Vacances avec ma belle-soeur 2/2
Récit érotique écrit par Wizks [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances avec ma belle-soeur 2/2
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=29590
Le soir pendant le repas, toujours dans le jardin, j’étais (comme d’habitude) en face de Marie. Sophie était à ma droite, et Romain en face d’elle. Pendant le repas, j’ai plusieurs fois senti le pied de Marie me frôler sous la table. Jamais bien longtemps, de peur d’être surpris. Cette situation m’excitait de plus en plus. Après le repas, nous débarrassons. C’est mon tour de faire la vaisselle. Romain s’enferme dans leur chambre pour lire, Sophie occupe la salle de bains. Marie me suit à la cuisine. Elle porte toujours sa mini-jupe rose. Je vide la vaisselle dans l’évier, pendant qu’elle range les condiments dans le frigo. Elle me vraiment longtemps à ranger… Je ne la quitte pas des yeux, elle est à quelques centimètres de moi. Ses hanches balancent légèrement, elle fredonne… Je n’y tiens plus, ma main se glisse sous sa jupe. Elle a un sursaut de surprise, puis se remet à fredonner tout en se cabrant un peu plus. Ma main se dirige vers la ficelle du string, je bande à mort… mes doigts caressent son sexe à travers le tissu, qui est déjà pas mal humide. Mon pouce se glisse entre ses fesses, et ma main gauche se retrouve sur son ventre, et remonte sous son débardeur.
On entend alors la porte de la salle de bains, mes mains retournent à faire la vaisselle et Marie rejoint Romain dans leur chambre. J’ai une trique d’enfer et une envie de la baiser comme pas possible, et je sens bien que c’est réciproque, mais ça ne sera visiblement pas pour ce soir.
Plus tard dans la nuit, je me demande si elle est retournée lire. Je vais donc aux toilettes, en espérant la voir, mais le salon est vide. Je vais me laver les mains dans la salle de bains quand Marie entre. Vêtue du même débardeur trop large que la dernière fois.
- J’ai entendu la chasse d’eau, j’espérais bien que c’était toi, chuchote-t-elle.
Je n’ai pas le temps de répondre, qu’elle est à genoux devant moi, et sort mon sexe de mon caleçon. Je ne mets pas longtemps à bander, voir la petite Marie me pomper comme une affamée m’excite au plus haut point.
- On doit faire vite, j’ai pas envie d’être surprise !
Elle se retourne, se penche en prenant appui sur la baignoire. Le message est clair. Sans plus de préliminaires je m’enfonce dans sa petite chatte toute trempée. Je contemple son cul pendant que j’enchaine les va et vients, mon pouce appuie doucement sur sa rondelle, qui n’offre pas beaucoup de résistance.
- Vas-y, je veux que tu te vides dans mon cul, gémit-elle.
La situation est tellement excitante, je manque de jouir sur le coup. Je sors, frotte ma queue contre son petit trou, et c’est elle qui s’empale direct, se mordant la lèvre inférieure. Une fois le gland entré, je vais de plus en plus profond. Ça ne dure pas longtemps, et au moment où je me vide au fond d’elle, je la sens prise de tremblements et la serrer les dents pour ne pas faire de bruit.
Je retourne vite dans ma chambre, et l’entend quelques minutes après faire de même. Sophie dort à poings fermés.
Le lendemain, pendant le petit déjeuner, Marie remet ça avec son pied sous la table. Je ne suis pas très à l’aise car Sophie à sa main sur ma cuisse, et le pied se Marie remonte parfois le long de mon tibia jusqu’au genou.
Le programme de cette journée avec Sophie : visite d’un village fortifié. Marie et Romain semblent intéressés et décident de venir avec nous. Ce jour-là, Sophie porte une robe légère. Durant la visite elle s’est amusée à me provoquer quelques fois, et a éveillé mon appétit sexuel. A tel point qu’on a réussi à s’éclipser un moment, pendant lequel j’ai pu faire disparaître son string et où on a pu profiter des vestiges du village à notre façon.
C’est Romain qui a trouvé notre planque, il a failli nous surprendre en plein coït ! Faisant mine d’être à peine arrivés, Sophie a glissé son string dans ma poche discrètement, puis on est sorti.
