Un quartier accueillant, suite et fin
Récit érotique écrit par Wizks [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un quartier accueillant, suite et fin
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C’était pas une question, et j’ai pas pris la peine d’y réfléchir. Elle s’est retournée et est repartie travailler. A midi je me retrouve sur le parking de la mairie à l’attendre. Quand elle arrive, je remarque de suite que sa poitrine est libre sous son débardeur – ce n’était pas le cas ce matin ! Elle entre dans la voiture et je devine ses seins par transparence.
- Vu ton air béat j’en déduis que mon effet est réussi, minaude-t-elle.
Il y a du monde autour de nous, donc nous ne nous éternisons pas. Je démarre et me gare à 2 rues de chez moi, dans une impasse où il y a peu de vis-à-vis. On sort de la voiture, et on se cache encore un peu plus en se mettant derrière. A l’abri des regards, elle se colle contre moi et m’embrasse. Je sens sa poitrine contre moi, et mes mains ne résistent pas à se coller à ses fesses. On s’embrasse comme deux adolescents, pleins de désir. Son pantalon est assez lâche pour que je puisse passer mes doigts sous le tissu, et sentir qu’elle porte un string. Je joue avec, mes doigts parcourent ses fesses le long du tissu. J’ai envie de plus et elle le sent. Mais même en étant lâche je ne peux pas aller beaucoup plus loin tant qu’elle porte son pantalon. Je passe alors ma main sous son débardeur et me rue sur ses seins. Les sentir lourds dans ma main m’excite, son débardeur est relevé, et je découvre sa poitrine avec ses tétons tendus, que je prends à pleine bouche.
Sa respiration s’accélère, et sa main s’égare sur ma queue tendue à travers mon jean. Elle me masse, puis se retourne et cale ses fesses contre mon sexe qui n’en peut plus d’être prisonnier. Je commence à lui masser l’entrejambe, elle se tend, écarte une jambe pour me donner accès. Je sens ses lèvres ouvertes tellement le tissu de son pantalon est léger. Pendant que je lui masse l’entrejambe, mes hanches simulent un culbutage en douceur. Son souffle chaud contre mon cou, elle me mord doucement.
Puis elle se retourne brusquement et s’agenouille devant moi. Elle défait les boutons de mon jean et sort mon sexe déjà dur depuis un bon moment. Mon sexe tendu devant son visage, sa bouche gourmande… j’ai envie de de prendre les choses en main, mais je sens qu’elle préfère garder le contrôle. Elle prend mon sexe d’une main, et commence à me branler lentement. Sa langue se pose à la base de mon sexe, elle commence à me lécher la zone du pubis juste à côté de la base. Puis elle remonte lentement le long de mon sexe en me regardant droit dans les yeux, jusqu’à arriver au gland qu’elle gobe, puis suce avec gourmandise. Elle le gobe à nouveau avant de redescendre me sucer les couilles tout en me branlant. Je suis aux anges, je m’adosse au coffre de ma voiture. J’entends quelqu’un marcher dans la rue à côté, j’ai l’impression que le ou la marcheuse se dirige vers l’impasse où l’on est. Elle l’a entendu aussi mais ne s’arrête pas. Elle accélère le mouvement. Le marcheur, c’est un homme finalement, traverse la rue et passe devant l’impasse. Je me retourne et le voit à travers le parebrise : c’est son mari ! Il se dirige vers la mairie, sûrement pour aller à la rencontre de sa femme. Elle ne l’a pas vu. Lui ne nous voit pas non plus. Pendant les quelques secondes où je l’ai dans mon champ de vision, sa femme me gobe et sent que je ne vais pas tarder à jouir.
Je lui murmure un « je vais pas tarder… », me sentant au bord de l’explosion elle continue de me branler en me massant les couilles, et s’écarte quand dans un long jet elle me fait jouir. D’autres jets suivent pendant qu’elle continue de me branler. Elle se relève et m’embrasse.
On réajuste nos habits, et je lui dis alors que j’ai vu son mari passer. Elle s’inquiète quelques secondes et cherche comment elle va pouvoir expliquer pourquoi ils ne se sont pas croisés. Elle m’embrasse une dernière fois et part avec un air inquiet, et j’ai peur que ce soit la dernière fois qu’on ait profité de la situation.
Le lundi suivant, je m’étais convaincu que notre petit jeu avait pris fin. « Pas grave, c’était sympa… », mais je restais frustré de ne pas en avoir profité plus.
Le matin en sortant, je l’entends marcher dans sa rue. Je rentre vite fait le chien et sors pour voir si elle veut qu’on discute ou si je dois garder mes distances. Quand elle m’aperçoit elle me fait un discret signe de la main et vient à ma rencontre. On discute, et elle m’explique qu’elle n’a eu aucune question de la part de son mari, il n’était pas parti à sa rencontre, mais au bureau de tabac. Par contre elle a réalisé que ça pouvait aller loin, et que donc « dorénavant il faudra faire gaffe ! ». Donc on continue de jouer… super !
