chasseurs de sexe.
L’une des cabines est dotée d’un grand fauteuil qui permet de s’allonger de tout son long. Elle est presque toujours occupée car elle permet des rapports confortables devant un écran vidéo. Ce jour-là, alors que j’arpentais les couloirs obscures à la recherche d’un pineur ou d’un queutard généreux, je vois un quidam entièrement nu allongé sur le canapé, il se caresse mollement la tige en attente d’un masseur de queue pour l’amener à la jouissance, il avait naturellement laissé la porte ouverte. Je m’introduis, il ne manifeste pas d’opposition alors je me mets en tenue d’Eve (et non d’Adam puisque je suis le réceptacle) et je m’agenouille devant l’objet de mon désir que je prends à pleine bouche. Je m’applique à lui donner tout le plaisir dont il est en droit d’attendre dans une telle posture et un tel lieu. Au cours de ma pompe buccale, (j’avais laissé la porte ouverte), un autre partenaire pointe son nez ou plutôt son gland et nous observe. Puis il entre, sa quéquette sortie, encore mole et timide. Tout en suçant le premier, je tends la main pour me saisir cet objet plein de promesse afin de lui donner un peu de vigueur. L’effet de la caresse semble efficace et son tuyau de moins en moins timide. Je l’attire au plus près de l’autre pour m’éviter le grand écart et je peux ainsi avec ma bouche passer d’une queue à l’autre, toute deux désireuses d’être aspirées en vue d’un éventuel geyser.
Finalement, je tente une autre position pour signifier, par ma posture, le désir d’une intrusion en moi autre que par la bouche. Je me relève et me penche sur la verge de mon premier partenaire en offrant ma croupe au second qui comprend vite la proposition et glisse une première fois son engin dans ma fente pour recherche le petit trou élastique qui ouvre sur mes entrailles avides. Content de son essai, il se retire pour prendre le même costume que ses partenaire et le voilà lui aussi nu comme un ver pour revenir se planter dans mon cul pendant que je m’affaire sur l’excroissance du premier. J’essaie de goûter en même temps aux deux sensations, la buccale et l’anale, je suis vraiment submergé de plaisir.
À un moment, je change de position, car rester pencher trop longtemps même sur un objet du désir agréable devient à la longue pénible pour mon dos qui doit supporter le poids. Je m’allonge donc sur mon partenaire remontant doucement des couilles à ses lèvres, baiser baveux, le second vient s’allonger sur moi toujours emboîté dans mon cul et me voilà pris en sandwich entre deux bonnes pâtes. Position sexuelle pleine de sensualité. Caresses, succions, pénétrations tout cela en un seul colis !
Je me glisse à nouveau vers le queue car j’aime beaucoup en avoir une dans la bouche, sans doute, les restes enfantins de mon suçage du pouce. Tous ces mouvements ont eu un effet puissant sur l’allongé qui ne peut retenir sa crème et me déverse dans une bouche avide tout son sperme. Satisfait d’avoir atteint ainsi la jouissance et après avoir eu sa queue nettoyée à fond sans aucune goutte de perdue, il se relève et nous laisse la pièce libre en nous demandant de rapporter la télécommande à l’accueil quand nous aurons fini nos ébats. Cet intermède a eu raison de la raideur du pénis de mon enculeur. Il me le met en bouche pour que je le réactive afin qu’il puisse à nouveau pénétrer mon fond intérieur. L’astiquage réussi, il peut reprendre place dans mon anus tout frétillant de retrouver pieu et sensation d’être possédé. Nous avons testé plusieurs positions, le canapé se prêtant allègrement à notre gymnastique sexuelle. Cela s’est terminé par une vidange total des burnes dans mes entrailles affamées. Et voilà une soirée réussie avec seulement deux queues qui sont, toutes les deux, allées à leur terme et m’ont nourri de leur substance généreuse. C’était un bon sandwich sexuel.