Ce soir-là, une fois rentrés, je buvais une bière devant la piscine pendant que Sophie s’occupait du repas. Marie m’a rejoint, visiblement blasée. Elle m’a dit que ça faisait longtemps que Romain ne la touchait plus, et qu’elle espérait que de venir ici entre couples ça lui redonnerait envie, mais ça ne se passait pas comme prévu. Ne voulant pas trop donner mon avis, je suis resté évasif. Pour moi il était clair qu’elle n’avait qu’à le plaquer et en trouver un mieux… Dans la position où j’étais, ma poche était visible, et surtout son contenu. Je n’avais pas fait attention, mais Marie a vu le string de Sophie, et m’a charrié un peu. C’est alors qu’elle a enlevé le sien et me l’a jeté. J’avais peur d’être surpris, je lui ai vite rendu, lui disant que c’était pas le moment.
- Je m’en fous, répondit-elle. Je veux baiser.
Elle a repris son string, mais ne l’a pas remis. Dans la soirée, après le repas, nous avions décidé de regarder un film dans le salon. Il y avait un grand canapé, et deux petits fauteuil. Romain était affalé dans un fauteuil. Sophie et Marie se partageaient le canapé. De là où j’étais, j’avais pleine vue sur leurs entre-cuisses. Ni l’une ni l’autre n’avait remis de string, j’étais comme un fou. Je suis allé chercher à boire, en demandant aux autres s’ils voulaient quelque chose. Une bière chacun… Le temps de les sortir, Marie s’était décidée à ranger le linge, tout en regardant la tv. Elle avait posé le linge sur la table du salon, qui était dos au canapé et aux fauteuils. Quand je suis arrivé derrière elle, elle avait remonté sa jupe, j’avais vue sur son joli cul. En passant avec les deux premières bières, que je donnais à Sophie et Romain, je profitais rapidement d’une petite caresse. Au retour, alors que les deux autres regardaient la tv, j’ai sorti ma queue. Je voulais son cul, il ne m’a pas fallu longtemps pour bander. Je l’ai pénétrée pendant qu’elle faisait mine de plier le linge. Elle était trempée. Quelques coups juste pour l’excitation, je suis retourné à ma place avec ma bière ensuite, pour ne pas éveiller les soupçons.
Une fois le film finit, je me proposais pour aider Marie à finir de plier le linge. Romain et Sophie, chacun dans le chambre respectives… Nous avons plié le linge en quatrième vitesse. On s’est retrouvés dans le salon pour plus de discrétion. Au moindre bruit on avait prévu de se mettre chacun dans un fauteuil et de faire croire qu’on discutait simplement. J’ai retiré son soutif, et je lui ai bouffé les seins, j’en pouvais plus tellement j’en avais envie. Je la voulais, je la désirais tellement, que j’aurai pu la prendre n’importe où, je pense que même si Sophie était arrivée à ce moment-là je n’aurai pas pu m’arrêter. Nos souffles rapides, jauges de notre excitation, devenaient bruyants. Alors que mes doigts fouillaient sa chatte, elle s’est dégagée et m’a fait comprendre qu’elle voulait ma queue. Je l’ai pénétrée d’un coup, lui coupant le souffle, elle a su éviter de gémir. J’étais tellement excité que je l’ai baisée en vitesse. J’ai senti que j’allais venir, je lui ai fait comprendre. Elle s’est ruée sur ma queue et m’a sucé jusqu’à ce que j’éjacule au fond de sa gorge. C’était irréaliste. Elle m’a vidé, et n’a laissé aucune goutte de sperme. Elle s’est relevée et d’un clin d’œil m’a chuchoté :- Aucune preuve !
J’ai rejoint Sophie avant qu’elle ne se pose des questions, elle était chaude comme la braise. Elle voulait qu’on aille reprendre un bain de minuit, ce qu’on a fait. Je n’ai pas vu les rideaux bouger pendant qu’on batifolait dans la piscine.
Le lendemain, dernière journée de vacances dans ce lieu tout à fait sympa. On passe la journée ensemble, même Romain a l’air d’en profiter. Les deux sœurs papotent et rigolent toute la journée. On finit la matinée à la plage, où les filles décident de bronzer topless. Ce n’est pas au goût de Romain, qui part en faisant la gueule. Marie semble s’en moquer totalement, on reste tous les 3 et je fais de mon mieux pour rester calme.
Le midi on avait prévu de se faire un dernier resto tous ensemble, avant le grand départ. Au resto, je suis assis en face de Sophie, et Marie est à ma droite. Je suis contre le mur, suffisamment caché à la vue des autres clients pour que Marie décide de jouer avec ma queue. Plusieurs fois, quand la situation le permet, elle me masse à travers mon short, et deux ou trois fois elle a eu l’audace de passer dessous le tissu pour me branler un peu.
