Un trio organisé - Partie 3 : Au domicile
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Ginger ont reçu un total de 314 769 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2011 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 9 189 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un trio organisé - Partie 3 : Au domicile
Mathilde est assise dans la salon et regarde la télévision.
Florian fait entrer Nicole puis la suit et s'adresse à Mathilde sans s'approcher d'elle pour éviter l'embarras de ne pas savoir s'il faut simuler des effusions ... ni comment réagirait Mathilde ; lui ferait-elle l'affront d'une rebuffade devant son assistante ? Ce ne serait pas impossible, il préfère s'abstenir d'en prendre le risque.
- Mathilde, je te présente Nicole, dont je t'ai parlé tout-à-l'heure au téléphone. Il évite également d'insister sur le rôle de cette dernière, ne sachant pas à quelle sauce il va être mangé ;
- Les risques d'être ridiculisé devant Mathilde en seront diminués, pense-t-il.
- Nicole, voici mon épouse.
Mathilde éteint la télévision à l'aide de sa télécommande, se lève ; Nicole et elle se saluent poliment ; Mathilde est sur sa réserve, Nicole tous sourires.
- Voulez-vous boire quelque chose, lui demande-t-elle ?
- Volontiers.
Se tournant vers son mari, Mathilde lui passe la main.
- Fais le service, veux-tu ?
Florian interroge Nicole du regard, mais elle fait semblant de ne rien remarquer. Elle veut absolument obliger Florian à s'adresser à elle - et donc à la vouvoyer clairement devant son épouse. Il a réussi à l'éviter lors des présentations, elle ne va pas l'aider à s'en tirer une seconde fois !
- Que voulez-vous boire Nicole ?
Enfin elle a obtenu ce qu'elle voulait ! Elle exulte. Elle ne va pas l'appeler "grosse bite" tout de suite, mais le tutoiement du tac-au-tac lui paraît à propos.
- Ecoute, donne-moi un porto si tu en as.
Florian a compris qu'elle a attaqué sans tardé et il sait qu'il ne peut pas se permettre de la tutoyer en retour. Par conséquent sa femme est déjà alertée ; elle a aussitôt compris le jeu qui est en train de se jouer et qui le mène.
Pendant qu'il sert les boissons, Mathilde s'adresse à Nicole :
- Vous êtes l'assistante de mon mari, c'est bien cela ?
- Oui, notre directrice m'a donné le rôle d'assister votre mari.
Elle tient bien à montrer qu'elle maîtrise parfaitement la langue française et sait faire la distinction entre les divers registres de langage ... au cas où la pimbèche se méprendrait du fait de la couleur de sa peau.
- Je constate que vous êtes déjà intimes, tous les deux.
- Cela dépend de ce que vous entendez par là, Madame.
Nicole montre ainsi qu'elle ne sympathise pas si facilement et sait conserver ses distances.
- D'ailleurs votre époux va dans un instant vous raconter sa première journée dans ses moindres détails.
Florian manque de s'étrangler. Elles ne lui ont quand même pas tendu un piège pour qu'il soit obligé d'avouer à sa femme comment il a dû s'humilier devant sa directrice ainsi que quatre autres femmes !!!
Mathilde qui voit là l'occasion d'en savoir plus et qui s'aperçoit de la gêne de son mari saute sur l'occasion.
- Voilà qui m'intéresse au plus haut point. Raconte-moi cela ... si cela ne dérange pas ton assistante.
- Pas du tout, Madame, au contraire.
Nicole regarde Florian droit dans les yeux, ce que Mathlde ne manque pas de noter.
- Il a dû se passer quelque chose entre eux deux, se dit-elle. Mais pourquoi donc tient-elle tant à ce que je le sache ?
Mathilde doit insister un peu, mais le regard noir de Nicole aidant, Florian se lance, s'attarde sur l'attente à la réception, les formulaires à remplir. Il est bien obligé de décrire le bureau dans lequel il se trouve car Mathilde le questionne, alertée à chaque fois qu'il fait l'impasse sur des détails importants alors qu'il a insisté sur de plus futiles. Elle est surprise que Florian n'ait pas un bureau à lui et lui en demande la raison.
- C'est parce que je dirige ce bureau, j'ai la responsabilité de ces quatre personnes.