Elle fait alors un tour sur elle-même, me demandant ce que je pense de sa tenue. Elle porte une jupe légère qui lui arrive au genou, qui virevolte durant l’action, et un chemisier bleu légèrement déboutonné qui laisse voir la naissance de ses seins. Ses petits talons mettent en avant ses jolis pieds. Je lui dis à quel point elle est ravissante.
- C’est pas ça que je veux entendre, me dit-elle avec une fausse moue boudeuse. Je suis pas assez sexy ?
Elle déboutonne alors deux boutons de son chemisier pendant qu’on se remet à marcher.
- Et là ? demande-t-elle.
- Ça commence à aller mieux, fis-je, joueur.
On continue d’avance jusqu’à arriver à la ruelle de la dernière fois. Je la pousse alors dans la ruelle, et l’embrasse à l’abri des regards. Je soulève alors sa jupe, et m’attaque à son string, que je baisse, jusqu’à lui enlever.
- Là c’est déjà mieux, fis-je satisfait en cachant son string dans ma poche.
- Pervers !
Je souris, l’embrasse à nouveau, et repasse ma main sous sa jupe. Je remonte le long de sa cuisse pour lui malaxer une fesse. Puis n’étant plus patient du tout je passe devant, pour masser son sexe, déjà trempé. Je la masse, mon pouce s’attardant sur son clito, puis mes doigts rentrent, petit à petit, en elle. Ses gémissements et sa respiration qui s’accélère me font craquer. Elle qui disait qu’on devait faire gaffe, je suis en train de me dire que je vais la prendre ici, dans la rue.
Elle reprend ses esprits et voyant où ça mène, m’entraine un peu plus loin dans l’impasse. L’endroit n’est pas sexy, ni confortable, mais elle se met face à un mur, et relève sa jupe. Le message est clair ; je déboutonne mon jean, et me positionne derrière elle. Ma queue est déjà tendue, je décide de jouer un peu avec sa frustration. Je frotte mon gland contre sa chatte trempée, le positionnant entre ses lèvres, mais jamais plus loin. Pendant plusieurs secondes, voire minutes (le temps dans ces moments-là est flou), je joue avec elle ; elle bouge son bassin pour essayer de s’empaler, mais je résiste. Je lui claque alors une fesse, puis les lui malaxe. Son petit trou est offert devant moi, trop tentant… Je mouille mon gland, et le pose sur sa rondelle, puis guette une réaction des fois que ça ne soit pas son truc. Aucun mouvement de sa part me signalant de ne pas continuer, je pousse alors. Ça ne rentre pas de suite mais elle gémit et mon excitation augmente encore. Je mets plusieurs coups en poussant un peu plus à chaque fois, puis je change de trou, et m’enfonce lentement dans sa chatte. La surprise lui arrache un gémissement. Elle déboutonne elle-même les derniers boutons de son chemisier, et je malaxe ses seins toujours emprisonnés d’une main pendant que de l’autre je guide ma queue après quelques aller-retours dans sa chatte, de nouveau vers son petit trou. Je pousse un peu plus et le gland entre. Ce cul qui m’a tellement tenté pendant des semaines est enfin rempli par ma queue. Je l’encule de plus en plus, pendant que mes doigts massent sa chatte et la doigtent de temps en temps.
Dos à la rue, impossible de savoir si quelqu’un passe ou pas. Mais dans le feu de l’action on s’en moque ! Je sors un de ses seins lourds de son armature, et je joue avec en continuant mes coups de rein. Elle a dû mal à rester silencieuse ; le claquement sur ses fesses, les bruits, avec la fraîcheur du matin doivent s’entendre à plusieurs mètres à la ronde.
Je sens que je vais pas tarder à jouir, je lui chuchote à l’oreille. Je lui mordille le lobe et continue.
- En moi, dit-elle d’un ton saccadé. Vide toi en moi.
Je ne tiens pas plus longtemps, et éjacule de longs jets au fond dans un râle autant continue que possible. On reste collés l’un à l’autre quelques secondes, le temps de reprendre notre souffle, puis elle se retourne, ajuste son sein, et reboutonne son chemisier. Elle m’embrasse, au même moment où je crois voir un rideau bouger à l’étage d’une maison de l’impasse. Aurait-on été vus ? Reconnus ? J’espère que ça ne va pas lui créer de problèmes.
J’ai gardé son string, et elle est partie travailler, avec un peu de retard. Par la suite on a continué à se voir, puis j’ai déménagé. J’ai dû aller faire 2 passages en mairie, dont un qui a été mémorable.