Dans ce sexe-shop, j’ai eu de bonnes sensations. J’ai longuement sucer un noir, qui tout en caressant mes fesses me répétait :  « si tu avais un préso, je te baiserai volontiers ». Mais comme je n’aime pas le caoutchouc dans mes fesses, j’ai continué à le sucer avec application sans répondre à sa demande regrettant qu’il n’ai pas le courage de m’enfoncer mon bueno suave dans ma chaire. J’avais ma joue qui se frottait avec délice contre son ventre d’une douceur remarquable, j’aime bien la couleur brune de sa queue, j’ai l’impression de déguster une sucette en chocolat. j’ai pris mon temps car même si ma démarche ultime était de récolter son sperme en bouche, je prenais plaisir a saliver sur ce sucre d’orge et caresser da douce peau. Mais il a fini par jouir dans ma bouche, sa crème était d’une saveur extraordinaire, légèrement sucrée, je n’en avait jamais goûté de telle, je l’ai gardé longuement en bouche, tellement elle était douce à mon palais. Finalement, je l’ai laissé glisser lentement au fond de ma gorge essayant de garder le plus longtemps possible cette sensation suave et sensuelle.

Une autre conquête : j’étais dans la salle de cinéma assis à côté d’un voisin qui semblait vouloir sortir sa queue. Mon regard, pas du tout discret, se portait sur son bas ventre dans l’attente d’une découverte intéressante. Il sortit enfin sa bite pour l’exposer et l’offrir à mes soins. Je me suis penché sur ses cuisses, mon cul à l’air libre. Son engin, long et effilé s’est raidit fortement, pas question de plier, sa main a évalué les rondeurs de mes fesses, je suçais avec délectation ce vit, l’imaginant déjà au plus profond de moi-même. D’un coup je me suis redressé, levé et assis sur mon voisin, sa queue entrant tout naturellement en moi. Il n’a pas pu réagir me disant seulement : « tu n’as pas de préservatif ? » Ignorant sa question, je montais et descendait avec jouissance sur cette colonne de Buren fièrement dressée entre ses jambes. Mais cette gymnastique érotique dérangeait les voisins, les fauteuils étant liés entre eux, les vibrations de l’un se répercutaient sur les autres aux désagréments des occupants. Sentant la grogne monter sans doute motivée par la jalousie ne n’être pas participant, mon enculeur m’a proposé de nous rendre dans sa cabine. En fait, il avait loué une cabine, mais ne voyant aucun visiteur venir lui tenir compagnie, il est parti à la pêche à la moule dans la salle de cinéma. Ayant ferrée sa victime il veut l’emmener dans sa cabine pour la déguster en toute quiétude. Il avait réservé la fameuse cabine à la banquette, il voulait donc déguster une salope sur canapé. Et j’étais cette victime plus que consentante. Il s’installe confortablement, les jambes bien écartées et le pieu toujours fièrement dressé. Je commence a genou devant lui, j’aime toujours bien honorer mes maîtres qui condescendent à se laisser servir par une lope. Je prends bien soin de cette épée acérée qui viendra perforer à nouveau mon arrière train. J’ai bien pris mon temps pour déguster ce bâton crémeux avant de l’enfouir dans mes entrailles gourmandes. Dans la salle de spectacle, je m’étais assis sur mon partenaire, offrant à son regard mon cul et mon dos, cette fois-ci, je change de stratégie et je monte face à lui et guide la tige sur ma rondelle et m’assieds sur cette dague effilée pour la parcourir de tout son long en m’élevant le plus possible à la limite de l’expulsion du dard. Je chevauche mon maître, et me fait ainsi baiser au rythme du trot, éprouvant à chaque entrée la sensuelle sensation de me faire posséder. Oui, il me baise à fond mais c’est moi qui mène la danse. Lui s’est emparé de ma queue habituellement molle quand je suis en situation passive, mais là elle a pris de la vigueur lui permettant une masturbation joussive et ce qui devait arriver arriva, j’ai inondé de ma sève nos deux ventres rapprochés et cette explosion a provoqué en lui l’orgasme, il m’a payé en retour et liquide tout son plaisir de m’avoir baisé. C’est un de mes souvenirs qui alimente mes masturbations solitaires à la main ou à l’aspirateur.
Je ne vais pas développer d’avantage mes aventures sexuelles dans ce sexe-shop. Il y en a eu plein, j’ai reçu beaucoup de remerciements et pas seulement en nature pour mes fellations professionnelles et quelques enculades furtives au détours d’un couloir sombre menant aux cabines.

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