Mathilde ne lâche pas Nicole d'un oeil, elle note que plus Florian avance dans ses descriptions, plus elle jubile intérieurement. Elle se garde de lui demander confirmation de ce que lui raconte son époux, mais son intuition lui dit que si ce dernier lui ment, ne serait-ce que par omission, cette prétendue assistante saura le lui faire savoir. De toutes façons, une chose est déjà claire, c'est qu'au lieu d'être auditeur, le voilà secrétaire en chef ... et encore !
Florian est obligé d'en venir à son entrée dans le bureau de la directrice et, sous le regard vigilant de Nicole, de décrire le fiasco qui y est associé. Nicole n'a pas assisté à la première partie, il pourrait donc omettre de la décrire ; mais d'une part ce n'est pas le pire qui lui soit arrivé, d'autre part qui lui dit que la directrice ne l'en a pas informée ? Sans compter que cela montre le caractère et l'état d'esprit de la directrice et, espère-t-il, aidera à faire passer ce qu'il va devoir raconter ensuite.
Mathilde, loin de soutenir son mari, a au contraire un regard méprisant pour lui. Elle se demande de plus en plus ce que cette Nicole vient faire ici ce soir, et pourquoi elle vient le forcer à venir s'humilier devant elle.
La beauté de Nicole, son assurance, sa provocation au travers son chemisier largement ouvert qui montre la moitié de sa poitrine opulente tenant sans soutien-gorge, ainsi que son tutoiement ostensible envers son mari qui la vouvoye en retour ne lui inspirent pas de sympathie. Elle la flanquerait bien à la porte sans ménagement. D'un autre côté, ce qui a eu lieu au cours de la journée excite sa curiosité, à la fois féminine et de conjointe ; elle sent que ce qui s'est passé est très loin d'être ordinaire, qu'en l'absence de Nicole jamais Florian ne lui en aurait parlé, et que si l'abcès n'est pas crevé leur relation est définitivement perdue.
Elle se lève pour remplir les verres et invite Florian du regard à continuer.
D'un air désabusé, celui-ci poursuit son récit. Après tout, entre Mathilde et lui, il n'y a plus rien, ni sexualité, ni même tendresse, ni respect ; son amour-propre n'a pas plus sa place ici qu'il ne l'avait ca matin lorsqu'il subissait les affronts de ces femmes. Et tant qu'à faire, encore moins de considération, alors qu'autant que cela desserve cette salope de Nicole !
Il se met donc à tout déballer sans omettre le moindre détail, comment sa directrice l'a obligé à se déshabiller, les gifles reçues pour qu'il enlève jusqu'à son slip, et surtout pas les insultes de Nicole alors que la directrice n'en demandait pas tant et ne se le permettait pas elle-même, ni les poses qu'elle l'a contraint à prendre de son propre chef et toutes les photographies qu'elle a ainsi prises de lui. Il raconte la venue de l'assistante de la directrice que Nicole n'a pas vue, presque par masochisme à moins que ce ne soit pour montrer à cette dernière qu'elle n'est pas la seule à avoir pu jouir de ses humiliations, l'annonce de la répartition des tâches alors que lui restait nu debout devant les deux femmes vautrées dans leur fauteuil, l'obligation de sortir nu du bureau de la directrice avec ses habits sous le bras pour se retrouver dans celui qu'il partage avec les quatre autres femmes. Il racontre comment il a essayé de faire son travail en questionnant tour à tour Martine et les deux secrétaires, accompagné de Nicole, le questionnement de l'une des jeunes secrétaires et sa réponse. Il raconte qu'alors qu'il demandait à Nicole de résumer tout cela, celle-ci lui a fait signe de s'approcher comme si c'était elle le chef, qu'il a finalement dû s'exécuter, que même entre eux deux elle a continué à le tutoyer et le traiter de "grosse bite" et de "connard".
Il raconte aussi sous quelles menaces elle l'a obligé à lui téléphoner - à elle Mathilde - pour s'assurer de sa présence ce soir, sans que lui - Florian - en connaisse le but jusqu'au dernier moment.
Mathilde encaisse ; elle se trouve presque dans l'état d'un boxeur atteint d'un uppercut. Elle se lève, prête à parler.