C’était pas une question, et j’ai pas pris la peine d’y réfléchir. Elle s’est retournée et est repartie travailler. A midi je me retrouve sur le parking de la mairie à l’attendre. Quand elle arrive, je remarque de suite que sa poitrine est libre sous son débardeur – ce n’était pas le cas ce matin ! Elle entre dans la voiture et je devine ses seins par transparence.
- Vu ton air béat j’en déduis que mon effet est réussi, minaude-t-elle.
Il y a du monde autour de nous, donc nous ne nous éternisons pas. Je démarre et me gare à 2 rues de chez moi, dans une impasse où il y a peu de vis-à-vis. On sort de la voiture, et on se cache encore un peu plus en se mettant derrière. A l’abri des regards, elle se colle contre moi et m’embrasse. Je sens sa poitrine contre moi, et mes mains ne résistent pas à se coller à ses fesses. On s’embrasse comme deux adolescents, pleins de désir. Son pantalon est assez lâche pour que je puisse passer mes doigts sous le tissu, et sentir qu’elle porte un string. Je joue avec, mes doigts parcourent ses fesses le long du tissu. J’ai envie de plus et elle le sent. Mais même en étant lâche je ne peux pas aller beaucoup plus loin tant qu’elle porte son pantalon. Je passe alors ma main sous son débardeur et me rue sur ses seins. Les sentir lourds dans ma main m’excite, son débardeur est relevé, et je découvre sa poitrine avec ses tétons tendus, que je prends à pleine bouche.
Sa respiration s’accélère, et sa main s’égare sur ma queue tendue à travers mon jean. Elle me masse, puis se retourne et cale ses fesses contre mon sexe qui n’en peut plus d’être prisonnier. Je commence à lui masser l’entrejambe, elle se tend, écarte une jambe pour me donner accès. Je sens ses lèvres ouvertes tellement le tissu de son pantalon est léger. Pendant que je lui masse l’entrejambe, mes hanches simulent un culbutage en douceur. Son souffle chaud contre mon cou, elle me mord doucement.
Puis elle se retourne brusquement et s’agenouille devant moi. Elle défait les boutons de mon jean et sort mon sexe déjà dur depuis un bon moment. Mon sexe tendu devant son visage, sa bouche gourmande… j’ai envie de de prendre les choses en main, mais je sens qu’elle préfère garder le contrôle. Elle prend mon sexe d’une main, et commence à me branler lentement. Sa langue se pose à la base de mon sexe, elle commence à me lécher la zone du pubis juste à côté de la base. Puis elle remonte lentement le long de mon sexe en me regardant droit dans les yeux, jusqu’à arriver au gland qu’elle gobe, puis suce avec gourmandise. Elle le gobe à nouveau avant de redescendre me sucer les couilles tout en me branlant. Je suis aux anges, je m’adosse au coffre de ma voiture. J’entends quelqu’un marcher dans la rue à côté, j’ai l’impression que le ou la marcheuse se dirige vers l’impasse où l’on est. Elle l’a entendu aussi mais ne s’arrête pas. Elle accélère le mouvement. Le marcheur, c’est un homme finalement, traverse la rue et passe devant l’impasse. Je me retourne et le voit à travers le parebrise : c’est son mari ! Il se dirige vers la mairie, sûrement pour aller à la rencontre de sa femme. Elle ne l’a pas vu. Lui ne nous voit pas non plus. Pendant les quelques secondes où je l’ai dans mon champ de vision, sa femme me gobe et sent que je ne vais pas tarder à jouir.
Je lui murmure un « je vais pas tarder… », me sentant au bord de l’explosion elle continue de me branler en me massant les couilles, et s’écarte quand dans un long jet elle me fait jouir. D’autres jets suivent pendant qu’elle continue de me branler. Elle se relève et m’embrasse.
On réajuste nos habits, et je lui dis alors que j’ai vu son mari passer. Elle s’inquiète quelques secondes et cherche comment elle va pouvoir expliquer pourquoi ils ne se sont pas croisés. Elle m’embrasse une dernière fois et part avec un air inquiet, et j’ai peur que ce soit la dernière fois qu’on ait profité de la situation.
Le lundi suivant, je m’étais convaincu que notre petit jeu avait pris fin. « Pas grave, c’était sympa… », mais je restais frustré de ne pas en avoir profité plus.
Le matin en sortant, je l’entends marcher dans sa rue. Je rentre vite fait le chien et sors pour voir si elle veut qu’on discute ou si je dois garder mes distances. Quand elle m’aperçoit elle me fait un discret signe de la main et vient à ma rencontre. On discute, et elle m’explique qu’elle n’a eu aucune question de la part de son mari, il n’était pas parti à sa rencontre, mais au bureau de tabac. Par contre elle a réalisé que ça pouvait aller loin, et que donc « dorénavant il faudra faire gaffe ! ». Donc on continue de jouer… super !