Le repas se passe très bien ; avant le dessert je décide d’aller aux toilettes. Les toilettes sont après un petit couloir, où deux pièces séparent les hommes des femmes. Marie m’attend quand je sors des toilettes des hommes et me fait entrer dans celles des femmes.
- Une dernière petite baise avant qu’on se sépare, me dit-elle simplement.
Elle enlève son haut, libère ses seins, puis enlève son short. Je me décide enfin à bouger et fini par lui enlever sa dernière petite pièce de tissus. Elle se met à genoux devant moi et commence à me sucer. Il faut faire vite… Mais sa bouche, et cette situation, m’excitent rapidement. Elle est déjà trempée. Elle se retourne, pose une jambe sur l’évier et s’appuie contre le mur. Je mouille mon gland avec sa chatte trempée, puis m’enfonce lentement en elle. Grâce au miroir je vois la tête qu’elle fait, elle se mordille la lèvre tout en se pinçant un téton. Je prends l’autre sein en main, et continue de la culbuter. Vite, et fort, son souffle et ses gémissements contenus m’excitent encore plus. Je sors de sa chatte et pousse mon gland contre son petit trou, qui n’offre que peu de résistance. Je l’encule avec force, quand on entend la porte des toilettes pour hommes s’ouvrir. Je continue, tant pis pour le bruit, j’espère juste que ce n’est pas Romain. Je la sens se contracter, la situation l’excite encore plus apparemment. Je ne tiens plus, je finis par jouir en elle alors que sa chatte inonde le sol. Court mais intense, ça aura été le cas de chacune de nos baises ici.
On reprend nos esprits, elle se rhabille. Elle m’ouvre la porte et vérifie que personne n’est là. Je sors rapidement et vais prendre un peu l’air dehors. Quand je reviens à table, Sophie est seule. Elle me demande ce qui m’a pris autant de temps, je lui dis alors que je me sentais pas très bien et que j’ai pris un peu l’air. L’absence de Romain m’inquiète un peu, c’est sûrement lui qu’on a entendu plus tôt… Mais il n’y a pas eu de réactions de sa part.
Nous sommes rentrés chacun chez nous après ça ; Marie s’est séparée de Romain quelques semaines après, et s’est trouvé un nouveau mec, que je n’apprécie toujours pas…mais elle a l’air de mieux s’amuser avec !
Le soir pendant le repas, toujours dans le jardin, j’étais (comme d’habitude) en face de Marie. Sophie était à ma droite, et Romain en face d’elle. Pendant le repas, j’ai plusieurs fois senti le pied de Marie me frôler sous la table. Jamais bien longtemps, de peur d’être surpris. Cette situation m’excitait de plus en plus. Après le repas, nous débarrassons. C’est mon tour de faire la vaisselle. Romain s’enferme dans leur chambre pour lire, Sophie occupe la salle de bains. Marie me suit à la cuisine. Elle porte toujours sa mini-jupe rose. Je vide la vaisselle dans l’évier, pendant qu’elle range les condiments dans le frigo. Elle me vraiment longtemps à ranger… Je ne la quitte pas des yeux, elle est à quelques centimètres de moi. Ses hanches balancent légèrement, elle fredonne… Je n’y tiens plus, ma main se glisse sous sa jupe. Elle a un sursaut de surprise, puis se remet à fredonner tout en se cabrant un peu plus. Ma main se dirige vers la ficelle du string, je bande à mort… mes doigts caressent son sexe à travers le tissu, qui est déjà pas mal humide. Mon pouce se glisse entre ses fesses, et ma main gauche se retrouve sur son ventre, et remonte sous son débardeur.
On entend alors la porte de la salle de bains, mes mains retournent à faire la vaisselle et Marie rejoint Romain dans leur chambre. J’ai une trique d’enfer et une envie de la baiser comme pas possible, et je sens bien que c’est réciproque, mais ça ne sera visiblement pas pour ce soir.
Plus tard dans la nuit, je me demande si elle est retournée lire. Je vais donc aux toilettes, en espérant la voir, mais le salon est vide. Je vais me laver les mains dans la salle de bains quand Marie entre. Vêtue du même débardeur trop large que la dernière fois.
- J’ai entendu la chasse d’eau, j’espérais bien que c’était toi, chuchote-t-elle.
Je n’ai pas le temps de répondre, qu’elle est à genoux devant moi, et sort mon sexe de mon caleçon. Je ne mets pas longtemps à bander, voir la petite Marie me pomper comme une affamée m’excite au plus haut point.