Florian se souvient d'autres détails. Il ajoute comment à la sortie du métro Nicole s'est déshabillée pour enlever son soutien-gorge en l'obligeant à tenir sa veste. Cela, Nicole ne l'avait pas prévu, elle tente de lui couper la parole, mais Mathilde veut entendre son mari jusqu'au bout, et tout particulièrement ce que Nicole semble ne pas vouloir qu'il raconte ; au point où elle en est ! Florian répète aussi mot pour mot la dernière menace de Nicole avant qu'ils n'entrent. Ces deux dernières révélations sont un peu sa vengeance envers Nicole, bien dérisoire en apparence, mais ô combien efficace. Florian n'aurait jamais cru être capable de raconter tout cela à sa femme, encore moins qu'elle l'écoute jusqu'au bout sans l'insulter ou le mettre à la porte.
Mathilde, qui avait secrètement espéré que ce nouveau travail lui permettrait de retrouver son époux - même si ce n'était pas pour filer avec lui le parfait amour car il y a longtemps qu'elle avait compris que sa liberté de femme lui importait beaucoup plus que les sentiments et ne voyait dans le couple qu'un confort matériel et une image à donner à l'extérieur - et qu'au bout de quelques semaines, voire quelques mois leurs "divergences" et leurs incompréhensions s'atténueraient, comprend qu'elle ne pourra jamais vivre avec quelqu'un qui est descendu "si bas", quelqu'un capable de subir de telles humiliations.
Lorsqu'elle l'avait délibérément provoqué en s'arrangeant pour qu'il la trouve avec un de ses amants en pleine action à leur domicile, au moins il avait réagi. Sûrement plus violemment qu'elle ne l'avait prévu, et cela n'avait pas eu les effets escomptés, mais au moins pensait-elle son mari s'était comporté "en homme".
Il n'y avait même pas de la jalousie en elle, il y avait longtemps qu'elle n'aimait plus son mari, d'ailleurs l'avait-elle vraiment aimé ? Il y avait longtemps qu'ils n'avaient plus aucune relation sexuelle.
Mais comment pourrait-elle affronter chaque jour l'idée qu'il était une serpillère sur laquelle n'importe quelle femme, y compris des secrétaires pouvaient s'essuyer !
Pire, puisque ces salopes avaient pris des photos, elles allaient à coup sûr s'en servir tôt ou tard. A ce moment-là elle ne voulait pas être encore officiellement son épouse, s'il en était encore temps.
Il l'avait flanquée à la porte, entièrement nue une fois, elle avait eu l'idée d'en faire autant pour montrer à cette secrétaire-assistante qu'elle aussi maniait son homme à la baguette et diminuer la valeur de sa "performance".
Mais ce que Florian vient de lui apprendre alors qu'elle s'est levée lui fait complètement changer d'avis.
- Cette Nicole ne va pas l'emporter au paradis, se dit-elle. Florian, je m'en chargerai ensuite, dans l'intimité.
Contre toute attente, Mathilde se dirige vers Nicole et la gifle violemment.
- Espèce de salope ! Qu'espèrais-tu donc en venant ici obliger mon mari à me raconter tout ça ? Que je m'en aille pour te laisser la place ?
L'effet de surprise cloue Nicole dans son siège au moins autant que la violence de l'attaque.
- Ouvre ton sac.
Comme Nicole tarde à réagir, Mathilde la gifle de nouveau à plusieurs reprises. N'oublie pas que tu es chez moi ici, en intruse. Je peux te faire un mauvais sort et t'accuser ensuite d'agression. Ouvre ton sac et sors ton soutien-gorge.
Nicole ouvre son sac et en sort le soutien-gorge.
- Ainsi donc Florian avait dit vrai jusqu'au bout, pense Mathilde qui n'en doutait pas une seconde.
- Balance-le à l'autre bout de la pièce.
Nicole obéit.
- Enlève ta veste.
Comme Nicole se fait prier, Mathilde s'approche le poing dressé. Nicole ne se fait pas prier. Balance-le au même endroit.
- Ton chemisier.
Nicole apparaît, superbe. Mathilde doit faire un effort sur elle-même pour cacher son admiration devant cette poitrine abondante et parfaitement maintenue.
- Lève-toi, lui ordonne-t-elle en sortant son téléphone.
Elle prend plusieurs photographies de Nicole.
- Ta jupe maintenant.
Nicole a un air effaré et fait mine de vouloir se rebeller. L'air mauvais de Mathilde l'en dissuade.