Elle fait alors un tour sur elle-même, me demandant ce que je pense de sa tenue. Elle porte une jupe légère qui lui arrive au genou, qui virevolte durant l’action, et un chemisier bleu légèrement déboutonné qui laisse voir la naissance de ses seins. Ses petits talons mettent en avant ses jolis pieds. Je lui dis à quel point elle est ravissante.
- C’est pas ça que je veux entendre, me dit-elle avec une fausse moue boudeuse. Je suis pas assez sexy ?
Elle déboutonne alors deux boutons de son chemisier pendant qu’on se remet à marcher.
- Et là ? demande-t-elle.
- Ça commence à aller mieux, fis-je, joueur.
On continue d’avance jusqu’à arriver à la ruelle de la dernière fois. Je la pousse alors dans la ruelle, et l’embrasse à l’abri des regards. Je soulève alors sa jupe, et m’attaque à son string, que je baisse, jusqu’à lui enlever.
- Là c’est déjà mieux, fis-je satisfait en cachant son string dans ma poche.
- Pervers !
Je souris, l’embrasse à nouveau, et repasse ma main sous sa jupe. Je remonte le long de sa cuisse pour lui malaxer une fesse. Puis n’étant plus patient du tout je passe devant, pour masser son sexe, déjà trempé. Je la masse, mon pouce s’attardant sur son clito, puis mes doigts rentrent, petit à petit, en elle. Ses gémissements et sa respiration qui s’accélère me font craquer. Elle qui disait qu’on devait faire gaffe, je suis en train de me dire que je vais la prendre ici, dans la rue.
Elle reprend ses esprits et voyant où ça mène, m’entraine un peu plus loin dans l’impasse. L’endroit n’est pas sexy, ni confortable, mais elle se met face à un mur, et relève sa jupe. Le message est clair ; je déboutonne mon jean, et me positionne derrière elle. Ma queue est déjà tendue, je décide de jouer un peu avec sa frustration. Je frotte mon gland contre sa chatte trempée, le positionnant entre ses lèvres, mais jamais plus loin. Pendant plusieurs secondes, voire minutes (le temps dans ces moments-là est flou), je joue avec elle ; elle bouge son bassin pour essayer de s’empaler, mais je résiste. Je lui claque alors une fesse, puis les lui malaxe. Son petit trou est offert devant moi, trop tentant… Je mouille mon gland, et le pose sur sa rondelle, puis guette une réaction des fois que ça ne soit pas son truc. Aucun mouvement de sa part me signalant de ne pas continuer, je pousse alors. Ça ne rentre pas de suite mais elle gémit et mon excitation augmente encore. Je mets plusieurs coups en poussant un peu plus à chaque fois, puis je change de trou, et m’enfonce lentement dans sa chatte. La surprise lui arrache un gémissement. Elle déboutonne elle-même les derniers boutons de son chemisier, et je malaxe ses seins toujours emprisonnés d’une main pendant que de l’autre je guide ma queue après quelques aller-retours dans sa chatte, de nouveau vers son petit trou. Je pousse un peu plus et le gland entre. Ce cul qui m’a tellement tenté pendant des semaines est enfin rempli par ma queue. Je l’encule de plus en plus, pendant que mes doigts massent sa chatte et la doigtent de temps en temps.
Dos à la rue, impossible de savoir si quelqu’un passe ou pas. Mais dans le feu de l’action on s’en moque ! Je sors un de ses seins lourds de son armature, et je joue avec en continuant mes coups de rein. Elle a dû mal à rester silencieuse ; le claquement sur ses fesses, les bruits, avec la fraîcheur du matin doivent s’entendre à plusieurs mètres à la ronde.
Je sens que je vais pas tarder à jouir, je lui chuchote à l’oreille. Je lui mordille le lobe et continue.
- En moi, dit-elle d’un ton saccadé. Vide toi en moi.
Je ne tiens pas plus longtemps, et éjacule de longs jets au fond dans un râle autant continue que possible. On reste collés l’un à l’autre quelques secondes, le temps de reprendre notre souffle, puis elle se retourne, ajuste son sein, et reboutonne son chemisier. Elle m’embrasse, au même moment où je crois voir un rideau bouger à l’étage d’une maison de l’impasse. Aurait-on été vus ? Reconnus ? J’espère que ça ne va pas lui créer de problèmes.
J’ai gardé son string, et elle est partie travailler, avec un peu de retard. Par la suite on a continué à se voir, puis j’ai déménagé. J’ai dû aller faire 2 passages en mairie, dont un qui a été mémorable.
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