Un petit pruneau au soleil - histoire érotique

UN PETIT PRUNEAU AU SOLEIL

Alors qu’avec mon épouse nous vivons dans un pays tropical, à de milliers de kilomètres de la métropole, nous nous faisons rapidement des amis et je fantasme quelquefois sur les jeunes femmes des couples avec lesquels nous sommes en relation. J’ai une brève relation avec une très jeune juive Iranienne d’à peine vingt ans, Natanéli, mais qui a pour diminutif Naty, alors que son mari Gad, la trentaine et de la même confession est Turc. Il a un magasin, genre 100 000 chemises et il me prête souvent sa Citroën DS 21. Sa jeune femme est un peu déséquilibrée (elle a un bébé trisomique, resté dans sa famille en France), et un jour, où nous sommes avec une bande de copains invités chez eux elle nous raconte, que souvent, dans leur appartement, elle se met complètement nue et elle demande à Gad de la poursuivre dans toutes les pièces de la maison pour enfin la rattraper et la plaquer au sol pour lui faire l’amour.

Naty est un joli petit pruneau à la peau très brune, comme sa chevelure d’ailleurs avec de grosses lèvres et un nez fin et busqué. Sa poitrine est menue comme toute sa personne d’ailleurs. Un jour où je viens d’emprunter la voiture de son mari, elle monte à côté de moi et me dit qu’elle m’accompagne à mon bureau car elle s’ennuie. Heureusement je suis seul ce jour là dans le bureau d’un vieil expert comptable, de nationalité Suisse, que j’assiste épisodiquement dans ces nombreux dossiers. Naty, me débite des propos quelques peu incohérents sur son couple, notamment sur son insatisfaction sexuelle. Tout à coup, elle se débarrasse en un tour de main de sa robe trop légère et elle me dit qu’elle veut que je lui fasse l’amour et surtout que je lèche son minou, ce qu’elle n’a jamais fait avec son mari pour des raisons obscures et religieuses.

Je suis très embarrassé car cette fille est incontestablement folle et pour avoir plaisir de la sauter, je risque des complications par la suite. Mais si je refuse, elle est capable d’ameuter le quartier et de dire que je veux la violer ; elle est assez timbrée pour cela. Aussi, je me décide à la prendre dans mes bras et à l’embrasser tout en caressant son corps de petite fille. Ses lèvres sont comme celles d’une fille turque que j’ai connu à Paris lorsque j’avais dix-huit ans. Comme beaucoup de femmes du Moyen-Orient, elle avait des grosses lèvres, ce qui ne me gênait pas au demeurant, mais elles étaient rigides et dures ce qui n’était pas très agréable pour embrasser langoureusement sa partenaire. Naty a les mêmes lèvres, mais sa langue agile explore tous les recoins de ma bouche se mélangeant à ma propre langue dans un combat fougueux.

J’avoue que je bande comme un âne et que je n’ai qu’une envie, c’est de fourrer ma bite dans son petit con qui j’en suis sûr doit être bouillant. Donc je bascule le corps de ma petite juive sur le sol et j’aventure ma tête entre ses cuisses. Sa vulve est complètement imberbe, comme si elle n’avait jamais eu aucun poil ce qui est impossible vu sa chevelure de jais. Le pubis se trouve complètement poli et doux, comme les filles de dix ou onze ans. Je lèche et embrasse la chair tendre faisant pousser de petits cris plaintif à mon petit pruneau ; j’espère qu’elle ne va pousser des cris stridents lors de ses orgasmes que j’espère bien nombreux. Lorsque je prends délicatement entre mes lèvres son clitoris, un très gros bourgeon brun, disproportionné pour le corps menu que j’ai entre mes bras, elle a un brusque spasme et ouvre encore plus le compas de ses cuisses ; elle halète comme un petit chien lorsque je l’amène à l’orgasme plusieurs fois de suite. J’adore son odeur et le goût de sa cyprine, mélangeant une saveur de miel à de la menthe poivrée. Je ne sais ce que cette Orientale utilise comme crème et comme parfum, mais c’est assez enivrant. Alors que je me redresse pour enfin pénétrer son joli con, elle refait surface et me dit clairement qu’elle ne veut pas tromper son mari. Je ne suis même pas étonné, cette fille est folle c’est indéniable ; malgré tout j’ai une envie terrible de la baiser et il va falloir que je la persuade qu’un petit coup de bite ne pourra lui faire du mal, au point où nous en sommes. Je mets bien une demi-heure à la persuader du bien de la chose, puis comme si nous n‘avions pas interrompu nos ébats, elle se recouche sur le sol en m’invitant à la copuler. Pas une seule fois elle n’a touché mon sexe, ni pour le masturber, ni pour une fellation que j’espérais. Mais pour l’instant, ma verge qui n’a pas débandée, se glisse entre les lèvres distendues de ma petite proie et s’enfonce délicieusement dans la gaine vaginale qui est bouillante et remplie de ses sécrétions intimes. Lorsque beaucoup plus tard je me vide en elle, elle un hoquet et s’évanouie.

Je pense d’abord qu’elle simule, mais lorsque je me rends compte qu’elle est raide, je panique. Je me vois avec un toubib et des flics m’interrogeant sur la présence de Naty au bureau et entièrement nue. Comment expliquer à Gad et à mon épouse ; tout me passe par la tête dans ces moments d’affolement. Après quelques minutes, Naty ouvre les yeux et demande où elle est, puis se voyant nue et dans un endroit inconnu elle me demande ce qui lui est arrivée ; ma panique ne disparaît pas, je suis fou d’avoir fait l’amour à cette cinglée et je me promets, si je m’en sors, de ne plus prendre des risques avec des filles de la sorte. Nous parlons de choses et d’autres durant presque une heure, mais apparemment, Naty refoule l’acte qu’elle vient d’accomplir et je comprends, un peu tard, qu’elle se permet beaucoup de choses en dehors de son couple, mais qu’elle se défend de coïter avec un autre homme que son époux ; en fait je n’aurais pas du insister et rester avec ma jambe de bois. À maintes occasions, Naty a voulu remettre ça, et elle ne s’est pas privée de me faire des propositions, presque en présence de son mari ou de ma femme sans qu’ils prennent cela trop au sérieux heureusement. Je me suis défilé en espérant qu’elle ne va pas crier sur les toits que je ne veux plus coucher avec elle ; c’est une vraie folle.