- Je veux te voir à poil.
Nicole prend de nouveaux clichés. Elle ordonne à Florian d'aller chercher l'appareil photographique. A son retour elle fait adopter à Nicole des poses pornographiques ou suggestives. Elle prend aussi son sexe en gros plan mais de sorte que son visage soit visible sur la même photographie.
- Je veux aussi voir ton cul.
Elle en prend diverses photographies.
- Florian, écarte lui son cul, et maintiens-le bien ouvert.
Après une nouvelle série de prises de vues,
- Pelote-lui les seins maintenant, pendant que je prends des vidéos.
Mathilde n'en finit pas.
- Maintenant Florian, sors ta bite et encule-la sans ménagement et sans capote.
Florian hésite.
- Tu veux que je te gifle aussi ?
Florian n'a jamais vu sa femme dans cet état, il n'a pas envie de prendre le risque de la contrarier. Et puis pour l'instant la situation est à leur avantage : ces nouvelles photos contre celles prises ce matin, il a intérêt à jouer le jeu de son épouse et à éviter que Nicole profite d'un désaccord entre eux pour prendre l'avantage et récupérer les photographies.
Il enlève son pantalon et son slip, se masturbe devant les yeux de Nicole pour s'exciter plus rapidement, vient se placer derrière elle, l'oblige sans ménagement à s'agenouiller - elle se vengera demain mais c'est un autre jour comme on dit - et tente de s'enfoncer en elle. Comme elle n'est pas lubrifiée, il souffre autant qu'elle. Mathilde filme la scène.
- Flanque lui des claques sur les fesses et écarte-les de force.
Il suit les directives de sa femme, les claques sont de plus en plus violentes. Nicole est en larmes malgré elle mais elle tente de le cacher ; la colère et la honte y sont pour autant que la douleur. Florian réussit à forcer le passage, douloureusement pour les deux protagonistes.
- Agrippe-toi à sa poitrine pour avancer mais n'éjacule-pas dans son cul. Je veux qu'elle reçoive ton foutre dans sa gueule.
Florian approche sa bouche de l'oreille de nicole et le sussure :
- Que tu es belle, ma salope ! Ah, comme j'aime être en toi, petite pute ! Tu n peux pas savoir comme tu me plais !
Mathilde n'entend pas, elle comprend qu'il est en train de régler ses comptes et n'intervient pas.
- Alors baise-moi plutôt, répond Nicole.
- Je t'ai obéi comme tu l'as exigé, salope, maintenant c'est à ma femme que j'obéis. Demain tu feras de nouveau ce que tu veux de moi.
Un peu avant d'éjaculer, Florian sort de Nicole, la retourne. Elle ouvre spontanément la bouche, anéantie, désabusée et pleine de colère. A la grande surprise de Nicole elle suce Florian avec un plaisir ostensible tout en lui caressant le corps par dessous sa chemise. L'idée de Nicole est de rendre la femme de Florian jalouse puisqu'elle l'a ainsi humiliée.
Lorsqu'elle reçoit la semence de Florian, elle lui saisit la tête et l'embrasse de force à pleine bouche avant que Mathilde ait eu le temps de réagir.
Mathilde coupe son enregistrement.
- Ecarte-toi Florian.
Puis s'adressant à Nicole.
- Donne-moi ton téléphone.
Nicole obéit, d'un air dédaigneux. Cette femme a modifié ses plans, elle est très forte, mais elle a finalement eu des relations sexuelles avec son mari devant elle. Puiqu'elle est nue et qu'elle se sait belle, elle se pavane.
- Remets ta jupe, dit Mathilde en poussant vers elle du pied la jupe qui traîne par terre.
- Tu n'as pas besoin de ton slip ni du haut puisque tu aimes montrer tes seins. Prends ton sac et sors. Mon mari te rapportera tes affaires demain à votre bureau commun.
Comme Nicole est en train de vouloir discuter ...
- Dégage, salope !
Mathilde enlève la carte SIM du téléphone de Nicole, met l'un et l'autre dans un sachet en plastique, qu'elle tend à Florian.
- Mets ses habits dans un sac poubelle et n'oublie pas de tout lui rendre demain. Ce que j'ai fait, tu comprends que ce n'est pas pour toi, mais pour mon image de marque : je ne veux pas voir des photos de mon mari à poil circuler sur internet tant que nous ne sommes pas divorcés.