- On doit faire vite, j’ai pas envie d’être surprise !
Elle se retourne, se penche en prenant appui sur la baignoire. Le message est clair. Sans plus de préliminaires je m’enfonce dans sa petite chatte toute trempée. Je contemple son cul pendant que j’enchaine les va et vients, mon pouce appuie doucement sur sa rondelle, qui n’offre pas beaucoup de résistance.
- Vas-y, je veux que tu te vides dans mon cul, gémit-elle.
La situation est tellement excitante, je manque de jouir sur le coup. Je sors, frotte ma queue contre son petit trou, et c’est elle qui s’empale direct, se mordant la lèvre inférieure. Une fois le gland entré, je vais de plus en plus profond. Ça ne dure pas longtemps, et au moment où je me vide au fond d’elle, je la sens prise de tremblements et la serrer les dents pour ne pas faire de bruit.
Je retourne vite dans ma chambre, et l’entend quelques minutes après faire de même. Sophie dort à poings fermés.
Le lendemain, pendant le petit déjeuner, Marie remet ça avec son pied sous la table. Je ne suis pas très à l’aise car Sophie à sa main sur ma cuisse, et le pied se Marie remonte parfois le long de mon tibia jusqu’au genou.
Le programme de cette journée avec Sophie : visite d’un village fortifié. Marie et Romain semblent intéressés et décident de venir avec nous. Ce jour-là, Sophie porte une robe légère. Durant la visite elle s’est amusée à me provoquer quelques fois, et a éveillé mon appétit sexuel. A tel point qu’on a réussi à s’éclipser un moment, pendant lequel j’ai pu faire disparaître son string et où on a pu profiter des vestiges du village à notre façon.
C’est Romain qui a trouvé notre planque, il a failli nous surprendre en plein coït ! Faisant mine d’être à peine arrivés, Sophie a glissé son string dans ma poche discrètement, puis on est sorti.
Ce soir-là, une fois rentrés, je buvais une bière devant la piscine pendant que Sophie s’occupait du repas. Marie m’a rejoint, visiblement blasée. Elle m’a dit que ça faisait longtemps que Romain ne la touchait plus, et qu’elle espérait que de venir ici entre couples ça lui redonnerait envie, mais ça ne se passait pas comme prévu. Ne voulant pas trop donner mon avis, je suis resté évasif. Pour moi il était clair qu’elle n’avait qu’à le plaquer et en trouver un mieux… Dans la position où j’étais, ma poche était visible, et surtout son contenu. Je n’avais pas fait attention, mais Marie a vu le string de Sophie, et m’a charrié un peu. C’est alors qu’elle a enlevé le sien et me l’a jeté. J’avais peur d’être surpris, je lui ai vite rendu, lui disant que c’était pas le moment.
- Je m’en fous, répondit-elle. Je veux baiser.
Elle a repris son string, mais ne l’a pas remis. Dans la soirée, après le repas, nous avions décidé de regarder un film dans le salon. Il y avait un grand canapé, et deux petits fauteuil. Romain était affalé dans un fauteuil. Sophie et Marie se partageaient le canapé. De là où j’étais, j’avais pleine vue sur leurs entre-cuisses. Ni l’une ni l’autre n’avait remis de string, j’étais comme un fou. Je suis allé chercher à boire, en demandant aux autres s’ils voulaient quelque chose. Une bière chacun… Le temps de les sortir, Marie s’était décidée à ranger le linge, tout en regardant la tv. Elle avait posé le linge sur la table du salon, qui était dos au canapé et aux fauteuils. Quand je suis arrivé derrière elle, elle avait remonté sa jupe, j’avais vue sur son joli cul. En passant avec les deux premières bières, que je donnais à Sophie et Romain, je profitais rapidement d’une petite caresse. Au retour, alors que les deux autres regardaient la tv, j’ai sorti ma queue. Je voulais son cul, il ne m’a pas fallu longtemps pour bander. Je l’ai pénétrée pendant qu’elle faisait mine de plier le linge. Elle était trempée. Quelques coups juste pour l’excitation, je suis retourné à ma place avec ma bière ensuite, pour ne pas éveiller les soupçons.