Florian fait entrer Nicole puis la suit et s'adresse à Mathilde sans s'approcher d'elle pour éviter l'embarras de ne pas savoir s'il faut simuler des effusions ... ni comment réagirait Mathilde ; lui ferait-elle l'affront d'une rebuffade devant son assistante ? Ce ne serait pas impossible, il préfère s'abstenir d'en prendre le risque.
- Mathilde, je te présente Nicole, dont je t'ai parlé tout-à-l'heure au téléphone. Il évite également d'insister sur le rôle de cette dernière, ne sachant pas à quelle sauce il va être mangé ;
- Les risques d'être ridiculisé devant Mathilde en seront diminués, pense-t-il.
- Nicole, voici mon épouse.
Mathilde éteint la télévision à l'aide de sa télécommande, se lève ; Nicole et elle se saluent poliment ; Mathilde est sur sa réserve, Nicole tous sourires.
- Voulez-vous boire quelque chose, lui demande-t-elle ?
- Volontiers.
Se tournant vers son mari, Mathilde lui passe la main.
- Fais le service, veux-tu ?
Florian interroge Nicole du regard, mais elle fait semblant de ne rien remarquer. Elle veut absolument obliger Florian à s'adresser à elle - et donc à la vouvoyer clairement devant son épouse. Il a réussi à l'éviter lors des présentations, elle ne va pas l'aider à s'en tirer une seconde fois !
- Que voulez-vous boire Nicole ?
Enfin elle a obtenu ce qu'elle voulait ! Elle exulte. Elle ne va pas l'appeler "grosse bite" tout de suite, mais le tutoiement du tac-au-tac lui paraît à propos.
- Ecoute, donne-moi un porto si tu en as.
Florian a compris qu'elle a attaqué sans tardé et il sait qu'il ne peut pas se permettre de la tutoyer en retour. Par conséquent sa femme est déjà alertée ; elle a aussitôt compris le jeu qui est en train de se jouer et qui le mène.
Pendant qu'il sert les boissons, Mathilde s'adresse à Nicole :
- Vous êtes l'assistante de mon mari, c'est bien cela ?
- Oui, notre directrice m'a donné le rôle d'assister votre mari.
Elle tient bien à montrer qu'elle maîtrise parfaitement la langue française et sait faire la distinction entre les divers registres de langage ... au cas où la pimbèche se méprendrait du fait de la couleur de sa peau.
- Je constate que vous êtes déjà intimes, tous les deux.
- Cela dépend de ce que vous entendez par là, Madame.
Nicole montre ainsi qu'elle ne sympathise pas si facilement et sait conserver ses distances.
- D'ailleurs votre époux va dans un instant vous raconter sa première journée dans ses moindres détails.
Florian manque de s'étrangler. Elles ne lui ont quand même pas tendu un piège pour qu'il soit obligé d'avouer à sa femme comment il a dû s'humilier devant sa directrice ainsi que quatre autres femmes !!!
Mathilde qui voit là l'occasion d'en savoir plus et qui s'aperçoit de la gêne de son mari saute sur l'occasion.
- Voilà qui m'intéresse au plus haut point. Raconte-moi cela ... si cela ne dérange pas ton assistante.
- Pas du tout, Madame, au contraire.
Nicole regarde Florian droit dans les yeux, ce que Mathlde ne manque pas de noter.
- Il a dû se passer quelque chose entre eux deux, se dit-elle. Mais pourquoi donc tient-elle tant à ce que je le sache ?
Mathilde doit insister un peu, mais le regard noir de Nicole aidant, Florian se lance, s'attarde sur l'attente à la réception, les formulaires à remplir. Il est bien obligé de décrire le bureau dans lequel il se trouve car Mathilde le questionne, alertée à chaque fois qu'il fait l'impasse sur des détails importants alors qu'il a insisté sur de plus futiles. Elle est surprise que Florian n'ait pas un bureau à lui et lui en demande la raison.
- C'est parce que je dirige ce bureau, j'ai la responsabilité de ces quatre personnes.