Une fois le film finit, je me proposais pour aider Marie à finir de plier le linge. Romain et Sophie, chacun dans le chambre respectives… Nous avons plié le linge en quatrième vitesse. On s’est retrouvés dans le salon pour plus de discrétion. Au moindre bruit on avait prévu de se mettre chacun dans un fauteuil et de faire croire qu’on discutait simplement. J’ai retiré son soutif, et je lui ai bouffé les seins, j’en pouvais plus tellement j’en avais envie. Je la voulais, je la désirais tellement, que j’aurai pu la prendre n’importe où, je pense que même si Sophie était arrivée à ce moment-là je n’aurai pas pu m’arrêter. Nos souffles rapides, jauges de notre excitation, devenaient bruyants. Alors que mes doigts fouillaient sa chatte, elle s’est dégagée et m’a fait comprendre qu’elle voulait ma queue. Je l’ai pénétrée d’un coup, lui coupant le souffle, elle a su éviter de gémir. J’étais tellement excité que je l’ai baisée en vitesse. J’ai senti que j’allais venir, je lui ai fait comprendre. Elle s’est ruée sur ma queue et m’a sucé jusqu’à ce que j’éjacule au fond de sa gorge. C’était irréaliste. Elle m’a vidé, et n’a laissé aucune goutte de sperme. Elle s’est relevée et d’un clin d’œil m’a chuchoté :- Aucune preuve !
J’ai rejoint Sophie avant qu’elle ne se pose des questions, elle était chaude comme la braise. Elle voulait qu’on aille reprendre un bain de minuit, ce qu’on a fait. Je n’ai pas vu les rideaux bouger pendant qu’on batifolait dans la piscine.
Le lendemain, dernière journée de vacances dans ce lieu tout à fait sympa. On passe la journée ensemble, même Romain a l’air d’en profiter. Les deux sœurs papotent et rigolent toute la journée. On finit la matinée à la plage, où les filles décident de bronzer topless. Ce n’est pas au goût de Romain, qui part en faisant la gueule. Marie semble s’en moquer totalement, on reste tous les 3 et je fais de mon mieux pour rester calme.
Le midi on avait prévu de se faire un dernier resto tous ensemble, avant le grand départ. Au resto, je suis assis en face de Sophie, et Marie est à ma droite. Je suis contre le mur, suffisamment caché à la vue des autres clients pour que Marie décide de jouer avec ma queue. Plusieurs fois, quand la situation le permet, elle me masse à travers mon short, et deux ou trois fois elle a eu l’audace de passer dessous le tissu pour me branler un peu.
Le repas se passe très bien ; avant le dessert je décide d’aller aux toilettes. Les toilettes sont après un petit couloir, où deux pièces séparent les hommes des femmes. Marie m’attend quand je sors des toilettes des hommes et me fait entrer dans celles des femmes.
- Une dernière petite baise avant qu’on se sépare, me dit-elle simplement.
Elle enlève son haut, libère ses seins, puis enlève son short. Je me décide enfin à bouger et fini par lui enlever sa dernière petite pièce de tissus. Elle se met à genoux devant moi et commence à me sucer. Il faut faire vite… Mais sa bouche, et cette situation, m’excitent rapidement. Elle est déjà trempée. Elle se retourne, pose une jambe sur l’évier et s’appuie contre le mur. Je mouille mon gland avec sa chatte trempée, puis m’enfonce lentement en elle. Grâce au miroir je vois la tête qu’elle fait, elle se mordille la lèvre tout en se pinçant un téton. Je prends l’autre sein en main, et continue de la culbuter. Vite, et fort, son souffle et ses gémissements contenus m’excitent encore plus. Je sors de sa chatte et pousse mon gland contre son petit trou, qui n’offre que peu de résistance. Je l’encule avec force, quand on entend la porte des toilettes pour hommes s’ouvrir. Je continue, tant pis pour le bruit, j’espère juste que ce n’est pas Romain. Je la sens se contracter, la situation l’excite encore plus apparemment. Je ne tiens plus, je finis par jouir en elle alors que sa chatte inonde le sol. Court mais intense, ça aura été le cas de chacune de nos baises ici.
On reprend nos esprits, elle se rhabille. Elle m’ouvre la porte et vérifie que personne n’est là. Je sors rapidement et vais prendre un peu l’air dehors. Quand je reviens à table, Sophie est seule. Elle me demande ce qui m’a pris autant de temps, je lui dis alors que je me sentais pas très bien et que j’ai pris un peu l’air. L’absence de Romain m’inquiète un peu, c’est sûrement lui qu’on a entendu plus tôt… Mais il n’y a pas eu de réactions de sa part.
Nous sommes rentrés chacun chez nous après ça ; Marie s’est séparée de Romain quelques semaines après, et s’est trouvé un nouveau mec, que je n’apprécie toujours pas…mais elle a l’air de mieux s’amuser avec !
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