Mathilde ne lâche pas Nicole d'un oeil, elle note que plus Florian avance dans ses descriptions, plus elle jubile intérieurement. Elle se garde de lui demander confirmation de ce que lui raconte son époux, mais son intuition lui dit que si ce dernier lui ment, ne serait-ce que par omission, cette prétendue assistante saura le lui faire savoir. De toutes façons, une chose est déjà claire, c'est qu'au lieu d'être auditeur, le voilà secrétaire en chef ... et encore !
Florian est obligé d'en venir à son entrée dans le bureau de la directrice et, sous le regard vigilant de Nicole, de décrire le fiasco qui y est associé. Nicole n'a pas assisté à la première partie, il pourrait donc omettre de la décrire ; mais d'une part ce n'est pas le pire qui lui soit arrivé, d'autre part qui lui dit que la directrice ne l'en a pas informée ? Sans compter que cela montre le caractère et l'état d'esprit de la directrice et, espère-t-il, aidera à faire passer ce qu'il va devoir raconter ensuite.
Mathilde, loin de soutenir son mari, a au contraire un regard méprisant pour lui. Elle se demande de plus en plus ce que cette Nicole vient faire ici ce soir, et pourquoi elle vient le forcer à venir s'humilier devant elle.
La beauté de Nicole, son assurance, sa provocation au travers son chemisier largement ouvert qui montre la moitié de sa poitrine opulente tenant sans soutien-gorge, ainsi que son tutoiement ostensible envers son mari qui la vouvoye en retour ne lui inspirent pas de sympathie. Elle la flanquerait bien à la porte sans ménagement. D'un autre côté, ce qui a eu lieu au cours de la journée excite sa curiosité, à la fois féminine et de conjointe ; elle sent que ce qui s'est passé est très loin d'être ordinaire, qu'en l'absence de Nicole jamais Florian ne lui en aurait parlé, et que si l'abcès n'est pas crevé leur relation est définitivement perdue.
Elle se lève pour remplir les verres et invite Florian du regard à continuer.
D'un air désabusé, celui-ci poursuit son récit. Après tout, entre Mathilde et lui, il n'y a plus rien, ni sexualité, ni même tendresse, ni respect ; son amour-propre n'a pas plus sa place ici qu'il ne l'avait ca matin lorsqu'il subissait les affronts de ces femmes. Et tant qu'à faire, encore moins de considération, alors qu'autant que cela desserve cette salope de Nicole !
Il se met donc à tout déballer sans omettre le moindre détail, comment sa directrice l'a obligé à se déshabiller, les gifles reçues pour qu'il enlève jusqu'à son slip, et surtout pas les insultes de Nicole alors que la directrice n'en demandait pas tant et ne se le permettait pas elle-même, ni les poses qu'elle l'a contraint à prendre de son propre chef et toutes les photographies qu'elle a ainsi prises de lui. Il raconte la venue de l'assistante de la directrice que Nicole n'a pas vue, presque par masochisme à moins que ce ne soit pour montrer à cette dernière qu'elle n'est pas la seule à avoir pu jouir de ses humiliations, l'annonce de la répartition des tâches alors que lui restait nu debout devant les deux femmes vautrées dans leur fauteuil, l'obligation de sortir nu du bureau de la directrice avec ses habits sous le bras pour se retrouver dans celui qu'il partage avec les quatre autres femmes. Il racontre comment il a essayé de faire son travail en questionnant tour à tour Martine et les deux secrétaires, accompagné de Nicole, le questionnement de l'une des jeunes secrétaires et sa réponse. Il raconte qu'alors qu'il demandait à Nicole de résumer tout cela, celle-ci lui a fait signe de s'approcher comme si c'était elle le chef, qu'il a finalement dû s'exécuter, que même entre eux deux elle a continué à le tutoyer et le traiter de "grosse bite" et de "connard".
Il raconte aussi sous quelles menaces elle l'a obligé à lui téléphoner - à elle Mathilde - pour s'assurer de sa présence ce soir, sans que lui - Florian - en connaisse le but jusqu'au dernier moment.
Mathilde encaisse ; elle se trouve presque dans l'état d'un boxeur atteint d'un uppercut. Elle se lève, prête à parler.
Florian se souvient d'autres détails. Il ajoute comment à la sortie du métro Nicole s'est déshabillée pour enlever son soutien-gorge en l'obligeant à tenir sa veste. Cela, Nicole ne l'avait pas prévu, elle tente de lui couper la parole, mais Mathilde veut entendre son mari jusqu'au bout, et tout particulièrement ce que Nicole semble ne pas vouloir qu'il raconte ; au point où elle en est ! Florian répète aussi mot pour mot la dernière menace de Nicole avant qu'ils n'entrent. Ces deux dernières révélations sont un peu sa vengeance envers Nicole, bien dérisoire en apparence, mais ô combien efficace. Florian n'aurait jamais cru être capable de raconter tout cela à sa femme, encore moins qu'elle l'écoute jusqu'au bout sans l'insulter ou le mettre à la porte.
Mathilde, qui avait secrètement espéré que ce nouveau travail lui permettrait de retrouver son époux - même si ce n'était pas pour filer avec lui le parfait amour car il y a longtemps qu'elle avait compris que sa liberté de femme lui importait beaucoup plus que les sentiments et ne voyait dans le couple qu'un confort matériel et une image à donner à l'extérieur - et qu'au bout de quelques semaines, voire quelques mois leurs "divergences" et leurs incompréhensions s'atténueraient, comprend qu'elle ne pourra jamais vivre avec quelqu'un qui est descendu "si bas", quelqu'un capable de subir de telles humiliations.
Lorsqu'elle l'avait délibérément provoqué en s'arrangeant pour qu'il la trouve avec un de ses amants en pleine action à leur domicile, au moins il avait réagi. Sûrement plus violemment qu'elle ne l'avait prévu, et cela n'avait pas eu les effets escomptés, mais au moins pensait-elle son mari s'était comporté "en homme".
Il n'y avait même pas de la jalousie en elle, il y avait longtemps qu'elle n'aimait plus son mari, d'ailleurs l'avait-elle vraiment aimé ? Il y avait longtemps qu'ils n'avaient plus aucune relation sexuelle.
Mais comment pourrait-elle affronter chaque jour l'idée qu'il était une serpillère sur laquelle n'importe quelle femme, y compris des secrétaires pouvaient s'essuyer !
Pire, puisque ces salopes avaient pris des photos, elles allaient à coup sûr s'en servir tôt ou tard. A ce moment-là elle ne voulait pas être encore officiellement son épouse, s'il en était encore temps.
Il l'avait flanquée à la porte, entièrement nue une fois, elle avait eu l'idée d'en faire autant pour montrer à cette secrétaire-assistante qu'elle aussi maniait son homme à la baguette et diminuer la valeur de sa "performance".
Mais ce que Florian vient de lui apprendre alors qu'elle s'est levée lui fait complètement changer d'avis.
- Cette Nicole ne va pas l'emporter au paradis, se dit-elle. Florian, je m'en chargerai ensuite, dans l'intimité.
Contre toute attente, Mathilde se dirige vers Nicole et la gifle violemment.
- Espèce de salope ! Qu'espèrais-tu donc en venant ici obliger mon mari à me raconter tout ça ? Que je m'en aille pour te laisser la place ?
L'effet de surprise cloue Nicole dans son siège au moins autant que la violence de l'attaque.
- Ouvre ton sac.
Comme Nicole tarde à réagir, Mathilde la gifle de nouveau à plusieurs reprises. N'oublie pas que tu es chez moi ici, en intruse. Je peux te faire un mauvais sort et t'accuser ensuite d'agression. Ouvre ton sac et sors ton soutien-gorge.
Nicole ouvre son sac et en sort le soutien-gorge.
- Ainsi donc Florian avait dit vrai jusqu'au bout, pense Mathilde qui n'en doutait pas une seconde.
- Balance-le à l'autre bout de la pièce.
Nicole obéit.
- Enlève ta veste.
Comme Nicole se fait prier, Mathilde s'approche le poing dressé. Nicole ne se fait pas prier. Balance-le au même endroit.
- Ton chemisier.
Nicole apparaît, superbe. Mathilde doit faire un effort sur elle-même pour cacher son admiration devant cette poitrine abondante et parfaitement maintenue.
- Lève-toi, lui ordonne-t-elle en sortant son téléphone.
Elle prend plusieurs photographies de Nicole.
- Ta jupe maintenant.
Nicole a un air effaré et fait mine de vouloir se rebeller. L'air mauvais de Mathilde l'en dissuade.
- Je veux te voir à poil.
Nicole prend de nouveaux clichés. Elle ordonne à Florian d'aller chercher l'appareil photographique. A son retour elle fait adopter à Nicole des poses pornographiques ou suggestives. Elle prend aussi son sexe en gros plan mais de sorte que son visage soit visible sur la même photographie.
- Je veux aussi voir ton cul.
Elle en prend diverses photographies.
- Florian, écarte lui son cul, et maintiens-le bien ouvert.
Après une nouvelle série de prises de vues,
- Pelote-lui les seins maintenant, pendant que je prends des vidéos.
Mathilde n'en finit pas.
- Maintenant Florian, sors ta bite et encule-la sans ménagement et sans capote.
Florian hésite.
- Tu veux que je te gifle aussi ?
Florian n'a jamais vu sa femme dans cet état, il n'a pas envie de prendre le risque de la contrarier. Et puis pour l'instant la situation est à leur avantage : ces nouvelles photos contre celles prises ce matin, il a intérêt à jouer le jeu de son épouse et à éviter que Nicole profite d'un désaccord entre eux pour prendre l'avantage et récupérer les photographies.
Il enlève son pantalon et son slip, se masturbe devant les yeux de Nicole pour s'exciter plus rapidement, vient se placer derrière elle, l'oblige sans ménagement à s'agenouiller - elle se vengera demain mais c'est un autre jour comme on dit - et tente de s'enfoncer en elle. Comme elle n'est pas lubrifiée, il souffre autant qu'elle. Mathilde filme la scène.
- Flanque lui des claques sur les fesses et écarte-les de force.
Il suit les directives de sa femme, les claques sont de plus en plus violentes. Nicole est en larmes malgré elle mais elle tente de le cacher ; la colère et la honte y sont pour autant que la douleur. Florian réussit à forcer le passage, douloureusement pour les deux protagonistes.
- Agrippe-toi à sa poitrine pour avancer mais n'éjacule-pas dans son cul. Je veux qu'elle reçoive ton foutre dans sa gueule.
Florian approche sa bouche de l'oreille de nicole et le sussure :
- Que tu es belle, ma salope ! Ah, comme j'aime être en toi, petite pute ! Tu n peux pas savoir comme tu me plais !
Mathilde n'entend pas, elle comprend qu'il est en train de régler ses comptes et n'intervient pas.
- Alors baise-moi plutôt, répond Nicole.
- Je t'ai obéi comme tu l'as exigé, salope, maintenant c'est à ma femme que j'obéis. Demain tu feras de nouveau ce que tu veux de moi.
Un peu avant d'éjaculer, Florian sort de Nicole, la retourne. Elle ouvre spontanément la bouche, anéantie, désabusée et pleine de colère. A la grande surprise de Nicole elle suce Florian avec un plaisir ostensible tout en lui caressant le corps par dessous sa chemise. L'idée de Nicole est de rendre la femme de Florian jalouse puisqu'elle l'a ainsi humiliée.
Lorsqu'elle reçoit la semence de Florian, elle lui saisit la tête et l'embrasse de force à pleine bouche avant que Mathilde ait eu le temps de réagir.
Mathilde coupe son enregistrement.
- Ecarte-toi Florian.
Puis s'adressant à Nicole.
- Donne-moi ton téléphone.
Nicole obéit, d'un air dédaigneux. Cette femme a modifié ses plans, elle est très forte, mais elle a finalement eu des relations sexuelles avec son mari devant elle. Puiqu'elle est nue et qu'elle se sait belle, elle se pavane.
- Remets ta jupe, dit Mathilde en poussant vers elle du pied la jupe qui traîne par terre.
- Tu n'as pas besoin de ton slip ni du haut puisque tu aimes montrer tes seins. Prends ton sac et sors. Mon mari te rapportera tes affaires demain à votre bureau commun.
Comme Nicole est en train de vouloir discuter ...
- Dégage, salope !
Mathilde enlève la carte SIM du téléphone de Nicole, met l'un et l'autre dans un sachet en plastique, qu'elle tend à Florian.
- Mets ses habits dans un sac poubelle et n'oublie pas de tout lui rendre demain. Ce que j'ai fait, tu comprends que ce n'est pas pour toi, mais pour mon image de marque : je ne veux pas voir des photos de mon mari à poil circuler sur internet tant que nous ne sommes pas divorcés.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ginger
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...